Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (épisode 178)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les Origines de la Saga des esclaves au Château...  (épisode 178) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les Origines de la Saga des esclaves au Château... (épisode 178)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --


-Année 1785 - Quand l'esclave émeline est menée à con-fesse –

En ce début de 1785, comme c'était le cas chaque nouvelle année Le Marquis d'Evans exigeait que tous Ses esclaves se rendent à con-fesse. Une façon de récompenser le curé du village qui, depuis des années s'affairait avec dévouement à assurer les diverses cérémonies voulues par le Seigneur régnant sur Ces Terres. Sur le registre des esclaves, Le Maître désignait ainsi une liste d'esclaves, mâles et femelles qui se rendraient à l'église du village, afin d'y être con-fessés. Car le prêtre était bien connu pour ses goûts fort variés en matière de plaisirs et sa complicité sans faille avec le Maître du Château.

En cette belle journée de janvier, sous un ciel bleu et un froid sec, le tour d'émeline était venu. La jeune femme ignorait tout de ce qui l'attendait derrière les murs et la grande porte de l'édifice où les "sacrements" proposés n'avaient que bien peu à voir avec ceux dispensés par une église catholique et romaine plus traditionnelle. Bien qu'il fit assez froid, en ce début janvier mais tout de même doux pour la saison avec des températures positives, c'est entièrement nue que l'esclave émeline fut menée par la route, du Château vers le village. Elle avait du passer la nuit entière en méditation, assise dans sa cellule, se préparant à faire à l'abbé le récit précis de ses erreurs et de ses fautes, sans en rien négliger, afin qu'il puisse prendre en compte ses aveux et lui infliger les nécessaires pénitences qui lui permettraient d'exprimer sa réelle contrition et de repartir ensuite vers son Maître lavée de toute trace de pêché d'orgueil ou de fierté, vierge de toute autre pensée qu'une totale appartenance Au Seigneur d'Evans.

Elle marchait donc sur le chemin damé descendant Du Château, menée par un cavalier qui tenait une longue corde, reliée au collier qu'elle portait au cou, unique ornement de son corps aussi nu qu'au premier jour... Les mains liées dans le dos. Le cavalier la forçait à presser le pas, pour lui imposer une marche rapide, mais aussi pour la réchauffer... Elle progressait donc maladroitement sur le rythme rapide imposé par celui qui la traînait après lui. Sur le passage de la jeune esclave dénudée, les paysans s'arrêtaient un instant de travailler leurs champs, les hommes laissant s'égarer leur regard sur les courbes et les formes de la délicieuse esclave dont les seins lourds se balançaient librement au gré de ses pas...

L'arrivée au village fut remarquée. Certes on avait ici l'habitude de voir des esclaves menés ainsi, sans compter les diverses occasions où certains étaient châtiés publiquement, ou livrés à la vindicte publique sur la Grand'place, au pilori ou dans une cage en charriot. Mais en ces premiers jours de l'an 1785, il demeurait quelque curiosité à voir cette esclave trottinant à la suite du cavalier en livrée de La Seigneurie d'Evans. Il s'arrêta devant le parvis de l'église et descendit de sa monture, afin d'aller défaire la corde du collier. Mais laissa l'esclave émeline avec les mains liées. Puis avec presque de la douceur, il lui saisit le bras et la fit s'avancer vers la porte de l'édifice. Ils entrèrent dans le bâtiment et le simple raclement du bas de la porte contre les dalles de pierre ressemblait à un inquiétant grognement qui, plus encore que le froid, fit trembler émeline de tout son corps. Le long de la large allée centrale, le cavalier mena l'esclave jusque devant l'autel et la fit mettre à genoux.

- "Tu attends sans bouger !" ordonna-t-il avant de se retourner et de s'éloigner ;

Le claquement des bottes du garde s'estompant peu à peu, jusqu'à ce que le crissement du bois de la porte sur la pierre ne signale à l'esclave agenouillée qu'il était parti. Dans son humble position, émeline se sentait bien seule. Maintenant elle commençait à grelotter, car l'immobilité la rendait bien plus sensible au froid de ce lieu où régnait une faible lumière colorée par la qualité des vitraux dont Le Marquis avait tenu à gratifier cette église toute dévolue au culte de Sa Conception d'une société selon Son Goût. Le Châtelain était le très Généreux Mécène des églises de la paroisse de Ses Terres.

