La mère de mon copain

- Par l'auteur HDS Jean-Pierre -
Auteur homme.
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Récit libertin : La mère de mon copain Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
La mère de mon copain
J'ai 30 ans, divorcé depuis un an. J'habite seul, sur la Côte d'Azur au bord de mer.
Il y a deux ans, j'ai invité la mère d'un copain, à passer quelques jours chez moi.
veuve depuis dix ans, mon copain et son mari étant mort suite à un accident de
voiture.

Malheureusement, moi travaillant la journée, elle va seul à la plage et me prépare de
bons plats à mon retour je n'ai plus que les pieds à me mettre sous la table. Ce soir,
sachant qu'elle aime danser, après le repas je lui propose d'aller prendre un verre en
boite où j'ai l'habitude d'aller pour draguer depuis mon divorce.
La mère de mon copain est d'accord et va se préparer. Elle revient vêtue d'une jupe
et d'un chemisier en soie. Ses jambes sont gainées de noir avec des escarpins. Je suis
fier d'être avec elle car elle est très belle et, surtout fait beaucoup moins que ses
50 ans. Je la complimente sur sa beauté et prenons la voiture pour aller en boite.
Comme j'étais le meilleur copain de son fils, nous nous tutoyons mutuellement.

Arrivés le patron, un copain nous dit bonjour, il regarde attentivement ma partenaire
et dès qu'elle a le dos tourné, il lève le pouce en l'air vers moi avec un clin œil.
Je le laisse se faire son cinéma. Il y a très peu de personnes. Il est vrai que nous
sommes en pleine semaine. Le patron nous demande alors ce que nous désirons boire .

- Tu nous mets une bouteille de champagne.

Il revient , pose le seau de glace et les flûtes et je lui dis :

- Dit-moi ! il n'y a rien à draguer dans ta boite ce soir !

Surpris, et interrogatif, il regarde la femme en ma présence.

- Oh, j'ai oublié de te présenter, c'est la maman, de mon très grand copain.

- Ce n'est pas croyable, vous faites si jeune, mes compliments madame.

- Merci, monsieur c'est très aimable.

Je lui propose de prendre un verre avec nous, nous trinquons ensemble puis il retourne
à ses activités car des clients arrivent et il a trop de travail.

Nous buvons tout en écoutant la musique. Le disquaire met un rock et la mère de mon
copain me demande de la faire danser. Nous allons sur la piste et elle enlève ces
chaussures.

- Attention ! ici, tu vas bousiller tes collants.

- C'est pas des collants mais des bas et je ne peux pas danser avec ces chaussures.

Nous faisons quelques danses quand soudain elle glisse, voulant lui éviter une chute,
ma main dérape sur son sein. Je sens à travers son chemisier qu'elle n'a pas de
soutien gorge et sous la surprise, ma main reste plaquée à son sein.

- Merci, tu m'as évité de m'étaler.

Nous continuons quelques rock, puis retournons nous asseoir. Je lui ressers à boire et
nous discutons. Une série de slows parvient à nos oreilles.

- Fais-moi danser, j'en ai envie.

Je l'aide à se lever en lui prenant la main et rapidement, lorsqu'elle écarte les
jambes je crois voir qu'elle n'a pas de culotte. Ai-je eu une vision, mais je suis
troublé et commence à bander légèrement. Je me raisonne en disant que c'est quand même
la mère de mon pote, mais le fait qu'elle soit sans aucuns sous-vêtement m'émoustille.
Nous dansons gentiment quand soudain elle pose sa tête sur mon épaule et me caresse la
nuque. Elle a déjà bu trois coupe et je mets cela sur l'effet de l'alcool. Elle me
murmure à l'oreille :

- C'est gentil de ta part de m'inviter chez toi, je suis toute l'année tellement
seule.

Ces confessions me surprennent et voulant la rassurer, je la serre contre moi en
déposant un bisou sur sa joue. Elle lève la tête me regarde et me sourit. Les slows
s'enchaînent et elle se colle de plus en plus contre moi. Je ressens une douce chaleur
au niveau de son bas-ventre qui augmente progressivement.

Elle a les yeux fermés un sourire aux lèvres. Elle ondule du bassin ce qui à pour
effet de me mettre en érection. Ma gêne est intense et chaque fois que je recule pour
qu'elle ne sente pas la grosseur de mon sexe elle fait le nécessaire pour se coller
contre moi. Elle est de plus en plus brûlante et je suis sauvé par la mise en œuvre
d'un autre style de musique. A peine assis, elle me tend sa flute pour que je la
remplisse et me disant :

- J'aime m'éclater et cela ne mets pas arrivé depuis longtemps, sers-moi à boire,
aujourd'hui, c'est la fête.

