Une rencontre vraiment étonnante

- Par l'auteur HDS Babtousm -
Récit érotique écrit par Babtousm [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Une rencontre vraiment étonnante Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une rencontre vraiment étonnante
– Vous êtes nouveau, vous. Je sens ces choses là, me dit un inconnu en
s'asseyant à ma gauche.
C'était un homme lambda d'une quarantaine d'années, plutôt grand, et possédant un
embonpoint prononcé. Il portait un costume noir miteux, tacheté de curieuses tâches à
quelques endroits. Tout dans son attitude et son habillement semblaient brut, excepté
sa chevelure châtain parsemée de filaments argentés étonnamment bien entretenue. Il
était accoudé au bar, ses deux mains jointes, sa tête posée dessus, il souriait aux
gens, en saluait certains. Il semblait être un habitué du lieu. Il paraissait être de
ces gens rustres mais sociables qui embarrassent les autres de leur humour lourd mais
qui sont à leur aise partout. Il portait à son poignet gauche une montre « Rollex »
avec 2 « l ». Ce détail au lieu de m'amuser, me gêna. Mais il faut l'avouer, il
convenait parfaitement avec le lieu. Les murs étaient tapissés d'une fausse boiserie
bordeaux miséreuse. Des néons bleu et rose fuschia les parcouraient donnant à la pièce
une allure de karaoké. La lumière était tamisée. De rares hommes, souvent seuls,
étaient avachis sur leurs tables et buvaient de l'alcool. J'avais fait exprès de venir
en pleine journée. Je craignais que la boîte de strip-tease soit bondée. J'avais honte
d'être là, assis au milieu de ces tocards, à regarder d'un œil concupiscent de pauvres
filles, qui pour certaines, avaient prés de la moitié de mon âge. Leur fraîche beauté
tranchait avec la laideur du lieu. Je me sentais à deux doigt de m'en aller.
– Oui en effet, c'est la première fois que je me rends dans ce genre d'endroit.
– Je vous avais dit que je sentais ces choses là, j'ai un don, répondit-il l'air
fier, en tapotant de l'index de sa main gauche l'immense excroissance qui lui servait
de nez.
Je ne répondis pas et me focalisais sur l'incroyable spectacle qui se déroulait autour
de moi. De sublimes créatures moulées dans d'indécents vêtements déambulaient de ci
delà, l'air aguicheur. Mon regard s'arrêta sur une sublime petite brune aux énormes
seins perchée sur des talons de 15 cm qui d'une main caressait la joue d'un homme
hypnotisé et de l'autre soulageait son porte feuille en retirant délicatement des
billets dorés, sans que celui-ci n’émette une objection.
– Je vois que monsieur a du goût, me dit l'inconnu en me crachant la répugnante
fumée de son cigare au visage.
– Pardon ?
– Je vois que vous matez Bella, la brune aux gros seins là-bas, demandez lui un
strip en privé, vous le regretterez pas, croyez moi. Ha ! Elle a l'air grande comme
ça, pas vrai ? Perchée sur ses escabeaux. Regardez comme c'est grand, merde alors.
Comment les nanas font pour marcher avec ? Mais bon, c'est clair que c'est excitant.
Ça a un petit côté coquin, presque cochon, v'trouvez pas ? Bah vous voyez Bella, elle
est petite en fait, 1m55 max. Mais moi j'adore ça, les petites. Ça me fait penser à
des petites collégiennes. Je suis pas un pervers hein. J'aime pas les collégiennes.
Mais les femmes enfants ça me fait bander. Excusez mon anglais. Et puis quand elles
sont petites, elles sont moins lourdes aussi. C'est mathématique. Et c'est plus facile
pour les faire valdinguer, enfin vous avez compris quoi.
Il mima l'acte sexuel, en faisant d'obscènes va et vient avec son gros bassin. Et il
éclata de rire.
Embarrassé par la vulgarité de cet inconnu manifestement atteint de diarrhée verbale,
je n'eus comme réponse qu'un sourire gêné.
Ayant compris que je ne partageais pas son goût pour la grossièreté, son fou rire
laissa place à un raclement de gorge. Mais comme je sentais que son regard ne me
quittait pas, j'ai compris qu'il ne comptait pas en finir là.
– Vous savez comment j'ai su que vous étiez un bleu ?
– Dîtes moi …
– Vous êtes pas à l'aise, vous êtes tout raide, et pas raide comme on aimerait
l'être si vous voyez ce que je veux dire. Faut vous lâchez un peu, mon vieux.
– Oui, sûrement...
– Vous êtes venu pour quoi ? Pour mater comme un pauvre gars ou pour passer dans
le feu de l'action ?
