La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 138)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 138) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 138)
A tous mes esclaves,

Je veux que tous vous me fassiez chacun de vous une rédaction à m'envoyer par mail.
Voici le sujet :

'Nous sommes le matin 9h. Tu es informé que ton Maître viendra chez toi cet après-midi
à 14h. Il sait que tu seras seul (e) chez toi et exige que tu te tiennes prêt (e) à
l'accueillir. Comment et que prépares-tu, pour que sa visite soit la plus réussie.
Narre les préparatifs et sa venue et la séance de soumission qui suit, laquelle tu
réalises avec Lui et heureux (se) de l'effectuer.''

Soyez imaginatifs. A vos claviers
Votre Maître

Voici ce que j'ai donc reçu ce matin de sa plume !

Ecrit par esclaveCyril60MDE

9h du matin, le réveil sonne pour la 3eme fois alors que mon esprit sort peu à peu de
sa torpeur. Mais chose étrange, la sonnerie ne dure qu'une fois et ce n'est pas la
musique habituelle. Ouvrant un oeil, je vois que mon portable est allumé. Formaté tel
le chien de Pavlov, je regarde l'appareil pour voir le nom de mon Maître Vénéré. Mon
coeur fait un bond, comme à chaque fois. La dose subite d'adrénaline est parfaite pour
se réveiller, c'est un fait. Appuyant sur un bouton, je lis le message "Je serais là à
14h". Je mets quelques secondes à croire ce que je lis, alors que ma main se pose
naturellement sur mon cou et sur mon collier orné d'anneaux. Les trois anneaux qui me
permettent d'avoir l'honneur de pouvoir rencontrer mon Maître. Je me dis que cela fait
tellement longtemps que j'attends cela ... Mais alors que je regarde autour de moi, je
remarque une chose flagrante, ma demeure n'est pas du tout prête. Une sueur froide
s'empare de moi pendant un instant alors que je m'efforce de discipliner mon esprit.
Discipline, c'est cela. Discipliner ma penser pour être prêt. Je regarde une nouvelle
fois l'heure, il est 9h05 environ. Cela me laisse presque 5 heures pour tout préparer.
Je peux le faire. Je sais que je peux le faire, je dois le faire pour mon Maître, le
tout est de ne pas perdre de temps. Une inspiration plus tard, je me mets sur les
genoux et me plie à ma prière du matin dans la position adéquats

"Je suis l'esclave de Maître Sir D'Evans, mon corps et mon âme lui appartiennent, il
peut en disposer comme bon lui semble, je suis son vide couilles"

Malgré mon coeur qui a pris un rythme plutôt rapide, je m'efforce de maintenir mon
élocution lentement et surtout clairement. J'en ai besoin, j'ai besoin de me calmer.
Je me lève, avale rapidement mon petit déjeuner, je me toilette sommairement et
m'habille pour préparer ma demeure. Comme pour me rassurer, je repasse un coup de
balai et un coup de serpillère, pas question de recevoir dans une maison sale, même un
peu. Mon appartement n'étant pas très grand, le ménage y est très vite fait mais
l'environnement est bien peu adapté pour recevoir mon Maître. Je décide de préparer la
place. Je déplace mon pc pour le mettre dans un coin. Manquant cruellement de meubles,
je m'assure que les quelques sacs servant de rangements soient invisibles, les mettant
sous le canapés et dans l'étagère de la salle de bain. Place nette, petite table
libérée, j'ai déplacé tout ce qui encombrerai le peu de place de ma demeure, que dis
je, ma niche. Je suis prêt à passer à la seconde étape.

