Ma femme chez ses collègues

- Par l'auteur HDS Patrick Mateur -
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma femme chez ses collègues Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-03-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ma femme chez ses collègues
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Après l’incroyable scène qui s’était produite chez le couple Jacques et Myriam ( « Ma
femme chez mes amis »), les semaines et les mois sont passés ou à la fois ma femme
refusait de se montrer nue ou en sous-vêtement dans la vie de tous les jours mais
acceptait certains petits jeux en prélude aux cunnilingus qu’elle me réclamait .. Mais
au bout d’un moment il lui arrivait de freiner son plaisir pour aller s’enfermer dans
la salle de bain .. Par ailleurs il m’était presque impossible durant tout ce temps de
lui faire l’amour sans la revoir se tortillant sur la table d’auscultation.. alors
qu’elle même n’arrivait pas à retrouver ces sensations qui lui semblait interdites et
honteuses. Au point, je l’appris plus tard qu’elle se confia à son amie, Catherine,
collègue de travail dans l’entreprise pharmaceutique où elle était secrétaire..
Bien sûr fasciné par le souvenir de cette soirée de strip-tease imposé et par ce qui
avait suivi, je n’avais de cesse d’imaginer un stratagème pour retrouver toute
l’équivoque d’une telle situation… Au point par exemple d’échafauder tous les
scénarios possible quand par exemple nous faisions les courses au supermarché,
j’aurais donné n’importe quoi pour nous voir entraîner dans le local des vigiles,
qu’elle soit suspectée de vol et doivent subir une fouille qui passait forcément par
un effeuillage sous la contrainte.. mais en vain, on est pas dans une histoire…car la
séance d’abus physique que j’imaginais de la part de jeunes vigiles aussi bien membrés
que pervers relevait bien du pur fantasme délirant et j’en étais quitte pour me
tourner la scène quand ma femme acceptait de me sucer du bout des lèvres et dans le
noir.
Mais la chance allait m’accompagner au-delà de toute espérance avec cette collègue de
travail que je connaissais d’ailleurs à peine pour l’avoir rencontré à la maison
quelque fois .. cette Catherine que je croisais en attendant Patricia dans ma voiture
à la sortie de son travail …elle avait dans la cinquantaine, et était assez allumeuse
dans son comportement…me brancha sur une petite soirée que le service administratif de
la boite organisait la semaine suivante…
‘ Patricia m’a raconté votre petite mésaventure chez le copain toubib…ça l’obsède…
Elle a besoin de se changer les idées, venez-donc à cette petite soirée, on sera entre
nous et on pourrait encore trouver un moyen de s’amuser… ‘
Là vraiment je ne saisissais pas ou elle voulait en venir mais j’ai commencé à avoir
des doutes quand dix minutes après Patricia a fini par m’avouer qu’elle lui avait
aussi parlé des petites mises en scènes érotiques que j’inventais ou surtout voulait
qu’elle accepte du genre se dévêtir dans des allées d’immeuble ou quiconque pouvait
surgir.

Bien sûr je me gardais bien de faire allusion aux propos équivoques de Catherine sur
la fameuses soirées.. les jours qui suivirent j’avais la tête en ébullition et
l’imagination en cavale….mais je me raisonnais face aux désillusions quotidiennes de
mes tentatives de stratagème…J’avais fini par penser qu’on allait lui faire raconter
en public sa petite expérience, suprême affront avec ses collègues de travail…de toute
façon ma femme ne voulait pas y aller, mais là j’avais ma petite idée.. d’autant que
je m’étais fait préciser le lieu et l’adresse en téléphonant à la réception de la
boite..