Je m'exécute, elle porte la flûte à ses lèvres et en boit la moitié. Puis elle prend
mon bras et le glissant derrière son cou tout en tenant ma main pose sa tête sur mon
épaule. Sa main guide la mienne sur un sein et la maintient contre lui. Je ne sais que
faire sentant le mamelon sous mes doigts et dont le bout durcit lentement. Je veux
rompre ce qui me semble irréparable et d'un ton autoritaire lui dis :

- Je penses qu'il est temps de rentrer car demain je me lève tôt pour aller
travailler.

Je file au bar pour régler la note et la soutiens par la bras en sortant. Sa démarche
est incertaine et heureusement que ma voiture n'est pas loin. J'ouvre sa portière et
la fait asseoir. Elle a une jambe à l'intérieur et l'autre hors de la voiture ce qui
fait relever sa jupe et à la lumière du plafonnier je découvre deux jambes gainées de
bas noir avec un porte- jarretelle de la même couleur et surtout qu'elle est épilée.
Je vois deux grosses lèvres protégeant sa fente surmonté d'un clitoris fort
volumineux. Je me mets à bander tout en fixant ce trésor. Mais vite je me ressaisis,
ferme la portière et prend la route de la villa. A peine entré, elle me dit :

- Sers moi encore du champagne avant que je me couches.

- Mais, il est tard et tu as assez bu.

- Juste un dernier et au lit.

J'ouvre une demi bouteille qui était au réfrigérateur. Elle est sur la canapé et se
débarrassant de ses chaussures recroqueville ses jambes sous elle ce qui me fait voir
de nouveau son sexe. Finissant de boire elle me demande de la conduire dans sa
chambre. Elle est lourde et se cramponne à mon cou. Elle se jette sur le lit les
jambes en dehors et me dit :

- Je crois que je suis saoule, aide moi à me déshabiller.

- Mais, je ne peux pas faire cela tu es la maman de mon copain.

- Si, tu n'en perdras pas la vue et je te l'ordonnes.

Je m'agenouille, ouvre la fermeture de sa robe et la fait glisser. Elle m'aide en
soulevant ses fesses et en levant les jambes. Son sexe est en gros plan ouvert tel une
fleur. Mon cœur bat la chamade, elle repose ses jambes écartées dans le vide. Se
redressant et mettant ses mains autour de mon cou me dit doucement :

- Mon chemisier aussi, s'il te plait.

Je le déboutonne et ses seins jaillissent, pour son âge ils se tiennent très haut.
Deux auréoles larges cernent ses tétons qui ont nourrit mon copain bébé. Elle retire
ses bras un à un pour que je puisse le retirer. N'ayant plus que ses bas et son porte
jarretelle elle s'allonge sur le lit les cuisses grandes ouvertes. Elle est la devant
moi indécente, mais c'est la mère de mon copain. Je sors en éteignant la lumière et
vais me coucher. Je n'arrive pas à dormir pensant à son beau corps, ses seins, son
sexe épilé et commence à me masturber en me disant que j'aurais du en profiter mais
j'ai honte. Je m'endors après avoir jouis.

Je suis réveillé sentant une main sur mon sexe qui me décalotte en me masturbant
lentement. Surpris, j'allume la lumière de ma lampe et découvre la mère de mon copain
à genou à côté de moi. Les portes en miroir de ma penderie me font voir ses fesses
écartées et elle a toujours ses bas.

- Mais tu es folle, je pourrais être ton fils. Et tu es la mère de mon copain.

- Laisses-toi faire, j'en ai trop envie, tu vas voir comme je suis une vrai cochonne.
Quand ton copain était petit, la nuit je me levait pour regarder par le trou de la
serrure de sa chambre pour le regarder ce branler. Après j'allais me coucher et me
caressait en pensant à sa petite queue toute raide.

Je suis étonné de sa confession et elle continue à me caresser doucement faisant bien
coulisser ma peau le long de mon membre pendant qu'elle excite mon gland de son index.
C'est vrai qu'elle est douée et je deviens très vite tendu.

- Caresses-moi les seins et regardes dans le miroir.