Sur la petite table, je fais la révision de l'arsenal : Gode, plug (vibrant ou non),
laisse, gamelle de chien. Il me manque encore quelques éléments mais j'ai le temps
d'aller les chercher. L'horloge me montre qu'il est presque 10h, je suis dans les
temps. M'habillant pour sortir, et surtout pour prendre mon vélo, je regrette de
quitter mon collier, mais je sais que cette course sera rapide et j'aurais tôt fait de
retrouver sur la peau de mon cou la marque, la présence de mon Maître. Enfourchant ma
monture d'acier, n'ayant pas d'autre moyen de locomotion, je pédale à toute vitesse.
Direction : un magasin spécialisé juste à une dizaine de minutes de chez moi. Si ma
région dispose d'une chose en abondance, c'est bien les chevaux et les cavaliers, il
m'est donc bien aisé de trouver le premier matériel que je cherchais : une cravache.
Dans l'échoppe, je regrette uniquement de ne pouvoir tester l'instrument sur place,
mais, honnêtement, je ne sais pas l'utiliser avec la maîtrise d'un Maître. L'honneur
de marquer ma peau avec ce noble outil sera donc réservé à Maître Sir D'Evans.
Deuxième achat, une bonne longueur de corde, toujours dans le même magasin. Retour sur
le vélo, les courses ne sont pas terminé

10h40, j'arrive, légèrement à bout de souffle, chez moi après être passé rapidement
chez le boulanger pour prendre des pâtisseries et du pain, puis des courses dans un
petit magasin avant de finir par le caviste. Une telle occasion se fête, je demande
donc à l'employé de me trouver un champagne de qualité honorable avec un goût original
et un vin blanc. Le vrai petit problème logistique fut, en fait, de me procurer une
flûte à champagne pour avoir l'honneur de le servir à mon Maître. Heureusement que
j'ai une propriétaire très sympathique à laquelle j'ai emprunté deux exemplaires de
verrerie, justifiant la venue d'un très bon ami. Bien entendu, je n'avais pas
l'intention d'utiliser mon verre, si je devais être servi ce sera bien entendu dans ma
gamelle. Mais au moins cela donnait une illusion crédible pour mon entourage. Rentrant
dans ma niche, chose importante, je remets mon collier, retrouvant enfin la présence
de mon Maître avant l'heure et redonnant un élan à ma motivation. Mais il est 11h, je
dois me dépêcher.

Mon Maître arrivant à 14h précise, il est clair que c’est un homme très ponctuel, Il
allait sûrement dîner ici ce soir. Il était temps de prévoir le repas. Ne pouvant et
surtout ne voulant pas délaisser la vénération de mon Maître pour une cuisine trop
longue ou encore trop compliquée pour mon équipement, j'avais opté pour une recette
simple. Lasagne de saumon froide, tarte à la tomate et à la moutarde et enfin
tagliatelle de courgette, tout un repas qui se préparent à l'avance et ne nécessite
que quelques minutes à servir. Seul soucis, ladite préparation était un peu longue.
12h30 voir 12h45, j'ai fini la préparation des plats, mais l'heure passe. Tout est
dans le frigo, il est temps de me préparer car après près d'une heure de vélo, et
quasiment deux heures de cuisine, je n'osais pas trop imaginer l'état de mon corps.
Pas question de rogner sur l'hygiène. D'abord le rasage. Visage, aisselles, sexe et
anus, je tends à ne laisser aucun poil, paraître le plus irréprochable ...
Irréprochable, alors que le rasoir passe près de mon membre, je le sens grossir pour
être contenu dans ma cage de chasteté. Malgré l'efficacité de l'instrument, je ne peux
me permettre de perdre du temps à cause d'inconfort mais la pression est bien trop
désagréable. Plutôt que m'énerver et risquer de prolonger la souffrance, je tente de
me concentrer ce qui fonctionne heureusement au bout d'un moment. Je n'ose même pas
regarder ma montre alors que le temps semble passer bien trop vite. Intérieurement, je
tente de me rassurer grâce à mon organisation. Je sais que, normalement, j'ai prévu
des minutes de marges.