– Je suis venu uniquement par curiosité vous savez, je n'ai rien prévu. Et vous
avez raison, je ne suis pas à l'aise. J'ai même assez honte d'être ici, mais je me
suis dit que ça ferait une expérience...
– C'est pas en restant assis à regarder les aut' que ça vous fera une
expérience, mon gars. Débarrassez-vous de vos scrupules. Faut pas avoir pitié de ces
filles. Au début j'étais comme vous, je me disais, merde c'est quand même un sale
boulot de devoir exciter des pauvres gars à longueur de journée. Mais elles aiment ça,
croyez moi. Elles aiment ça, faire bander des mecs et leur prendre leurs thunes. Si
elles voulaient, elles pourraient faire un autre boulot. Un boulot normal, quoi. Mais
non, elles restent là, parce qu'elles adorent ça, je vous le dis. Une fois, j'en ai
surpris en train de parler. Vous savez ce qu'elles disaient ? Elles se vantaient
d'avoir soutirer tant d'argent à tel client, et de le rendre accroc. Ha ! C'est pas
des saintes, ces petites là. Alors faut en profiter. Mettez vous en une sur le nœud,
vous le regretterez pas. C'est pas des pucelles, elles ont vécu. Elles connaissent le
corps de l'homme mieux que lui même le connaît. En un coup d'oeil, elles savent quel
est votre vice, et elle l'utilise contre vous, pour tout vous prendre. Elles en ont vu
des hommes... Faut être prudent avec ces petites poules, faut pas trop faire le
canard, faut que dés le début vous posiez les limites, tu me fais ça, je te donne ça,
pas plus, point barre. Sinon elles vont tout vous prendre. Je sais de quoi je parle.
Moi je viens, je me vide, je paie, je repars. Elles sont là pour ça, faut pas vous
gêner mon vieux.
– Mais... vous « vider », c'est à dire ? C'est interdit, non ?
Il éclata de rire.
– Ah ouais, effectivement, t'es vraiment un bleu. Oh, tu sais, c'est comme les
salons de message des chinois, tu sais très bien qu'en donnant un billet bleu en plus,
c'est pas ton dos que les petites vont masser... Bah ici c'est pareil mais en plus
cher, tu paies 50 euros, t'as le droit à un strip privé, tu donnes plus, t'as le droit
à la totale... Y'en a qui font plus de choses que d'autres d'ailleurs... Des trucs que
t'oserais pas demander à ta femme, si tu vois ce que je veux dire.
– Comment ça ?
– Ah, ça. Tu m'as pas l'air porté sur ces choses là, petit. Si un jour, t'as
besoin d'un conseil, tu viendras me voir, je te répondrai. Mais c'est pas des choses
qui se disent comme ça, tu vois.
Son air mystérieux titilla mon attention.
– Ah bah tiens, en parlant de trucs que t'oserais pas demander à ta femme...
Dit-il en désignant du menton une époustouflante créature.
Venait d'apparaître dans la pièce une immense jeune femme noire qui semblait sortir
d'un dessin de Boris Vallejo. Elle devait faire plus d’1m80 et était juchée en plus
sur des bottes très moulantes en cuir noires aux talons transparents de 15
centimètres. Tout dans sa physionomie était époustouflant. Le corps tout en courbes
féminines mais à la musculature étonnamment dessinée. Les lèvres pulpeuses et marquée
sublimées par un gloss rose framboise. Plusieurs parties de son corps semblaient avoir
été refaites : le nez qui était long et étrangement fin, les pommettes très hautes et
très saillantes, et la poitrine, qui, était absolument énorme. Elle avait pour
coiffure un tissage de couleur noir, qui lui faisait des cheveux d'indienne et qui
tombait jusqu'au milieu de son dos. Elle portait des bagues en or blanc à tous les
doigts sans exception, et des bracelets cloutés style s/m couleur argent aux poignets.
Elle portait une mini combinaison ultra moulante en cuir noir qui finissait en mini
short, et dont le décolleté laissait apercevoir son immense poitrine brune. Sa
combinaison lui collait tellement au corps qu’on pouvait presque compter ses
abdominaux dessinés tels une armure. Sa cambrure était vertigineuse et était d’autant
plus marquée par une large ceinture de cuir. Elles portaient de faux ongles très longs
et rectangulaires, des faux cils et des lentilles vertes qui magnifiaient son regard
de biche. Elle était tellement maquillée qu'elle semblait avoir été retouchée à l'aide
d'un logiciel photo. Sa peau était parfaite sans défaut, uniforme. Elle semblait douce
comme du velours ce qui contrastait avec sa musculature épaisse striée de larges
veines parcourant ses bras puissants et ses jambes nues sportives.
J'étais soufflé à la vue de cette véritable amazone des temps modernes.
