Malika, ma beurette - histoire érotique

J'étais naïve, ne sachant pas comment satisfaire mes envies dans le bas ventre. Un matin, en prenant la douche je sentais le jet me faire du bien. Depuis ce jour, ma main va souvent sur la chatte. Je me masturbe comme pas une. Tout va bien,même si un jour, mon voisin, Marc me surprend juste avant que je jouisse, quand j'avais les yeux fermés. Mon fantasme est qu'une bite me défonce, alors que je suis encore vierge. Marc, près de moi est nu, la bite bandée. J'en ai à peine peur quand il vient sur moi, qu'il ouvre mes cuisses, s'y glisse juste entre. Je regarde cette queue avec intérêt.
Ce grand imbécile me fait un mal de chien. Je n'arrive à m'en débarrasser que quand il fini de gicler dans le sexe. Je suis dégoûtée des garçons : je suis prête à changer ma sexualité. J'ai bien des copines, même si aucune ne m'attire particulièrement. J'en suis réduite à me branler. J'oublie Internet, pas longtemps : un soir, avant de me coucher je regarde dans des sites chauds se qui s'y passe. J'ai la chance de trouver une page où les vraies filles s'y retrouvent. Je prend contact avec Malika, une beurette qui n'aime pas du tout les hommes.
Notre dialogue m'excite au plus haut point, elle écrit qu'elle aimerai me rencontrer. Sa photo montre une belle fille brune avec de beaux seins, un ventre plat, de longs cheveux tombant en nattes sur les épaules. Elle me dit se caresser en pensant à moi. J'imagine sa main sur et dans l'abricot. Moi, je suis du genre surexcitée. Ma main droite pianote pendant que la gauche caresse mes seins. J'ai envie d'elle.
Le lendemain nous sommes presque ensemble, pas loin de chez moi, dans un café. Je la reconnais rapidement rien qu'à voir sa silhouette de déesse habillée très courte. Elle me fait une bise rapide sur la joue. La suite dérape pour venir sur ma bouche. Même si des gens nous regardent, nous continuons nos découvertes de l'autre.
Ces cheveux me donnent envie d'y passer ma main. C'est à ce moment que je commence à sentir la cyprine dans ma propre figue. J'ai un besoin d'elle urgent.
Viens allons chez moi.
Tu me veux
Bien sur je te veux.
Je ne vais pas lui dire qu'elle est ma première fille, surtout qu'elle est contre moi, totalement. Les regards de gens nous font partir : deux filles ensemble ce n'est pas bien vu, même si je sais que peu d'homme ne refuseraient pas de nous voir ensemble.
Dans mon chez moi tout petit, nous recommençons à nous embrasser plus profondément encore. Malika commence ces travaux d'approche de mon corps. Je ne peux que me laisser faire en me collant à elle. Ses seins durs semblent vouloir sortir de leur cachette. Je voudrais surtout qu'elle me caresse partout, même dans les endroits les plus sacrés.Quand ses lèvres m'oublient à peine je lui donne encore ma bouche.
Malika sait que j'ai envie de faire des choses avec elle, elle aussi, c'est comme ça qu'elle passe lentement une main sur les fesses, me collant encore plus contre elle, le pubis contre le sien. Je sens une cuisse qui écarte les miennes pour venir entre mes jambes, contre ma chatte. Elle s'y frotte un moment avant d'en faire autant. Enfin elle me donne presque un orgasme. J'ai envie encore.
Malika prend mon menton, le serre entre ses doigts avant de passer sa bouche dans le cou. Mes frissons doivent la renseigner sur mon état. Dans le dos, ses mains défont le soutien gorge. J'essaie d'en faire autant sans succès. Elle soulève le tee shirt pour venir sortir la poitrine. Sa bouche prend mes pointes, les lèche avant de les sucer pour faire sortir les tétons.
Je suis perdue, sans savoir comment lui donner de ce même plaisir naissant. Enfin un main sur le sexe à travers le jean. Elle doit bien forcer pour trouver à peine le clitoris. Quand elle fait tomber totalement le pantalon, je reste un petit moment en slip. Un doigt trouve vite le passage.
Enfin elle me masturbe. Mon bas ventre tendu vers sa main, je me laisse faire égoïstement. J'ai oublié sa bouche pour me pencher en arrière toute à mon plaisir. C'est bon, je jouis enfin dans sa main. C'est elle qui prend ma main pour la guider. Elle me réveille un peu. Je suis sur sa chattoune aussi mouillée que la mienne.
Malika se laisse tomber presque sur le sol. Elle se débarrasse de ses vêtements. Je la vois nue : ma première autre fille. C'est beau un corps de femme, excitant, attirant. Plus beau en, tout cas qu'un homme avec sa queue tendue toujours prêt à vous la mettre.Elle reste assise sur le sol, m'attire vers elle en tenant mes fesses. Un rapide baiser sur le pubis suffit en préambule à une langue juste que le bouton. Elle me serre entre ses lèvres, me lèche longuement pendant que des plaintes sortent de ma bouche ouverte.
Ses mains passent entre les fesses juste pour y laisser un doigt. Je crains le pire quand elle trouve l'ouverture de l'anus. Pourtant c'est agréable quand il entre doucement avec lenteur. Malgré mes préventions je la laisse faire puisque ça lui plaît. Alliée a sa langue la caresse particulière est habile. Je ne suis tendue que vers l'orgasme qui ravage mon corps en entier.
Je sors de ma torpeur quand elle me demande clairement d'aller avec moi sur le lit. Elle a raison, c'est plus confortable. Je reste les cuisses ouvertes encore à la recherche d'un autre cunnilingus.Malika commence à me le donner en se tournant sur moi. Quand elle enjambe ma tête, je comprends qu'elle veut que je la lèche aussi. Tout son sexe est trempé. Sa mouille déborde presque. Au début je refuse , sauf qu'elle sait comment poser sa chatte sur la bouche. Je me trouve ainsi le nez près de son cul, mes mains autour de ses fesses, prête à lui rendre ce qu'elle a fait.
Quand sa bouche est sur l'anus, je l'ouvre encore. Sa langue me fait du bien dans le cul, plus que son doigt. Je reste interdite du plaisir qu'elle me donne, encore plus quand je la sens jouir aussi. C'est bon deux filles qui se donnent ce plaisir, surtout sans complexe.
Et je sens ses doigts pénétrer le centre du plaisir. Elle entre deux ou trois doigts, je ne sais plus. En tout quand plus gros que la seule bite qui est jamais entrer à cet endroit. L'effet est totalement différent en me faisant encore partir. Décidément cette nana est douée.
A mon tour d'enter dans le con ouvert. Ma main se décide à franchie un pas décisif en allant se loger dans le vagin. Malika gémit sans cesse. J'entre d'abord un doigt puis lentement les autres. J'enfonce la main en entier, comme une chose normale.
Malika m'étonne quand elle demande que je lui en fasse autant dans le cul. Elle écarte bien les fesses à deux mains, en me donnant son arrière train. Là, je force beaucoup pour entrer. J'y arrive tant bien que mal. Pour elle ça doit être parfait avec un double pénétration de mes mains. Si Malika m'oublie un moment pour se laisser faire, elle me suce pendant l'opération pour mon plus grand bonheur.
Depuis je l'appelle pour qu'elle m'en fasse autant. C'est prévu pour demain soir.