Premier orage sous l'uniforme

- Par l'auteur HDS Zevran -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Premier orage sous l'uniforme Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Premier orage sous l'uniforme
Je suis douanier et je travaille dans un aéroport de la région parisienne. J'ai atterri dans cette profession par les hasards de la vie , mais aujourd'hui je ne regrette pas cette voie : déjà car c'est un boulot passionnant , mais aussi parce que j'ai vécu grâce à ce métier un nombre incalculable de situations sexuellement explosives .
En effet , j'ai découvert à l'occasion de mon travail que pour beaucoup de femmes , un homme en uniforme , représentant une certaine autorité et un certain pouvoir , peut être une puissante source de fantasmes , poussant ces même femmes à dire ou faire des choses incroyables en temps normal....
Au début , jeune que j'étais ( j'ai aujourd'hui 40 ans ) , je fus très surpris de découvrir cela , car j'imaginais un peu naïvement que seuls nous les hommes avions des fantasmes sexuels.
J'ai compris , depuis , bien des choses et je me suis beaucoup rattrapé...

Quand on est douanier , dans un aéroport , on contrôle des voyageurs , au pif , à l'instinct , au flair , pour trouver de la drogue très souvent : et aussi surprenant que ça puisse paraître pour les gens extérieurs à ce métier , ça marche très bien , car certains d'entre nous ( dont je suis ) développent un véritable 6ème sens qu'eux-même sont bien incapables d'expliquer.
Ce 6ème sens pour trouver les voyageurs dans l'illégalité , on peut le développer aussi pour "sentir" , "détecter" en quelques coups d’œil et au maximum quelques mots échangés , le désir sexuel au plus profond des femmes qui arrivent vers nous , et c'est ce qui m'est arrivé avec le temps : mais c'est une autre histoire !

J'écris mes aventures pour la première fois , alors je vais commencer par raconter ma première et inoubliable expérience forte de ce type , qui m'est arrivée quelques semaines après avoir commencé mon métier en aéroport.
Quand j'ai commencé , j'ai tourné avec des gars plus anciens que moi dans le métier , mais du même âge , on avait une vingtaine d'années , motivés et gonflés à bloc pour nos missions , on ramenait de belles saisies de drogue , et en même temps , l'aéroport était un gigantesque paradis des tentations pour les jeunes mecs débordant d'hormones que nous étions : hôtesses de l'air aux jambes bronzées et interminables , vendeuses des duty-free shops au décolletés plongeants , policières au petit cul moulé dans l'uniforme , voyageuses de tous styles et de toutes classes sociales , de toutes origines , le pic fatidique étant atteint en été lors des départs en vacances pour notre plus grand plaisir....
Les collègues eurent vite fait de m'affranchir : ici , pour draguer , séduire et faire l'amour , c'est un endroit idéal et nous , avec nos uniformes et notre statut , on a beaucoup plus d'occasion que d'autres , d'ailleurs la première tournée que j'ai faite dans l'aéroport pour me familiariser avec les lieux , les gars m'ont montré tous les points stratégiques , et en même temps , circulant dans toutes les zones , m'ont montré les plus belles filles travaillant sur le site , les bons coins pour draguer , ainsi que les vols et terminaux où on pouvait rencontrer plus souvent des voyageuses sensibles à notre charme bleu ciel et rouge garance....

