La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 142)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 142) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 142)
Histoire écrite par Caline

Olivier quitta la chambre, revêtu de ce seul peignoir. Walter l’accompagnait pour lui
indiquer le chemin jusqu'à Monsieur le Marquis, les premières sensations furent
étranges tout d'abord l'objet, le plug était bien présent, il sentait sa présence à
chaque mouvement, le sourire discret du domestique lui montrant le chemin de la grande
salle à manger lui démontrait que celui-ci comprenait qu'Olivier était disponible à
suivre la suite du programme de relaxation. Mais pour l'instant c'était un moment bien
particulier (et attendu) qui allait arriver : La rencontre avec Monsieur le Marquis !
La respiration d'Olivier au fur et à mesure se fit plus courte, l'instant de la
découverte du Maître des lieux approchait et elle n'était pas dans un lieu anodin, ce
n’était pas dans une crique, c'était dans la demeure même du Marquis d'Evans, chez lui
en son Château.

La porte en bois devant lui à deux battants indiquait l'entrée de la grande salle à
manger, Walter pressa le pas et ouvrit les deux montants dans un élégance digne d’un
majordome d’un lord anglais. Olivier dut s'arrêter de marcher à ce moment là, ce qu'il
découvrit le stupéfia, tout d'abord la hauteur de plafond, habitué à un habitât en
ville aux dimensions standardisées, là il put estimer la hauteur de la pièce à plus de
quatre mètres, au volumineux lustres de cristal. Au milieu de la pièce une grande
table longue et rectangulaire et permettant de recevoir plus de vingt convives; de
chaque coté deux buffets de style bourguignon, avec flanqués de part et d'autres de
deux grands luminaires électrifié aujourd'hui mais qui avait du recevoir leur lots de
bougies en des temps antérieurs. Les murs, aux nombreuses tentures de velours bordeaux
à chaque haute fenêtre, étaient décorés de nombreux tableaux de maîtres. La découverte
de la pièce lui fit oublier la personne assise qui attendait sa venue.

Monsieur le Marquis était devant un couvert dressé, un haut verre à pied de vin posé à
coté de lui, il ne prit pas la peine de se lever, il laissa faire Walter; la place
d'Olivier était en face de Monsieur le Marquis. Un couvert semblable était disposé,
Walter indiqua à Olivier d'attendre devant sa place de ne pas s'asseoir, et les
premiers mots qui raisonnèrent c'est Walter qui les prononcèrent

- "Monsieur le Marquis, j'ai pris le soin de vérifier si le point numéro 1 du livret a
été bien remplit, il a en tout point répondu à vos exigences.
- "Parfait Walter, le dîner peut être servit, nous allons faire plus amples
connaissance, asseyez vous cher ami"

Olivier tira la chaise. Le fait de poser ses fesses sur la chaise lui rappela qu'un
objet lui rentrait dans les entrailles et que maintenant assis, il ne pouvait
l'expulser d'une poussée volontaire. Monsieur le Marquis d'Evans sourit.

-" Alors, comment votre voyage s'est il déroulé ?"
Olivier répondit
- " Euh bien bien, je vous remercie Monsieur le Marquis"

La situation était incongrue, lui en peignoir plugé qui répondait à une conversation
mondaine, il en fut ainsi pendant tout le repas.
Une servante de Monsieur le Marquis fit le service lors du repas qui dura plus d'une
heure, ce qui fit que celui-ci devint inconfortable. Ce n'est pas la qualité des mets
qui était en cause mais en fait l'objet le plug qui faisait sentir sa présence, les
propos d'Olivier devinrent plus incohérents, son embarras était visible; Monsieur le
Marquis s'en aperçut, il lui dit :

- "Alors cher ami, la fatigue se fait sentir, je vois que vous commencez à vous
impatienter"
- "Monsieur le Marquis, non votre repas est excellent … mais c'est que je voudrais
bouger, je suis comment vous dire … heu … indisposé !"
- "Oui je sais, Walter m'a dit que vous aviez répondu positivement à la demande que
j'exprime dans le livret, c'est une bonne chose pour suivre le programme de
relaxation, écourtons le dîner, passons au dessert" (Monsieur le Marquis appela
Walter) "Walter nous passons au dessert"
- "Bien Monsieur le Marquis, tout de suite Monsieur le Marquis " répondu celui-ci

Olivier fut pour le moins content dans quelques minutes, le repas allait prendre fin.
Walter arriva portant une panière remplis de fruits qu'il déposa délicatement face à
Monsieur le Marquis, il s'approcha d'Olivier en lui indiquant que le dessert lui
allait être également servi. Mais de quel dessert parlait-on, car Monsieur le Marquis
dit simplement

-"Pour notre ami, c'est une séance de relaxation qui s'imposera ce soir"
A ces mots Walter dit à Olivier :
-"Veuillez vous levez "
Olivier se leva quand la phrase suivante fusa sans préambule :
- "Peignoire à terre !"