Le soir arriva et je réussi à convaincre Patricia de s’habiller pour sortir au
restaurant… c’est à dire mettre une robe et des chaussures à talon, ce qui la
connaissant était un exploit depuis notre mésaventure ou elle avait plutôt banni les
jupes ou les robes…Elle portait un ensemble chasuble avec petite veste cintrée.. Le
printemps approchait et allait ramener les vêtements légers, mais les femmes dans la
rue étaient encore habillées comme en hiver… dans la voiture j’en profitais pour mater
ses genoux sur ses collants couleur chair…
Nous dînâmes dans un petit restos que je m’étais fait conseillé non loin de l’adresse
en question et en repartant je en me souviens plus comment je me suis emmêlé les
pinceaux pour lui rappeler la soirée, que je connaissais l’adresse et que justement
nous passions devant la maison du lieu de la soirée..
Je réussi à la convaincre que si tout le monde était là, la seule absente se ferait
allumer le lundi suivant…
‘ Juste un petit quart d’heure, le temps de dire bonjour… ‘
Je vous épargne la suite car je sens que vous avez très envie d’en venir au fait… Nous
fûmes reçus avec des cris de bienvenue, visiblement on s’amusait bien dans cette
atmosphère vaporeuse provoquée par les fumées des cigarettes et une musique de salsa
qui faisait se trémousser quelques couples au centre d’un vaste salon.. je ne
connaissais pas la moitié des invités.. peut-être une trentaine de personnes, surtout
des couples…moyenne d’âge quarante ans.. donc pas vraiment de minettes à part une ou
deux stagiaires plutôt mal habillées…
Je sentais les regards des hommes sur ma femme presque la mieux vêtue de cette soirée
avec sa robe et ses chaussures à talons.. il faut dire et je ne l’avais pas précisé
auparavant qu’elle est plutôt mignonne, cheveux châtain blonds mi longs, yeux
noisettes, un mètre 68, le genre poupée réservée avec un voix très douce qui traîne
sur les labiales.. depuis peu elle devait porter des lunettes pour la fatigue des
yeux, elle les avait mise puisque nous étions en fin de soirée…des petites lunettes
rondes qui lui donnait un air un peu intello…de plus elle était assez gironde avec des
fesses rebondies et du 95D de poitrine et comme elle est assez cambrée, sa poitrine
forte ressort en général.. là sa robe la moulait plutôt très prés…et je pris un grand
plaisir a voir les regards masculin suivre le mouvement de ses jambes quand elle
s’assit dans un des sofa et que la robe remonta presque à mi-cuisse et qu’apparu la
démarcation plus foncée de ses collants. Patricia le remarqua aussi et s’empourpra,
elle connaissait tous ces mâles qui avaient plus l’habitude de la voir en pantalon ou
avec des vêtements assez flou. Catherine qui nous avait rejoint enfonça le clou :
‘ elle est très coquette , notre Patricia …ce soir ! ‘
Elle avait dit cela très fort avant de disparaître vers un groupe voisin. Le premier
quart d’heure fut assez long et après trois biscuits et un jus d’orange Patricia
voulait partir.. Jean Bernard surgit alors, je savais que ce cadre avait tourné autour
de mon épouse au boulot, il fit taire l’assistance en déclarant : ‘ je propose puisque
l’ambiance retombe que l’on rejoue a nouveau au jeu de la vérité et je propose que ce
soit la dernière arrivée qui s’y colle pour commencer ‘ Et de designer Patricia qui
faillit en renverser son verre.. Malgré une bonne minute de négociations et
d’hésitation, elle put évidement rien faire pour refuser face à l’assistance qui
approuvait, elle concentra ses efforts pour se lever de ce sofa bien bas sans que le
bas de sa robe ne remonte trop.. je la reconnaissais bien.. et c’est toute confuse
qu’elle prit place au centre du vaste salon emmenée par Jean Bernard. Sans sa veste
avec sa robe et ses bras nus , elle dandinait légèrement en croisant ses mains devant
elle .
J’avais entendu parler de ces petits jeux de société entre collègues relancé sans
doute par ‘ les lofteurs ‘, mais j’imaginais mal ce qu’elle allait bien raconter.