Me voici donc au filtre douanier , avec quelques semaines d'ancienneté , c'est à dire rien du tout , à attendre les passagers à l'arrivée d'un vol en provenance de Mexico. Je suis en binôme avec Cédric , un plus ancien que moi , aussi jeune mais déjà un incorrigible queutard qui passe une grande partie de son service à draguer et baiser dans tous les coins et recoins imaginables de l'aéroport : toutes y passent , hôtesses , collègues , fliquettes , passagères de toutes les couleurs et de tous âges , femmes de ménage , etc
Les passagers arrivent et patientent autour du tapis de livraison des bagages , nous en profitons pour observer : passeurs potentiels de drogue bien-sûr , mais mon regard se pose aussi sur de nombreuses femmes , s'arrêtant sur les plus jolies , souvent en tenue d'été compte tenu de la provenance . La plupart d'entre elles ont leur attention captée par l'arrivée potentielle de leurs valises , mais je me suis rendu compte depuis quelques jours que certaines se retournent pour regarder certains d'entre nous , surtout si elles sont deux ou trois , sans doute enhardies , et gloussant , pouffant en se chuchotant des choses que j'aurais beaucoup aimé écouter...
Depuis quelques minutes mon regard revient régulièrement sur une femme blonde , très bronzée , assez grande , qui semble mignonne sans être exceptionnelle ; je ne la vois que de profil , mais de ce profil je vois deux courbes incroyables qui me troublent très vite : une poitrine dont je ne vois que le sein gauche , pas gros , voire petit , mais superbement dessiné de ce genre de courbe qui nous fait imaginer un inexplicable défi à la loi de la gravitation universelle ; ensuite des fesses , dont je ne vois également que la partie gauche , mais la vue de profil permet d'apprécier leur cambrure et leur caractère charnu , rebondi , sensuel. Elle me paraît plus âgée que moi , peut-être une trentaine d'année , le regard assuré de la femme qui sait ce qu'elle veut et où elle va.
La fille est avec une copine , qui à mon sens est plus jolie qu'elle , mais je ne peux pas , je ne peux plus détacher mon regard de cette dernière. Elle et sa copine font partie de celles qui se retournent , matant à la dérobée vers nous , et à un moment le regard de la blonde croise le mien , une fois , deux fois , et ainsi de suite , alors que les bagages se font attendre de longues minutes...
J'observe ses vêtements , ou plutôt devrais-je dire son vêtement car elle porte une jupe en une pièce , haut et bas , de couleur gris clair , pas moulante mais dont la texture semble très légère , certaines parties se déposant délicatement sur son corps , épousant par moments ses formes et notamment ses fesses qui attirent mon regard comme un aimant.
Elle chuchote à sa copine , rigole avec elle , sa copine me regarde aussi , rigole , lui chuchote d'autres énigmatiques phrases dans l'oreille , la blonde se retourne encore , me regarde , l’œil brillant : moi je reste figé , à la regarder , mon attention est entièrement focalisée sur elle , basculant aléatoirement mais sûrement entre son regard , ses seins , ses fesses , ses jambes bronzées dont les muscles tendus laissent fantasmer une femme particulièrement vigoureuse au lit , mais bref je m'égare....
Cédric , qui a suivi mon regard mais aussi repéré les deux petites nanas aux regards baladeurs , s'approche de moi :

- "Dis , t'as vu les deux filles là-bas ?"
- "Oui , elles sont canon , et en plus elles n'arrêtent pas de mater vers nous."
- Ouais j'ai vu , dit-il avec l’œil brillant du prédateur à deux doigts de fondre sur sa proie. On va les contrôler.
- Ah bon ? Dis-je surpris , et un peu impressionné , j'étais pris au dépourvu , tout absorbé par ma contemplation erotico-douanière je n'avais pas envisagé une confrontation....
- On va les contrôler , me chuchote-t'il comme un gamin qui va voler un pot de confiture , une chacun , tu vas voir on va les brancher ça va être cool.

Son regard s'attardait également sur la blonde avec une gourmandise grandissante , le chasseur de fesses flairait la bonne proie , son regard reniflant la raie suggérée de son joli cul car elle nous tournait désormais le dos tout en tournant la tête vers nous par moments , il me dit immédiatement :

- Je vais contrôler la blonde , et toi l'autre.
- Ah non ! La blonde c'est moi !

C'était sorti avec tellement d'énergie et de détermination , Cédric a été surpris , il me regarde , l’œil amusé :

- T'as raison , prend la blonde , je t'ai vu tu arrêtes pas de la mater comme un dingue depuis le début.

Je ne dis rien mais mon silence vaut approbation , mon regard toujours fixé au loin.

Nous restons côte à côte , je sens que Cédric regarde aussi la blonde , marmonnant de désir sur ses formes effectivement , mais surtout sur les regards qu'elle nous lance , un regard troublant , déstabilisant , comme les femmes aiment à en user pour prendre le contrôle sur les hommes et jouer avec eux.