Olivier hésita mais face au regard froid et dominateur de Monsieur le Marquis, il
baissa les yeux et ouvrit le vêtement. Le Marquis d’Evans sourit à la vue des tétons
érigés d'Olivier, le pauvre peignoir l'ayant visiblement peu protégé du froid régnant
dans une pièce aussi froide. Le peignoir tomba à terre. Walter d'une main poussa en
avant Olivier, ses pieds furent écartés. Olivier, visage posé sur la table pouvait
voir Maître d'Evans le regarder, c'est ainsi que le plug fut enlevé, son anus garda la
forme c'est ce qui permis au sexe de Walter d'entrer sans ménagement d’un coup sec. La
poussée fut constante, Olivier ne dit rien conscient que la situation était voulue par
Monsieur le Marquis. Walter au membre extrêmement gonflé dans une parfaite rigidité et
une fois investit la place, resta sans bouger, permettant un contact plus intime, ce
n'est qu'à l'ordre de Monsieur le Marquis par ces quelques mots

- " Walter sert le dessert"

Walter commença le travail, sa tache était claire, il devait prendre la virginité
anale d'Olivier... Walter conscient de la tache qui lui incombait et du moment
privilégié qu'il vivait, prit son temps. L'anus vierge de tout contact devait
comprendre ce qu'une sodomie voulait dire, la nature fait bien les choses, la forme du
gland de Walter avait la tache d'écarter le muscle, d'investir la place. Une fois
insérée, la poussée du corps de Walter d'un mouvement de hanches du bassin permettait
l'intromission de toute la longueur du pénis, les testicules marquant au contact des
fesses que les vingt centimètres était rentrés, jusqu’à la garde. Walter habitué à la
sodomie savait que ce moment se devait d'être exécuté pour son plaisir et celui du
Marquis d'Evans qui profitait du spectacle offert. Olivier savait que son anus ne
résisterait pas, le plug ayant assouplit les chaires, seule la poussée du corps de
Walter en étant lui même coincé par la table était douloureuse. Walter accéléra le
mouvement quand tout d'un coup la voix du Marquis d'Evans se fit entendre

- "Walter stoppe ! Je ne veux pas que notre cher ami se mette à gémir dans ma salle à
manger, un tel endroit n'est pas réservé à une chienne"

Walter sur ces mots, arrêta, il se retira doucement en tapotant les fesses d'Olivier.
Olivier sentit le sexe sortir, il compris, que Monsieur le Marquis voulait le
préserver d'une saillie trop rapide mais surtout consommée par le fluide du
domestique. Walter s'écarta, un sourire satisfait par son oeuvre, l'anus d'Olivier le
gratifiant par un O démontrant que son sexe avait bien laissé son empreinte. Monsieur
le Marquis se leva alors, il voulait constater l'effet de tout cela sur Olivier,
s'approchant lentement, il dit simplement

- "Mon ami, restez comme cela, ne bougez pas, je vous prie"

Olivier cloué sur la table, encore sous le choc, n'était de toute façon pas capable de
se lever, ce n'est que lorsque le Marquis fut tout proche qu'il se redressa. Monsieur
le Marquis regarda le corps offert devant lui, le spectacle qu'il vit le conforta dans
sa méthodologie relaxante, en effet Olivier dont le sexe était rasé de prés, laissait
voir une belle érection. Monsieur le Marquis lui dit alors :

- "Alors mon bon ami, votre dessert vous à visiblement procurer satisfaction"

Olivier ne comprenait pas ses propos, ce n'est qu'en remettant son peignoir, qu'il eu
la honte de constater l'état de son sexe, une goutte perlait même du gland. Monsieur
le Marquis regagna sa place visiblement satisfait.

- "Mon cher, ma méthode relaxante consiste à éprouver ses sens, le mot ‘éprouver’ et
bien entendu sibyllin, à l'issue de ma méthode vous devriez pouvoir éjaculer à une
simple stimulation. Votre corps va s'épanouir, c'est pour cela que votre sexe est
dépourvu de poil, c'est le principe même que dicte ma méthodologie, pouvoir permettre
un meilleur contact, visuel d'abord, au toucher ensuite et à la fin à l'introduction.
Pour le moment regagnez votre chambre, mais n'oubliez pas le plug."

Olivier su que l'entretien avec Monsieur le Marquis était terminé. Olivier ramassant
le plug à même le sol, partit de la salle à manger sous le regard inquisiteur de
Maître des lieux. Ce n'est que lorsqu'il allait franchir la porte, qu'il entendit de
nouveau la voix du Noble

- "Cher ami, vous avez oublié quelque chose, ou plutôt quelque chose à faire avec
l'objet qui est dans votre main"

Olivier tout rouge de honte compris la demande et c'est se retournant face au Marquis
qu'il remit le plug en place d'un mouvement d'ailleurs maladroit marquant son
embarras. Le Marquis lui lança alors :

- "Tournez vous, présentation"

Olivier commençant à comprendre les us et coutumes du Maître des lieux, tourna alors
son postérieur vers Monsieur le Marquis, soulevant les plis de la robe de chambre afin
de montrer cul nu et écartant les jambes il put laisser au regard du Noble de vérifier
si le plug était bien en place.