– Qui est ce ?
L'inconnu pouffa de rire.
– Merde alors. On dirait que t'as vu la vierge Marie. Mais je te comprends.
J'étais pareil quand j'ai vu Crystal la première fois. Je me suis dit : Putain, c'est
un être humain ça ?. Elle est extraordinaire, pas vrai ? A la base c'est pas mon
genre, ce genre de femmes. Moi j'aime quand elles font naturel, mignon. Ça m'excite
trop les femmes enfants. Mais je crois te l'avoir déjà dit. Dés que j'ai vu Crystal,
je me suis dit, faut que je l'essaie. C'est elle qu'est venu vers moi, elle a du
sentir qu'elle pouvait me pigeonner. Putain, qu'est ce qu'elle était bonne. Elle était
habillée comme un cow boy mais version nana. Genre santiags, mini short en jean
déchiré, débardeur blanc moulant avec un décolleté ahurissant, chapeau de cow boy.
J'étais hypnotisé, je lui ai proposé un strip privé. Oh mon dieu, après avoir craché,
je rebandais déjà. Alors je lui ai demandé un rendez vous plus privé, si tu vois ce
que je veux dire... Oh mon gars, elle m'a pigeonné comme jamais. J'étais devenu
accroc, tous les jours je venais la voir, j'en pouvais plus. L'argent de poche de mes
gosses passait dans sa poche, j'ai honte de le dire, mais elle me rendait vraiment
fou. Mais y'a pas longtemps, j'ai arrêté de cracher des thunes, pas parce que je
voulais pas, mais parce que j'avais vraiment plus une thune, alors elle m'a lâché...
Tant pis ou tant mieux je sais pas. En tout cas je te la conseille, mais fais
attention à toi. Me dit il l'air nostalgique.
Ce discours, au lieu de me repousser, m'attira davantage vers cette intrigante
créature.
– Pourquoi avez vous dit « des trucs que t'oserais pas demander à ta femme » en
parlant de Crystal ? Lui demandai-je.
– Ah parce que, Crystal est .. spéciale.
Il me fit un clin d'oeil.
– Comment ça ?
– Tu verras. Regarde ça, elle a tellement de mecs à ses pieds qu'elle se permet
de recaler des clients. Je t'ai dit que ces nanas étaient pas à plaindre.
Un homme visiblement subjugué par sa beauté venait d'accoster Crystal en lui proposant
un strip privé. Cette créature juchée sur ses talons hauts le dépassait de plus d’une
tête. Pour toute réponse elle lui sourit et poursuivit son chemin. Il la rattrapa, et
lui proposa un supplément, l'air suppliant. « S'il te plaît, je te donne ce que tu
veux. Pourquoi tu veux plus de moi ? » lui demanda t-il. « Parce que t'as plus rien
mon chou. Reviens me voir quand t'auras les moyens pour m'avoir. » Lui répondit-elle
en lui tapotant la joue. Sa voix profonde et basse, m'excita. La scène se répéta avec
2 autres hommes, mais Crystal ne semblait pas disposer à travailler. Tout d'un coup,
son regard croisa le mien. Inexplicablement, je rougis et détournai les yeux. J'étais
impressionnée par la prestance de ce personnage hors-norme.
– Je crois que tu lui as tapé dans l'oeil. Merde, t'as de la chance toi, ou de
la poisse, c'est selon le point de vue. Bon je te laisse. Profite bien tant que tu le
peux...
Une main vint délicatement se poser sur mon épaule, et un parfum sucré et exotique
vint absorber mes pensées.
– Salut mon chou, t'es nouveau ?
Crystal vint s'asseoir à ma droite. Elle était encore plus belle et plus
extraordinaire de près. Je sentis une chaleur m'envahir. J'étais on ne peut plus
embarrassé et me sentait tout petit à ses côtés.
– Oui …
– T'es mignon, t'es tout gêné quand je te parle. Je te fais peur ? Dit-elle en
me caressant l'épaule.
– Non pas du tout, je vous trouve superbe.
Elle sourit, laissant apercevoir une rangée de dents blanches parfaites.
– T'es chou... Alors, tu m'offres pas un verre ?
– Heu, si bien sûr que voulez vous ?
– Comme d'habitude, dit elle d'une voix suave au barman. Et toi, tu bois pas ?
Me demanda t-elle.
– Heu, je n'ai pas l'habitude de boire.
– Tu vas pas me laisser boire toute seule, mon chou... Tu lui mets la même chose
que moi, ajouta t-elle au barman.
– Vous êtes vraiment belle, dis je encore stupéfait par son atypique beauté.
– Merci mon chou. Me répondit-elle comme si je venais de lui dire une banalité.