Rapidement, j'entre dans la douche pour faire disparaître les dernières marques de
mousse à raser. Ne prenant pas le temps d'apprécier l'eau, je pars au plus pressé et
sort propre pour me mettre du déodorant quand mes yeux s'écarquillent. Bon sang, dans
la panique de tout à l'heure j'ai oublié les cheveux. J'attrape la tondeuse pour vite
retirer le surplus du peu de chevelure qu'il me reste sur le crâne pour m'apercevoir
d'un autre problème apparaissant. Avec ça, j'ai mis des cheveux partout. J'avais beau
réussir à contenir mon stress depuis tout à l'heure mais là, cela semblait être la
goutte qui faisait déborder le vase. A chacune de mes actions, j'avais l'impression de
perdre plus de temps que d'en gagner. Mon regard passant sur ma montre voyait qu'il
était bientôt 13h. Ne pas jurer, ne pas entrer en colère contre soi même. Réfléchir à
ce que j'ai pu oublier ... mon regard se pose partout alors que j'ouvre certains
placards cherchant la chose qui avait pu passé outre ma surveillance ... C'était là,
devant mes yeux : la poire à lavement. Si mon Maître désirait prendre du plaisir dans
le vagin anal de la chienne que j'étais devenu sous ses ordres, je ne pouvais
supporter l'idée de salir son membre avec quelques sécrétions.

13h20, le ventre légèrement rempli d'eau, je m'assure une dernière fois que tout est
bien installé dans ma niche de chienne quand, une fois encore la tension monte.
J'avais laissé mes godes et mes plugs sur la petite table de mon salon et j'avais
encore mon sac à dos rempli des instruments d'appoints. Je me hâte alors que mon
ventre est pris de contraction à cause du liquide qu'il contenait. J'ouvre un tiroir
libre pour placer les outils avant de foncer dans les toilettes pour enfin libérer mes
entrailles devenues propres à présent. 13h30, je m'assure une dernière fois de ce que
je pouvais avoir oublié. Me retrouvant face à mon reflet, dans le miroir, mon regard
se fixe sur mon collier. Je retrouve devant mes yeux, l'esclave qui était encore ému
la première fois où il avait rencontré son Maître à travers une caméra. Je rougissais
alors, me rappelant des nombreux devoirs que j'avais dû accomplir pour le satisfaire
et le plaisir de la soumission que j'avais ressenti en lui obéissant. Les anneaux qui
se trouvaient à mon collier prouvaient qu'il m'avait jugé digne et rien qu'y penser me
réconfortait alors que ma matinée avait mis à mal ma confiance en moi.

C'est partiellement serein donc, que je voyais l'heure approcher. Il est temps d'aller
attendre mon Maître devant la porte. Nu, ne portant que mon collier, ma laisse et ma
cage, je m'avance dans le couloir de mon entrée et me met à quatre pattes devant la
porte. Ma tête naturellement baissée, j'avais tout de même vérifié d'avoir laisser le
verrou ouvert. C'est là que j'entends des pas dans l'escalier menant à ma niche. Des
pas lents, des pas qui semblaient commander à mon coeur de battre à l'unisson alors
que ma tête se baissait presque naturellement à mesure que le son s'approchait. La
poignée s'activa alors qu'il entrait dans ma tanière. Nul besoin de toquer ou de
s'annoncer, il était chez lui, il était chez sa chienne docile et obéissante. Une
chienne docile qui attendait devant la porte, sa laisse dans la gueule et qui sentait
son coeur battre de plus en plus fort subissant le regard de son Maître. Ralentissant
le temps, ou peut être l'accélérant (comment dire dans un tel état ?), je ne bouge
pas, je ne dis rien, je n'en ai pas l'autorisation. L'adrénaline aidant, mes sens sont
exacerbés au point que j'entends le crissement du tissu de ses vêtements. Il semble
regarder autour de lui avant de refermer la porte.

- "Et bien, chienne ?" dit il alors qu'il empoigne la laisse de ma gueule

Trois mots, posé comme une remarque sur mon comportement, me déclenchèrent des
picotement dans le dos. Même si je savais n'avoir rien fait de mal, le doute était
toujours présent en moi. Trois mots qui m'autorisaient enfin à parler à mon Maître
alors que le trouble et le trac enserrent ma gorge au point que je doive m'y reprendre
à deux fois pour sortir le premier mot de ma bouche.

