Thermes Belges - Part.3

- Par l'auteur HDS Freredecul -
Récit érotique écrit par Freredecul [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Thermes Belges - Part.3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Thermes Belges - Part.3
Nos amis ayant quitté notre suite, Cécile est immédiatement allé à la salle de bain afin de sa rafraîchir, l’eau s’est mise à couler dans la baignoire et je me suis retrouvé un peu pantois, des images se télescopant plein la tête, mon pote se faisant sucer, le joli petit abricot d’Eline pénétré par la grosse bite de Wilfried, ma douce en plein orgasme sous les yeux d’un autre couple. Nos presque deux heures de partie de jambes en l’air ne m’ont pas calmé pour autant et mon sexe appel maintenant à sortir de son cocon. Je prend rapidement la place de Cécile dans la salle de bain en lui disant qu’un bain glacé me fera le plus grand bien. Elle me rend un sourire malicieux, puis me dit de vite sortir de ce bain pour éteindre le feu qui persiste en elle. Cette phrase finit de m’exciter, tant je n’ai pas l’habitude d’entendre ce genre de choses de la part de ma femme.

Mon bain terminé et à peine séché, je la rejoins dans la chambre et je m’arrête net. Elle est là, allongée sur le lit, nue, un grand sourire franc lui barrant le visage. Cécile me fait signe de la rejoindre et je me jette immédiatement sur son entrejambe, plongeant ma langue dans son puits d’amour sans autre caresse préalable. Ce geste a pour effet de lui faire pousser un petit cri, que nos voisins de la suite adjacente ne peuvent pas manquer. Ses mains dans mes cheveux appuient ma tête fortement sur son mont de Vénus et ma langue la fouille de plus en plus intensément. J’ai le souffle court, me forçant à porter ma concentration sur mes mouvements de langue pour donner du plaisir à ma femme, je parcoure ses lèvres ouvertes et son petit clitoris sortit de son capuchon, je descends jusqu’à son petit trou et le titille du bout de la langue, des chants de plaisir sortent de sa bouche, elle est au bord de l’explosion et se redresse. Je suis surpris mais elle m’explique que son petit corps ne tiendra pas longtemps et qu’elle ne veut avoir qu’un seul orgasme avant de s’endormir. Mon sexe est en pleine forme et elle s’en empare pour le branler lentement, elle me tire tendrement à elle afin que je la pénètre rapidement. On est au bord du lit, je me met à genou par terre et écarte impudiquement les jambes de Cécile, je la pénètre, emporté par une folie voluptueuse. Elle pousse des cris de jouissance, heureuse d’être enfin comblée. J’accélère le rythme, les émanations vocales de Cécile trahisse une jouissance proche, elle relève les jambes sur mes épaules et me supplie de la prendre fort, je m’exécute et la possède fermement, sa tête est tournée sur le côté, les yeux clos, les mains crispées sur les draps, quand soudain ses bras me bloquent au plus profond d’elle. Aucun cris ne sort, elle est trop contracté par ce plaisir qui la submerge. Je reste sans bouger mais très dure dans son vagin, elle ouvre les yeux et s’excuse de ne pas avoir pu attendre ma jouissance, ce n’est pas grave car ma jouissance est proche, elle me demande de me retirer et de me coucher sur le dos afin qu’elle puisse s’occuper de moi.

J’obéis sans un mot et elle se couche contre moi la tête sur mon torse, elle empoigne mon sexe pleinement lubrifié par sa mouille et me masturbe tendrement et lentement, mon plaisir monte et je lui dit que je suis au bord de l’explosion, elle accélère le mouvement et je contracte mon bras derrière son dos pendant les premiers jets du dernier orgasme de la journée. Je me répand sur mon ventre les yeux clos près à m’endormir, je suis épuisé par ce marathon de sexe que nous venons de pratiquer. Les petits coups de langue sur mon gland me sortent de mon apaisement, elle apprécie peu faire se genre de chose après ma jouissance, mais elle est tellement épanouie, qu’elle se laisse aller et m’embouche afin de nettoyer mon sexe. Je suis au septième ciel, elle repose mon sexe ramolli sur mon bas ventre et essuie avec un mouchoir le peu de semence qui avait réussi à sortir lors de ce troisième orgasme de la soirée. Elle se colle à moi nue et nous partons ensemble dans les bras de Morphée.

Quelques bruits dans les couloirs de l’hôtel me réveille, il est 9h15 et j’ai dormi comme un bébé, contre moi, ma femme est nue et encore endormie. Je l’espionne discrètement, la couverture a bougé et laisse découvrir sa magnifique poitrine. Des bruits et des gémissements viennent d’une chambre voisine, je pense que c’est nos amis mais je n’en suis pas certain. Mon érection du matin est amplifié par ses petits cris, et je ne peux pas rester comme ça avec le corps nu qui repose près de moi. J’entends je pense, le souffle rauque de Wilfried et le bruit du sommier frottant contre le mur. Sa compagne laisse aussi échapper des feulements plus aigus qui m’excite au plus haut point. Il me semble ensuite discerner les claquements des deux corps à un rythme assez élevé, ou alors c’est mon imagination. Je ferme les yeux et le corps nu d’Eline apparaît, elle est ravissante, elle est sur le dos en bord de lit, les jambes impudiquement écartées et Wilfried la pénètre tendrement, ils sont beau tous les deux. J’ouvre les yeux et je m’aperçois que je suis en train de me caresser, j’étais comme dans un rêve mais ma main n’était pas resté inactive. Je bande comme un âne, Cécile adore que je lui fasse l’amour au réveil car elle trouve que mon sexe est encore plus gros que d’habitude et elle prends un plaisir fou.