Les bagages arrivent enfin , les deux femmes empoignent leurs valises , lorsque la blonde se penche pour pendre sa valise sur le tapis , la jupe se colle sur ses deux fesses , je vois alors un cul superbement dessiné , deux belles demi-lunes bien rondes et semblant fermes : en faisant l'effort de soulever sa valise , elle contracte ses fessiers , son cul se resserre sous la jupe , emprisonnant un peu de tissu au milieu.....je vais défaillir.
Mais je dois me reprendre car elle arrivent au filtre : la blonde me mate tout en approchant , le regard entendu car elle comprend désormais que je vais l'arrêter au filtre : elle avance vers moi ; Cédric , lui a carrément pris les devant et s'est avancé de quelques pas pour contrôler la fameuse copine chuchotante. La blonde fait mine de ne pas remarquer et avance toujours vers moi.
Je l'arrête , serrant mes propres fesses et contractant mes cuisses pour contrôler ma fébrilité ; l'inconnue me tend un passeport allemand , elle est donc allemande , bien , elle parle anglais , ça va moi aussi , elle se nomme Christa , c'est joli , exotique pour moi .Elle a 29 ans , ce qui correspond à ce que j'avais supposé . Arrivent les questions d'usage réglementaires , mais elle pourrait me dire qu'elle transporte une tonne de cocaïne dans sa valise les réponses ne semblent pas avoir d'impact sur moi , car je souhaite en venir à une seule chose , contrôler ses bagages car c'est le seul moyen de passer quelques instants avec elles et , qui sait , peut-être la draguer un peu.
Elle me suit dans un petit local attenant au filtre , vitré sur le haut , dont la porte ouverte donne sur l'allée ou passent les voyageurs. A l'intérieur , juste une table massive en aluminium qui sert à ouvrir et contrôler les bagages. Cedric , qui utilise le banc de visite juste en face de mon local de l'autre côté de l'allée , a commencé à discuter avec la seconde fille et a déjà ouvert sa valise , tout en m'épiant du coin de l’œil car décidément , cette allemande , il la "sent" bien....
Elle pose sa valise sur la table , se poste à coté de moi et se tourne vers moi , les bras croisés , un joli sourire calme sur le visage : elle me trouble encore plus de près , je vois le grain de sa peau halée mais à la dérobée car je suis impressionné et je n'ose plus attarder mon regard maintenant qu'elle est à quelques centimètres de moi ; je fais mine de faire sérieusement mon travail de fouille de valise , mais à mon avis , aucune crédibilité , elle sent mon trouble , d'autant que je commence à bander très fort , et dans ce fichu uniforme la fameuse bosse du désir se voit à des kilomètres , elle sent mon trouble et elle en joue assez finement ce qui m'excite encore plus :

- Pourquoi avez-vous choisi de me contrôler moi ?
- ( moi gêné ) je....fais mon travail c'est tout.
- Vous le faites bien ?
- Pardon ?
- Votre travail , vous le faites bien d'habitude ?
- ( aie aie aie ....) Bien sûr ! Pourquoi ?
- Parce que là.....vous n'êtes pas concentré , vous essayez d'ouvrir ma valise alors qu'elle a une combinaison....

Quel âne , je n'ai même pas remarqué que la valise est fermée à clef , car mon esprit est tout entier focalisé sur elle , ses jambes que je vois de près , et ses seins qui , vus de face , tout près de moi , se pressent insolemment l'un contre l'autre sous la ferme pression de ses bras croisés. Elle se penche alors pour déverrouiller le code d'ouverture , je ne bouge pas et son sein gauche , ce sein gauche que je fixais comme un horizon depuis de longues minutes , se frotte contre mon bras : je sens sur la surface de ce sein se dessiner quelque chose de dur , que j'identifie immédiatement comme son téton , qui me semble bien gros et cette pensée envoie de nouvelles ondes vibrantes dans ma verge. La combinaison semble résister quelque peu car ma passagère tant désirée s'active fébrilement , et dans le mouvement , sa hanche s'appuie sur la bosse qu'elle avait immanquablement remarquée : je sens sa chair tendre compresser délicieusement ma verge tendue comme un câble , je ne bouge pas , dans n'importe quelle autre situation cela aurait été incongru et déplacé , elle m'aurait dit de me pousser mais non , nous restons dans cette position surréaliste , moi debout et elle qui , tout en activant la combinaison , frotte par de légers mouvements de va-et-vient sa hanche , puis une partie de sa fesse gauche sur mon membre qui , si ça continue , ne va pas tarder à se transformer sous les caresses en os pénien...

