Salope à nouveau - Suite et fin (ou un nouveau départ)

- Par l'auteur HDS Tripatrois -
Récit érotique écrit par Tripatrois [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Salope à nouveau - Suite et fin (ou un nouveau départ) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2013 dans la catégorie Plus on est
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Salope à nouveau - Suite et fin (ou un nouveau départ)
Suite et fin (ou un nouveau départ !!!)
Suite à une autre bonne nuit de sommeil, je me préparai pour la dernière journée du colloque. Malgré nos activités fortes agréables du soir, trois jours et demi de colloque, c’est trop long. J’ai su par mes nouveaux amis de partouzes que normalement, le colloque était d’une durée de deux jours et demie. Comme il n’y en avait pas eu l’année précédente en raison de coupure budgétaire, celui de cette année avait été plus long.

Bref, après avoir embrassé ma femme au lit, je suis allé rejoindre les gars au restaurant de l’hôtel pour le petit déjeuner. Nous avons discuté de tout et rien, sans qu’il n’y ait aucune allusion à notre soirée de la veille, mis à part question sur comment elle allait. Voyant qu’elle était toujours aussi radieuse devant ce qui se passait, la discussion n’alla pas plus loin. Après le petit déjeuner, deux des gars nous ont avisés qu’ils devaient quitter, après la première conférence, pour retourner au travail. Pour les deux autres, ils comptaient rester jusqu’à la fin, soit immédiatement après la conférence de clôture du colloque au retour du diner.

Suite aux dernières paroles de ma femme la veille, j’avais un plan cul en tête. Les chambres devaient être libérées pour l’heure du diner, mais j’avais demandé à la réception de l’hôtel s’il était possible que la mienne ne soit libérée qu’à 15 heures, en raison de la présence de mon épouse qui ne voulait pas attendre dans le hall d’entrée trop longtemps. Ayant peu de demande du genre et la chambre n’étant pas réservée pour la nuit suivante, la réponse fut positive. Mon plan cul pouvait donc aller de l’avant. Après la première conférence, je suis passée voir mon épouse à la chambre pour lui demander directement si elle était partante pour un 3e round.
Hésitante au début, elle accepta la proposition après que je lui eu fait comprendre que son côté pute me plaisait. Elle ne devait pas s’inquiéter de ce fait.
- Tu ne me considères par trop salope ?
- Trop salope ! Non. Très salope, oui. Et j’adore quand tu es pute. Et toi, tu vis bien avec ça?
- J’avoue que j’aime ça. Mais ça ne veut pas dire que ça va toujours être ainsi.
- Je sais, je profite de ce qui passe et pour la suite, on verra.
- Alors si tes amis veulent se faire vider, tu peux leur dire que je suis d’accord.

Je ne lui dis pas que deux avaient quittés, ne trouvant cette information nécessaire et pertinente. De plus, les deux gars en question n’étaient pas les plus cochons du groupe. Dans un gang bang, il y a toujours des gens qui sont plus voyeurs que participants. Un de ces deux était très voyeur, et l’autre, malgré qu’il aime le cul, il avait de la difficulté à suivre le rythme. Ma femme ne s’en était pas plainte, mais elle avait aussi remarqué ce fait. Il avait quand même su lui donner du bon cul, mais sans plus. Bref, les plus cochons étaient toujours présents. J’allais rejoindre ceux-ci avant la fin de la pause pour lui proposer mon plan.
- Assistez-vous à la conférence de clôture ?
- Oui.
- Moi aussi.
- Dommage, j’avais quelqu’un qui voulait vous voir.
- Non. Mais elle est en feu !
- T’es toujours partant, dit l’autre.
- Oh oui. Elle a adoré ses deux autres soirées et moi aussi. En plus, vous êtes les plus cochons des quatre, alors même si on est moins, d’après moi ça va être pire comme party.
- Bien vrai, mais on doit quitter pour midi.
- Pas moi, j’ai déjà prévue le coup en leur demandant si on pouvait quitter à 15h, et c’est oui.

Deux beaux sourires au visage.
- La conférence ne m’intéresse pas tant que ça finalement.
- Moi non plus.
- D’accord pour tous alors. On dine ensemble rapidement et on se rend la voir.
- Oh oui, on va lui en donner toute une.
- Mets-en. C’est vraiment mon plus beau colloque à vie.