- "Bien, ça ira mais essayez de le garder pour la nuit, mais faites comme bon vous
semble, pour ma part je regagne mes appartements … bonne nuit"

Olivier regagna sa chambre, plug en place et fier de lui, de ces premiers moments vécu
dans le château de Monsieur le Marquis d’Evans. Tout problème lié au travail avait
disparu, la méthode du Noble était pour le moins particulière mais néanmoins efficace,
son esprit n'était porté que sur son sexe et son anus. En entrant dans la chambre son
premier geste fut de constater à quoi ressemblait son anus plugé, la glace lui offrit
la réponse, un bout rond sortait du sillon de ses fesses, allait-t-il l'enlever ? Il
se mit alors à pousser et c'est avec un délice de satisfaction, qu'il sentit son
oeillet s'ouvrir laissant le passage au diamètre le plus large du plug, celui ci tomba
à terre. Olivier le prit le regarda et le posa sur la table de chevet, en se couchant
son regard se porta sur l'objet. Le sommeil le gagna, son esprit gardant l'image du
plug et de sa forme et du fait que cet objet avait été introduit en lui et qu'il en
avait éprouvé finalement satisfaction.

Le lendemain matin, Olivier fut réveillé assez brutalement, une espèce d’imposante
mégère à la poitrine énorme ayant investi la chambre.

- "Bonjour monsieur, dit elle, je suis Marie, femme de chambre, cuisinière, bonne à
tout faire du château. Je vous apporte le petit déjeuner, ou dois je le poser ?"
Olivier répondit machinalement :
- "Sur la table de chevet, s’il vous plait, Madame."
Marie s'approcha, à la vue du plug, elle dit simplement
- "Tournez vous, il faut que je fasse de la place, cet objet m'empêche pas de poser
mon tableau " dit elle en montrant le plug

Olivier se souvint effectivement que le plug était posé sur la table de nuit, Marie
fut plus rapide que lui, plug en main elle dit d’un ton autoritaire :

- "Mais maintenant, où allons-nous le mettre ? Voyons ?... Tournez-vous monsieur,
montrez moi votre derrière que je remette cette objet à une place qu'il n'aurait pas
du quitter, mais tout d'abord, je dois vous traire"
Olivier fut interloqué. Que voulait elle bien dire.
- "Allez monsieur, prenez la position de la chienne, rappelez-vous hier soir, comment
vous étiez sur la table et ce qu'à dit Monsieur le Marquis"

Olivier soumis, face à cette Marie vicieuse, perverse et surtout Domina, pris la
position d'une chienne à quatre pattes. Marie s"approcha et introduisit son doigt dans
l'anus d'Olivier, d'un geste rapide et expert, elle localisa rapidement la prostate,
et d'un mouvement régulier et précis commença la traite. Olivier eu la stupeur de voir
que de son sexe s'échappait un liquide blanchâtre qu'il connaissait trop bien, son
sperme s'écoulait sans qu'il éprouve la satisfaction du rut, il se vidait sans
jouissance, le seul plaisir visible, c'était la satisfaction de Marie, son travail
portait ses fruits. Elle aimait vivre cet instant où elle prenait le pouvoir sur les
hommes avec son regard sadique et pervers. Il est certain que le Maître des lieux
l’avait embauché depuis déjà longtemps pour ses prédispositions à dominer, tout en
étant une excellente cuisinière et femme de chambre. Marie était une femme
naturellement autoritaire. La patronne en cet instant, c'était elle; et elle en
jubilait de plaisir.

- "Alors espèce de chien, on réagit, c'est quoi qui sort de ta nouille ? Ca bande même
pas, ton foutre sort tout seul, qu'elle rigolade la fameuse érection matinale".
Marie au bout d'un moment arrêta la traite, satisfaite
- "Voila, on sera plus sage pour le reste de la journée avec moins d'hormones
masculines, il me reste juste à remettre, l'objet, c'est quoi d'ailleurs ce truc ?"
Olivier tout penaud par la traite qu'il venait de subir répondit sans réfléchir et
craintivement
- "C’est un plug"
Marie continua de plus belle
"Et ça sert à quoi ?"
Olivier compris à ce moment là qu'il avait à faire à une véritable perverse, qu’elle
savait très bien ce qu’était un plug et qu’elle se jouait de lui. Marie continua de
plus belle
- "Montre moi un peu, comment on l'utilise, le chien !"

Olivier tout honteux s'introduisit alors le plug dans l'anus devant la cuisinière
perverse. Marie lui demandant alors plus d'explication sur l'objet et sa forme
particulière. Olivier dut lui expliquer dans le détail que la forme de l'engin
permettait une fois en place et introduit, de sortir sans une forte et volontaire
poussée. Marie rigola ironiquement dans un rire humiliant et en posant enfin le
plateau du petit déjeuner :

- " T’es mignon, petit chien, avec ton plug, par contre gardes le bien, quand Walter
viendra te chercher, tout à l'heure, tu iras faire le tour de la propriété, bon petit
déjeuner"

(à suivre)

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