La premiere fois avec mon assistante - histoire érotique

Bonjour, je me prénomme Roland j'ai aujourd’hui 35 ans et j'habitais au moment des faits qui vont être relatés le cours Gambetta dans la ville de Lyon.

L’histoire que je vais vous raconter peut paraître assez commune, mais le souvenir que j'en ai gardé fait de cette histoire un récit très particulier et que j'ai très envie de vous partager.

Je travaille dans une compagnie spécialisée dans la vente et la conception des produits électroniques pour l'industrie pétrolière depuis 2006.

En 2008, suite à une restructuration, ma direction m'a confié le poste de Directeur Qualité.

Résolument décidé à réussir dans cette nouvelle fonction, c'est avec empressement que j'ai regagné ma nouvelle équipe qui n'était pas au complet et pour cause, un des éléments de l'équipe n'était pas encore rentré de ses congés.

Il s'agit de Gaëlle, l'assistante Qualité en poste depuis quelques années déjà et avec qui j'avais échangé des bonjours assortis de gentils sourires du temps où j'occupais ma précédente fonction.

Gaëlle est une femme Africaine âgée de 35 ans, grande, elle mesure environs 1,73 mètres, mariée et très réservée avec des très longs cheveux soyeux et une peau d'un noir mat, ses jambes sont grandes et sublimes et ses fesses invitent tous les regards à se poser dessus sans qu'elle n'ait cherché à capter une quelconque attention de façon délibérée.

Ses trois maternités ont quelque peu altérés sa poitrine, mais dans son décolleté ses seins sont très agréables à voir et laissent penser que quelques années avant ils étaient extrêmement jolis et que sa poitrine devrait faire un 90 B.

Autant vous dire que j'étais amoureux en secret de Gaëlle et l'idée de la savoir être ma plus proche collaboratrice m'excitait.

Un matin de septembre 2008, j'étais arrivé un tout petit peu en retard au bureau. Lorsque j'ai tenté d'ouvrir la porte de mon bureau que je prends toujours soin de fermer à clé lorsque je le quitte, celui-ci était déjà ouvert. En poussant la porte j'ai tout de suite croisé le regard de Gaëlle, elle était de retour de congés et était en train de prendre connaissance du travail qui avait été réalisé derrière elle et ce qui reste à faire auprès de la stagiaire qui assurait son intérim.

Nous nous sommes dit bonjour, je lui ai souhaité un bon retour de congés et elle m'a adressé des félicitations pour ce nouveau poste et plein succès dans mes nouvelles missions. Elle portait une chemise blanche et un pantalon rouge qu'elle avait assorti avec des chaussures à talon de couleur blanche. Ses couleurs de vêtements mettaient sa peau de couleur noire mate en valeur.

Après échanger nos civilités, je me suis tout de suite mis dans la tête qu'il fallait que je la baise, que je baise cette chatte qui laisse facilement voir la forme de ses lèvres sous le Jean qu'elle porte.

C’était devenu comme une obsession, l'image de ses grandes jambes autour de mon cou me hantait jour et nuit.

Il fallait cependant faire attention à tous mes faits et gestes et faire en sorte que tout ce que je dis et que je fais à son endroit ne soit pas requalifié en harcèlement sexuel.

J’ai donc entrepris d'être un collaborateur et non un chef, de la booster dans son job, d'installer une forme de confiance indéfectible entre elle et moi. Je décidai de la raccompagner à son domicile tous les jours après le boulot, cela me permettait aussi de passer du temps avec elle et de lui rappeler entre deux sujets de discussion à quel point elle me fascine et qu'elle me plaît. Elle semble bien réagir, à toutes mes blagues et mes compliments, mais exprime des craintes lorsque pour la première fois je lui propose que nous devenions amants.

Elle s'est alors enfermé dans un silence et a pris quelques distances. Elle aimait son mari et sa famille. Devant cette attitude, je me suis enfermé sur moi et je voyais bien que Gaëlle souffrait de cette situation, de ce climat dans lequel, elle avait perdu la complicité avec son chef.

Un soir sans rien espérer, j'ai proposé de la raccompagner à nouveau à son domicile ce qu'elle accepta sans que je n'eus besoin de demander une deuxième fois. Pour ce co-voiturage, je décidai de prendre un chemin très peu fréquenté par les automobilistes, lorsque nous sommes arrivés sur une rue ruelle peu éclairée, je décidai de m'arrêter et d'embrasser Gaëlle sur la bouche sans demander son avis. Nos langues se frottaient pour la première fois. Ce fût agréable, mon cœur battait la chamade et je bandais comme un taureau en manque de sexe depuis sa naissance, Gaëlle, elle avait aussi apprécié ce baiser échangé.

Depuis ce soir, je multipliai des baisers et des caresses au bureau, Gaëlle se laissait faire à cœur joie. Après plusieurs jours de petits jeux érotiques avec mon assistantes au bureau (environs deux mois) j'ai finalement invité Gaëlle à nous rendre dans une chambre d'hôtel de la ville après le job.

