L'histoire de marie - dans le garage

- Par l'auteur HDS Testme-tasteme -
Auteur homme.
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Récit libertin : L'histoire de marie - dans le garage Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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L'histoire de marie - dans le garage
Cette histoire fait suite à l'aventure commencée précédemment avec Marie. Il s'agit toujours d'une histoire vraie, vécue avec la même personne, seule la chronologie n'est pas respectée.

C'était un soir d'été, nous étions dans la chambre à regarder la TV, Marie et moi. La soirée était somme toute assez banale jusque-là, plateau TV tous les deux puis nous sommes montés dans la chambre afin de se mettre à l'aise. C'est-à-dire en simple lingerie pour elle, je trouve toujours dommage que les filles ne se dévêtissent pas plus souvent. Le corps est si beau dans un bel ensemble et nous en profitons que quelques instants avant de généralement tout enlever assez rapidement... Nous n'avions jamais réussi à regarder des films entièrement sans coupure pub, ou plutôt coupure coquine, et ce n'était pas ce soir-là que ça allait commencer.

Nous commencions donc à nous désintéresser de la tv, nos mains s'aventuraient pour le moment de façon lente et langoureuse sur nos corps. Nos baisers et caresses allaient en s'accentuant, et je commençais à être vraiment très à l'étroit dans mon boxer. Le gland déjà bien à l'air pour être précis. Je me mis sur elle afin que l'on se frotte l'un à l'autre. Je sentais sa culotte en satin passer entre ses lèvres lors de mes va-et-vient, et ressortir imprégnées de mouille. Elle me rendait complètement dingue en moins de 5min et alors que nous n'avions encore rien fait de bien méchant.

- Vous me rendez fous toi et ton corps, ma chérie. Lui dis-je alors.
- Et moi alors, regarde comme je mouille.
- Pas besoin de regarder, je sens que ta culotte est déjà bien humide. Tu sens ?

En lui posant la question je donnais un coup de rein plus appuyé que les autres afin qu'elle me sente glisser sur ses lèvres, avant de glisser de toute ma longueur sur son bouton.

- Hum oui je te sens, plus dur tu meurs. Je vais te bouffer ! Tu voudrais quoi ?
Une fille belle comme pas permis, excitée, qui vous demande ce que vous voulez. Il y a comme ça des moments où on se dit qu'on peut mourir peinard..!
- Pas d'idée précise, mais tu te souviens nous avions discutés de la voiture l'autre jour. Ça te tente ?
- Sortir maintenant ?
- Il n'y en a pas pour longtemps, t'enfile juste une robe pour traverser la cour et on va dans le garage. Si tu en as envie maintenant aussi, pourquoi attendre d'être dehors ?
- Pas faux, allez lève-toi de moi qu'on y aille. Je ne vais pas attendre 20 ans pour que tu me chevauches.

Elle me pousse donc, trouve une robe en 2 sec chrono et nous sortons de chez elle, le temps de traverser sa cour pour aller dans le garage. Je la regardais donc se pavaner dehors nue sous sa robe, dans l'unique but d'aller se faire sauter...

Nous rentrons dans le garage, refermons la porte et nous nous installons dans la bagnole sur le siège passager. Du fait de mon mètre 85, je ne réfléchis pas et recule le siège au maximum puis l'incline légèrement. Elle rentre et me chevauche sans plus attendre et m'embrasse à pleine bouche, pendant que sa main vient prendre mon sexe en main pour le caresser. Elle en profitait pour se caresser avec, j'aime cette sensation d'être son outil de plaisir sans qu'elle ne me le demande. Je sentais à présent clairement ses lèvres trempées, et dieu que j'aime ça. Pas de triche, elle est excitée et n'attend que de s'enfiler par-dessus. Elle se redresse et s'empale alors sans grande difficulté. Je la sens contracter son minou afin que chacun sente chaque centimètre parcouru.

- Enfin je te sens.
- Oui mon chéri, et c'est pas fini.

Elle se couche sur moi et commence ses ondulations. Je lui attrape les fesses des 2 mains pour appuyer ses mouvements avec un peu plus de force, faisant ainsi claquer la peau. Les clapotements de son minou se rajoutaient à ces claquements secs ainsi que ses gémissements de plus en plus prononcés. Au bout de quelques minutes elle se redressa dans la voiture, retira sa robe noire libérant ainsi sa poitrine à l'air libre. Les tétons bien érigés par la température douce et l'excitation. En reprenant ses mouvement elle me regarda en se mordant les lèvres et passa les mains sur ses seins, pour finir par se pincer les tétons. Ce qu'elle appréciait particulièrement. Un spasme la parcourut, elle se raidit et serra sa moule aussi fort qu'elle le pouvait. Un petit orgasme, elle avait finalement cédé à l'excitation. Je pris alors la situation en main, la voiture n'offrant pas de grandes possibilités je lui proposai de sortir :

- Allons dehors, je serai plus à l'aise et ça ne sera que mieux pour toi.
- D'accord, prends-moi sur le capot !