Finalement la valise s'ouvre , elle se redresse , recule d'un pas , ouf !.... j'allais imploser.

Je commence la fouille , la valise ne contient que des affaires banales de touriste , vêtements , chaussures , affaires de toilettes. Un sac plastique bien fermé retient mon attention , je l'ouvre et imprudemment fourre ma main dedans ( cette fois sans danger , mais plus tard j'apprendrai à ne jamais plonger ma main dans des sacs inconnus , parfois riches en mauvaises , très mauvaises surprises ) , je sens des morceaux de tissu que j'imagine être des sous-vêtements . Avant que j'ai pu faire quoi que ce soit , elle saisit le cul du sac en un clin d’œil et le vide dans la valise et me regarde en souriant , me glissant " I help you !"
Elle réprime un petit rire coquin qui contribue encore plus à me tendre de tout mon être , et me dit " ce n'est rien , ce n'est pas interdit , ce sont mes culottes " , tout en les soulevant et les bougeant du bout de ses doigts : j'entre dans son jeu , entraîné par sa hardiesse polissonne , je commence à faire mine de fouiller au milieu des culottes , je m'aventure à en caresser certaines suggestivement à l'endroit où la partie la plus intime de son anatomie a du maintes fois se reposer , se frotter , mouiller....au bout d'un moment nos mains se cognent , se croisent , se caressent , ce qui la fait encore rire tout doucement , l'intensité érotique gagne une puissance qui me donne le vertige mais elle , elle semble très bien se contrôler et s'amuser de tout cela.
Cédric a quant à lui terminé avec la copine , apparemment chou blanc , elle est partie sans attendre Christa et doit probablement l'attendre dehors. Il s'approche , voit et comprend immédiatement notre manège ( pas étonnant me dira-t'il ensuite , avec la tête que je faisais ) : avec la dextérité du professionnel rompu aux situations de ce genre , il salue rapidement de la tête ma voyageuse , referme la porte vitrée sans un mot et se poste devant , à l’extérieur.
Nous voilà désormais presque entièrement à l'abri des regards , ce que comprend immédiatement la jeune femme qui me regarde avec mélange de curiosité et d'amusement , semblant se demander ce qui va se passer par la suite.
Moi je n'en mène pas large mais je déborde de désir . La valise a été fouillés comme jamais un douanier n'en a fouillé une auparavant , une fouille d'anthologie , tout y est passé et donc je dois la refermer à regret , à regret car je sens que cette étape signifie que le contrôle va bientôt prendre fin. Mon cerveau , probablement dopé par les doses massives d'hormones de désir , réfléchit à une vitesse qui m'aurait bien servi le jour du bac et tente de trouver un moyen de la retenir , quand tout à coup bingo : j'ai oublié de lui faire vider ses poches sur la table , ce qu'on doit toujours faire ! Décidément je ne suis pas concentré sur mon boulot , mais comment m'en vouloir ?
Je lui dis de vider ses poches et de tout mettre sur la table : elle écarquille les yeux , me regarde amusée , apparemment surprise . Elle aussi , malgré son calme apparent , doit réfléchir à toute vitesse , intensément , mais ne s'attendait pas à ça. elle s’exécute mais a peu de poches , normal quand on voit sa jupe au tissu si léger. Une fois que tout est posé , long moment de silence , je dois trouver un moyen de la retenir , je ne peux pas lui laisser mon numéro de téléphone quand-même...
Et là , je pose la question machinalement , comme on la pose à chaque fois : "c'est tout , vous n'avez rien d'autre sur vous ?"
Elle me répond alors ce qui va me rester gravé dans ma mémoire jusqu'à aujourd'hui , et probablement pour toujours :

- Oui , j'ai quelque chose sur moi , interdit.
- ...... ah ?
- Oui , quelque part , allez-y , trouvez-le si vous pouvez , si vous pouvez !

