Coiffeuse à domicile - suite

- Par l'auteur HDS ERIC64 -
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Coiffeuse à domicile - suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Coiffeuse à domicile - suite
Pour résumer le début de mon aventure, Eva, ma jeune coiffeuse , est en congé maternité et me reçoit chez elle pour me couper les cheveux, en l'absence de son mari. On se retrouve dans son lit, moi à poil, et elle vêtue d'une simple petite nuisette. Elle est allongée sur le côté, je suis plaqué contre elle, je lui caresse la chatte, et sa main coulisse sur mon manche.

J'entame un nouveau dialogue tandis qu'on continue à se masturber tendrement:
- Hummmm, c'est bon Eva, il a de la chance ton mari, tu doit bien t'occuper de lui.
- Oui, je pense, il n'a pas à se plaindre. Mais je ne me plains pas moi non plus.
- Tu lui fais quoi de bon?
- Tout ce que peut faire une bonne épouse.
- Tu le suces?
- Oui bien sûr, obligée. De toute façon si je ne le faisais pas, on ne serait pas marié, il aurait été voir ailleurs.
- Il te force?
- Non, pas du tout, je me suis mal exprimée. J'adore sucer, et je prends autant de plaisir que lui.
- Et tu le suces à fonds, je suppose?
- Oui, et puisque vous voulez tout savoir, j'avale, et j'aime ça.
- Et moi, ça te plairait de me sucer?
- Vous en avez mis du temps, je me demandais quand vous alliez vous décider.
- Ca veut dire que c'est oui, tu vas me faire une bonne pipe.
- Oui, et tout de suite. Je n'en peux plus d'attendre.
- Ok, mais encore deux petites questions. Tu vas me pomper à fonds moi aussi?
- J'espère bien, oui. Et puis?
- Je suis grossier quand je baise, je peux te dire des obscénités, des insultes?
- Oui, bon on y va, je n'en peux plus.
Elle allume la lumière, se lève, et dégage le drap. Je m'installe sur le dos, et elle vient à quatre pattes entre mes jambes. Elle m'embouche immédiatement et je l'entends gémir alors que ses lèvres vont et viennent sur ma hampe, et que sa langue me lèche le bout. Elle relève la tête et me fixe dans les yeux:
- Hummmmm, elle est bonne votre queue, elle est belle, elle est grosse. J'adore.
- Merci, et ton mec il est bien monté?
- Oui, ça va. Il doit l'avoir plus longue que la votre, mais moins épaisse. Elle est large la votre, j'aime.
Elle cesse de parler et me réembouche tout en me regardant dans les yeux:
- Tu pompes trop bien ma chérie, mieux qu'une pute. Tu vaux toutes les salopes du monde. Ca te plait les grosses queues juteuses, touche mes couilles, tu ne vas pas être déçue.
- Ouahh, cette paire de boules, elles sont énormes! Je n'ai connu que trois hommes, je vous l'ai dit, mais aucun ne les as comme vous.
- C'est parce elles sont bien remplies depuis le temps que je n'ai pas éjaculé, alors que tes amants tu ne leur laisses pas le temps de faire des réserves. Elles sont pleines à craquer, et si tu aimes bouffer du sperme, tu vas te régaler.
- Ouiiiiiii, j'aime. Prévenez moi quand ça vient, je veux tout dans ma bouche.
- Oui, continue à me pomper et je t'avertirai. Je vais décharger dans ta bouche gourmande, me vidanger au maximum, couvrir ta langue de ma sauce épaisse, gicler direct dans ta gorge, me servir de ta jolie petite gueule comme d'un vide couilles....................
Elle continue à me turlutter de façon magistrale, et je débite mes obscénités, mais aussi mes encouragements et mes félicitations pour son savoir faire.