"- Bi... Bienvenue dans l'humble niche de votre chienne docile que je suis, Maître
Vénéré. Je vous prie de me faire l'honneur et le privilège de vous installer
confortablement"

Un nouveau soucis me vient à l'esprit, c'était tellement gros que je n'y avais pas
pensé. Alors que je disais ces mots, je remarquais que le couloir d'entrée de mon
appartement était bien étroit pour y passer à deux sans se pousser. Deux solutions
s'offrent à moi, me réfugier dans la salle de bain pour dégager le passage mais je
risquais tout de même de déranger mon Maître, ou sinon me coller au mur pour lui
laisser un maximum de place mais cela me ferait quitter ma position à quatre pattes,
et donc la preuve de ma soumission. Ni l'une ni l'autre ne me convenait. C'est alors
que, comme par réflexe, je m'écrasais au plus bas devant lui, mettant mon dos le plus
droit et le plus stable possible.

- "Pardonnez le manque de place de mon humble demeure, Maître. Faites attention en
descendant de la marche que je suis, attendant votre botte"

Préparant mes muscles, je sens son pied se poser non loin du croisement entre les bras
et ma colonne vertébrale, forçant alors à me mettre encore plus bas. Mon front touche
le sol alors que je soutiens le poids de l'homme qui me possède corps et âme. Alors
qu'il est passé au dessus de moi, je sens un à-coup dans ma laisse. Aussitôt, je me
retourne, suivant mon Maître dans le salon, il semble regarder partout, du moins c'est
ce que j'en déduis, toujours la tête baissée. Il s'installe alors sur le canapé et me
tire à lui grâce à la longe. Arrivé à ses pieds, je retiens un soupir de joie, ne
voulant pas troubler le silence et la réflexion de celui que je vénère. Il est là et
j'ai l'autorisation d'être à ses pieds, j'ai du mal à contenir mon émotion alors que
ma peau effleure son pantalon. Ma tête est peu à peu invitée à se relever alors qu'il
me regarde. Telle une femelle devant un mal Alpha, je détourne le regard, sachant
pertinemment qu'il m'est supérieur alors que je ne suis qu'une chienne.

Sa main se pose sur mon crâne puis descend sur ma nuque, je ne suis plus qu'une poupée
entre ses doigts. Il m'intime de me retourner sans un mot. Et sans un mot ni ordre,
nul besoin, je lui présente ma croupe, tête au plus bas alors que sa mains passe sur
mes fesses lissées de moins d'une heure. D'une main ferme, il me dépose une marque de
main vermillon sur mon postérieur alors que je contiens un petit bruit de surprise. Un
autre coup s'abat sur mon autre lobe et je sens un sourire sur son visage. Il doit
admirer les dessins révélés sur ma croupe grâce à ses mains.

- "Tu m'avais dit que tu avais des instruments chez toi. Je veux les voir"

Je me retourne fais un signe de tête pour lui signifiait que je prenais congé de
quelques mètres pour me rendre jusqu'au tiroir où j'avais placé tout mon matériel mais
fut stoppé subitement.

- "Je ne t'ai pas donné l'autorisation de te relever !"

Tel un animal dans les feux d'un camion, je m'immobilise pour remarquer que j'allais
ouvrir le tiroir avec ma main. J'étais un animal, je n'avais pas de main, mais des
pattes jusqu'à ce que mon Maître me dise le contraire. Je prends délicatement la
poignée avec ma bouche et la tire doucement révélant alors mes différents accessoires.
Conscient de la bévue que j'avais commis, le choix du premier objet que j'allais
amener à mon Maître était d'une évidence certaine : La cravache. La ramenant à travers
de ma gueule, ce n'est qu'au dernier moment que je remarquais le sexe de mon Maître
apparaissant devant mes yeux. Je rougissais déjà alors que j'allais avoir l'honneur
d'être le vide couille à mon Maître, chose à laquelle j'aspirais au moins tout les
matins et tout les soirs dans mes récitations quotidiennes. Je louchais sur le membre,
sans forcément le vouloir mais je devais rester stoïque. Mon impatience était un de
mes principaux défauts, je voulais prouver à mon Maître que je me maîtrisai totalement
maintenant. D'une main lente, à moins que ça ne soit l'effet que mon cerveaux dopé à
l'adrénaline me le faisait croire, il prit la cravache en main sembla la soupeser
avant que ses mots ne m'atteignent.