Elle a abandonné mon gland et sa main a plongé entre ses cuisses. Je la vois distendre
son vagin de deux doigts et introduire un troisième à l'intérieur. C'est vraiment
bandant de la voir ainsi et oubliant toute morale je m'empare de ses seins les
soupèsent et chatouille les tétons. Elle se cambre, penche sa tête vers ma verge,
dépose un peu de salive sur mon gland gorgé de sang et de sa langue caresse mon
prépuce.

- Regardes bien mon cul pendant que je vais te sucer.

Ces mots obscènes m'excitent et à mon tour je délire.

- Oui, t'es une vrai cochonne, suces-moi à mort, je t'aime, tu en veux, tu vas en
avoir.

Je l'attrape par les cheveux et lui enfonce ma bitte au fond de la gorge. Ses joues se
creusent pour mieux m'aspirer et ses doigts tirent sur ma peau pour mieux dégager mon
gland.

De longs jets jaillissent et elle les ingurgite en râlant. La bouche encore remplit de
sperme , elle m'embrasse avec passion recrachant dans ma bouche le reste de mon
foutre.

Alors, content ?, tu l'aimes la maman de ton copain.

- Oui, mais j'aurais jamais cru cela de toi.

- C'est pas fini mon grand, on va bien s 'amuser tout les deux.

Elle se lève et se glisse dans mon lit en me disant.

- Occupes-toi de ma chatte, elle en meure d'envie, tu vas bien me la manger.

Elle s'est mise sur le dos, les jambes grandes ouvertes attendant que je plonge dans
sa fourche.

- Tu as bien une caméra vidéo ?

- Oui, pourquoi ?

- Vas la chercher et filmes nous.

Je me lèves, prends la caméra avec un pied, la branche. En m'attendant elle a dut se
branler, car elle a bien ouvert sa chatte et je la vois, en faisant la mise au point,
mettre deux doigts de chaque coté et écarter ses grosses lèvres, son clitoris est au
garde à vous et tout violet.

- Arrives vite, viens boire mon jus, je ne tiens plus.

Je m'agenouille entre ses cuisses et rampe vers son temple intime déjà luisant de son
jus . Son trou est béant et palpite de désir, toutes ses lèvres sont distendues. Je
glisse mes mains sous ses fesses et elle relève les jambes me présentant ses deux
trous.

- Fais-moi bien jouir, tous mes trous sont à toi.

Je saisis entre les lèvres sont clitoris que j'agace de mes dents et m'occupe aussi de
la langue de sa vulve, l'enfonçant dans son antre.

- Mon cul aussi.

Je mouille de salive mon pouce et tout en la broutant , l'introduit sans peine dans sa
rosette. Elle se tord de plaisir à chacun de mes assauts, elle hurle tout en se
triturant les seins dont elle tire sur les bouts.

- Oui, continue, c'est bon....

Ses jambes m'enserrent la tête comme un étau, elle se cambre et une fontaine m'arrose
les joues coulant sur mon menton. Quelle violence dans sa jouissance. Je bandes de
nouveau et ayant repris son souffle elle m'embrasse tout en me massant la bitte et les
testicules.

- Tu vas me baiser maintenant, je veux sentir ta queue bien au fond, j'ai envie de
toi, tu es depuis longtemps mon seul amour.

Elle me fait mettre sur le dos et tenant fermement ma bitte, elle caresse son clitoris
avec mon gland avant de m'enfourcher. La chevauchée commence. Prenant appui sur ses
mains, elle monte et descend sur ma bitte. Je la maintiens par les hanches, subissant
la rudesse de son ventre. Elle contracte les musques de son vagin.

- Défonces ma rosette avec tes doigts.

Je mets un doigt, puis deux dans son trou et la ramone. Je sens que je vais juter et
hurle.

Elle se plaque contre mon pubis et attends de recevoir ma semence. Je l'inonde de jets
puissants, jamais je n'ai eu autant de plaisir. Est-ce le fait que je baise la mère de
mon copain, mais je n'arrête pas de couler dans son ventre. Mon cœur s'emballe, je
tremble et claque des dents. Elle s'écroule contre moi, du sperme s'échappe de sa
chatte et coule sur mon ventre.

- Je vais te nettoyer.

Elle me lèche le ventre, effaçant toute trace de sperme.

- Oh c'est déjà 3 heures. Je dois travailler, si on dormait un peu.

Je me lève et arrête la caméra. Nous nous endormons enlacés après un long baiser et
pleins de mots d'amour.

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