Elle a finalement raison de moi, et je lui annonce mon plaisir qui vient. Ses yeux s'illuminent, et ses lèvres se serrent sur ma bite, et accélèrent leur mouvement:
- Ouiiiiii, ouiiii, je viens, prends tout et avale, ne gaspilles rien. Oui, tiens, avale, avale, bouffe tout, c'est bon de t'offrir mon foutre.
Elle déglutit plusieurs fois, au rythme de mes éjaculations, et me garde jusqu'à ce que je sois calmé, et ma queue aussi:
- Vous devez vous sentir plus léger. Ce que vous m'avez mis! Heureusement que vous m'aviez prévenu. Ca vous a plu?
- D'après toi? C'est une des meilleures pipes qu'on m'ait jamais faites, peut-être même la meilleure. A croire que tu étais en manque. C'était génial ma puce chérie.
Elle revient s'allonger près de moi, et éteint. Je la serre dans mes bras et on fait une petite pause.

- Je ne t'ai pas choquée avec mes mots?
- Non, j'ai été habituée, et j'ai entendu pire que ça.
- Il est grossier ton mari?
- Non, pas lui, mon mec d'avant. Il me traitait comme une chienne, et je crois que j'aimais ça. Au fait, vous ne m'avez pas insultée?
- Oui, c'est vrai, mais je n'ai pas pu. Tu as des yeux magnifiques, je te l'ai dit plusieurs fois, et comme tu me regardais en me suçant, je n'ai pas eu le courage, tu es trop craquante.
- Mais maintenant je suis de dos, et dans le noir; alors si voulez, ne vous gênez pas.
- Ok, mais pour ça il faut que je rebande, ce n'est que quand je trique que je suis odieux.
Ma main la caresse à nouveau, et revient sur sa chatte:
- Tu es toute mouillée petite coquine, tu veux que je m'occupe de ton minou.
Sa main recherche mon sexe ramolli:
- Je voudrais bien, mais avec ça vous n'allez pas me faire grand chose!
- Morpionne! Attends que je rebande , et tu vas voir. Mais en attendant je peux te lécher, si tu aimes.
- Oui, sauf que, mais vous avez dû le remarquer; je ne suis pas rasée. Avec mon ventre, je n'y arrive plus.
- Mais ce n'est un problème, au contraire. Il y en a marre de cette mode de vulves lisses, j'ai envie d'une choune bien poilue, ou d'une chounette comme la tienne. Rallume, et je vais essayer de te brouter aussi bien que tu m'as sucé.
C'est à son tour de s'allonger sur le dos, cuisses ouvertes, et de m'offrir son merveilleux entre cuisses. Je plonge ma gueule dans son ouverture, soude mes lèvres aux siennes, et enfouis ma langue dans sa fente délice. Je voudrais la fixer dans les yeux pour qu'elle soit sûre de mon bonheur, mais son beau ventre fait barrage. Elle est autant vaginale que clitoridienne, et je m'active pour décupler son plaisir. Elle était toute mouillée, mais c'est maintenant une vraie fontaine. Elle se tortille comme un ver, et enchaine orgasme après orgasme:
- Ohhhhh, ohhhhhhh, c'est bon, vous me rendez folle, on ne m'a jamais léchée comme ça.
Je me redresse, lui dit que c'est super bon pour moi aussi, et que je pourrais la lécher pendant des heures, aussi longtemps qu'elle jouit. J'ai envie aussi de la baiser, et il va falloir faire gaffe à l'heure, que son mari ne nous surprenne pas. Elle me répond de ne pas m'en faire, qu'on a tout le temps, que son mari est en déplacement pour toute la semaine.
Je suis ravi de cette bonne nouvelle, et reprends mon cunnilingus. Je me désaltère à sa source intarissable, d'un nectar sans pareil, et voudrait que ça ne s'arrête pas. C'est elle qui met fin à la séance, par épuisement. Elle souffle fort, et me dit avec des mots entrecoupés que c'est génial mais qu'elle n'en peux plus.