Catherine l’invita a quitter sa veste, la aussi son refus initial fut balayé par
l’insistance des premiers rangs et c’est dans sa petite robe crème , les épaules nues
qu’elle se retrouva debout, très gênée parce qu’elle a horreur de s’exprimer en public
, pour subir l’épreuve du jeu de la vérité.. Catherine pris le relais en interrogeant
tout haut l’assemblée :
‘ Qu’est ce qu’il faut demander à Patricia ? ? ‘ ce jeu dans sa version branchée veut
que l’on pose des questions très précises en général tres intime et qu’une fois la
réponse apportée selon le sujet le groupe clame :
‘Prouve le !’
Très en vogue dans les fin de soirée mondaine…
Age, défaut principal, manie, passion en dehors du boulot, Patricia passait le cursus
habituel et se détendit quand il fallu prouver que le chant était son dada ( elle fait
partie d’une chorale ) et nous en poussa une.. tout cela était finalement bon enfant,
et j’en vins presque à regretter mes pensées obscènes du début.. pourtant je ne
pouvais m’empêcher dans certains regards de deviner quelques arrières pensées en la
voyant là avec robe couleur crème qui moulait avantageusement son buste , toute
gentille et timide à la fois… mon regard croisa celui de Catherine : j’eus la
sensation qu’elle devinait mes pensées et elle s’adressa à moi :
‘ à présent demandons à Patrick quelle serait la dernière question à ne surtout pas
poser à sa femme devant tout le monde ? ‘
Alors là… déjà électrisé sans doute en voyant celle-ci blêmir comme si elle
s’attendait à ce que j’allais dire , et je ne sais toujours pas comment j’ai pu dire
ça, mais je le dis à haute voix :
‘Lui demander ce qu’elle porte sous sa robe.. ‘

Il y eut comme une chape de plomb .. personne ne s’attendait à ce que je dise cela :
mais quand on jette un os dans l’arène ça peut transformer une foule…quelques ‘haa’ de
stupeur’ et quelques rires étouffés…D’autres indignés, surtout des dames me semblait-
il.. mais Catherine rebondit aussitôt :
‘Voilà une bonne question.. qui va mettre du piquant au jeu, bravo Patrick !’
J’étais tétanisé, tout le monde me regardait à présent…J’avais oublié Patricia, quand
je revenant sur elle attiré par sa voix :
‘ Arrête, Patrick ; je t’en prie et toi Catherine ce n’est pas drôle !!’
- C’est le jeu…ma chérie..
Patricia renchérit en disant qu’elle ne jouait plus mais ce fut un tollé dans la
pièce..
Catherine la mit devant le fait accompli :
‘ Tu vas pas encore jouer la sainte nitouche ici, ça suffit au boulot.. hein, qu’est
ce que vous en pensez tous ? ‘
Patricia ne savait plus que faire face à une déferlante de huées la concernant.. Elle
resta finalement muette comme en signe d’acceptation..
De nouveau je ressentais cette atmosphère particulière qui m’avait subjugué durant
l’expérience précédente : j’imaginais ce qui pouvait arriver mais ce qui allais suivre
dépassera mon imagination …Comme Patricia restait totalement muette aux invitations de
Catherine et des autres pour décrire ce qu’elle portait sous sa robe, ce que
j’ignorais dans le détail également.. Mais je ne pensais pas qu’elle porte de
combinaison ou jupon n’ayant aucunement aperçu de dentelles quand elle s’était assise
ou levée.
Sa collègue contourna ce silence :
‘ alors je pose les questions et tu réponds : tu as sans doute un soutien-gorge sous
cette robe ? ‘
Patricia les yeux baissés ne répondait toujours pas ..
