Mes débuts dans la vie

- Par l'auteur HDS TITI ET GROS MINET -
Auteur homme.
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Récit libertin : Mes débuts dans la vie Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2013 dans la catégorie Pour la première fois
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(8.0 / 10)

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Mes débuts dans la vie
Je me présente, je m’appelle Christelle, j’ai 22 ans, je suis blonde, mince, j’ai une belle poitrine, 95 C, je mesure 1n70, les garçons se retournent tous sur mon passage mais moi, ça ma fait rien, moi, ce que j’aime c’est les filles. Quand je l’ai avoué à Bruno, un copain de fac, qui n’arrêtais pas de me draguer, il a simplement répondu :
- Quel dommage qu’une aussi belle fille que toi soit lesbienne. Tu ne veux pas essayer avec un homme ?
- Non, merci, vraiment ça ne me tente pas.
- Je serais toujours à ta disposition si tu changeais d’avis, je t’aime beaucoup.
- Oui, d’accord mais ne rêve pas trop.
Nous sommes restés très bon copain, même mieux, nous nous entraidons dans nos plans cul. Pour moi, d’être avec lui, empêche les autres hommes de me draguer, pour eux, je suis sa fiancée et comme il est très fort ils ne tentent rien. Pour lui, ma présence amplifie ses succès avec les filles, quand il les baise elles sont ravies d’avoir réussi à tromper une belle fille comme moi.
Quand il n’arrivait pas à ses fins rapidement avec une fille, il me la présentait pour la rendre jalouse, et régulièrement après m’avoir fait passer pour sa fiancée, il finissait par se la faire. Quand malgré tout il n’y arrivait pas et qu’elle me plaisait, l’air de rien il me la refilait et généralement ça marchait bien pour moi.
L’autre jour, c’est ce qui s’est passé, c’étais une très belle brune, presque aussi grande que moi, des magnifiques yeux vert et une peau fine et laiteuse, une fille magnifique, il l’avait rencontré en boite et malgré tout son charme, il ne réussissait pas à sortir avec elle. Quand il me l’a présenté, j’ai tout de suite compris a ses regards que lui, il ne l’intéressait pas du tout mai par contre moi……
Quelques jours plus tard, Nous sommes sortis ensemble au restaurant, il continuait de la draguer intensément, elle, elle n’a pas arrêté de me faire des avances, a tel point que j’ai fait comprendre a Bruno qu’il devait s’absenter.
Ce qui est bien avec lui c’est qu’on se comprend très bien à mots couvert. Rapidement il est parti pour soit disant une urgence, nous laissant seules toute les deux.
Dés son départ ses avances furent de plus en plus flagrantes et quand elle a vu que j’y répondais positivement elle a semblée très heureuse. Après le restaurant elle m’a emmené dans une boite un peu spéciale, je m’y suis très bien amusée et surtout le champagne a coulé a flot. Au petit matin, j’étais un peu pompette, elle m’a emmenée chez elle, juste deux rues plus loin. C’étais un petit studio très intime, une vraie bonbonnière, il n’y avait pas de tables, pas de chaises, juste un grand lit au milieu de la pièce. Épuisée, je me suis affalée dessus.
Rapidement elle est venue me rejoindre, m’a embrassée, caressée. C’était merveilleux, malgré mon état d’ébriété avancé elle m’a faite jouir plusieurs fois coup sur coup en me déshabillant sous ses caresses.
- Je vais te confier un secret. J’aime les filles.
- Moi aussi
- Ah bon et qu’es-que tu fous avec ce mec ?
- La sécurité, nous ne vivons pas ensemble, c’est juste un bon copain pour les sorties.
- Et tes amours alors ?
- Oh, c’est assez calme en ce moment.
Elle a accentué ses caresses et je suis repartie vers un grand plaisir. Après avoir jouis une nouvelle fois, j’ai réalisé que j’étais entièrement nue a me tordre de plaisir sous ses doigts et sa langue et qu’elle était encore toute habillée. J’ai attaqué son chemisier et je lui ai rendu un petit peu de ses caresses. Rapidement elle a gémis de plaisir. Quand j’ai voulu lui retirer sa culotte pour continuer mes caresses, elle s’est poussée puis a éteins la lumière. Je ne comprenais pas trop pensant qu’elle devait être très pudique, je ne m’y suis pas attardé, elle me donnait beaucoup trop de plaisir.
Au bout d’un moment elle s’est levée, a trafiqué un truc puis s’est couchée sur moi. J’ai senti un gode entrer doucement dans mon vagin. Je l’ai repoussé en lui disant :