Je reste là , comme un tas de sable , soufflé par la témérité de cette teutonne qui est entrain de me rendre barge : elle me regarde , en souriant toujours , mais d'un sourire encore plus gourmand , découvrant de belles dents blanches bien plantées qui menaçaient de croquer l'homme défaillant qu'elles avaient à leur portée.
Je ne bougeais pas , paralysé par un mélange de désir incandescent et de crainte , on m'a bien répété quand j'ai commencé qu'on ne palpe jamais les personnes du sexe opposé , c'est carrément interdit et sanctionné sans pitié ( ce qui est normal ).

Elle brisa cet instant qui semblait une éternité , en me disant :

- come on , I help you , come on !

J'avançais mes main vers elle , je commençais par toucher , effleurer le tissu de sa jupe. Évidemment si je trouvais une quelconque marchandise interdite entre sa jupe et sa peau j'aurais été le premier douanier de l'histoire à réaliser un tel exploit car c'était impossible.
Elle me regardait droit dans les yeux , et je réalisais que depuis le début elle me fixait constamment avec intensité. Cela la faisait rire , l'amusait , mais je commençais à comprendre et sentir à quel point , au plus profond d'elle-même , cette situation hautement explosive l'excitait.
Je tentais de presser ma main droite contre son flanc gauche , elle me faisait face , je ramenais doucement mon pouce vers ma paume tout en le frottant intensément contre sa peau , à travers le tissu. Elle me dit : "You freeze !" ahhh cela me renvoya immédiatement à mon enfance et les excitantes parties de cache-cache où on dit "tu brûles" , "tu gèles" pour trouver le trésor caché ! Ce souvenir mélangé à la situation actuelle décupla mon excitation , je commençais alors à trembler de partout , et surtout des mains. Ma main droite descendit sur sa hanche , tandis que de ma main gauche je partais de son flanc droit pour remonter sur son sein, je me mis à le caresser doucement mais mes doigts tremblaient de désir , elle le sentait et cela semblait toujours l'amuser , elle regardait mes caresses en roulant des yeux gourmands sans baisser la tête , et je commençais à entendre dans sa respiration un petit changement de rythme , à peine perceptible. Inutile de dire que me concernant , de la vapeur brûlante allait bientôt jaillir de mes oreilles comme dans un dessin animé ....
Sous ma main , mes doigts , je sentais au milieu du sein un petit tumulus de chair se durcir et gonfler , et désormais je réalisais à quel point il devait être gros , plus gros que je ne l'avais imaginé lors de notre premier frôlement. Il était d'autant plus facile de le sentir qu'elle n'avait pas de soutien-gorge , mais ça je l'avais remarqué au premier coup d’œil sur le tapis-bagages. N'y tenant plus , je descendais mes deux mains au niveau du bas de sa jupe , qui lui arrivait à mi-cuisse , et je les passais dessous : elle eut un bref sursaut vite réprimé , car je lorsque mes paumes se collèrent sur le haut de ses cuisses je sentis les muscles se contracter et la peau frémir. Je continuai alors ma course folle en remontant mes mains sous le tissu léger mais pas moulant , arrivant enfin sur ses deux seins , qui en effet étaient petits , mais durs comme de la pierre , pourvus de tétons gros , je n'exagère pas , comme un demi-abricot , d'une douceur incroyable , et dont la souplesse contrastait délicieusement avec le reste du sein qui , lui , était vraiment dur.
Pendant que je caressais sa poitrine , elle , ne cessait de me fixer , le regard plongé avec fascination dans le mien comme si elle attendait que je sois encore plus fébrile mais je n'en pouvais vraiment plus et à part lui sauter dessus comme une bête sauvage je ne voyais pas quel palier il me rester à franchir dans l'excitation : la suite allait me montrer que j'étais loin du compte...
Interrompant la mission que je venais de me fixer , à savoir arrêter le cours du temps pour caresser ces magnifiques petits seins jusqu'à n'en plus pouvoir , elle gloussa et me dit : "nooooo , you freeze again". Cette phrase agit alors comme un déclic , et revint instantanément devant mes yeux l'image de ces superbes fesses que j'avais tant observées , pour les oublier sans vergogne au profit de deux tétons doux et gonflés. Elle , elle ne bougeait toujours pas , je jetais un rapide coup d’œil vers la tête de Cédric qui apparaissait sur la partie haute vitrée , mais il nous tournait le dos et ne regardait pas ; je descendis lentement et sûrement mes mains vers le bas de son corps , tout en les tournant autour des hanches , je les glissais sous sa culotte pour finalement arriver sur ses fesses , cet incroyable cul que j'avais crû pouvoir deviner et qui se révélait en fait bien plus beau , bien plus affolant encore : des courbes parfaites , un grain de peau très doux avec seulement sur la peau des fesses un infime petit duvet perceptible avec le bout des doigts , le tout très ferme , décidément avec les jambes et les seins , elle devait être assez sportive.