‘ Si tu ne répond pas , tu as un gage, Patricia… ‘
Les autres s’exclamèrent – oui, un gage ! !-
Alors ma femme d’une petite voix prononça un ‘ oui ‘ imperceptible ; mais Catherine ne
lui laissa pas le temps de respirer :
‘ Alors quel couleur ? ‘ Puis s’adressant aux autres ‘ La petite Patricia doit
certainement être sagement une adepte du blanc , non, c’est ça ? ‘
Ma femme s’était décomposée : elle me regarda mais ne s’étonna pas de voir
certainement que je commençais à jubiler. Pressée par Catherine elle hocha finalement
la tête pour indiquer qu’elle portait du ‘ blanc ‘.
. Sa collègue de bureau leva les bras et invita l’assistance comme prévu à pousser le
fameux ‘ Prouve -le ! ‘
Patricia s’était reculée.. On entrait dans le vif du sujet : évidemment la menace d’un
gage peut-être encore plus contraignant poussa malgré tout ma femme à tenter de ‘
prouver ‘ en montrant le moins possible : elle tira une des épaulettes de sa robe sur
un morceau de bretelle effectivement blanche.
‘ Non, ma chérie, on ne voient rien du tout comme ça… ‘
Moi, d’où j’étais placé j’avais bien compris qu’elle était bien simplement en soutien-
gorge sous le haut de sa robe…C’est Jean-Bernard qui s’étant approché, a conduit les
invités en leur désignant du doigt la fermeture à glissière dans le dos , à réclamer
que celle-ci soit descendu pour avoir réellement une preuve… Patricia ne savait plus
quoi faire, elle s’empourprait de plus en plus.. La situation glissait vers sur un
terrain plus qu’excitant… Elle supplia les premiers rangs d’arrêter cette comédie ,
mais sa supplique déclencha plutôt une franche hilarité..
Elle voulut quitter le centre de la pièce mais un mot glissé à l’oreille la retint ;
une menace ?
Elle comprit sans doute qu’il n’y avait plus grand chose à faire que de céder à cette
soi-disant dernière épreuve…
Jean Bernard s’était attaqué au bouton dans le haut du dos et puis a commencé à
descendre le zip, lentement, plusieurs personnes se sont alors déplacé pour regarder..
Patricia croisait ses mains nerveusement en sentant sa fermeture descendre.. Jean-
Bernard paru déçu de ne pas pouvoir aller plus loin qu’à moitié du dos : le zip ne
descendait pas plus bas.. On apercevait cependant très nettement l’attache d’un
soutien-gorge blanc avec une double agrafe.. Catherine leva les bras pour inviter le
groupe a réclamer plus… ‘ On ne voit toujours rien !! ‘ ce fut en gros ce qu’elle
incita tout le monde à crier…Cette petite séance semblait vraiment beaucoup amuser
tous ces gens…Autant les hommes que les femmes d’ailleurs…Patricia était loin de
s’amuser, elle réagit très mal à cette harangue de l’assistance :
‘ C’est terminé ! Vous me laissez tranquille maintenant.. ‘
Elle était furieuse… Selon l’expression ses yeux lançaient des éclairs derrière ses
petites lunettes…
Je tiens maintenant à préciser que ce qui va suivre s’est déroulé très vite…Tout va
basculer en moins d’une minute peut-être, je n’ai pas calculé… tout le contraire de ce
qui s’était passé chez Jacques et Myriam où l’exhibition de ma femme avait duré un
long moment au fur à mesure qu’elle s’étaient dénudée..