Alors t'es venu pourquoi ? Pour regarder ou pour t'amuser...
Elle posa sa main sur l'intérieur de ma cuisse. En regardant bien, je remarquais que
sa mâchoire était très marquée, mais je ne la trouvais pas moins belle pour autant.
Elle commença à caresser ma cuisse. Je me sentis durcir, ce qui me fit rougir.
– Je suis venu par curiosité, sans but précis...
– Laisse moi te guider... En restant assis, tu rates le meilleur ici, mon chou.
Me susurra t-elle à l'oreille en caressant plus énergétiquement ma cuisse.
Je posai ma main sur la sienne pour qu'elle arrête, ayant peur que mon érection
s'amplifie et se voit.
– T'es encore tout timide, c'est mignon. Allez bois un peu, tu vas voir c'est
bon.
Elle prit le verre et me fit boire. N'osant pas retirer le verre de ma bouche, je bus
toute la boisson pétillante qu'elle faisait écouler dans ma bouche.
– Qu'est ce que c'est ? Dis-je en me raclant la gorge.
– Du Dom Perignon, mon chou.
– Combien ça va me coûter ?
– T'inquiète pas, chou... Bois encore... Dit-elle en portant à ma bouche son
verre à elle. Encore une fois je n'osai pas retirer le verre de ma bouche.
– Je suis pas habitué à boire de l'alcool, je ne crois pas que ce soit une bonne
idée de me faire boire autant.
– Mais si, c'est une bonne idée, c'est pour que tu te détendes. Pour te faire
passer un bon moment... Tu viens ?
– Où ça ?
Elle sourit, me prit la main, et m'emmena dans une salle à l'arrière du club. Je me
sentais bien. J’étais hypnotisé par le mouvement de balancier que faisait ses fesses
lorsqu’elle déambulait sur ses talons. Je crois d'ailleurs ne m'être jamais senti
aussi bien. Elle me guida dans une pièce rouge sombre et m'assit sur un fauteuil au
milieu de la pièce. Je me laissai faire.
– J'arrive, chou. Je me prépare.
Je n'arrivais plus à penser, je n'avais aucune idée de ce qui allait se passer et je
m'en fichais. Après 5 minutes qui me parurent 10 secondes, Crystal revint dans la
pièce. J'étais soufflé. Elle portait des escarpins rouges à talons aiguilles, une mini
jupe en cuir noir, et rien en haut. Tout dans son physique était parfait. Sa
musculature puissante, presque masculine, pire, bestiale, était magnifiée par ses
seins ronds, lourds, parfaits. Elle s'avança, vers moi, féline. Et commença à danser,
lentement et doucement. Faisant onduler ses magnifiques fesses à 2 centimètres de mon
visage. Elle s'assit à califourchon sur ma jambe gauche et mima l'acte sexuel en
frottant son entre jambe sur ma cuisse gauche. Malgré la petite taille de mon pénis,
on pouvait voir au niveau du haut de ma cuisse gauche, une bosse gonfler au rythme des
frottements de Crystal sur ma jambe. Elle prit ma tête et l'enfouit entre ses immenses
seins. C'était moelleux, chaud et doux, son délicieux parfum m’ensorcelait.
– Tu aimes mes seins ? Ils font pas trop pouffe ?
– Euh, non, non, ils sont sublimes. Ils sont parfaits.
– Merci ! C’est un de mes clients préférés qui me les a payés. Il les appelle «
mes obus » car à chaque fois que je lui mets sous le nez, il explose.
– Mon dieu, j’imagine oui.
– Tu sais mon chou, en te voyant, j'ai tout de suite su que t'étais pour moi.
– Ah oui, comment ça ? Dis-je l'esprit ailleurs.
– J'ai vu que tu parlais avec Sam, mon chou. Il a dû te le dire. Dit elle en me
masturbant à travers mon pantalon.
Ses mains étaient incroyablement longues et grandes. Elles les faisaient passer
lentement mais fermement sur le long de mon pénis. Je pouvais voir les muscles et les
veines de son bras entier danser sous sa peau d’ébène transparente.
Ma respiration s’accéléra et je me retins de gémir.
– Il ne m'a rien dit, dis-je entre deux gémissements réprimés.
– De toute façon, je sais que tu es pour moi. Tu vas aimer. Je le sens. Dit-elle
en passant sa langue sur mes lèvres.
Je ne pus réprimer un gémissement.
– Tu vois que t'aimes. Je peux faire de toi ce que je veux, pas vrai ?
– Oui, c'est vrai, dis-je difficilement.
Je sentais que ça montait.
Quand elle sentit que j'étais sur le point de jouir, elle enleva sa main de mon
entrejambe et se leva.