On retourna aux différents ateliers, la tête pleine d’idées, toutes plus vicieuses les unes que les autres. On se retrouva pour le dîner, et après avoir mangé rapidement, nous avons quitté la salle. J’attendis que les gars aient vidés leur chambre dans le hall de l’hôtel pour que nous arrivions tous en même temps à la chambre. Un peu avant 13 heures, nous étions à la porte. J’entrai et j’ai trouvé ma femme au petit salon, en jaquette.
- Quoi ? Encore en jaquette à cette heure ? lui dis-je.
- Je suis allé déjeuner vers 10 heures et j’ai remis ma jaquette, c’est tout, dit-elle rapidement.
- Bonjour Caro, bien dormi ?
- Oui, répondit-elle avec un grand sourire. Et vous ?

Ils répondirent oui en chœur. J’expliquai rapidement à mon épouse que les deux autres avaient du quittés, étant attendus au travail pour régler quelques urgences. Elle nous demanda si ça reprenait à 13h15 et je pris la parole.
- Écoute, comme tu aimes être une sale pute, on pensait rester ici pour te faire jouir comme une chienne.

Ses joues devinrent rouges, mais elle ne put cacher un léger sourire.
- Et a voir ton sourire, je pense que tu veux encore faire la vache, rajoutai-je.
- C’est comme tu veux, on ne veut pas s’imposer, ajouta un des gars.
- Oui, sens-toi à l’aise.

Voulant se refaire baiser en gang, elle prit son courage à deux mains et dit ;- Vous n’êtes pas très convaincant.
- Chéri, je crois qu’ils sont un peu mal à l’aise de te le dire, mais il te trouve vraiment bonne.
- Je n’entends rien pourtant, dit-elle un peu timide.
- Alors je me lance, dit l’un d’eux. Au pire elle dira non. Écoute ma belle salope, on aimerait bien te baiser comme une pute par tous les trous si tu es partante. Tes grosses boules de chienne nous font vraiment tripper et tu es une vraie trayeuse à queue. C’est mieux comme ça ?
- Un peu mieux oui.
- Ok, tu veux que je parle aussi dit l’autre en se rapprochant d’elle. T’es une sale truie videuse de couilles et poubelle à sperme. Quand tu es toute nue, t’es juste bonne à éponger des queues. La volée de cul que tu vas manger avec nous trois va être pire que les deux autres qu’ont t’a donné- Ma belle, ils ont raisons. Ton cul, ta plote et ta bouche sont faites pour recevoir des graines et tu le sais. Tu veux te faire mettre comme une putain ou pas ?
- Tu le sais que c’est ce que je veux, me dit-elle en me pognant la queue au travers mon pantalon.

On se lança littéralement sur elle pour lui enlever sa jaquette. Une fois debout, on la pelota en lui mettant nos mains partout. Une fois qu’elle fut lancée sur le lit, je me dépêchais à aller mettre le carton NE PAS DÉRANGER sur la porte en prenant soin de bien placer le loquet. Les gars enlevaient rapidement leurs vêtements et je fis de même. On embarqua tous dans le grand lit et on continua à la peloter tout en l’insultant.
- T’es vraiment une grosse pute.
- Tes grosses boules sont parfaites. J’aime tellement ça.
- Gâtes-toi, elles sont la pour ça. J’aime être une salope, c’est tellement bon.
Insultez-moi, traitez-moi de tout les noms qui vous passent par la tête, je suis juste bonne à ça.
- Ma femme est une vraie truie, on va te manger le cul et la plote maudite chienne à queue.

Malgré le fait que nous n’étions que trois, le party était bien parti. On lui mangea les boules en lui rentrant des doigts dans la plote. Elle s’agrippait aux queues autant qu’elle pouvait, et on lui mettait celle-ci dans la bouche de temps en temps.
Un des gars l’embarqua sur lui en position 69 et il lui mangea la plote bruyamment. Je me mis à lui lécher le trou du cul avec vigueur, adorant cela. Le troisième lui poignait les boules pendant qu’elle essayait de le crosser tout en suçant l’autre. On changeait de place continuellement, on voulait tous lui manger les trous et se faire sucer. Après une bonne quinzaine de minutes de ce traitement, elle fut placée à genoux pour une bonne défonce de sa bouche. L’orgie était plus vulgaire et on l’a dominé d’une certaine façon. Elle était notre poupée de cul.
- Tiens maudite chienne, prends ça dans ta gueule de pute, lui disais-je en lui enfonçant ma queue dans le fond de la gorge.
- À mon tour maudite putain sale, suces-moi.
- Manges mes couilles sale truie, t’es juste bonne pour le cul, salope.
- Vous êtes des porcs et je suis votre truie. Baisez-moi comme une chienne. Je suis juste une pute. Salops, j’aime vos queues.

