Comment la femme est devenue une belle salope - histoire érotique

Histoire
Voila comment ma femme est devenue une belle petite salope.

Nous nous sommes rencontrés il y a quelques mois. Nos retrouvailles se faisaient
exclusivement à l'hôtel car nous étions souvent en déplacement professionnels
ensemble.
Un soir, en été dernier nous nous sommes retrouvés sur Tours pour aller diner.
Pendant le repas, le désir montait de plus en plus car cela faisait plusieurs jours
que nous nous étions pas vu.
Alors nous sommes partis rapidement pour rejoindre la voiture.
Je dois dire que nos premiers ébats sexuels étaient très bons, sans tabous ni
restrictions mais il manquait quelques choses pour nous épanouir entièrement.
En marchant dans la rue s'aperçu une entrée de garage descendant à un parking sous
terrain sous un immeuble.
Immédiatement mon instinct de mâle prend le dessus et je l'attire vers moi en
direction de ce sous-sol.
Sitôt descendu, je commence à l'enlacer et l'embrasse fougueusement pour lui montrer
mon désir.
Nous sommes juste à l'entrée du parking, caché de la vue extérieure mais à seulement
quelques pas de la première voiture qui arrive.
Mes doigts commencent à descendre entre ses cuisses et il ne faut pas longtemps pour
fourrer ma main dans sa culotte.
Sa chatte, douce comme de la soie, est déjà bien mouillée. 1 doigt, puis 2 doigts, je
commence déjà à la voir se tortiller de plaisir. Je continue de plus en vite à la
doigter jusqu'à que ma queue soit bien dure son mon jean.
Depuis le début de nos ébats sexuels nous étions assez tendres l'un envers l'autre,
mais ce soir, dans cet endroit sombre et sale, j'avais vraiment envie de la baiser
comme une pute.
J'ouvris mon pantalon, sorti ma queue en commençant à me branler.
La voir comme ça, excitée, en train de gémir me donnant l'envie d'y aller plus fort.
Je l'attrapai vigoureusement par les cheveux et la fis mettre accroupie.
Non pas à genoux mais bien accroupie pour qu'elle puisse avoir les jambes bien
écartées.
Là, une bonne pipe commença. C'est vrai qu'elle est très douée pour ça. Sentir sa
langue, sa bouche sur ma queue est un vrai plaisir.
Au bout de quelques minutes qu'elle me suçait sans relâche, je mis mes mains de chaque
coté de sa tête, la bloquai contre le mur et commençai à introduire ma queue de plus
en plus profond. Elle ne pouvait plus bouger et je sentais chaque millimètres de mon
sexe descendre dans sa gorge.
Ses lèvres touchèrent mes couilles. Je la voyais, avalant entièrement ma bite, ne
pouvant plus respirer. Excité comme un animal je continuais à taper au plus profond de
sa bouche. Des larmes commençaient à couler de ses yeux. Elle suffoquait, l'oxygène
commençait à manquer et cela lui provoqua un léger évanouissement.
Je l'ai remise debout, lui crachai dans son cou en commençant à la traiter de belle
petite pute.
J'avais trop envie de la baiser. Je fis descendre son pantalon et retirant une jambe
et la posai sur mon épaule. Quelle souplesse ! Pute et souple !
Sa chatte était trempée. Quel plaisir de la regarder dans les yeux et de la baiser en
même temps. Impossible de ne pas gémir. Ma main sur sa bouche étouffait ses cris mais
pas suffisant si un piéton arrivait. En plus avec le pantalon sur les chevilles,
impossible de se rhabiller rapidement.
Ma queue n'en pouvait plus, et j'avais envie de voir son cul.
Un beau p'tit cul, 36 de pantalon, un cul à faire bander un moine.
Je la retourne et lui pose les mains sur le murs. Les 2 mains lui prennent les hanches
pour bien la cambrer. Sa p'tite rondelle apparait, douce, belle et bien fermé. Nous
n'avions pratiqué la sodomie que 2 ou 3 auparavant et toujours avec douceur. Mais est
ce qu'une pute qui se fait baiser à 10h du soir dans un parking sordide mérite de la
douceur.
Je lui ordonnai de ne pas bouger, écartai ses fesses et coulai mon gland sur son cul.
Je ne savais trop quelle allait être sa réaction mais tant pis. Je m'introduis sans
lui laisser le temps de réagir. Seuls des cris de plaisirs sortirent de sa bouche, et
je l'enculai violemment sans lui laisser le temps de se dilater.
Imaginez, là, une petite sainte nitouche, les jambes écartés, le cul à l'air, dans un
lieu public en train de se faire bourrer le cul. Et pas doucement, non, des grands
coups de bite lui limèrent le cul, un vrai défoncage de boule en règle. Quelle salope
ma nana !
Là c'en est trop, je sens monter en moi l'envie de jouir.
Je n'ai d'autres choix, une p'tite pute comme ça, ça prend tout dans la gueule !
Je la retourne, la fais remettre accroupie, je lui montre ma queue qui vient de lui
défoncer le cul et lui fourre dans la bouche. Ni une ni deux, elle m'engloutit tout ça
avec une facilité et me la bouffe littéralement.
Je lui envoie toutes les couilles en gémissant de plaisir.
Avec sa langue, elle nettoie bien mon gland, puis me regarde, toujours accroupie,
ouvre sa bouche et me montre mon sperme sur la langue. Elle joue avec ! Le fais
tourner dans sa bouche et l'avale délicatement. Aucune goutte ne doit tomber par
terre.
Je la relève, l'embrasse, lui claque les fesses et la traite de pute.

A partir de ce soir là, elle est devenue une vraie salope. Toujours à vouloir se faire
baiser partout. A se prendre des gods dans la chatte pendant que je la sodomise. A
prendre des faciales à chaque fois que je rentre du travail. Tous les endroits,
toutes les occasions sont bonnes pour se prendre ma bite dans n'importe quel trou.

Cette belle salope, cette petite pute, c'est ma femme, et je l'aime plus que tout.