Emeline, tremblant légèrement, mais se forçant à observer l'immobilisme le plus contrôlé, l'esclave attendit ainsi un long, long moment. Gardant les yeux baissés et fixant la pierre grise des larges dalles garnissant le sol. Avant même de l'entendre, elle sentit approcher l'abbé dont elle avait déjà quelques fois croisé le chemin Au Château. Grand amateur de vin... et d'ail, et fort peu porté sur les ablutions, l'homme d'église était en effet environné d'effluves peu agréables. Il vint tout près d'émeline en la toisant vicieusement :

- "Alors ma fille... Ton Maître Monsieur Le Marquis t'a adressée à moi pour que j'extirpe de toi toute velléité de pensée autonome. Tu dois me révéler tout ce que tu as en tête, sans essayer de rien dissimuler, car je saurai t'arracher le moindre de tes secrets et toute tentative d'échapper à la plus absolue sujétion fera l'objet de sévères pénitences... Sans compter que je rendrai compte à ton Maître Monsieur Le Marquis, qui pourra ensuite t'infliger les châtiments qu'il jugera nécessaires. Aussi je te le dis, sois sincère, mets toi à nu, si je puis dire (il dit cela en la regardant de la tête aux pieds) ne me caches rien et plus douce sera ta repentance. Maintenant suis moi en rampant, car tu ne mérites point de te dresser tant que tu ne t'es point con-fessée...

Et c'est donc en rampant comme la plus vile des larves que l'esclave émeline suivit les pas de l'abbé... Celui-ci l'ayant devancée au confessionnal se tourna et prit plaisir à contempler l'humiliante reptation qu'il imposait à la femelle pour avancer jusqu'à lui. Il tira le rideau du côté destiné à la pénitente et fit signe à l'esclave d'y pénétrer. Celle-ci se redressa donc pour s'immiscer dans le petit espace. Il y avait là juste un petit siège en bois, d'où émergeait un long et épais vit sculpté dans le même bois, à l'aspect brillant et lissé par les sans doute fort nombreux orifices s'étant offert à sa pénétration.

- "Assieds toi, lentement... je veux que tu sentes bien La Chose entrer en toi, je veux que tu la sentes glisser dans ton petit trou, élargir ta rosette et s'enfoncer au plus profond de ton fondement. Car c'est ainsi, en t'offrant à cette permanente possession, que tu commenceras à accomplir ton nécessaire repentir"

Docilement, émeline vint se placer au-dessus de l'imposant braquemart de bois, puis s'abaissa lentement, venant ainsi s'asseoir et s'empaler dessus. Parfaitement lissé, le gode entrait en elle, l'ouvrait, s'enfonçait... Elle grimaça un peu, car l'objet était impressionnant et fort inconfortable la position assise avec Celui-Ci enfoncé au plus profond de son cul. Le prêtre avait pris place dans son propre box et observait émeline, non au travers d'une grille ou d'un canevas, mais seulement d'un fin voile qu'il pouvait à loisir repousser afin d'observer de plus près et sans retenue aucune, l'esclave pénitent. Il faisait face à émeline, qui tentait de trouver une position quelque peu supportable malgré l'énorme Chose qui emplissait son cul...

- "Et cesses donc de t'agiter, esclave !" lança l'abbé "il est temps maintenant que tu commences pour moi le récit de tes turpitudes. En quelles occasions as tu trompé la confiance que daigne t'accorder ton Maître ? Quand t'es tu montrée indigne de la plus totale appartenance Au Seigneur Monsieur le Marquis d'Evans auquel, tu le sais, tu appartiens désormais corps et âme ? Je veux tout savoir, je veux que tu te livres à moi, car ce n'est qu'en t'ouvrant totalement, d'esprit comme de corps, que tu accèderas au pardon. Ce n'est qu'en subissant ce Vit qui élargit ton cul que tu deviendras digne de retourner jusqu'au Château pour obtenir de ton Seigneur et Maître la permission de le servir encore".

