Les contes de la main gauche : Mère Noël, des photos avec les enfants

- Par l'auteur HDS Jpj -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Les contes de la main gauche : Mère Noël, des photos avec les enfants Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Les contes de la main gauche : Mère Noël, des photos avec les enfants
La fille qui prend les photos me trouble un peu : on ne sait pas si c'est vraiment une
fille ou si c'est un garçon.

D'abord, quand j'ai répondu à cette annonce, je croyais que c'était un grand magasin
qui embauchait des Pères Noëls publicitaires pour des photos avec les gamins des
clients. Du genre, le gosse assis sur les genoux du père noël, le photographe qui
immortalise et la mère en extase qui achète la photo avant de passer à la caisse, le
caddy rempli à ras bord.
Mais j'ai vite compris que l'affaire n'était pas si simple et en tous cas,
probablement pas bien nette.

D'abord, c'est pas des pères noëls qu'ils recrutaient mais des filles...
Ensuite, j'ai bien vu que le casting était strict et que les filles retenues avaient
toutes, certaines qualités.

La photographe qui m'a reçue après la sélection était très sympa et on s'est bien
entendues. Elle portait un teeshirt ajusté qui moulait ses seins, un short de coton
noir flou et des tennis. Elle m'a expliqué que l'on allait me déguiser en Mère Noël
avec une houppelande et une jupette rouge. Que je serai sexy et qu'elle prendrait des
clichés pour de la pub. Je suis passée au vestiaire et il m'a fallu me mettre à poil.
Moi, me mettre à poil, ça ne me gène pas. Je suis bien faite et j'ai pas peur du
regard de l'homme sur mon corps. Et d'ailleurs, pas non plus de celui des filles. Je
suis, comme qui dirait, contente de moi.

Sûr que je me demandais pourquoi ils m'avaient donné la jupette de la Mère Noël avec
la bordure en hermine blanche mais qu'ils avaient complètement oublié la culotte.
C'était pas très agréable de se balader comme ça, la fente à l'air. Surtout que moi
j'ai la touffe bien noire et bien garnie. Avec ce blanc de fausse hermine en
polyamide, ça faisait contraste et surement pas très classe.
La fille qui me coachait m'a dit, tendrement, en me prenant par les épaules, tu sais
pour les photos sexy, un peu de touffe qui dépasse, c'est émoustillant. Regarde moi,
sous mon short, je suis toute nue. Elle a pris ma main et l'a menée au creux d'elle.
J'ai bien senti les plis de sa fleur sans un poil, tous nus de chez nu ; mes doigts
sont restés là un temps, le temps de mon émotion, même que le grand doigt est entré
dedans, dans le mouillé, dans le tendre, dans le profond.
La fille m'a embrassé à bouche tendre. J'ai beaucoup aimé. Et pourtant j'en suis pas,
du moins je crois...

Moi j'aime surtout les garçons

Alors l'affaire de n'avoir pas de culotte dans mon déguisement de mère noël m'a paru
plus normale, plus correcte. En plus, je me sentais bien, avec ma houppelande et mon
bonnet rouge avec clochettes. Ils m'avaient même donné des pantoufles rouges en
fourrure avec des pompons blancs. Je mouillais déjà... C'est vous dire !

Fallait voir le décor, la déco. Tout était faux, c'était comme au théâtre, rien que
pour faire apparence. Il y avait une musique de folie, forte, pulsée, tonitruante,
envoutante, qui rendait les mères Noël toute chose.
Faut dire que nous étions une jolie brochette de quatre ou cinq Mères Noël, déguisées
pareil, à pas savoir très bien où on allait en venir.
Les autres filles aussi avaient la jupette rouge et la bordure blanche et les fesses
qui dépassaient dessous. Elles avaient toutes l'air à l'aise.

Sauf une qui, on le voyait bien, était craignos pour sa chatte : elle tirait la jupe
vers le bas en marchant. Quand on s'est toutes assises sur le canapé, elle serrait les
jambes comme une bcbg et quand on lui a demandé de se lever pour attraper le gros
ballon, elle s'est accroupie en poussant la jupe entre ses cuisses. Moi je la matais
et je voyais bien sa gène.

Sur le canapé elle s'est assise à coté de moi.

Quand ils ont éteint les lumières et branché les projecteurs sur la scène, je lui ai
dit, on va toutes y passer maintenant. Elle s'est rapprochée de moi, m'a passé le bras
à la taille. Je l'ai serrée aussi et on était l'une contre l'autre, un peu inquiètes.

La photographe était au milieu derrière son trépied et donnait des ordres. Les deux
premières Mères Noël sur la scène dansaient. Le flash flashait. Les filles étaient
contentes et prenaient des poses. On comprenait que la photographe cherchait à capter
les émotions des filles entre elles. C'était tout à fait chaste, sauf que la contre
plongée devait laisser voir plus de noir buisson que de blanche hermine...

La photographe nous regardait, ma nouvelle copine et moi, sur le canapé tendrement
enlacées. On comprenait qu'elle avait complicité. Ca nous faisait chaud au cœur et
entre les cuisses aussi.

Elle nous a fait signe de venir à notre tour parader sous les projecteurs. On est
montées sur la scène en se tenant par la main. On souriait, on se souriait. Cette
fille était chouette, toute fine avec de beaux seins hauts et pointus qui poussaient
le corsage rouge et dessinaient les tétons sous le col blanc d'hermine.
La photographe, elle aussi nous souriait. On sentait bien que c'était une copine. Et
moi j'avais encore dans la tête ses profondeurs plissées et visqueuses...
La photographe a arrêté la musique. Elle a dit, va c'est bon, tu peux, tu fais comme
tu veux, maintenant.

Moi je me suis agenouillée. J'ai pris la fille aux fesses et j'ai plongé mes lèvres
entre ses cuisses. Elle avait l'oigne toute lisse. La bordure d'hermine de la jupette
rejoignait mon bonnet et mes clochettes. Mon front était posé sur son ventre nu et
humide de fine transpiration. Ma bouche aspirait les bourrelets de sa fente, tour à
tour, puis je me suis engouffrée entre, la langue dressée sous sa languette, enivrée
du suc qui en coulait. Mes mains empaumaient ses fesses. Mes yeux étaient au paradis.

La photographe s'était rapprochée et flashait en gros plans. Son visage était distant,
sérieux. J'ai voulu l'attraper. Ma main a croché sa cuisse et est remontée. Elle a
compris et s'est accroupie. Elle continuait de photographier et j'entendais les
ranschlacs de l'appareil. Quand ma main est entrée en elle, elle a posé l'appareil au
sol et on s'est toutes les trois enlacées sans photo ni témoin pour un peu
d'apaisement tendre, là sur la moquette épaisse de la scène.

jpj, Montpellier 12/2012

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