Je caressais ses fesses avec le même plaisir et la même ivresse contenue , quand elle me chuchota : "you burn , youuuu burn ! "
A ce moment sa respiration commença à vraiment s'accélérer , elle le sentit également , mais tenta de se redonner une contenance en gloussant sur mon l'air de mon visage qui devait effectivement prêter à rire : elle souhaitait rester , de nous deux , celle qui allait garder le contrôle sur l'autre , je pense que c'était bien cela son fantasme. Malgré cela elle commença à tanguer : mes doigts commencèrent à explorer le sillon soyeux qui séparait son cul en deux belles fesses jumelles , je sentis avec surprise une humidité brûlante recouvrir mes phalanges éperdues . Je me demandais , sans le montrer , quelle pouvait bien être cette humidité à cet endroit , je serais allé plus bas dans sa culotte je n'aurais pas été étonnée de la sentir mouiller ( et je suis sûr encore aujourd'hui qu'elle devait être trempée de désir ) mais là....je me mis alors à frotter mes doigts à l’intérieur de la raie de ses fesses , cherchant une hypothétique et chimérique marchandise interdite , allant et venant de haut en bas , de bas en haut : elle , elle changea brusquement , là je brûlais c'était sûr , elle se mît à haleter , émettant un minuscule son avec sa bouche entrouverte , et pour la première fois elle baissa très légèrement la tête pour plonger ses yeux sur la bosse sur mon pantalon . En effet , moi , je bandais comme , je ne sais pas , un âne , un taureau ou un cheval , en tous cas plus rien d'humain , et comme je suis , sans me vanter , assez bien pourvu par la nature cela se voyait de façon éclatante , pour ne pas dire plus , surtout avec cet inconfortable pantalon d'uniforme.
Je ne suis pas entré plus loin au milieu de ces délicieuses fesses , me contentant de frotter , chatouiller et titiller furtivement son petit trou , ce qui semblait la mettre dans un état second : toujours plus haletante , elle ne pouvait désormais plus détacher le regard de ma queue emprisonnée , gonflée et palpitante de désir , sauf pour fermer par courts instants ses yeux , comme pour les reposer d'une émotion trop intense. Elle ne souriait plus et ses jambes flageolaient doucement , il était clair qu'à ce moment nous étions tous les deux en train de perdre le contrôle de la situation , personnellement au point où j'en étais je m'en foutais et j'étais prêt à tout , n'ayant jamais auparavant ressenti une telle excitation sexuelle. Je passai alors ma main droite autour de sa hanche , toujours sous sa culotte , pour tenter d'atteindre une toison que j'imaginais trempée et brûlante , elle comprit tout de suite ce que j'allais faire et poussa un bref gémissement un plus fort , semblant accepter que ma main l’entraîne dans ma folie.
Mais je n'eus pas l'occasion de découvrir sa plus chaude intimité . A ce moment précis , Cédric tourna la tête et , saisi par le spectacle , marqua une seconde d'arrêt , une seconde qui s évapora bien vite car il cogna brutalement à la porte vitrée : nous sursautâmes ensemble comme deux gamins surpris par leurs parents , je reculais d'un pas , me rajustant , elle fit de même avec une dextérité et une vitesse qui montraient une expérience certaine de ce genre de situation. Elle se précipita sur sa valise pour la ranger et la refermer , moi je restai planté à coté d'elle , tremblant de toutes parts , et regardant Cédric me faire à travers la vitre des grimaces silencieuses qui ne disaient rien de bon.
Il y eut un immense flottement , elle ne disait pas un mot , moi je n'arrivais pas à parler , aucun son ne sortait de ma bouche.
Soudain la porte s'est ouverte , et mon chef d'équipe , un jeune connard prétentieux et convivial comme une porte de chiottes , est entré : heureusement il n'a rien compris , rien remarqué , il a seulement balayé la salle d'un rapide coup d’œil , regardant à peine cette superbe femme avec laquelle je venais de prendre un plaisir que je ne m'étais jamais de ma vie imaginé connaître un jour et m'a jeté , d'un œil noir :
- "T'as trouvé quelque chose ?
- Heu.... ( aucun son audible et compréhensible ne sort de ma bouche )
- Quoi ?
- Non.......Non. Rien.
- Ben alors traîne pas , magne-toi et retourne au filtre."