Depuis qu'elle avait été enlevée à ses lointaines montagnes helvètes, émeline n'avait vécu que pour son Maître, qu'elle vénérait. L'esclave n'avait pas le sentiment d'avoir jamais trahi l'absolue vénération qu'elle vouait à Celui qui l'avait séduite, accueillie et asservie jusqu'à pouvoir user de son corps de toutes les façons qu'Il Lui plaisait, maintes et maintes fois, qui l'avait possédée de tant de façons et soumises à toutes Ses Volontés. Pour Lui, par Lui, elle avait tout subi avec humilité, docilité, sans jamais se soustraire à des actes que, quelques mois plus tôt seulement, elle n'aurait même pas pu imaginer possibles. Pourtant, elle savait qu'elle devait se livrer plus encore, face à ce prêtre malodorant et au regard vicieux qui la salissait plus que n'importe quelle contrainte, elle avait le devoir de montrer son total asservissement... Elle n'eut guère le temps de réfléchir plus, car les doigts épais aux ongles endeuillés venaient de se saisir de ses tétons et les pressait durement...

- "Allons ma fille" dit-il d'une voix mielleuse " tu es à con-fesse et tu me dois la vérité. De quelles façons as-tu pêché à l'égard de ton Maître ? Parles ou je devrai me montrer plus sévère..."

Et disant cela, il pétrissait les deux tétons gonflés et tellement sensibles ! Un bref gémissement valut à émeline un forte gifle

- "Je ne veux pas de tes plaintes stupides ! (il pressa plus fort encore) Parle ! Livres-toi à moi, dis-moi tout ce qui te passe par la tête et je ferai le tri... Tu n'es qu'une esclave, aucune intimité n'existe pour toi, aucun autre sentiment que ta vénération pour ton Maître dont je suis ici le représentant. En me parlant, c'est à Lui que tu te livres, que tu t'offres et c'est pour Lui que tu subiras avec reconnaissance les pénitences que je t'infligerai afin de laver ton âme de chienne; alors (le pression sur les tétons devenait insupportable) je t'écoute..."

Et l'esclave parla... Les mots coulaient de sa bouche en un flot ininterrompu. La moindre seconde de son temps Au Château devenait matière à fautes et imperfections à corriger. De ses lèvres se déversaient ses pensées les plus enfouies. L'abbé ne cessait de jouer avec les tétons maintenant gonflés et durs, il ne relâchait parfois la pression que pour l'accentuer quelques secondes plus tard et malgré les larmes qu'elle sentait sur ses joues, émeline parlait, parlait... Parfois l'abbé lui intimait l'ordre de se taire et lui pétrissait les seins en lui faisant le reproche d'être fautive...

- "Il va falloir que tu subisses de nombreuses punitions pour mériter Le Pardon... Mais lorsque tu quitteras ces lieux, tu seras lavée de tes fautes et prête à servir mieux ton Seigneur et Maître. En es-tu consciente chienne ?"
- "Oui je me repens de mes fautes et j'en paierai le prix pour mériter de retourner auprès de mon Maître et Lui exprimer ma vénération"
- "C'est bien" lui dit l'abbé en pressant ses seins lourds dans ses mains calleuses "Connais-tu ta prière de repentance ?"
- "Oui" dit émeline timidement
- "Je t'écoute..."
- "Je suis l'esclave De Monsieur le Marquis d'Evans, je Lui appartiens corps et âme, ma vie est vouée à Lui obéir et à Le servir, pour Son Plaisir et Celui de Tous Ceux qu'Il me désigne. Ma vie est vouée à Le vénérer; Il me montre le chemin, Il est mon Guide. Maître, corrigez-moi et prenez-moi, pardonnez mes offenses et permettez-moi de ramper jusqu'à Vous. J'avoue tous mes pêchés et le poids de mes fautes m'accable... Mais je m'en remets à Vous pour me venir en aide et me permettre d'être celle que je dois être, Votre esclave à jamais".
- "C'est bien, tu es une chienne écrasée par le remords et je vais éprouver la sincérité et la valeur de ta repentance avant de te renvoyer vers Lui, si tu le mérites … Ouvre la bouche maintenant et garde là grande ouverte"...