- "Ouvre la bouche, chien"

Il se lève et enfourne son noble membre dans ma bouche alors que je fais mon possible
pour lui être agréable. Il tape mon palais avant de se glisser jusqu'à ma gorge
m'étouffant alors que je sens les premiers coups de cravache s'abattre sur mes fesses.
La douleur est là. Elle me cingle la chair à bon rythme et de plus en plus fort
jusqu'à la limite de ma résistance et à deux doigts d'abandonner sans la dépasser.
Dans mon rôle de vide couilles, je m'applique tentant d'éviter au maximum de bouger
mon corps en réaction au fouet qu'il m'inflige doit être en train de joliment me
marquer les fesses. La chaleur irradiant de la fessée ne manque pas de se répandre et
c'est ma cage de chasteté qui devient douloureuse. Mais fort heureusement ce n'était
qu'un avant-goût du reste de la journée. Alors que la semence de mon Maître m'inonde
la bouche, je tache de m'appliquer à ne laissait aucune goutte sur son vît ou sur le
sol. Pendant ce petit répit, j'entends un souffle amusé venant de la part de mon
Maître. Dans sa position, il a une très belle vu sur ce que contient mon tiroir à
malice.

- "Et bien pour une chienne en chaleur ... nous allons pouvoir nous amuser, n'est ce
pas ? Enfin quand je dis nous, c'est surtout moi. Toi tu n'es qu'une catin à mon
service"

- "Oui Maître, merci de me complimenter, moi la chienne en chaleur à votre service"

- "Va me chercher la corde"

Dans un état second, j'obéis presque machinalement comme si ce n'était plus moi qui
controlait mon corps. Je prends difficilement le cordage pour le présenter à mon
Maître. Celui ci à un sourire carnassier avant de me donner l'ordre de me mettre
allongé sur la petite table. Sans volonté, je m'exécute alors qu'il me demande où se
trouve la clé de ma cage. Je lui indique une petite boite bleu que j'avais récupéré
d'un bijoux que l'on m'avait offert. Ouvrant la boite, il en extrait alors la
délivrance de mon pénis qui, alors que je me voyais déjà attaché, était en train de
grossir. Libéré, il ne me fut pas plus autorisé à jouir. Un à un, mes membres étaient
attachés aux coins de la table, offrant mon anus, et ma bouche pour toutes
pénétrations. Sans défense, sans possibilité de fuir la douleur ou le plaisir, j'étais
à lui totalement. Pendant un temps incalculable pour mon esprit envoûté par l'extase
et la souffrance, je me fis pénétrer par le pénis de mon Maître et par les godes que
je possédais. Ne pouvant étouffer toutes mes grognements et mes gémissements, je
recevais une leçon à coup de cravache mais aussi à main nue, transformant mes fesses
en radiateurs. Je sentais les stries apparaître sur ma peau et ne regrettait que de
pouvoir les toucher pour sentir mon corps marqué par la force de mon Maître.

Mon cul ouvert, ma bouche emplie d'un goût de sperme, le corps brûlant des punitions,
tremblant de fatigue et de plénitude, mes membres endoloris et marqués étaient libéré
me donnant alors l'impression qu'ils avaient été alourdi de plusieurs kilos. Je me
remets à quatre pattes aussi rapidement que mes muscles me le permettent avant de
remarquer qu'il est déjà tard. Je sens la laisse se raidir comme pour m'ordonner de me
remettre en position convenable pour la chienne que je suis, avant de me faire relever
la tête. Mes yeux détournant encore une fois son contact après quelques secondes, j'ai
la joie d'entendre sa voix devenir plus douce et amicale.

"Tu es une bonne petite catin, esclave, je suis satisfait de toi"

Des mots qui pourraient être comparé à ceux d'un prophète tellement je sens en moi la
fierté d'être un soumis, la fierté d'être son soumis. Prenant mon courage à deux
mains, alors que le soleil est en train de tomber, je baisse la tête avant de prendre
la parole.