– Tu veux que je continue mon chou ?
– Oui s'il vous plaît. Vous me rendez fou.
Elle éclata d'un rire rauque.
– Et qu'est ce que j'ai en échange mon chou ?
– Tout ce que vous voulez.
– Mais tu sais très bien ce que je veux...
Totalement hypnotisé, je sortis de ma poche mon porte feuille. Je l'ouvris et en
sortit deux billets de 50 euros. Elle me sourit, les prit, et les mit dans la mini
poche de sa mini jupe.
– C'est pas assez mon bébé. Tu veux pas que je sois la plus belle ?
– Vous l'êtes déjà...
– Faut bien que je m'entretienne, mon chou. Le maquillage, les vêtements, les
accessoires, les bijoux, c'est beaucoup d'argent...
– Vous avez raison.
Sans réfléchir, je sortis de mon portefeuille encore deux billets de 50 euros, tout ce
qui me restait, elle me les prit sans un merci, ce qui me fit durcir davantage.
– C'est toujours pas assez mon chou.
– Je n'ai plus rien, je vous le jure, dis-je en lui montrant l'intérieur vide de
mon portefeuille.
– Alors tu vas me faire plaisir autrement, ok ?
– Tout ce que vous voulez mademoiselle.
Elle baissa délicatement sa mini jupe. Je déglutis.
– Tout ce que je veux ? Hum... J'aime quand tu me parles comme ça mon chou.
Elle enleva sa jupe et j'aperçus sous son string une immense bosse, longue et large.
Le choc.
Une transsexuelle ? Comment se fait il que je n'ai pas senti son pénis lorsqu'elle se
frottait contre moi ?
– T'en as jamais vu d'aussi grosse, je suis sûre. Dit-elle d'un air suave.
Honteusement, je me rendis compte que son énorme organe m'excitait.
– Tu vas me faire plaisir maintenant d'accord ?
L'esprit déconnecté par la surprise, je ne répondis rien et me laissai faire.
Crystal me caressa la joue, puis les lèvres et passa son index dans ma bouche.
– T'as jamais sucé toi, je le sens. Je vais t'apprendre mon chou, t'inquiète
pas.
Elle sortit de son string son énorme pénis circoncis et frotta son gland sur ma
bouche.
Son sexe ne contrastait en rien d’avec son corps, il ressemblait à un de ses muscles,
veineux, puissant, noir, si vivant.
– T'as une bouche de suceuse, tu le sais ?
Je rougis de honte.
Elle me gifla violemment. Ma joue devint douloureuse.
– Ouvre la bouche plus grand. M'ordonna t-elle l'air sévère.
Je m'exécutai.
Elle enfonça la totalité de son sexe dans ma bouche, si bien que son gland se trouvait
dans mon œsophage.
– T'inquiète pas, je sais y faire.
Elle prit ma tête et la cala brusquement sur son pubis imberbe. Son pénis m'étouffait
je n'arrivais plus à respirer. Elle me maintint dans cette position une dizaine de
seconde.
– T'aimes ça quand je t'étouffe avec ma bite, pas vrai ?
Je sentis mes yeux larmoyants. Je suffoquais.
Et elle se retira brusquement.
– Je le sens que t'aimes ça, regarde, tu bandes encore, petite pute, dit-elle en
remettant son gland dans ma bouche. T'as rien à faire, tu gardes la bouche ouverte je
m'occupe du reste. T'as pas intérêt à mettre les dents.
Crystal enfonça encore une fois la totalité de son pénis dans ma bouche et fit de
violents va et vient.
– T'as vraiment une bouche de suceuse toi ! Putain, t'es vraiment une petite
salope ! Me dit-elle en gémissant comme un homme. Sa voix avait tout perdu de sa
féminité.
« Avoue que tu kiffes être la pute d'un black ! » me répétait-elle. Les violents va et
vient me rendaient groggy. Je ne comprenais plus rien de ce qu'il se passait. J'avais
du mal à respirer, l'air rentrait dans mes poumons au rythme des coups de bassin de
Crystal. Je sentais ma salive dégouliner le long de mon menton et des larmes s'écouler
de mes yeux. Je devais être affreux à voir. Elle me défonçait littéralement la
bouche. Je sentais seulement son énorme pénis se gonfler dans ma gorge et le répugnant
bruit que ma bave dégoulinante émettait lors de ces rapides allées et venues dans ma
bouche.
– Putain tellement tu kiffes ça, tu baves comme un chien ! Salope ! Vociféra
Crystal en poussant de forts gémissements.
J'avais l'impression de ne plus avoir affaire à la même personne. La sublime créature
qui me faisait boire du Dom Perignon s'était transformée en black dominateur.