Je m’avance alors vers elle et me met à embrasser doucement ces seins, puis, m’enhardissant et sentant sa respiration accélérer, je les dévore. Tantôt aspirant les tétons, tantôt les mordillant, Cécile halète sous les coups de langue précis et efficaces. Elle prend une de mes mains et la glisse entre ses cuisses, son petit minou est déjà tout humide, et le doigt que je glisse à l’intérieur n’a pas de mal à rentrer. Les yeux fermés, Cécile se saisit délicatement de mon sexe tendu contre sa cuisse. D’abord, ses doigts glisse le long de ma verge dure, du gland jusqu’au bas-ventre. Puis, ils passe en dessous et flatte mes testicules vidées par les jeux de la veille. Enfin, la main empoigne la colonne de chair et se met en branle lentement, l’objet de son désir lui semble si grosse dans sa petite main et elle me dit : « tu bandes fort mon chéri ce matin ». Elle se saisit de mon sexe et le place face à l’entrée de son intimité brûlante. Elle me laissa glisser mon membre en elle. La pénétration lui arrache un soupir de plaisir et je me retrouve avec bonheur plongé dans une douce moiteur. Son vagin est un sanctuaire de douceur, de chaleur. Cécile prend appui sur un coude et se met à onduler du bassin, elle sent mon pénis coulisser entre ses lèvres de plus en plus vite, je suis tendu au maximum. Des gémissements sortent de sa bouche de plus en plus fort, elle va réveiller tout l’hôtel si elle continue ainsi, je sens qu’elle est prête à jouir et je glisse une main sous elle afin de jouer avec un de ses seins. Je fais rouler son téton qui pointe entre mes doigts, ses fesses viennent taper contre mes bourses à chaque aller-retour tellement elle se cambre et se tend vers moi. Elle se laisse transporter par le plaisir, elle contracte ses chairs autour de mon sexe et elle stoppe ses mouvements, terrassé par une jouissance intense. J’attends qu’elle reprenne ses esprits et re-commence un va et vient lent et profond, elle recommence à gémir quasi immédiatement. Je profite de son excitation pour présenter un doigt à l’entré de son petit cul, aucun mot, je rentre une phalange, elle se cambre, se cabre, m’aide à la pénétrer, et aspire mon doigt en ondulant le cul, elle en demande plus. Je sors mon doigt presque en entier avant de le lui enfoncer à nouveau, jusqu’à la garde. Elle se tend, je sens son sphincter se contracter autour de mon majeur, elle se cambre encore et me demande de venir dans son petit trou. Ma queue est bien lubrifiée en sortant de sa petite chatte trempée, je m’en saisis à pleine main et la guide sur sa rondelle brûlante. Je force un peu le passage et mon gland rentre lentement, je continue ma progression jusqu’à ce que ma queue soit bien en place et Cécile pousse doucement dessus pour me sentir bien au fond. Elle rejette la tête en arrière, le plaisir semble monter en elle. Je place mes mains sur son petit cul, écarte ses fesses blanches, et je vais et viens dans sa grotte. J’accélère le rythme, elle se met à gémir, puis à crier, sans plus se soucier des voisins. Elle va venir, elle va jouir, elle adore particulièrement jouir du cul, je sens ses fesses collées contre mon pubis, je ne peux pas aller plus profond en elle, je l’encule jusqu’aux poils, jusqu’aux couilles, elle se tend sur ma queue, serre ses muscles, je l’entoure de mes bras, mains calées sur ses seins, et elle jouit brusquement. Elle met un moment à reprendre ses esprits, mais les mouvements de ma queue dans son petit cul la font revenir à la surface. Je suis toujours derrière elle, je prends une de ses jambes et la relève écartant ses cuisses volontairement. Elle comprends le message immédiatement, et glisse sa main gauche vers son minou délaissé. On serait à la maison, elle se jetterait sur son « rabbit », mais nous n’avons pas prévu de jouet dans la valise. Elle entre un doigt qui est vite rejoint par un deuxième puis un troisième. La sensation de mouvement sur mon sexe à travers la fine parois qui nous sépare est extraordinaire. Nous pratiquons cette position régulièrement, c’est sans hésité, sa préférée. Son fantasme ultime serait de remplacer ses doigts par un vrai sexe. Les cris de Cécile sont devenus des gémissements toujours très audibles, elle m’accompagne et m’encourage à venir, donnant de grands coups de reins en arrière pour m’engloutir toujours plus loin, je sens ses doigts dans sa petite chatte qui remue brutalement. Elle y va fort, très fort, elle ne se caresse plus mais se branle frénétiquement. Son quatrième orgasme a raison de moi, elle jouit simultanément vaginalement et analement. Je sens mon gland gonfler, doubler de volume dans ses chairs, je me retire subitement et j’explose sur son bas-ventre encore secoué de spasmes violents. On reste la l’un contre l’autre sans se soucier du temps qui passe, des bruits plus importants que d’ordinaire dans le couloir nous font sursauter. Panique à bord, nos amis vont nous attendre pour le petit-déjeuner et nous sautons à terre afin de rejoindre la salle de bain.

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