- Fait doucement, je suis vierge, je ne veux pas que ton gode me fasse mal.
- Soit tranquille, je vais faire tout doucement et tu va avoir beaucoup de plaisir.
Je lui ai fait confiance, elle s’est retiré de moi, sa bouche a remplacé le gode puis ce fut ses doigts. J’éprouvais tellement de plaisir que j’étais sans réactions. Elle est a nouveau monté sur moi et le gode m’a à nouveau pénétré, comme j’éprouvais encore beaucoup de plaisir, je l’ai laissé entrer. Elle a poussé, j’ai senti mon hymen se déchirer mais je n’ai pas eut trop mal, bien au contraire, la jouissance m’a envahie pour ne plus s’arrêter. Je ne sais pas combien de fois j’ai crié mon plaisir avant qu’elle aussi se mette a gémir mais c’étais fantastique. Nous nous sommes endormies d’un coup comme assommées par la jouissance.
La lumière du jour m’a réveillée, j’ai regardé a coté de moi, elle dormait encore couverte par un coin de drap. Je la trouvais très belle, j’ai tiré le drap, elle avait une poitrine magnifique, bien ferme, les rosaces de ses teutons bien brunes démarquaient bien de sa peau laiteuse, je l’ai caressé, elle était chaude, douce, les teutons ont pointés pratiquement tout de suite, elle s’est mise a gémir de plaisir dans son sommeil, j’ai tiré un peu plus le drap et la, j’ai eut la surprise de ma vie, elle avait un sexe d’homme. Ce n’étais pas un gode qui m’avais tant faite jouir mais ce truc qui pendait entre ses jambes tout mou maintenant. Je l’ai touché pour contrôler ce que je voyais. Il a frémis, s’est doucement mis à gonfler sous ma caresse. Je n’en revenais pas, elle bandait comme un homme.
Elle a ouvert les yeux et m’a attrapé la tète pour la pousser sur son chibre.
- Suce-moi, tu va voir comme c’est bon.
J’ai ouvert la bouche et maladroitement, avec un peu de dégout, je l’ai sucé. Elle me caressait la poitrine doucement faisant naitre en moi des frissons de plaisir. Au bout d’un moment, elle m’a forcé d’arrêter puis elle m’a embrassée goulument.
- Tu sais, ce n’est pas facile pour moi, j’aime les femmes, j’ai un sexe d’homme et pourtant je suis une femme, regarde.
Elle a tiré sur son chibre et a l’endroit ou les hommes ont des couilles, une vulve s’ouvrait. J’ai plongée dessus, le suis mise à la lécher et la caresser puis j’ai fait entrer mes doigts dedans, elle a gémis de plaisir. Je l’ai masturbé un moment en embrassant son chibre puis ma bouche est passée sur sa vulve et j’ai masturbé son chibre. Elle s’est mise à crier son plaisir et tout en m’inondant le visage de mouille elle a éjaculé. Après ce double orgasme elle était complètement comateuse.
En me regardant tendrement elle m’a avoué :
- C’est la première fois de ma vie que j’ai autan de plaisir. Tu ne peu pas t’imaginer, j’ai jouis comme une femme et comme un homme en même temps, c’est merveilleux.
- Tu as jouis comme un homme en moi, cette nuit ?
- Oui, c’est comme ça que j’ai mon plaisir avec les filles.
- Tu m’as surement mise enceinte, je ne prends rien.
- Non, je ne t’ai pas mise enceinte, j’éjecte du liquide mais il n’y a pas de spermatozoïdes, c’est comme pour mon coté femme, j’ai un vagin, un utérus mais pas d’ovulation, je n’ai jamais eut de règles. Je suis les deux sexes en même temps et rien du tout, je ne pourrais jamais avoir d’enfants. Je suis une erreur de la nature, je ne suis qu’un jouet sexuel voué à disparaitre.
Elle s’est mise à pleurer. Je l’ai prise dans mes bras, pour la consoler, je la caressait doucement, j’ai senti son chibre se redresser, nous nous sommes embrassé, elle m’a caressé et quand j’ai commencé a gémir de plaisir elle est entrée en moi et m’a fait l’amour comme l’aurait fait un homme, tantôt énergique et violent, tantôt doux et caressant, nous sommes toutes les deux parties pour un super orgasme qui nous a, une nouvelle fois assommée.
Après avoir refait surface, je me suis rhabillée et je suis partie lui promettant de revenir la voir.
Quelques jours plus tard j’ai revu Bruno, je lui ai parlé de la magnifique nuit que j’avais passé avec Myriam sa magnifique conquête brune, i l s’est contenté de me dire :
- Je savais bien qu’il y avait un truc, pour que je n’arrive pas à la baiser c’est que c’est une lesbienne, tu en a bien profité au moins ?
- Oui, j’en ai bien profité, j’ai passé une nuit merveilleuse mais ce n’est pas une lesbienne.
- Ah bon et c’est quoi alors une fille qui couche avec une autre fille ?