Ici tout a été très rapide dans une ambiance non plus lourde mais électrisée, mais la
sensation était pourtant décuplée avec tout ce monde , et en plus des gens qui
connaissaient très bien ma femme…
C’est Jean Bernard qui se trouvait toujours derrière elle qui a saisi la balle au bond
: ‘ Non, ce n’est pas terminé, puisqu’on te dis qu’on ne vois rien.. ‘En même temps
qu’il parlait il s’est accroupi..je ne comprenais pas son geste puis en prononçant je
crois un truc du genre : ‘ maintenant on va voir ! ‘ il a brusquement écarté et tiré
sur les deux épaulettes et tout en pliant les jambes descendu d’un coup sec le haut de
la robe jusqu’à l’estomac de ma femme, dévoilant pour de bon le soutien-gorge blanc
qui enfermait sa poitrine : elle poussa d’abord un petit cri aigu sous l’effet de la
surprise, suivi d’un cri plus rauque qui modulait un ‘ non ! ‘ plaintif…
Elle secouait la tête en essayant de se débattre parce que la robe baissée lui avait
enfermé les avant bras et elle était offerte en soutien-gorge sans pouvoir se
rhabiller : les rires fusaient dans l’assistance mais aussi les commentaires des
hommes en découvrant le soutien-gorge de marque qu’elle portait : toujours à armature,
tulle brodé sur les bretelles et sur le décolleté, petit nœuds à la base des bretelles
et des broderies florales sur le haut des bonnets qui dissimulait partiellement les
pointes de ses seins bien ronds : ma femme se contorsionnait sous l’effet de la honte
et elle se mit a vociférer en traitant Jean-Bernard de salaud.. tandis que Catherine
tout en la désignant du doigt à la cantonade se moquait d’elle apparemment.. tout cela
encore une fois en quelques secondes .. car en s’attendant traiter de salaud Jean
Bernard qui était toujours accroupi derrière a dit quelque chose comme :
‘là je suis un salaud ‘
tout en saisissant à nouveau les deux pans de la robe qui faisaient des plis tout
autour du ventre de Patricia et en tirant à nouveau pour amener le vêtement sur ses
pieds .. il du s’y reprendre à deux fois car Patricia ayant compris la manœuvre avait
tenté de s’écarter, mais elle ne put éviter le pire : la robe entraînée toute entière
à ses pieds la dévoilant en collant ! Elle cria encore plus fort je me souviens et
libérée de ses mains essaya de rattraper sa robe , mais en sursautant sous l’effet de
la surprise, elle l’avait enjambée et ce qui n’était plus qu’un morceau d’étoffe avait
déjà été poussé du pied par Catherine sous les hourras du groupe..
Voyant qu’elle ne pouvait plus se couvrir, Patricia se baissa maladroitement tout en
tournant et couvrant de ses mains son bas ventre et de ses avant-bras sa poitrine…
Beaucoup riait aux éclats, un voisin s’exclama : ‘Génial !’.. une femme plus loin : ‘
elle est pas gênée de se montrer comme ça !! ‘
Patricia ne savait plus ou se mettre en pleine lumière au milieu de la pièce, elle
était à moitié recroquevillée tentant de cacher comme elle le pouvait le haut de son
collant et la culotte qu’il couvrait mais de par sa position , le buste en avant, sa
poitrine débordait du soutien-gorge et la rendait encore plus excitante et ridicule à
la fois : de plus elle se mit je crois à dire ‘ au secours ! ‘ ou encore ‘ ne me
regardez pas !’ ce qui eut pour résultat d’accentuer les rires et moqueries à son
égard, aussi comme si elle prenait conscience de sa situation elle se mit ensuite à
trépigner en fermant les poings…découvrant pour de bon le bas de sa personne et les
hommes purent à loisir détailler le collant chair à démarcation, plus sombre au dessus
des cuisses et dessous en transparence la culotte gainante blanche qu’elle portait :
un losange uni au dessus du bas-ventre , galon de dentelles et le reste de la culotte
chamarré de motifs fantaisies…sous un collant ma foi très sobre dont l’élastique
remontait pratiquement jusqu’au nombril… J’hallucinais, ma femme en sous-vêtements
devant tous ses collègues de travail.. Certains cris ‘ A poil ‘ commençaient à se
faire entendre …Patricia injuria ceux qui avaient crié sans trop discerner d’où cela
venait…Je n’en revenais pas , elle employa des mots que je n’avais jamais entendu dans
sa bouche…Cela eut pour effet de réveiller le fameux Jean-Bernard qui s’était relevé
et reculé pour contempler son oeuvre et mater celle qu’il avait dépouillé de sa robe,
rejoint par un petit groupe d’homme qui voulait voir de plus prés la gentille
secrétaire en petite tenue… Jean-Bernard dit quelque chose à l’oreille de Catherine
qui fila dans une autre pièce tandis qu’il faisait signe aux hommes d’attraper
Patricia par les bras ..