On s’amusait avec elle et elle aimait ça. Après un peu de ce traitement, on lui offrit nos bites.
- Veux-tu te faire fourrer salope ?
- Non, je veux me faire fourrer et enculer. Et sucer en même temps. Prenez-moi comme une catin.
- C’est ce qu’on va faire maudite vache. Tu vas avoir de la misère à marcher après.
- Se faire prendre en sandwich c’est bon pour les putes comme toi.
- Oui, j’aime ça. Deux queues en même temps, c’est tellement bon, dit-elle entre lâchant la queue qu’elle suçait.
- Arrête pas de sucer maudite chienne, contentes-toi de baiser, on va s’occuper de tes trous de truie.

Ces désirs furent exaucés. On lui perça la plote, le cul et la bouche une bonne vingtaine de minutes en changeant de place régulièrement. Ses seins étaient secoués par les allées et venue de nos queues. Elle était vraiment belle. Pour ma part, je me passais une débarbouillette sur la queue après les visites dans son cul. Pour les autres, les condoms étaient changés. D’ailleurs, ceux-ci commençaient à se faire rares. Encore une fois, on devait penser à la finale.
- Belle chienne, tu veux quoi pour finir ? lui demandai-je.
- Non. Décidez. Vous m’avez fait plaisir les deux autres fois, c’est à votre tour. Moi je suis juste votre pute.
- C’est vrai, mais t’es tellement bonne au cul que tu le mérites salope, ajouta un autre.
- Exactement, dis-nous ce que tu veux.
- Gang de porcs, je vais faire ce que vous voulez.
- Fais attention à ce que tu dis salope, tu ne sais pas où ça peut te mener dire des affaires comme ça, répondis-je.
- Je suis prête à tout. Je suis votre objet.
- T’es vraiment une bonne pute Caro.

Je pensais aux deux dernières soirées et en me regardant, elle le savait bien. Je lui fis comprendre qu’elle devait me confirmer son désir. Elle me fit un sourire m’invitant à proposer la suite. Du moins, c’est ce que j’en déduis.
- Les gars, je pense que vous allez encore capoter sur ma pute. On vient où ?
- Moi sa face, ça me convient.
- J’avoue qu’elle avale comme une championne et elle prend ça dans la face comme une championne.
- Je ne dis jamais non à un bon facial, dit-elle.
- T’es mieux de manger du sperme.

Elle se contenta de nous sourire et se plaça à genoux la bouche ouverte en bonne putain qu’elle était.
- En même temps s’il vous plaît. Et partout. Je veux du bon sperme chaud. Plein de jus de couilles. Je veux boire du sperme.
- Inquiètes-toi pas salope, on va bien te graisser.
- C’est certain.

On se crossa en lui mettant nos queues dans la bouche de temps en temps. Elle se promenait d’une queue à l’autre, attendant sa récompense de jus blanc. On se regarda et on réussit à se synchroniser pour éjaculer en même temps.
- Pogne tes grosses boules sale truie.
- Oui. On va venir putain.
- Ça y est, je viens.

Les trois on éjacula en même temps. Vraiment en même temps et on lui en mit plein la gueule et plein la face encore une fois. Les giclées de sperme se croisait et atterrissait partout dans son visage. Les joues, la bouche, un peu dans les cheveux, du front au cou, elle avait le visage couvert de sperme.
- C’est tellement bon. J’aime le mélange de vos jus, dit-elle en se masturbant d’une main.
- Ta femme aime vraiment le sperme, c’est merveilleux.
- J’adore ses grosses boules. Elle est tellement chienne. T’es vraiment chanceux, ajoute le troisième après qu’on eu fini de jouir.

On lui passait nos queues dans la face et lui mettant du jus dans la bouche qu’elle s’empressait d’avaler.
- Je le sais que je suis chanceux. Et ce n’est pas tout, attendez la suite.
Alors la vache, on continue ? lui demandais-je.
- Je suis ta pute, tu fais de moi ce que tu veux mon salop d’amour.
- Vas dans le bain maudite truie.

Elle se leva et se dirigea vers la salle de bain en se dandinant le cul. Les autres me regardèrent, ne sachant pas trop ce qui allait se passer.
- Avez-vous déjà pissé sur quelqu’un, leur demandais-je rapidement, mais en chuchotant un peu.
- T’es sérieux là ?
- Oui. Ça fait deux soirs que je lui fais ça. C’est nouveau, mais elle semble aimer.
- Méchante bonne vache, ajoute l’autre. Depuis le temps que j’en rêve, je ne dirai pas non certain.
- Tout un trip de cul ça. Elle veut vraiment?
- On va aller voir ça, leur dis-je en me dirigeant vers la salle de bain, me plaçant dans le cadre de la porte. Alors ma pute, veux-tu te faire laver ?
- Je te l’ai dis, je suis ta pute et tu fais de moi ce que tu veux.

