Francine piégée (suite de sacré retrouvailles) - histoire érotique

Après s’être amuser avec Laure jusqu’au petit matin, Aurore rentre chez elle. Elle a laissé sa proie allongée nue sur le lit, les bras en croix, dans un épuisement total. Elle sait qu’elle vient de se faire une nouvelle copine, une complice, et un indic. Entre deux orgasmes, Laure avoue l’infidélité de Francine avec Guy. Elle peut lui fournir certains renseignements… Ou se rencontrent-ils…qui est cet homme…
Aurore, jeune fille de vingt ans, très belle, est bi. Elle projette maintenant de s’occuper de sa tante Francine, sur qui elle fantasme depuis des années. Elle rêve de passer un bon moment avec elle, de sentir son corps nu vibrer sous ses caresses. Elle l’a dit à Laure. « Un jour, je vais me la taper ».
Un jour, elle surprend sa tante entrer dans la villa de son amant. Négligeant, le couple ne ferme pas derrière eux. Aurore en profite pour rentrer, et par la porte de la chambre, assiste à leurs ébats amoureux. Mieux, elle met son appareil photo sur vidéo, et filme la scène.
Le couple, entièrement nu, s’enlace sur le lit, en se donnant d’interminables baisers. Francine soupire de plaisir quand Guy lui caresse les seins et la chatte. Elle glisse une main entre les jambes de son amants, soupèse les couilles, saisit la bite en érection. Francine se penche pour la sucer.
-Tu aimes quand je te suce le zob, hein…tu sais quoi…ben moi aussi j’aime…te tailler une bonne pipe…
Guy s’installe à contre sens, la tête entre les cuisses de Francine. Il lui broute le minou, la pénètre avec la langue, suce le clitoris.
-Et toi, tu n’aimes pas quand je te bouffe la chatte ? tu sens ma moustache sur ton clito ? -Enfoiré, gémit-elle, tu ne vas quand même pas me faire jouir avec ta moustache…quel salaud tu es…
Guy la force à monter sur lui, et à s’empaler sur sa queue. Là, elle commence à se déhancher en poussant des petits râles de plaisir. Guy caresse les seins durcit par le désir, excite les bouts fièrement dressés.

Aurore trouve le spectacle magnifique. Là, devant ses yeux, elle voit sa tante se donner entièrement à son amant. Elle a une pensée pour son oncle Michel.
-Tu es en manque on dirait…je sens qu’on va bien s’amuser cet après midi…
-Oh oui je suis en manque mon amour, il me tarde de me faire prendre par ta grosse bite…aie… salaud… tu veux commencer par le petit…comme tu veux …vas-y…encule moi…
Aurore assiste en direct à la sodomie de sa tante. Elle voit la main de Francine passer sous son ventre, et faire rouler les testicules de son amant entre ses doigts.

Francine se fait prendre tour à tour en levrette, ou empalée sur la bite de son amant qu’elle chevauche. Elle hurle de plaisir à chaque orgasmes, se fait remplir de sperme tous ses orifices. Elle avale, nettoie le calibre de ce merveilleux amant qui la rend heureuse. Elle ne fait pas avec son mari, le quart de ce qu’elle fait avec lui.

-Si ton mari savait que sa femme se fait niquer, enculer par son pire ennemi…il te baise comma ça lui ?
-Tu sais bien que non, gémit Francine…Il me gratte la chatte, me doigte mon petit bouton…me donne un petit coup vite fait…mais ça va jamais bien loin…il n’a pas droit à sa pipe lui…ni au petit trou…
-Au fait, il est où ce cocu…il t’attend sagement à la maison…et que fait-il pendant que je te baise ?
-Salaud, sourit Francine, tu le sais ce qu’il fait…il garde les enfants…ta fille…nôtre fille…il l’a considère comme la sienne…s’il savait qu’elle est de toi…le pauvre…bon, ce n’est pas tout, mais il faut que j’y aille.
-Comment, regrette Guy, déjà. Tu es bien pressée…t’as un autre mec ?
-Tais-toi idiot, répond Francine, avec ce que je me fais mettre…je serai bien bête de chercher ailleurs…tu me suffis amplement…ça fait quand même trois heure que tu me baises.
-Dommage, poursuit Guy, je t’aurai bien mis un autre coup de queue »
-Ce n’est pas vrai, répond-elle, mais tu es increvable…d’accord, mais sous la douche alors…tu veux quoi, me niquer…m’enculer… ? que je taille une pipe peut être…?
Aurore entend crier sa tante pour qui ce doit être son cinquième ou sixième orgasmes. Le couple rejoint le salon, se donne un sulfureux baiser.
-La semaine prochaine, Michel est en déplacement, dit Francine, tu pourrais passer deux ou trois nuits avec moi, les enfants dormiront, ce sera l’occasion de voir ta fille. Tu pourras me baiser sans modération.

