JULIE, LA PETITE ENCULEE (suite de Julie la salope et de Julie la pute)

- Par l'auteur HDS Luco49 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : JULIE, LA PETITE ENCULEE (suite de Julie la salope et de Julie la pute) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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JULIE, LA PETITE ENCULEE (suite de Julie la salope et de Julie la pute)
Je savais que Julie était une vraie salope. Elle me l'avait démontré à maintes reprises, mais surtout récemment lorsqu'elle était passée à la vitesse supérieure. Elle avait réussi à se taper quatre mecs dans la même soirée. Étant donné ses capacités exceptionnelles dans le domaine du sexe, je l'avais testée comme pute de luxe. Elle avait été remarquable. A cette occasion, j'avais été frappé par le plaisir qu'elle prenait secrètement à chaque fois qu'elle se faisait sodomiser.

J'avais donc décidé d'un nouveau challenge pour cette vraie petite salope : livrer son cul une nuit durant à toutes les queues qu'elle pourrait rencontrer. Je lui avais signifié le contrat sans appel: aucune jouissance buccale, aucune jouissance vaginale, la jouissance ne pouvait qu'être annale. Je l'invitais donc à s'entraîner.

Première mesure, le sex-shop pour y acheter des godes et un plug au diamètre supérieur du trou du cul pourtant déjà bien dilaté de Julie. J'avais choisi un plug noir à boule d'un diamètre de 70 millimètres. Impressionnant. J'ai exigé que Julie se l'introduise aussitôt, en relevant sa mini jupe devant tout le monde, et en exhibant son cul nu très rebondi. Elle me réclama de la vaseline. Refusé. Elle avait du mal, avec ses jambes écartée, en train de chercher par quel côté de l'orifice elle aurait le moins mal. Car forcément, elle ne pouvait pas se l'introduire sans douleur. J'ai donc pris les choses en main, et d'un seul coup sec je lui ai enfoncé l'énorme boule dans son anus. Elle cria de douleur, et alla s'effondrer contre le mur en face. Cette petite enculée avait des progrès à réaliser. Côté gode, j'avais choisi un engin de 50 millimètre de diamètre, mais surtout de 225 millimètre de longueur.

Alors qu'on rentrait chez nous en voiture, cette petite salope prit la mauvaise initiative de s'introduire l'énorme gode dans son vagin. J'avais dit « pas de ça, tout dans le cul ». Obligé de m'arrêter sur une aire de repos, un peu à l'écart, de lui arracher son nouveau jouet, et de lui demander de se mettre à quatre pattes sur son siège, et de la fesser avec force jusqu'à ce que son derrière devienne violet. A chaque claque, elle ressentait la douleur commise par le plug. Elle comprit la punition. Quand on enfreint les règles, on paye.

J'avais fixé les séances d’entraînement à trois par jour, sans compter que Julie devait porter le reste du temps son joujou à boule. Le premier exercice consistait à lui caresser le cul, avec un doigt, puis deux, puis de lui introduire la moitié de ma main, puis la main entière jusqu'au poignet. Elle criait de douleur à chaque fois. Je vérifiais quand même si elle n'était pas déchirée. L'autre exercice était basé sur le gode hors norme. Je le tenais à la verticale sur la table basse du salon et elle se positionnait dessus, les jambes bien écartées et bien repliées. J'exigeais qu'elle s'affaisse de tout son poids sur l'engin pour qu'elle se l'approprie en entier et qu'il devienne invisible. Là aussi ça lui faisait mal. Elle devait prendre un sacré coup à chaque fois dans son extrémité intérieure. Ainsi entre le plug et le gode, elle se faisait enculer en largeur et en profondeur. Le dernier exercice notable était celui de la machine à branler, prêtée par un de mes amis. Julie devait se positionner sur le dos, les jambes repliées et très écartées, pendant que le piston de la machine infernale, de plus en plus vite et de plus en plus profond, lui ramonait ses entrailles. La préparation a ainsi duré une semaine. Julie était devenue totalement attendrie et possédait désormais un trou du cul qui s'ouvrait et se refermait à la demande, suivant la grosseur de l'engin à ingurgiter. Elle était prête physiquement pour l'opération sodomie d'une nuit.

Je lançais donc les invitations par internet sur les sites de rencontres et je convoquais tout le monde à notre domicile pour le même soir. J'avais demandé bien sûr à ce que les enculeurs soient parfaitement bien membrés. 42 volontaires ont répondu à mes annonces. Je leur livrais le cul de la petite pute pendant 10 minutes chacun, temps pendant lequel ils la défonçaient comme ils le voulaient, comme ils le sentaient, comme si elle avait été une chienne, à condition que seul le trou le plus intime fut visité. 420 minutes non stop de bites dans le cul. Julie soufflait comme une malade. Elle se faisait laminer l'anus sans discontinuer. Je veillais aux enchaînements. Pas de temps mort. 7 heures de défonce totale. Les mecs étaient excités comme des malades. A leur tour, ils se présentaient la queue raide, après s'être branlés copieusement et patiemment. Ils se saisissaient de Julie, la plupart du temps en état de poupée de chiffon, la positionnaient suivant leur désir, le trou du cul en général bien écartelé, et la pénétraient violemment, comme on pénètre une pute payée pour se faire sodomiser. Julie avait le trou en permanence grand ouvert. Elle offrait sans retenue son intimité annale. Elle était faite pour ça. Elle était la plus salope de toutes les enculées de la terre.

Au bout des 7 heures, je me suis aperçu que je n'avais pas débandé. Voir ma Julie se faire autant ramoner le derrière m'avait excité de façon incroyable. Nous étions restés seuls. Elle était recroquevillée sur le lit. Je l'ai positionné sur le ventre, je lui ai écarté les fesses et je l'ai sodomisée pour jouir rapidement, arrosant son orifice d'une quantité de sperme non négligeable. Elle m’expliqua que c'était ce qui lui avait manqué pendant ces quelques heures : se faire arroser à l'intérieur et à l'extérieur par le sperme de ceux qui lui grimpaient dessus. Mais le principe du restez couvert devait être respecté. Décidément il lui en fallait toujours plus.

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