Il se leva, écarté de sa main le rideau du confessionnal et sortit, de sous sa soutane, sa grosse verge déjà toute raide et l’enfila sans préambule dans la bouche de l’esclave qui déjà pénétrée par l’anus, était bien possédée maintenant par les 2 orifices. Les vas et viens rapides et fougueux aidant, l’abbé ne tarda pas à éjaculer au fond de la gorge en de longs râles tout en lui tirant sur les cheveux, lesquels il avait empoigné une touffe pour plaquer la tête d’émeline contre son gros ventre. A maintes reprises, l’esclave faillit étouffer si le curé ne prenait pas garde à lui laisser un peu d’air de temps en temps.

- "Tu vas rester là, afin que ton cul ressente la gravité de ton état... Et lorsque je viendrai te chercher, commencera le chemin de la repentance. En attendant, récites encore et encore ta prière et n'ai aucune autre pensée... Et l’ecclésiastique vicieux s'éloigna. ...

Emeline était ainsi restée empalée sur le banc durant un très, très long moment. Puis l'abbé était revenu la chercher, lui permettant enfin de s'extraire de l'énorme Vit de bois poli qui la remplissait. Elle avait l'anus largement ouvert et douloureux... et c'est à quatre pattes, ondulant de la croupe qu'elle suivit le prêtre jusqu'à la sacristie. Il la fit s'agenouiller sur une chaise de prière et se saisissant d'une fine badine, il lui infligea une longue flagellation, marquant la croupe de l'esclave qui bleuissait de marques rouges. Elle comptait les coups à haute voix et, toutes les dizaines, répétait sa prière Au Maître... L'abbé la reconduisit ensuite devant l'autel et la fit se prosterner, la laissant là afin que la froide atmosphère de l'édifice rafraîchisse son cul en feu. Et la journée ne faisait que commencer. Elle fut longue et cruelle, mais émeline savait que mériter de retourner auprès de son Maître était à ce prix. Aussi subit-elle docilement toutes les turpitudes et les actes lubriques que lui imposait l'abbé qui ne manquait ni d'imagination, ni de vices pour briser toute réticence. L'esclave le suça à plusieurs reprises et renversée sur l'autel, fut baisée maintes et maintes fois. Jamais il ne lui délia les mains et c'est en rampant qu'elle se déplaçait toujours afin de ressentir en permanence la profonde infériorité de son statut. Ce n'est que pour le repas qu'elle put se tenir debout, à un bout de la table, tandis que l'abbé se gobergeait d'un abondant plat de viande en sauce. Il se léchait les doigts dégoulinants et le regardait...

- "Mmhh délicieux ! Bien sûr tu n'auras rien. Il est nécessaire de nettoyer aussi ton corps et le jeun est une bonne façon de te libérer de ce qui encombre ton vil esprit" lui dit-il

Puis se levant pour la rejoindre et la forçant à se pencher au-dessus de la table pour l'enculer brutalement...

- "Tu vois, le banc de con-fesse t'a bien ouverte, c'est la preuve que tu es sur la bonne voie" lui susurra-t-il à l'oreille.

Il se mit à jouir abondement dans ses entrailles avant de la pousser sur le sol pour la voir à nouveau ramper comme un pauvre ver. Il la mena jusqu'au fond de son église et révéla une trappe. Celle-ci s'ouvrait sur un espace dans lequel l'esclave devait se tenir debout. Il referma ensuite la grille qui fermait cet espace clos au-dessus de sa tête et se mit à pisser sur elle.

- "Aah ! ça fait du bien... Tu vas rester là un moment, à méditer sur ta situation et à répéter cette prière jusqu'à ce que je revienne te chercher...

(à suivre)

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