Un se pencha vers moi en disant un truc du genre :
‘ Avec les sous-vet’ classiques de ta femme , ca me rappelle mes branlettes sur les
catalogues de la Redoute ! «
Plusieurs hommes s’étaient avancé pour maintenir ma femme, ils la main tenaient avec
un plaisir non dissimulé, et en voyant ma femme se faire tenir les bras en collant et
soutien-gorge par quatre ou cinq homme et continuer à la fois à hurler et pleurer de
dépit je sentis une onde parcourir toute ma colonne vertébrale jusqu’à mon sexe ;
c’était trop bon, et j’ai carrément senti cette sensation se multiplier quand
Catherine est réapparue avec une paire de ciseau..
Encore une fois les secondes s’écoulaient à toute vitesse mais la scène est imprimée
dans ma tête … Jean-Bernard alors raconta un truc sur les injures de ma femme lui
demandant de les retirer, elle lui cracha au visage !!! Je répète : elle lui cracha au
visage tenue par les deux bras, incroyable, c’est alors que sous les bravos il coupa
la bretelles droite du soutien-gorge, son sein gauche entraîné par les mouvement
brusques de Patricia sortit presque du bonnet libéré..
Je me faisais tout petit imaginant qu’on allait me dire – Patrick fais quelque chose
mais personne ne se préoccupait de moi à ce moment là, d’ailleurs aussitôt Patricia
hurla de rage mais le ciseau avait déjà sectionné la bretelle gauche ayant le même
effet pour l’autre sein, mais les armatures maintenaient encore les bonnets sous
l’effet des armatures .. ce qui surprit un peu Jean-Bernard, un répit où une voix
s’éleva : une femme brune plutôt plantureuse qui se leva en criant ‘ assez ! ‘
Elle exigea que Patricia soit libérée et se rhabille : ce devait être un cadre, mais
ce silence qui s’était établi comme si l’assemblée reprenait ses esprits, fut troublé
par une gerbe de sanglots : Patricia comme soulagée de sentir la fin de son calvaire
proche pleuraient à chaudes larmes…
Ce fut au contraire un stimulant pour les hommes qui la maintenaient toujours : l’un
d’eux apostropha la brune :
‘ D’ accord, Laurence, mais tu prends sa place ! ‘
Elle recula … Jean-bernard la toisa : ‘ Alors ?’
Cette Laurence eu une hésitation puis avec un air de défi elle lança :
‘ S’il le faut ! ‘
Jean -Bernard s’approcha en posant son regard sur les rondeurs que laissaient deviner
son pull moulant :
‘ Donc tu vas retirer ton chandail et descendre ta jupe… ‘
Laurence eut un sursaut puis esquissa un geste vers son pull quand un homme la
rejoignit en lui ordonnant d’arrêter ses conneries et la prenant par la main il
l’entraîna vers le vestiaire puis la sortie.. sans doute son mari.. le couple fut
suivi d’une demi-douzaine de personne qui protestaient mais qui ne levèrent pas le
petit doigt en passant près de Patricia toujours maintenue, sanglotante, les seins a
demi pendants dans son soutien-gorge relâché et les jambes à moitié pliées dans son
collant comme si elle était sans force.. les rires réapparurent à cause d’un autre
couple : la femme tirait vers la sortie son mari qui voulait lui rester au contraire…
Quant ils furent tous partis, il y avaient encore plus d’une vingtaine de personnes
dans la pièce .. et un coup d’œil sur les visages laissait voir une certaine avidité à
regarder la suite..

