La cousine timide - histoire érotique

Cet été la, je retrouvais une amie d'enfance, Florine, qui était en vacances chez une
de ses cousines, Laurence. Florine était une fille que je connaissais depuis l'école
primaire et j'étais resté copain avec elle au fil des ans, elle était devenue une
belle femme avec un corps de top model et une poitrine 95c. Laurence avait le même âge
que Florine, un peu ronde et très réservée. On sentait qu'elle avait reçu une
éducation strict.
Par une belle journée, Laurence nous proposa de faire un pique-nique au bord d'une
rivière. Elle connaissait un petit endroit très sympa. Une petite plage de sable au
bord de l'eau, dans un endroit isolé. Dès notre arrivée nous décidions de nous
baigner, moi en maillot de bain, Florine un petit maillot 2 pièces très sexy, Laurence
en maillot 1 pièce. Elle n'osait pas montrer son corps. Ce bain nous avait donner faim
et soif, le rosé mis au frais dans l'eau était agréable à boire.
A la fin du repas, le rosé commençait à faire son effet. Florine faisait toujours des
allusions au sexe, puis tout à coup elle annonça :
- Avec ce soleil, je vais avoir des marques de maillot !
Elle enlevait son soutien-gorge, exhibant ses seins ferme et rond. Puis regardant sa
cousine :
- Tu devrais en faire autant, c'est tellement agréable d'être nue au soleil !
- Oh non, je me met jamais nue en public. répondit Laurence.
- Aller, lâche toi un peu, tu est trop coincée. dit Florine.
- Aller Laurence, lui dis je, si tu enlèves le haut moi je me met nu !
Laurence rougissait de honte. Florine s'approcha d'elle et commença à tirer sur son
maillot. Après quelques instant de timidité, Laurence ce laissa faire. les deux femmes
étaient poitrine nue devant moi et ce n'était pas pour me déplaire.
- Dis donc Manu, dit Florine, tu n'as pas oublier quelque chose ? Chose promise, chose
due !
Je m'exécutais, moins pudique que Laurence. Les filles regardaient mon sexe.
- C'est la première fois que je te vois nu, me dit Florine.
- Oui, c'est vrai, je lui répondais. Et ça te plais ?
- Hum oui beaucoup, fit elle. Juste la bonne taille !
Le regard des filles sur mon sexe, commençait à m'exciter. Je sentais l'érection
venir.
- Hé les filles, je suis nu moi, Leur dis je, c'est pas juste ça. Profitez du soleil,
un petit effort ou je remet mon maillot de bain !
- Ok, me répondit Florine en enlevant le bas.
Son sexe rasé remettait de la pression dans ma verge qui commençait à ce dresser petit
à petit. Le rosé était en partie responsable de la situation. Je resservais un verre
aux filles, en espérant profiter de la situation, j'avoue.
- Aller ma chérie, dit Florine à Laurence. On attends plus que toi. Si tu te
déshabilles pas c'est moi c'est moi qui te l'enlève.
Florine m'étonnait, je ne lui connaissais pas ce côté bi et ce n'étais pas pour me
déplaire. Elle commençait à tirer sur le maillot de Laurence. Je l'aidais également et
Laurence, honteuse et hésitante, ce laissa faire. Elle avait un "ticket de métro" et
son sexe laissait apparaitre ses lèvres.
- Tout le monde à l'eau ! s'écria Florine. En plus ça te calmera Manu.
Nous nous retrouvions tout les trois dans la rivière. En jouant nos corps se
frôlaient, Laurence pudique avait tendance à cacher sa poitrine. Florine le remarqua
la première, elle commença par la chatouiller puis a la caresser, J'en faisais autant
de mon côté. Laurence ce laissait faire quand je la touchais, elle semblait plus
rétissante aux attouchements de Florine. Mon sexe était dur et raide malgré l'eau
fraiche de la rivière, je me frottait contre les filles. Je sentis soudain la main de
Florine sur ma bite, après quelques instants elle dit à Laurence :
- Vas y, branle le !
Laurence pris mon sexe timidement. Elle n'osait pas me regarder. Par compte la scène
avait l'air de plaire à Florine qui ce caressait les seins. Elle sorti de l'eau,
s'allongea sur la plage jambe écartées et ce masturba en nous regardant. Je bandais
comme un âne, je sortais de l'eau en tenant la main de Laurence et l'allongea près de
Florine.
- Vas y, suces le ! dit Florine à Laurence.
Laurence hésitait.
- Si tu le fais pas, c'est moi qui te suce. Ordonna Florine.
Laurence sorti sa langue et commença à lécher mon gland gonflé par l'excitation.
Florine se redressa et vint près de nous, elle caressait les seins de Laurence et
l'incita à avaler mon sexe tout en me caressant les boules. Elle embrassa Laurence,
puis me suça à son tour. Je m'allongeais et cherchais le clitoris de Laurence avec mes
doigts, son sexe n'était pas que trempé par l'eau de la rivière. Florine invita
Laurence à s'empaler face à moi. Les seins de Laurence, moins ferme que ceux de sa
cousine, ce balançaient au rythme du va et viens. Florine les attrapa et les suça. Je
pénétrais Florine avec mes doigts, elle vint s'assoir sur mon visage, je la pénétrais
avec ma langue. Les deux femmes criaient de plaisir.
- A mon tour ! S'écria Florine, qui se mit à quatre pattes à coté de moi. Je la
pénétrais en levrette directement, ce n'était pas pour déplaire à mon amie d'enfance
que je ne connaissais pas comme ça. Soudain Florine s'exclama :
- Hé bien, Laurence, qu'est ce qui t'arrive ?
La coquine, si timide au début, avait attrapé une bouteille vide et ce pénétrait avec.
Mon excitation redoublait. Elle nous avait oublier et jouait seule et dans toutes les
positions. Puis elle vint s'allonger près de nous en nous regardant, sans lâcher la
bouteille, et glissa doucement sous Florine. Elle sorti sa langue pour sucer le sexe
de Florine et mes boules au rythme des mouvements pendant que Florine la suçait.
Je n'allais pas pouvoir me retenir bien longtemps, je les invitais à s'allonger l'une
à côté de l'autre et me branlais au dessus de leur visages. Mon sperme jaillit sur
elles, Florine m'attrapa et suça mon gland puis elle le tendit à Laurence qui avala la
dernière goutte.
Je m'écroulais auprès des filles, nous sommes rester quelques minutes allongé au
soleil, puis nous sommes retourné dans l'eau pour nous laver. Laurence, la timide,
semblait moins farouche et participait volontiers aux jeux dans l'eau. La fin d'après
midi ce passa plus calmement, la soirée et les jours suivant, en revanche... Mais ceci
est une autre histoire !