- Elle est hermaphrodite, c’est à la fois une femme et un homme. Elle s’est occupée de mon dépucelage et j’ai adoré ça.
- Tu aime la bite ?
- Avec elle j’ai adoré, on a même recommencé plusieurs fois.
- Et avec moi, tu crois que tu aimerais ça ?
- Je ne sais pas, il faudrait essayer, je t’aime bien mais juste comme un copain.
- Tout de suite si tu veux.
- Non, j’ai des cours dans un quart d’heure, repasse ce soir et on verra.
Je suis partie suivre mes cours en me demandant pourquoi je lui avais fait une telle proposition. Le soir venu, très galant, il m’a invité au restaurant puis nous avons fait la tournée de quelques bars. Quand il m’a raccompagnée chez moi, j’étais un peu pompette, il est entré et m’a aidé pour me déshabiller et pour me coucher. Une foie que j’ai été dans mon lit il a éteins la lumière en me disant bonne nuit. Je pensais qu’il allait partir et me suis bien calé dans mon lit pour une bonne nuit.
C’est quand j’ai senti des mains me caresser que j’ai réalisé qu’il n’était pas parti, c’étais tellement agréable que je l’ai laissé faire. Quand j’ai commencé à gémir de plaisir il m’a retiré ma culotte puis sa bouche est venue titiller mon clitio c’étais merveilleux, je jouissais comme une folle. Il est remonté sur moi et son chibre s’est enfoncé dans mon vagin détrempé. Il était plus gros et plus long que celui de Myriam et il buttait tout au fond de moi, c’étais merveilleux, j’avais encore plus de plaisir. Au bout d’un long moment il s’est prestement retiré et m’a aspergé le ventre de son plaisir.
- Alors, comment tu as trouvé ça ?
- C’étais merveilleux, j’ai adoré, j’aurais préféré que tu reste en moi pour jouir c’est tellement bon. Mais enfin c’étais très bien.
- Je ne suis pas resté pour ne pas te mettre en cloque mais si tu le demande je resterais, c’est beaucoup plus agréable pour moi aussi. Myriam est restée en toi pour jouir ?
- Oui, mais je ne risque rien, elle ne peu pas se reproduire.
- Ah bon. Mais tu m’as bien dit qu’elle a aussi un vagin ?
- Oui elle a un vagin et un utérus mais elle n’ovule pas.
- La femme idéale quoi
- Ne dit pas ça, c’est triste pour elle, elle ne sait pas ou elle se situe.
- Je la verrais bien entre toi et moi, elle te baise pendant que je la baise, nous pouvons tous jouir sans risques de marmots.
- Ça, c’est une super idée, il faudra que je lui en parle demain.
Excité par notre conversation il m’a a nouveau fait l’amour divinement bien puis nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.
Le lendemain après mes cours, je suis passé chez elle, elle n’était pas la, j’ai pris une feuille, j’ai gribouillé un petit mot puis je l’ai mis dans sa boite a lettres. Au moment où je repartais, elle arrivait les bras chargés de paquets. Elle m’a fait entrer chez elle, après avoir posé ses paquets elle m’a embrassé.
- Je suis très heureuse de te voir. Que deviens-tu ?
- Toujours pareil, mes cours, le ménage c’est tout.
- Et ton copain Bruno, toujours à la recherche de conquêtes ?
- Non, plus maintenant, il est avec moi.
- Avec toi ?
- Oui, en me faisant l’amour, tu m’as ouvert des horizons, j’ai essayé avec lui et il me fait très bien jouir.
- Ah bon, alors les filles c’est fini pour toi ?
- Pour le moment je fais une pause mais je ne promets rien. Justement, j’étais passé pour t’inviter chez moi ce soit.
- Ah oui, c’est une super idée. Il sera la Bruno ?
- Non, pourquoi, tu voudrais qu’il y soit ?
- Non pas spécialement, je t’aurais pour moi toute seule.
Nous avons encore bavardé de choses et d’autre pendant un bon moment puis je suis repartie en repensant à ce qu’elle m’avait dit. Je n’étais pas convaincue par son comportement quand je lui ai dit que Bruno était absent.
Avant qu’elle arrive, j’ai appelé Bruno pour lui demander de passer me voir vers deux heures du matin.
Elle est arrivée avec un énorme bouquet de fleurs, me l’a offert. J’ai mis les fleurs dans un vase puis j’ai débouché une bouteille de champagne. Nous avons longuement discuté sur la vie, les études et nos amours. Après avoir ouvert la deuxième bouteille, elle s’est mises a coté de moi sur le canapé et nous nous sommes embrassé et caressées en nous déshabillant mutuellement. J’ai éteins la lumière et nous sommes passées au lit. Elle était déchainée, j’ai jouis comme jamais sous ses caresses. J’essayais en vain de lui rendre une partie du plaisir qu’elle me procurait mais c’étais quasi impossible. Après avoir eut plusieurs orgasmes, alors que l’on se reposait un peu dans les bras l’une de l’autre, j’ai entendu la porte s’ouvrir. J’ai fait comme si de rien étais puis je lui ai demandé :