Une femme s’était approché de Patricia prostrée avec les bras croisés sur ses seins :
je la reconnus ; Odile, une peste , une commerciale que ma femme détestait : elle
l’apostropha :
‘ Tu ne fais plus ta mijaurée.. Patricia.. maintenant que tu les seins presque à
l’air et je suis sûr que ça te plait d’exciter les mecs en petite tenue avec ta
frimousse de fille modèle… je suis sur que ça te suffit pas d’être à moitié à poil !!!

Catherine s’approchant :
‘ Oui, elle doit mouiller, c’est une habituée maintenant.. on va vérifier… ‘
Patricia ne cessait de répéter ‘ -arrêtez, arretez… ! ‘
Invités par les deux femmes, le même groupe d’homme la saisit une fois encore et le
releva tant bien que mal : elle était comme un poids mort à présent …Catherine avait
repris le ciseau :
‘ Tu vas d’abord mieux nous montrer ta culotte, ma vieille .. ‘
Elle parlait avec une voix perçante, emportée par la situation, se régalant de la
détresse de mon épouse.
Patricia avait trouvé la force de dire :
‘ je vous en prie, j’ai trop honte d’être comme ça… ‘ puis ‘ Pas devant les hommes… ‘
Ma femme avait toujours le mot de l’évidence, mais certaine femmes présentes, ça se
voyait, prenaient autant leur pied de la voir ainsi bafouée et humiliée…
Catherine tira l’élastique souple du collant et tailla dedans malgré les coup de
jambes que lui donnait ma femme, elle arracha le collant par lambeau sur la culotte
gainante qui révéla enfin toute sa blancheur puis encouragé par l’assistance elle
essaya de passer sa main entre le tissu et le ventre, mais le sous-vêtement était très
tendu et Patricia recommençait à se débattre en poussant de petit cris affolés.
Jean Bernard s’était pendant ce temps là occupé de dégrafer son soutien-gorge, il
tomba ; libérant les deux seins lourds ballottés par les mouvement désordonnés de
Patricia
Catherine alors aidée d’Odile était occupée à rouler le bord de la culotte renforcée
et la glissa par saccade jusqu’à la lisière du pubis : je me disais dans ma tête :
est-ce bien possible ce que je vois : deux femmes en train de déculotter mon épouse ,
désormais seins nus , maintenue par quatre homme qui n’en perdaient pas une miette…De
plus pendant que les deux femmes s’affairaient à baisser la gaine-culotte Jean Bernard
et les autres s’étaient mis à lui peloter les seins mis a l’air sans retenue,
titillant les bouts bien érigés et faisant pousser de petits cris aigus à Patricia…
Finalement à mi-course Odile glissa sa main vers le sexe de Patricia qui se mit alors
à gémir mais de honte et en agitant sa main elle s’exclama :
‘ C’est ça , elle mouille, la garce !!! ‘

Etait-ce vrai ? Patricia ne me le dira pas … Puis Odile dit un truc comme ‘ on va la
contenter ‘, là je ne me rappelle plus, tant j’étais sous le coup de cette situation…
mais cette phrase déclencha une véritable scène d’hystérie, plusieurs hommes et femme
se précipitèrent sur ma femme , elle fut emmenée , portée vers un des sofas au fond la
pièce : j’aperçu qu’on la déculottai pour de bon tandis qu’elle suppliait le contraire
: je voulus me lever mais les mêmes mains ou d’autres me saisirent encore pour me
retenir, sauf que cette fois c’était pour aller voir… Tout cela se passait très vite…
il avait tout un groupe autour du sofa ,je ne voyais que des dos , les femmes riaient
tout ce qu’elles savaient tandis que les hommes faisaient des plaisanteries : tout
cela couvrait les cris de Patricia , des cris qui se transformèrent petit à petit…
J’aperçu sa culotte qui était passé de mains en mains…puis ma femme se mis à glousser
de sa façon si caractéristique quand elle commence à avoir un plaisir intense … je ne
voyais toujours rien et l’on me tenait toujours bien que je réclamais pour aller voir
: c’était atroce de ne rien voir après avoir justement vu tout ce qui s’était passé…
Les femmes riaient de plus belle, l’une d’elle était penché entre les jambes de
Patricia, je ne distinguais pas qui.. Patricia haletait à présent , j’aperçus Jean-
bernard qui se vautrait sur sa poitrine et qui lui suçait un bout de sein, puis à
nouveau rien, seulement les gloussements de plaisirs qui prenait de l’amplitude..