- "Maître, pardonnez moi de briser le silence, mais, si vous me le permettez, je
souhaiterai vous offrir un repas"

Après un moment de réflexion, mon Maître accepte, sûrement en voyant mon envie de lui
faire plaisir et de le satisfaire encore malgré la faiblesse physique dans laquelle je
me trouve. Le plus souvent à quatre pattes, je lui amène les plats, et fait le service
en silence avant de me replacer à coté de ses pieds comme le bon toutou que je suis.
Mes seules paroles sont alors lorsque je lui demande s'il veut un peu de vin. Quelques
fois, j'ai l'honneur de pouvoir lécher les doigts de mon Vénéré Propriétaire ou encore
de boire du vin qu'il crachait affectueusement dans ma gamelle, ramenée sur ses
ordres. Lapant le nectar, je sentais parfois une caresse sur ma nuque me montrant son
affection et le lien dominant dominé que je chérissais. Profitant de chaque minute de
sa présence, je vois le temps filer au rythme du repas. Terminant les pâtisseries en
buvant le champagne que je lui offrais, j'avais peu à peu retrouvé le contrôle de mon
corps sans pour autant avoir récupéré toutes mes forces. En position, je sens mes
jambes trembler mais je tiens bon. Le repas terminé et quelque compliment sur ma
prestation m'arrivant, mon Maître décide de partir de ma demeure. Le suivant jusqu'à
la porte, toujours à quatre pattes, je salue son départ en m'inclinant
respectueusement avant de répondre à son "Au revoir, petite chienne"

- "Merci d'avoir fait honneur à la chienne que je suis, Maître Vénéré. Je prie pour
avoir le privilège de vous revoir"

- "N'oublie pas tes devoirs, catin, et n'oublie pas de remettre sa cage ... tu feras
cela dès demain. Jusque là tu auras le droit de te soulager"

- "Mille merci, Maître. Je ne mérite pas tant de bonté"

- "A moi d'en juger chien. Mais n'oublie pas de te nettoyer après chaque jouissance,
je n'aime pas les souillons"

Sur ces mots, il sort de ma demeure tel le conquistador ayant pacifié le territoire,
que j'étais et partant à la recherche de nouvelles terres à soumettre. La porte se
referme alors que je relève ma tête, prenant de plus en plus conscience de l'état de
fatigue dans lequel je me trouve. J'ai droit à la jouissance, mais je ne sais même pas
si j'ai la force de l'atteindre. Toujours à quatre pattes, n'osant pas me relever. Je
me dirige vers mon canapé pour m'y allonger mais je ne le fais pas tout de suite. Je
suis dans un état second. Ma main se pose sur mon sexe qui gonfle très rapidement. Je
revoie alors cette journée, mon membre turgescent, et restreint depuis des semaines,
guidé par ma main tremblante, il ne me faut pas longtemps pour laisser échapper les
gouttes de ma jouissance qui tombe sur le sol et sur ma main. Je lèche ma main avec
avidité, comme si je n'avais rien mangé depuis des semaines, puis me baisse pour
lécher ce que j'ai laissé choir sur le sol. Mes ultimes forces me servent à me
remettre droit, les mains dans le dos. Mes cuisses tremblent et je n'ai qu'une envie :
dormir. Mais cette envie n'est qu'une information de mon corps alors que mon esprit
n'a, lui qu'une envie. Une envie qu'il me pousse à concrétiser avant de laisser sa
place :

"Je suis l'esclave de Maître Sir D'Evans, mon corps et mon âme lui appartiennent, il
peut en disposer comme bon lui semble, je suis son vide couilles"

Oui son vide couilles, aujourd'hui, je pouvais être fier de l'être. Je me roulais sur
mon canapé, ne mettant pas même une couverture sur moi alors que mes paupières se font
lourdes. M'endormant petit à petit, mes mains ont cependant la force de parcourir les
marques de mes fesses et surtout se toucher la dernière trace de mon Maître dans cette
niche qui est la mienne : mon collier.

- "Merci Maître Vénéré"

Texte écrit par esclaveCyril60MDE

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