- Tu as déjà fait l’amour avec un homme ?
- Non, de toute petite, les garçons me draguaient, nous flirtions un peu puis quand ils se rendaient compte que j’avais une bite comme eux ils me plaquaient. C’est pour ça que je me suis mise avec des filles, elles ça ne les dérangeait pas bien au contraire pour certaines comme toi.
- Tu voudrais te faire dépuceler par un homme ?
- Je ne sais pas.
- Tu sais, c’est très agréable de sentir une bite dans son ventre.
- Oui, peut être mais pas pour moi, je n’en connais pas qui voudraient me faire essayer ça.
- Moi, j’en connais un
- Qui ?
- Pourquoi pas Bruno ?
- Non, quand il verra ma bite, il ne voudra pas.
- Il ne la verra pas, tu seras en moi.
- Ah oui, c’est une idée.
- Viens, fait moi jouir à nouveau.
Elle m’a caressé, léché. Pendant que je la branlais je voyais Bruno dans la pénombre se déshabiller.
Je l’ai tiré sur moi pour qu’elle entre en moi et tout de suite j’ai jouis puis tout d’un coup je l’ai senti se débattre, de mes bras je l’ai maintenue, et Bruno est entré en elle, tout doucement. Elle a crié très fort quand il a explosé son hymen. Moi, de mon coté, je ne restais pas inactive, je faisais bouger mon bassin pour lui pomper le dar et de mes mains je lui caressais la poitrine. Doucement elle s’est remise à avoir du plaisir. Bruno qui s’était immobilisé après s’être enfoncé au plus profond de son ventre s’est remis à bouger en elle la faisant du même coup onduler en moi. C’était merveilleux, nous partions tous les trois vers un orgasme merveilleux. J’ai été la première à jouir, rapidement suivi par Myriam qui a crié en m’inondant le minou puis c’est Bruno qui s’est mis a râler de plaisir en se vidant en elle ce qui a provoqué chez elle un nouvel orgasme merveilleux. Nous sommes restés longtemps l’un sur l’autre sans bouger pour nous remettre puis Bruno s’est retiré pour prendre la bouteille de champagne et des coupes. Il nous a servie puis nous avons trinqué aux nouvelles possibilités de plaisir qui s’ouvraient a nous.
Ça fait maintenant quatre ans que nous vivons tous les trois ensemble, la première année, j’ai passé mes diplômes tout comme Bruno. Nous vivions tous les trois dans mon appartement, c’étais le plus grand. L’année suivante, Bruno a trouvé un très bon travail qui le fait malheureusement beaucoup voyager ce qui fait que je suis très souvent seule avec Myriam, je ne m’en plain pas, nous jouissons beaucoup ensemble. L’année suivante, Bruno a acheté une belle maison a la campagne, nous y sommes partis tous les trois y vivre c’est merveilleux, nous nous entendons très bien.
Nous jouissons régulièrement tous ensemble et quand Bruno est en déplacement a l’étranger, c’est elle qui s’occupe de moi. J’ai une vie de rêve.
Il y a trois mois de ça, pour éviter les ragots dans le village, Bruno m’a épousé, Myriam était notre témoin. Maintenant c’est officiel je suis une Dame.
Je sais que Myriam veux avoir des enfants ce n’est pas encore mon cas, je trouve que nous avons le temps, nous sommes jeunes. Bruno, lui aussi aimerais mais il n’ose pas me forcer. Il se contente d’en parler de temps en temps et comme je reste assez ferme sur mes positions, je l’oblige a utiliser des préservatifs pour me faire l’amour mais je ne suis pas dupe, j’ai remarqué le manège de Myriam je fais comme si je ne me rendais compte de rien mais je sais tout et je laisse faire.
Depuis quelque temps, régulièrement, quand nous sommes tous les trois, je la vois sucer Bruno en me caressant, j’ai senti qu’elle me soufflait son sperme dont sa bouche est pleine dans le sexe juste avant de me pénétrer, je le sens fuser en moi quand elle s’enfonce et me fait l’amour comme si sa vie en dépendait. Je sais ce qu’elle veut. Je la laisse faire. Si ça marche, J’espère que ce sera une belle petite hermaphrodite comme elle.

Les avis des lecteurs

Histoire Coquine
Bravo !

très bonne histoire et très excitante

Histoire Libertine
tres belle la fin

Histoire Libertine
Originale en tout cas j'ai joui

Histoire Libertine
Très bonne histoire !

Histoire Erotique
J'ai adoré cette histoire



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