Je reviens contre elle, elle éteint à nouveau et on fait une nouvelle pause. Je bande dur et elle accepte de me tourner encore une fois le dos, pour que je glisse ma queue dans l'étau de ses cuisses, sans la pénétrer. Je lui dis qu'ainsi je ne risque pas débander, que mon gland est à l'entrée de sa petite grotte, et que quand elle se sentira en forme pour continuer il lui suffira de pousser sur mon gros bourgeon, pour se l'introduire, et je saurais ce qu'il me reste à faire. Elle est ok, pose ses doigts sur le bout de ma queue, et s'amuse avec. C'est sûr, je ne vais pas débander, d'autant que je passe ma main sous sa nuisette pour peloter ses seins épanouis par sa grossesse.
On se caresse sans un mot, je la laisse récupérer, j'entends sa respiration revenir à la normale, et je sens sa poitrine qui ne se soulève plus. Ses doigts font pression sur mon sexe, et il disparaît dans le sien, en même temps qu'elle pousse un petit cri.
Je commence de lents vas et viens, et ma queue durcit dans son vagin très accueillant:
- Hummmmm, c'est bon de te limer, salope, cette putain d'huître que tu as.
- Oui, baisez moi, c'est bon votre queue.
- Petite pute, tu l'aimes ma grosse bite dans ta chatte en chaleur. Tu es une petite vicieuse, qui aime la queue. Il t'encule ton mari?
- Oui, et il fait ça très bien.
- Trainée, je vais t'enculer moi aussi, je suis sûr que tu en as envie. Dis moi que tu es ma petite salope, et que tu vas m'offrir ton petit trou.
- Oui, mais pas de suite, baisez moi encore comme ça, c'est bon. Vous n'êtes pas brusque, c'est bon l'amour en douceur.
- C'est bien parce que je ne peux pas faire autrement. J'aimerais te fourrer de grands coups de queue comme tu le mérites, mais je ne tiens à secouer ton petit bébé. Ce n'est pas sa faute si sa mère est une salope, et je veux le laisser tranquille. Et puis tu raison, c'est bon de t'aimer en douceur, tu as un écrin à bites merveilleux, le paradis sur terre.
- Merci, vous êtes gentil malgré votre vulgarité, et merci pour mon bébé, je suis tellement chaude que je l'avais presque oublié.
- Chaude et salope, tout ce que j'aime.
Je continue à lui enfiler la chatte lui disant que puisqu'on a tout notre temps, je m'occuperai de son cul plus tard. Pour le moment je veux profiter de sa trop bonne fente, et je vais la ramoner longtemps, je ne vais pas jouir de suite, à mon âge il faut du temps entre deux décharges. On ne fait plus de phrases, je me contente de simples mots d'insultes, auxquels elle répond par des oui et des encore, langoureux. Après une longue marathon, possible puisque faite en douceur, je vais bientôt libérer mon plaisir:
- Ohhh, Eva, petite salope, je ne vais pas tarder à décharger. Tu me veux entre tes cuisses, ou dans ta bouche.
- Comme vous voulez, j'aime tout, je vous laisse choisir.
- Je te préviens, si je choisis, ça va être hard.
- Dites toujours, mais ça devrait aller.
- Pute, tu es prête à tout pour t'envoyer en l'air. Alors voici mon plan, ........................(et je lui explique ce que je compte faire)
- Elles avaient raison mes copines au salon.
- Elles avaient raison! Ca veut dire quoi?
- On parle de vous après chacun de vos passages. Et elles me disent de me méfier, que vous avez tout d'un vieux vicieux, qui ne pense qu'à me sauter et faire des trucs cochons avec moi.
- Sympa tes copines, ça doit être des mal baisées qui fantasment. Et toi tu en penses quoi?
- Moi je suis innocente, je ne vois le mal nulle part. Alors je leur dis qu'elles se trompent, mais c'est vrai qu'à force de les entendre j'avais quelques doutes.