Son élocution étudiée, lente, douce et suave était devenue abrupte violente et
vulgaire avec l'accent de ces gens qui vivent dans les cités. En fait, elle semblait
être devenue plus naturelle, comme cet adage le dit « Chassez le naturel, il revient
au galop ». Comme si derrière Crystal la magnifique se cachait un banlieusard violent
et autoritaire qui prenait son pied à tromper les hommes et les utiliser comme des
vide couilles. J'avais vraiment du mal à croire que ces deux personnes ne faisaient
qu'une. Elle m'avait d'abord charmé, s'était montré on ne peut plus agréable avec moi,
m'avait mis à l'aise, avait gagné ma confiance pour ensuite me brutaliser et
m'utiliser comme un vulgaire trou. Je me sentais insignifiant et sale. Pourtant,
malgré ce brusque et extraordinaire changement, mon érection était toujours aussi
intense. Puis je repensais à tous ces hommes, dont Sam, qui couraient après Crystal
pour, je le croyais, obtenir ses faveurs. Et je pris conscience qu'ils couraient après
Crystal pour en fait lui servir de quelconque trou, de salope, de pigeon, et qu'ils
donneraient cher pour être à ma place. En prenant conscience du pouvoir qu'elle
possédait, je sentis mon excitation monter d'un cran.
– Putain quand je t'ai vu, j'ai tout de suite su que tu serais une bonne salope.
Avec ton air d'abruti je savais que tu te laisserais faire, lança Crystal.
Entre chacune de ces phrases, Crystal poussait un gémissement. Je ne sais pas si
c'était ça ou le fait qu'elle ait tout de suite vu que j'étais une « lopette » qui
m'excita le plus.
– A partir de maintenant tu vas devenir mon plan cul préféré ! T'as compris ? Tu
vas tout avaler comme une bonne chienne ! Salope ! Putain je sens que ça monte !
Putain !
Et en disant ça, le bassin de Crystal fut prit de trois violents spasmes et cogna
fougueusement à autant de reprises mon visage et je sentis s'écouler dans mon œsophage
un abondant liquide douceâtre. Ses coups de bassins avaient été si puissants que je ne
sentis plus mon visage. Crystal poussait à présent de longs gémissements que je
trouvai tellement excitants que j'éjaculai à peu près en même temps qu'elle.
– T'as tout avalé comme une bonne chienne. C'est bien. Dit-elle essuyant son
gland sur ma bouche.
N'ayant pas compris ce qu'il venait de se passer, je ne bougeai plus. Elle fouilla
dans ma poche, prit mon portable et tapota sur les touches.
– Je me fais biper. Comme ça j'ai ton numéro. Quand j'aurai besoin de toi, je
vais te siffler. A partir de maintenant tu vas être mon vide couille et mon pigeon
attitré. Demain tu reviens ici. Je sais que tu kiffes être ma pute, dit-elle en
regardant d'un air narquois la tâche au niveau de mon entrejambe.
Comme elle ne me rendait toujours pas mon portable et qu'elle continuait à le
manipuler, je m'inquiétai.
– Qu'est ce que vous faîtes ?
– Je prends les numéros de ton répertoire, comme ça si tu viens pas, je vais
leur envoyer la photo.
– Quelle photo ? Dis-je en me sentant paniqué.
– Celle là.
Crystal mit brusquement son énorme gland brun sur ma bouche et prit une photo.
– Voilà je me la suis envoyée. A demain, salope. Apporte de l'argent. Dit-elle
en s'en allant d'une démarche féline.
J'étais piégé.
Et en y pensant, je sentis mon pénis se durcir...

Je ne me souviens pas bien de ce qu'il s'est passé les 24 heures qui suivirent.
J'étais dans un état de veille et d'excitation. Je n'ai pas réussi à dormir. J'ai dû
me toucher une vingtaine de fois durant ce laps de temps. Pourtant je suis tout ce
qu'il y a d'hétérosexuel. Mais elle me rendait fou. Je repensais à Sam qui me disait
de faire attention. Je me disais qu'il avait raison mais je m'en foutais. Succomber à
la tentation était tellement bon. Alors, le lendemain comme prévu, je me rendis dans
cette boîte de strip-tease parisienne, craignant et espérant en même temps, retrouver
Crystal...

Je m'assis à la même place que la dernière fois, et j'attendais, inquiet et excité la
suite des événements. Mais pas de Crystal. Curieusement, son absence m'attrista. Une
blonde filiforme et aux seins énormes me fit un clien d'oeil. Elle était vêtue d'une
robe moulante transparente sous laquelle elle ne portait qu'un string. Je rougis.
– C'est toi le nouveau pigeon de Crystal ?
– Pardon ?