Et il m'invita à sortir d'un geste sec de la main , laissant ma délicieuse passagère ranger sa valise toute seule. Ce con je l'aurais bien étranglé sur place , mais je me fis violence et je rejoignis Cédric : il évacuait rapidement de son visage une sorte d'inquiétude pour me sourire et me glissa comme un gamin :

- Putain , 5 secondes de plus et t'étais mort !

Pour sûr , j'imaginais la scène avec une crainte rétrospective.

Je bandais toujours , douloureusement .La jeune femme , Christa , sortit du local avec sa valise , j'étais stupéfait : elle avait effacé toute trace de trouble , de désir , d'abandon. Quel contrôle , moi je tenais à peine sur mes jambes . Elle me fit un léger signe de la main , et me demanda si elle pouvait y aller : je lui fis signe que oui , dépité de la voir partir. Elle passa les deux portes automatiques qui lui faisaient définitivement passer la frontière de notre pays , et se retourna furtivement pour me regarder juste avant que les deux battants ne se referment.
Je me souvenais à ce moment précis , et pour une raison inexplicable , de l'humidité que j'avais ressentie sur mes doigts : je portais ces derniers vers mon nez et une très forte odeur m'envahit l'esprit , pas une odeur sale , une odeur musquée , intense . Je me suis alors lancé intérieurement dans une brève pseudo explication érotico-biologique qui supposait que ça devait être de la transpiration saturée d'hormones , que toute cette fouille l'avait tant excitée qu'elle en avait eu extrêmement chaud , surtout entre les fesses.

Moi , je ne bougeais plus , et je n'entendais pas Cédric qui me pressait de questions chuchotantes :

- "Alors , putain , alors , raconte !!! J'ai vu une partie , mon salaud t'as peur de rien toi !" Me fit-il avec son rire carnassier.
- "L'autre , sa copine , juste une allumeuse , je l'ai sentie de suite j'ai pas insisté."
Moi je ne parlais pas , les yeux clignant d'incrédulité , tremblant des mains.
- Tu verrais ta tête , la vache on dirait que t'as avalé une autruche. Ça va ? T'as pris son téléphone ?
- Non , rien.
- Quoi ?
- Rien.
- Putain , abruti !!! Mais t'es fou ! Fallait prendre son tél , ou lui laisser le tien , t'as vu le morceau que c'était ? En plus chaude comme ça je suis sûr qu'elle aurait été open pour un plan à trois ( perdait jamais le Nord l'ami Cédric ).
- "Ouais je pense ." Fis-je sans aucune conviction mais surtout pour le satisfaire et qu'il arrête de me saouler avec ses questions.
- "Fonce ! " Me fit-il en désignant la porte.
- Quoi ?
- Fonce ! Elle a une correspondance , je l'ai vu sur le billet de sa copine , j'ai pas vu la destination mais elles sont allemandes , va au terminal X * et cherche sur les vols au départ pour l'Allemagne , vite , trouve-là et chope son tél. Vas-y , le chef est retourné au poste , s'il revient je trouverai un truc à lui dire t'inquiète. Mais fonce !"

Au final , hormis le petit projet personnel qui commençait à germer dans sa tête , Cédric avait raison : je ne pouvais pas la laisser partir comme ça , ne plus jamais la revoir. Je parvins finalement à me ressaisir , et l'image de mes mains caressant ses tétons gros et souples me propulsa soudainement vers la sortie , tandis que je commençais à imaginer un prétexte pour la retrouver et réengager la conversation avec elle.

Mais ceci est une autre histoire...



* : je n'ai pas indiqué le vrai terminal pour ne pas être reconnu par mes collègues et encore moins par mes chefs.

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