Aurore en a assez vu, et entendu. Même si la batterie du portable était faible, elle a de quoi obliger sa tante à se soumettre. Le tout, est de trouver l’occasion d’aller chez elle.

Il est quinze heures quand Aurore sonne à la porte de Francine. Elle est vêtue d’une jupette, et d’un pull.
-Tiens, dit Francine, qu’elle surprise, c’est tellement rare de te voir. Rentre ma chérie. Rien de grave ? Francine est vêtue d’un court peignoir. En voyant sa tante dans cette tenue, les images les plus perverses traversent son esprit. Elle imagine sa tante à genoux, la supplier, se soumettre à ses caprices
La salope, se dit Aurore, elle est peut être tout nue sous son peignoir, la chatte bien épilée, les lèvres pulpeuses, le clitoris gorgé de sang par l’envie de se faire doigter, les seins tendus par le désir.
–Bonjour, répond Aurore. Non, rien de grave. Juste savoir si tu pouvais me coiffer pour ma soirée.
-Mais bien sur ma chérie, répond Francine, prend la chaise, assied toi, je vais chercher ce qu’il faut. Voilà. Aurore s’installe. Francine est obligée d’écarter largement les jambes pour éviter celles de sa nièce, qui, fait exprès, sont elles aussi légèrement écartées. Ce qui a pour effet d’ouvrir les pans du peignoir. Discrètement, Aurore l’écarte d’avantage. Elle ne sait pas tromper, Francine n’a rien dessous.
–T’as pas de culotte tata, dis Aurore, si quelqu’un venais…à moins que tu attendes un amant ?
D’un geste prompt, Francine arrange sa tenue.
-Oh…excuse-moi, dit Francine, tu sais, quand je suis seule, j’aime bien me mettre à l’aise. Quant à avoir un amant, très peu pour moi. Je suis très heureuse avec Michel, je l’adore, il me satisfait pleinement au lit, alors, pourquoi aller chercher ailleurs.
-Je plaisais tatie, pourtant, deux ou trois matins de la semaine dernière, il me semble avoir vu un homme sortir de chez toi. Belle moustache, très séduisant. Francine a l’impression que la moquette se dérobe sous se pieds. A tel point, qu’elle ne se rend pas compte que Aurore a dénoué la ceinture du peignoir.
-Ce n’est pas ce que tu crois ma chérie, bégaie Francine …c’est un Monsieur qui s’était perdu...
-A bon, sourit Aurore en caressant les cuisses de sa tante, trois matinées, ben dis dont, faut qu’il achète un GPS…et pourquoi il t’a demandé d’embrasser sa fille.
-Oh mon dieu, dit Francine, s’il te plait ma chérie…tu es au courant de ça…ne dit rien…dis-moi?
Les pouces d’Aurore sont maintenant en contact avec la fente de sa tante.
-Mais ça dépend de toi tatie chérie, tu as déjà fait l’amour avec une fille, c’est bien tu sais.
-J’ai jamais fais ça, répond Francine…arrête…ne m’oblige à faire ça…je ne suis pas lesbienne.
Elle est rouge de honte. Elle sait que sa nièce est au courant de son infidélité. Aurore fait mine de se lever.
-Non…attend, la retient Francine, ne pars pas, qu’attends-tu de moi…tu veux que je fasse quoi…?
Les pouces reprennent leur place, mais vont plus loin, écarte les lèvres, remontent en haut de la fente, décalotte le clitoris. Francine ferme les yeux, vaincue, elle appuie ses mains sur les épaules de sa nièce. Celle-ci fait glisser le peignoir. Sa tante se retrouve entièrement nue.
-T’es pas mal carrossée, dit Aurore, écarte tes jambes que je trempe mes doigts dans ta chatte…je vais bien te la faire mouiller, bien te la branler…tu vas te régaler…ah…écarte, j’ai dis…tu veux une fessée…?
Francine obéi. Dans un long soupir, elle accepte la caresse qu’elle trouve assez agréable. Elle sent aussi son corps réagir. Sa chatte commence à se remplir de mouille. Aurore sait sa tante acquise à sa cause. Soudain, Francine se prends les seins, donne de petits coups de reins sur les doigts qui la branle.
-Petite salope…qu’est-ce-que tu me fais…hum…tu me chattes…oh putain… que c’est bon…je me fais gouiner par ma propre nièce…t’arrêtes pas ma chérie…enfonce tes doigts…
-Tu te régales, petite pute…tu le bouges ton cul, hein…écarte toi encore que je gratte ton petit trou…
-Oh oui…hurle Francine…met moi un doigt dans le cul…branle moi…bien profond…oui…je joui…oui… Les coups de hanches s’atténuent après l’orgasme. Francine se détend.
-C’est bien tata chérie, sourit Aurore, calme toi...tu vas voir qui va nous rejoindre...allo, c’est moi…tu peux venir, elle est prête…mais bien sur que tu pourras jouer avec elle…allé…viens…
Francine est surprise de voir sa copine Laure entrer au salon. Celle-ci ôte ses vêtements, et apparait totalement nue. Francine a compris le plan vicieux monté par Aurore. Elle veut voir les deux amies d’enfances se gouiner. Laure s’avance, saisit Francine par la taille, la force à s’allonger sur la moquette. Laure s’inscrit déjà en dominatrice.
Assise sur le canapé, Aurore active son portable sur vidéos.