Gaëlle accepta et avant de prendre le chemin pour l'hôtel nous avons échangés des baisés fougueux au bureau je bandais comme un fou. Gaëlle pouvait ressentir la pression de mon sexe résolument décidé à conclure contre son pubis qui était protégé par l'étoffe de son jean et de sa culote. Toutes les stratégies utilisées pour entrer dans la chambre d'hôtel à cause de l'appréhension d'être vu par une connaissance, un collègue de travail participait à faire monter nos excitations respectives.

Lorsque nous avons rejoints la chambre, nous nous sommes embrassés de plus belle et je me suis empressé d'ôter les vêtements de Gaëlle, elle portait un ensemble de sous-vêtements avec de motif de léopard. La partie de son string qui cache son orifice était complètement humide, j'ai alors introduit ma main dans sa culotte pour découvrir les dégâts qui avaient été occasionnés à la suite de toute cette excitation. Sa chatte était humide, j'ai commencé à caresser sa chatte chaude et son petit bouton avec son jus d'amour qui en sortait comme si elle n'avait pas jouis correctement depuis quelques mois.

Elle était toute prête, la femme de mes fantasmes était la sous mes yeux les jambes écartées, la croupe complètement dévoilée et en feu.
Je lui demande en murmurant dans son oreille "ça va ?" Elle me répond en me faisant un gestes de la tête pour m’indiquer que "oui". Gaëlle qui était si tendue, se détend, elle est couchée sur le dos et s’offre totalement en approchant son ventre, et son sexe rasé vers mon visage, mes yeux fixent sa vulve mouillée sans la quitter.

Mes doigts entrent en action en fouillant son ventre et repoussent le tissu de son string sur le cote pour laisser ma langue lécher la vulve juteuse, je me gave de son jus d'amour qui surgit tellement elle n’est pas loin d'exploser.

Je m'arrête, heureux de voir le plaisir que je lui procure je me déshabille, enlève son string et décide de monter vers son visage avec ma queue bien raide. Sans dire mot, Gaëlle comprend, elle avale mon gland et la suce en me caressant les boules d'une main experte.

J'entreprends alors de la pénétrer. Mon sexe tout entier (20 cm de long et 14.5 cm de circonférence) disparait dans sa chatte sans peine, telle une lame chaude dans un bloc de beurre. Je commence à imprimer des vas et viens et des petits ronds dans son nid d'amour avec un rythme accéléré. Mais d'une légère tape sur ma fesse, Gaëlle m'indique que son excitation monte lorsque les mouvements de mon sexe dans le sien sont lents, je suis la consigne et je m'exécute.

Je bouge alors tel que ma déesse le souhaite... Je peux entendre ma chérie, à chacun de mes mouvements poussé des râles de plaisir, chaque mouvement de mon sexe lui vaut un baiser langoureux sur son cou ou sur sa bouche. J’apprécie le clapotis des vas et viens de ma queue dans son sexe mêlés à son liquide d’amour.

Elle apprécie. Je ne suis pas loin d'exploser, mais pour ne rien rater de ce moment magique, je décidai de mettre ma chérie, mon fantasme, mon assistante et à la fois mon ainée dans toutes les positions de soumissions.

Je la mets à quatre pattes, je titille avec ma langue son trou du cul mais je sens qu'elle se crispe, j'abandonne donc l'idée que j'avais derrière la tête et je m'attaque a sa vulve en feu qui ne demande que des coups de queue lent d'une queue bien épaisse.

Dans cette position son jolie cul est bien relevé vers moi, je m'agrippe a ses fesses et je bouge très lentement dedans, dehors en effectuant des petits ronds quand soudainement je vois sa tête bouger sur le lit en posant alternativement une joue après l'autre sur le matelas. Elle bouge lentement ses bras comme si elle exécutait une nage a la brasse et serre très fort un coussin qui était à portée de sa main gauche. Ah ah ah ah ah ah! Fit-elle, elle jouit, je sens ma queue plantée bien au fond de son ventre subir des petites compressions de la chatte de mon amour.

J'ai moi aussi envie d'exploser devant ce spectacle, je me retiens et je la retourne parce que je voulais qu'elle regarde l'expression du visage de son chef, de son cadet, de son nouvel amour au moment de sa jouissance.

Je m'introduits à nouveau dans sa chatte mouillée par sa jouissance, j'accélère un tout petit peu et je finis par décharger tout mon foutre au fond de sa chatte, quand je jouis elle m'emprisonne en croisant ses jambes autour de mes hanches, elle ne voulait rien perdre de mon liquide d'amour.

Nous nous nous sommes embrassés amoureusement, avions échangés un petit sourire et sommes allés sous la douche.

Depuis ce temps Gaëlle et moi sommes toujours ensemble et très amoureux, nous nous offrons à cœur joie à de nouvelles expériences au bureau et en dehors et personne ne nous a jamais surpris. Nous croisons toujours les doigts à chaque rendez-vous.