Elle sourit malicieusement et passa du rouge à lèvre rouge vif sur sa bouche botoxée.
– J'ai vu la photo, dit elle en éclatant de rire.
Je vis que le barman, semblant d'ailleurs être également un transsexuel, qui écoutait
la conversation se retint de rire.
Crystal avait elle prévenu tout le monde ? J'étais devenu la risée de ces gens. Ces
gens que la société pointe du doigt du fait de leur supposé infériorité. Avec honte,
je pris conscience que cette idée m'excita.
Une odeur fruitée m’assaillit. Crystal.
– Salut mon chou, dit elle en s'asseyant à côté de moi.
Je sentis mon sang affluer rapidement à mes joues. Ce qui fit éclater de rire Crystal,
la blonde et le barman.
Crystal portait un magnifique manteau de fourrure marron beige et caramel, sous lequel
son corps était moulé dans une mini robe rouge moulante, au décolleté provoquant. Elle
portait toujours autant de bagues, mais en or jaune cette fois ci, et des escarpins
rouges. Elle avait un sac Gucci en cuir noir dans lequel était lovée une boule de poil
blanche.
– Bonjour mademoiselle, dis je timidement, vous êtes superbe.
– C'est du renard, dit elle en caressant son manteau.
– Ça a dû coûter cher..
– Ouais, ce manteau vaut bien plus que toi en tout cas. Je vous avais dit
qu'hier ce gars m'a carrément payé pour me sucer ? Il bavait tellement il me voulait
dans sa gorge.
La blonde et le barman éclatèrent de rire. « Quel pigeon » dit la blonde en me
regardant goguenarde.
– Au fait, hier t'as pas oublié quelque chose ? Me demanda de façon très
agressive Crystal.
Je l'interrogeai du regard.
– Le Dom Perignon, tu crois que c'était gratuit salope ?
– Mais je …
– Essaie pas de nous escroquer, aboya la blonde.
Décontenancé, je sortis mon portefeuille que j'avais rempli pour satisfaire les
besoins de Crystal.
– Combien ça coûte ? Demandai-je.
Crystal m'arracha mon portefeuille des mains et compta les billets. Il y avait
exactement 1200 euros.
– 1200e. Déclara Crystal les bras croisés.
La blonde lui lança un regard complice.
Il est vrai que j'avais prévu 1200 euros mais je comptais en dépenser que la moitié.
Je commençai à paniquer.
– Attendez, on a pris que 2 verres !
Crystal me regarda férocement. Le même changement brutal qui s'était produit la veille
s'opéra. Crystal la magnifique avait disparu pour laisser place à un banlieusard
extrêmement violent. Elle m'attrapa par la gorge. Je suffoquai.
– T'es en train de me manquer de respect là ?
J'essayai de répondre mais ma trachée était comprimée, je ne réussis qu'à émettre de
ridicules petits sons.
Elle m'envoya une puissante droite. Ma tête bourdonna plusieurs dizaines de secondes
et lorsque je repris la maîtrise de mes sens, je me rendis compte que j'étais à terre
aux pieds d'un homme, certainement un client, hilare.
– J'en ai pas fini avec toi bâtard, me dit Crystal en me crachant dessus.
Fou rire général. J'entendais les rires des clients se mêler à ceux des filles. Je
sentis une chose visqueuse me lécher la joue. Je me tournai vers elle et vit une
minuscule boule de poil blanc aux yeux globuleux. Par réflexe, je la repoussai.
Tout d'un coup, je sentis une atroce douleur aiguë se fixer dans mon entre jambe pour
ensuite se propager dans mon bas ventre puis dans mon corps entier. Je crois pouvoir
dire avec certitude que je n'ai jamais eu aussi mal de toute ma vie.
Crystal avait violemment appuyé le filiforme talon de son escarpin rouge Louboutin sur
mes parties génitales. Je poussai un vif et long hurlement.
– Ferme ta gueule, salope, ferme ta gueule. Dit-elle en appuyant davantage son
talon sur ma testicule droite.
Des larmes jaillirent de mes yeux. Je sanglotais. Mon dieu, j'avais tellement mal.
J'entendis des éclats de rire.
– Comment t'oses pousser New York comme ça ? Elle vaut plus que toi et toute ta
famille bâtard. Tout ce que tu mérites c'est de lécher sa merde.
Fou rire général. Je compris que « New York » était en fait le chihuahua blanc de
Crystal.
Je pleurai de douleur. Crystal retira son pied.
– J'en ai pas fini avec toi, salope.
Encore prostré par la douleur, je ne réussis pas à me relever.
– Si dans les 5 secondes, tu t'es pas levé, je te détruis les couilles sale
pute.