Alors ma chérie, dit Laure en caressant la chatte de Francine, mais elle est toute mouillé…met toi sur le ventre, plie ta jambe…voilà…comme ça…tu vas voir comme je vais te régaler… Laure enfonce deux, trois puis quatre doigts dans la chatte de Francine qui hurle de douleur. Elle remarque au sol, une bombe de laque, et une brosse à cheveux. Elle fait signe à Aurore, qui du bout du pied, pousse les deux objets. Laure lève ses doigts, les remplace par la bombe de laque, ce qui équivaut à une bite de vingt cinq centimètres, par cinq de diamètre.
-Non…pas ça supplie Francine, tu vas me déchirer…dis lui Aurore…s’il te plait…
C’est ensuite au tour de la brosse à cheveux à poils raides de pénétrer le petit trou. Ca en est trop. Francine se dresse sur les mains, supplie encore une fois.
Petit à petit, la douleur s’estompe pour laisser la place à une agréable sensation. Francine se cambre même d’avantage pour mieux recevoir les godes improvisés. Elle glisse une main , et se doigte le clito.
-Oh oui…vas-y…nique moi…encule moi…fais moi jouir…c’est trop bon…oui…oui…
-Vas-y ma chérie, sourit Laure, te retiens pas…prend plaisir à ce que je te fais…tu aimes hein ?
Sur le canapé, Aurore a une vue imprenable sur l’entre jambe de Laure. Elle tend un pied et le fait courir sur la fente entre ouverte et humide. Le gros orteil ouvre les lèvres, et pénètre la chatte qui aspire littéralement le doigt de pied.
-Oh, sursaute Laure, hum…c’est bon de se faire prendre comme ça…se le faire mettre par un orteil…vas-y chérie, rentre le…bien profond…nique moi…
Aurore écarte sa culotte, et se doigte le clitoris. Une façon comme une autre de participer. Après s’être fait, elle se lève, et quitte la villa. De la terrasse, elle entend les gémissements de plaisir des deux femmes qui se gouinent, surtout ceux de Francine, entièrement soumise. Elle prend son téléphone.
-Allo, Guy…j’ai une énorme envie de me faire mettre un bon coup de queue.
»Pas de problème, répond la voix…viens...je t’attends ».
Guy aussi c’est fait piéger par Aurore qui, au final, à obtenu ce qu’elle voulait, au-delà de ses espérances.