Quelqu’un apporta ce qui me semblait être un vibro-masseur… ce devait être ça car
juste après j’entendis des ‘ non, non ‘ répétés de Patricia puis une longue plainte …
quelqu’un cria à peu prés : ‘ on va la faire jouir par tous les trous ‘ et puis plus
rien…Patricia m’expliqua après qu’elle avait du s’évanouir tant la jouissance qu’elle
ressentit fut forte…En tout cas ils prirent peur et l’on m’appela…je trouvais ma femme
nue sur le sofa les yeux fermés en train d’haleter doucement, les jambes très écartées
au point que malgré sa pilosité rien n’était caché de son sexe ouvert surtout au
niveau du vagin d’ou s’écoulait un liquide un peu visqueux .. je m’apprêtais à lui
demander si elle avait mal quand au contraire elle me répondait qu’elle avait joui
comme jamais.. Je me suis demandé si je ne rêvais pas …Une femme m’a proposé alors de
me sucer devant Patricia…J’étais pourtant encore bien raide mais j’aurais préféré
m’enfuir.. On me posa dans les bras sa robe déchiré et sa culotte…ainsi que ses
lunettes, je n’avais pas remarqué quand elle les avait quitté…
Je l’ai rhabillé tant bien que mal sous les quolibets…la musique avait repris et une
fille s’était mis seins nus au milieu du salon en criant ‘ Regardez , je suis
Patricia… ‘ Seulement cette parodie n’intéressais plus personne.. beaucoup d’homme
avaient disparus et deux femmes étaient en train de se caresser mutuellement sur un
des fauteuils..
J’ai trouvé tout ça difficile à croire…
Patricia rhabillé tant bien que mal , nous avons pris un taxi car j’étais incapable de
me rappeler ou nous étions garé : elle tremblait de froid..
Cette soirée l’a anéanti mais a développé son envie de retrouver un plaisir défendu
parce que lié à des situations extrêmes … arrêt maladie, puis prolongation et
démission, elle n’a remis les pieds qu’une fois à la boite pour l’entretien de préavis
: elle m’avait demandé de l’accompagner …au delà de la honte de traverser l’accueil et
les bureaux administratifs, le plus difficile fut de se retrouver face à face dans un
bureau avec un des hommes qui l’avait maintenu lorsqu’on la dénudait…
Et ce connard lui a sucré une partie de ses indemnités par la suite sous la menace
dans un courrier manuscrit que la petite soirée avait été filmé avec un caméscope…et
qu’il fallait peu de chose pour que la cassette circule …C’était des bobards en fait,
j’en ai eu depuis la preuve..
Par contre la publication sur un site d’histoires érotiques de notre mésaventure
initiale a attiré l’attention d’un couple qui a prévenu Jacques et Myriam et j’ai reçu
un e-mail de Jacques : il m’explique que ce couple fait partie des nombreuses
personnes a avoir pu visionner un enregistrement de strip-tease de ma femme, parce que
Jacques aurait un dispositif pour filmer certaines de ses patientes…Le couple en
question qui a reconnu l’histoire les a prévenu et Jacques souhaite nous revoir au
plus vite …Intox à nouveau… ?
Patricia n’a pas du tout apprécié et veut savoir si ce film existe. Mais que faire ?

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Super
Rudy

Histoire Erotique
Si c'est une histoire vraie. ... c'est pas joli joli de faire endurer ca à sa femme.
.....



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