- Elles sont perspicaces tes copines, mais tu m'as l'air aussi vicieuse et cochonne que moi. Tu vas m'expliquer salope: tu penses que je peux être un vieux vicieux cochon, et tu n'hésites pas à m'inviter chez toi. Tu acceptes, à ma demande, qu'on fasse la sieste, et tu m'emmènes dans ton lit, pratiquement à poil. Et quand j'arrive tu m'allumes avec tes histoires de petites culottes et de groping. Et surtout, j'allais oublier, tu reportes notre premier rendez-vous parce que tu sais que ton mari ne sera pas là. Tu voulais vraiment faire l'amour avec moi?
- Oui, j'ai essayé de résister, mais j'en avais trop envie.
- Salope, alors on va finir de bien te baiser. Mets toi en position, putain, et fait moi reluire le manche.
On fait alors mon plan hard. Je ne peux venir sur elle, mais elle, peux venir sur moi. Elle s'installe à califourchon, et empale sa chatte sur ma colonne dressée. Elle monte et descend, toujours en douceur, sur mon manche, et je peux contempler ses seins lourds qui se balancent sous sa nuisette transparente. Je sens ma sève qui monte. Je soulève mes reins au rythme de son coulissage, pour mieux la pénétrer, et je me soulage en elle dans des râles vainqueurs. Un grand soupir annonce ma capitulation, et elle se soulève. Ma queue retombe toute flasque sur mon ventre, et elle libère le sperme dont je l'ai remplie pour la recouvrir. Elle se dégage, et revient sur moi en 69. Elle va me nettoyer la queue couverte de mon sperme et de sa mouille, et je vais nettoyer sa moule pleine du même mélange.
On a fini notre petite orgie, et on s'allonge encore pour une petite pause, toujours dans le noir.
- Tu m'as épuisée ma chérie, il va falloir attendre un peu pour ton petit cul.
- Oui, on a tout le temps puisque mon mari n'est pas là.
- Salope, tu le trompes souvent?
- Non, c'est la première fois.
- Et ce que tu leur dis à tous, putain?
- Non, je vous jure, vous êtes le premier.
- Et il faut que je te crois? Je suis sûr que ton mari a des cornes, à ne plus passer aux portes.
Elle rallume, et se tourne vers moi, les yeux embués. Elle me jure encore que c'est la première fois, et s'explique. Son deuxième mec, et maintenant son mari, sont de très bons amants et elle a pris goût à baiser le plus souvent possible. Mais cela fait six mois que son mari ne la touche plus, depuis le jour où il a appris qu'elle attendait un enfant. Elle a essayé de se faire une raison, mais elle est en manque et n'en pouvait plus. Je m'étonne qu'elle m'ait choisi plutôt qu'un jeune, mais elle se voyait mal baiser avec un copain, et encore moins avec un inconnu. Moi elle me connait un peu, elle m'aime bien, et puis il y a eu un concours de circonstances (les mots de ses copines, mon insistance à ne me faire coiffer que par elle, ma proposition de sieste) qui ont fait que c'est arrivé. Elle me jure une fois de plus qu'elle n'a jamais trompé ses deux anciens copains, ni son mari, jusqu'à aujourd'hui.
Je lui ai fait mal sans le vouloir, et me confonds en excuses sincères. Je l'implore de me pardonner, et elle me dit que c'est oublié. Je dépose un petit baiser sur ses lèvres, et elle ne fait rien pour l'éviter.
- Je peux t'embrasser?
- Vous venez de le faire, non?
- C'était juste un bisou, je te parle d'un vrai baiser, passionné, avec la langue. J'adore ça.
- Vous êtes le seul, mon deuxième mec ne m'a jamais embrassée, et mon mari très rarement.
A peine sa phrase terminée, elle me donne un petit baiser à son tour, puis on se picore avant de se bouffer la poire.

A suivre.....................

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