Je ne me fis pas prier. Elle posa sa robe noire sur le capot afin de ne pas être en contact direct avec la tôle fraîche. Elle se hissa sur le capot de la voiture et écarta les jambes. Je m'insérais directement de toute ma longueur sans plus attendre. Après quelques va-et-vient je pris ses chevilles, les redressa en les écartant. Elle était totalement offerte et l'angle ainsi créé faisait que mon sexe lui appuyait fortement sur les parois à chacun de mes passages. Surprise par l'enchainement, elle ne put se maîtriser et ouvrit grand les yeux en criant à chacun de mes coups de reins.

- Ah ouiiiii, qu'est-ce que tu es gros en moi !
- Lâche-toi ma puce, profite et laisse-toi aller…

Elle était complètement ouverte et détrempée à l'extrême, je n'en pouvais bientôt plus et voulant encore profiter de la situation je sortis et entamai un bon cunni le temps de me calmer. J'aimais lui bouffer le minou quand elle était déjà détrempée, elle n'en était que plus réceptrice à mes coups de langue. Je tournai autour de son bouton puis descendis vers son trou, je le contournai avec la langue puis rentrai dedans d'autant qu'il m'était possible. Mon pouce gauche appuyait sur son bouton de façon coordonnée à ma langue, je la sentais se trémousser sur le capot, elle ne tenait plus en place. Je continuai mon manège jusqu'à ce que je sente qu'elle ne pourrait bientôt plus se contrôler.

Je me suis alors relevé, l'ai fait glisser du capot pour la retourner. Elle écarta automatiquement les cuisses et je l'ai pris ainsi en levrette, la bouche détrempée de mouille, une main sur ses fesses lui administrant quelques petites fessées plus ou moins contrôlées et l'autre main sur le haut de son dos afin de l'appuyer sur la voiture et accentuer sa cambrure. C'était sa position préférée et la mienne également, elle tenta de s'agiter comme elle sait le faire mais la position ne le permettait pas des masses. Je pris alors le relai et passai une de mes mains devant pour lui caresser vigoureusement le clito alors qu'avec l'autre je la tenais fermement dans le creux du bassin. Au bout de quelques va-et-vient désormais de toutes mes forces elle finit par crier son orgasme :

- Aaaaah, j'en peux plus !! L'ensemble la faisait chavirer dans tous les sens.
- Je vais venir aussi bébé, reste où tu es.
- Oui viens, viens !!!

Je finis par exploser dans sa moule ouverte et dégoulinante tout en continuant mes aller-retour. Ne contrôlant pas grand chose je suis plus ou moins sorti, étalant du sperme sur et entre ses fesses. Cette vision m'excita une fois de plus, je sortis alors définitivement pour me placer entre ses fesses que j'écrasai sur mon membre à l'aide de mes mains. Je lui baisai à présent les fesses doucement, étalant le sperme sur sa croupe qui luisait à la lumière.

- Huuum chéri tu m'en mets partout, et tu es encore dur comme du bois !
- J'aime bien te sentir sale, mais nettoie moi maintenant.

Elle se redressa de la voiture, du sperme avait coulé sur sa robe noire ainsi que sur la face avant et la plaque d'immatriculation. Elle se mit à genoux et commença à me nettoyer avec sa langue sur toute ma longueur puis avala ce qu'elle y avait récolté.

- Pas mal la voiture! Lui dis-je. Mais on est mieux dehors que dedans !
- Je confirme, par contre on en a mis sur la bagnole, désolée.
- Pas grave, ça me fera un souvenir jusqu'à ce que je la lave !!
- Viens, on rentre se mettre sous une bonne douche.

Elle se revêtit de sa robe tâchée, qui colla immédiatement à ses fesses enduite de ma semence. Et c'est sans une remarque qu'elle sortit du garage pour rejoindre la maison. Elle ne se posait pas de question et ne faisait aucune remarque sur notre comportement, on vivait ce que l'on désirait. Nous sommes donc rentrés nous doucher, mais nous n'avons pas résisté à nous caresser sous l'eau chaude comme vous pouvez vous en douter...

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