Je puisai dans ce qu'il me restait de force pour me lever le plus rapidement possible.
Comme la douleur s'était propagée dans mes jambes, je ne réussis pas à me tenir debout
accentuant la différence notre différence de taille, je me sentais encore plus
minable. Elle m'attrapa par le col et m’amena dans la même pièce que la veille. Les
larmes continuaient de couler de mes yeux. J'avais encore tellement mal.
– Mets toi à 4 pattes. M'ordonna t-elle en relevant sa mini robe.
Je pris peur. Elle n'allait quand même pas me …
– Pardon ?
– M'oblige pas à me répéter putain.
Elle me gifla et je m'exécutai rapidement. Les larmes de douleur furent remplacées par
des larmes de honte quand je la sentis baisser férocement mon pantalon et mon caleçon.
– S'il vous plait, je vous en supplie, ne me faîtes pas ça, psalmodiai-je.
Pour toute réponse elle me fessa.
– T'es encore pucelle toi. Je vais te défoncer ton trou du cul serré, petite
pute. Dit-elle violemment.
Sa voix était redevenue celle qu'elle avait originellement. J'avais l'impression
d'être sur le point de me faire prendre par un grand black à casquette. En y
réfléchissant ce n'était pas qu'une impression. Sans même m'en rendre compte, je
continuai de la supplier en pleurant.
– Je vous donnerais tout ce que vous voudrez, je vous en supplie ne me faîtes
pas ça.
Pour toute réponse, je sentis une chose dure rentrer rapidement en moi. Je ne pus
réprimer un gémissement de douleur. C'est comme si on m'écartelait avec un bâton de
bois.
– Mon dieu, arrêtez, je vous en supplie.
– Ferme ta putain de gueule, salope ! Dit elle en me donnant un violent coup de
bassin.
Une affreuse douleur me parcourait le bas du dos, tellement forte que j'en oubliais
celle qu'avait subi mes testicules.
– T'es vraiment serrée pour une salope toi. Tu kiffes sentir ma grosse bite
noire dans ton cul flasque de blanc ? Avoue ? Putain. Répétait Crystal en gémissant.
J'essayais de me dégager, mais ses immenses mains manucurées me maintenaient fermement
par les hanches.
Ses forts gémissements étaient rythmés par ses violents coups de bassins. J'avais
l'impression qu'elle me déchirait de l'intérieur. C'était un cercle vicieux. Plus je
criais et gémissais de douleur, plus je la sentais se gonfler et durcir en moi, et
donc plus je criais et gémissais de douleur. Crystal était en fait une vraie sadique.
C'était m'humilier, me brutaliser, me faire du mal qui l'excitait. C'était comme si
elle me pourfendait avec une épée. La douleur était inimaginable. A cet instant, tout
ce que je voyais c'était le mur miteux, et le sol imbibé de mes larmes et de ma salive
mais je pouvais aisément m'imaginer la scène. Une magnifique créature noire musclée à
la poitrine immense prenant son pied à sodomiser violemment à l'aide de son incroyable
pénis un pathétique homme blanc gémissant et pleurant de douleur. Malgré la douleur
qui me tenaillait, en imaginant la scène, je sentis avec honte mon pénis se durcir.
– Dis le que t'es mon vide couille, dis le putain ! M'ordonna t-elle en
enfonçant dans ma chair ses longs ongles manucurés.
– Je suis votre vide couille, dis je en pleurant, la gorge nouée.
Je sentis les gémissements et les va et vient s’accélérer. La douleur s'intensifia
graduellement. Ses mouvements étaient tellement violents que dans la pièce résonnaient
les claquements que son pubis faisaient en tapant mes fesses. Ses forts gémissements
masquèrent mes hurlements de douleur. Et tout d'un coup, plus rien. Crystal s'était
retiré. Je sentis après quelques secondes un liquide chaud et abondant sortir de moi.
Je ne pus m'empêcher de pleurer de douleur.
– Salope, t'as tes règles ou quoi ? Dit en riant sadiquement Crystal.
Elle essuya son pénis sur mon visage.
– A demain, sale pute. Apporte de l'argent.
Et elle s'en alla. Toujours à 4 pattes, je me retournai difficilement et aperçus
derrière moi une flaque de sperme rouge. Crystal m'avait littéralement fissuré.
Après une dizaine de minutes je réussis à me lever douloureusement. Et je me dis
que...
J'étais pressé d'être à demain.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J'ai tout adoré !
L'humiliation Hummmmm ! ! ! !
La violence ! ! ! !
La perversité, d'être séduit par une transsexuelle ! ! !
Génial, génial, génial.
Encore

Rudy

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J'aime pas trop la violence en fait... la domination oui, pas la violence. Désolé



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