Les gars se rapprochèrent en nous sommes tous entrez dans la salle de bain.
- Certaine ?
- J’aime tout ce qui sort des queues. Venez m’arroser mes cochons. Et j’espère que vous avez bu beaucoup d’eau ce matin.

Les gars me regardèrent en riant. Ils venaient de comprendre pourquoi j’emplissais constamment leur verre d’eau pendant la matinée et le diner. Ma chienne alla s’asseoir dans la douche et nous nous sommes placés autour d’elle. Elle se leva le visage pour nous montrer qu’on pouvait y aller sans problème. Voyant que ça ne venait pas (probablement une certaine timidité), elle me dit d’aller ouvrir le robinet du lavabo.
Un des gars mentionna que la glace sur les couilles faisaient bien pour donner envie de pisser. J’allais en chercher dans le minibar et revins avec une poignée. Très bon truc, l’envie monta rapidement et elle eu un belle douche. Les gars on commencés par lui pisser dessus doucement, mais elle approcha son visage et ouvrit la bouche en fermant les yeux.
- Gâtez-vous mes salops.
- Maudite chienne de pute, dit un des gars en commençant à pisser plus fort.

On dirigea nos jets vers son visage, ses cheveux, dans sa bouche, sur ses gros seins lourds. Tout son corps fut aspergé de pisser pendant plus d’une minute. Je l’a vis en avalé un peu.
- T’as vraiment marié une vache mon chanceux.
- Je n’ai jamais trippé comme ça avec une truie.
- Je sais que j’ai une bonne putain.

Elle nous souri pendant qu’on pissait, montrant son appréciation. Une fois terminé, elle se leva, nous dit merci, et fit couler l’eau de la douche. La douche étant relativement grande, nous nous sommes lavés tous ensemble, ne manquant pas de la savonner et de lui mettre des mains partout. Quand les queues se sont tranquillement dressés à nouveau, elle nous masturba et nous suça jusqu’à ce qu’on lui éjacule dessus. Ses gros seins furent la cible préférée. Elle se massa avec le sperme en se masturbant.

Il était maintenant plus de 14 heures et on devait quitter la chambre. Les gars se sont habillés, l’ont embrassé la remerciant des moments passés en lui assurant qu’ils ne l’a jugeaient pas. Leur propos avait l’air sincère. Nous nous sommes serrés la main en se disant à la prochaine.

Lors du retour à la maison en voiture, ma femme dormit plus de deux heures à ma droite. Elle se réveilla en arrivant à la ville où nous demeurions. En se réveillant elle me dit ;- Tu ne m’en veux pas mon amour ?
- T’en vouloir ! Comment je pourrais, j’ai adoré ça.
- C’est vrai ?
- Écoute, j’ai toujours voulu que tu sois une bonne femme dans la vie et une pute au lit. Je ne peux pas être plus comblé. Je t’aime mon amour.
- Moi aussi je t’aime.
- J’ai seulement hâtes de recommencer.
- On verra. En tout cas, tu sais que je n’ai pas eu mon orgasme alors ce soir, j’espère que tu vas prendre le temps de me faire venir chéri.
- Je vais te manger la plote et le cul avec plaisir, et tu te feras vibrer le clitoris.
- Si je peux boire ton sperme une autre fois.

On arriva à la maison moins de cinq minutes plus tard. Elle embrassa les enfants en bonne mère de famille qu’elle était. La putain était partie pour une partie de la soirée. La voyant faire, je souhaitais secrètement qu’une nouvelle étape de notre vie s’ouvrait. Une étape de sexe et de gang bang où elle serait la reine de la soirée comme les trois derniers jours que nous venions de passés.

Ces aventures se sont passées au printemps 2012. Il s’agit d’histoires vraies relatées au meilleur de ma mémoire avec l’aide de ma femme. Bien entendu, les propos rapportés ne sont pas exact, mais ils rapportent bien le ton et le langage utilisé.

Depuis, d’autres aventures ont eu lieu. Si vous voulez les connaître, vos commentaires sont les bienvenues

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
cette histoire m'a mouillée !

Je suis curieuse de connaître la suite. J'ai aussi découvert l'urophilie et j'apprécie
tout autant que le sperme.
France

Histoire Erotique
hummmm tres bonne histoire oui j aime vos recits comme ca cela me donne encore plus
envie de donner ma femme aussi qui est une grosse chienne

Belle histoire. On verra la suite...



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