Jeune employée d'un fast-food de l'autoroute, je m'interroge...

- Par l'auteur HDS Escogriffe -
Récit érotique écrit par Escogriffe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Jeune employée d'un fast-food de l'autoroute, je m'interroge... Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Jeune employée d'un fast-food de l'autoroute, je m'interroge...
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

C’est joli l’autoroute, surtout la nuit. L’aire de repos est pleine de lumières. Il y a du passage. Moi, je travaille au restaurant rapide. C’est dur comme boulot, mais j’ai besoin d’argent. Maman ne bosse pas, papa ne gagne pas beaucoup et nous sommes quatre enfants à la maison. A vrai dire, je ne suis plus exactement une enfant, puisque j’ai dix-huit ans. Mais je vis toujours avec mes parents, dans une chambre que je partage avec ma petite sœur.

En ce moment, on a des problèmes avec la société d’HLM. Ca fait un trimestre qu’on n’a pas payé le loyer. Le type chargé du recouvrement me fait des avances. Pourtant, je suis moyenne, question beauté féminine. J’ai toujours de l’acné, ça me perturbe. Et puis, je suis maigrichonne, je trouve. Il n’y a que mes nichons qui sont bien. Ca doit être à cause de mes nichons que le bonhomme des HLM en pince pour moi. J’ai l’impression qu’avec lui, je pourrais arranger l’affaire des loyers. Mais mon père dit qu’il ne veut pas que sa fille se prostitue pour la famille. Papa emploie tout de suite de grands mots. En attendant, sa fille bien aimée est employée dans un fast-food de l’autoroute.

N’empêche que, pour avoir de la promotion, il faut coucher. On commence au ménage et pour servir au comptoir, par exemple, il faut coucher avec le gérant du fast-food. Toutes les filles le font. C’est si vite fait qu’on ne sent rien, prétendent-elles. Le type t’enfile en levrette, dans son bureau. Il suffit de sortir les nichons, de baisser la culotte et crac ! On n’en parle plus ! Je ne sais pas si c’est vrai. Pour le moment, je n’ai pas voulu. Je suis conne, mais ça ne me plaît pas, cette manière de faire. Alors, je suis toujours préposée au ramassage des déchets, aux poubelles, au nettoyage des chiottes… Bref, rien de glorieux.

Dans la clientèle, il y a quelques habitués. Des routiers qui s’arrêtent régulièrement, mais aussi quelques personnes du village voisin. Monsieur Robert mange souvent chez nous, je veux dire : au fast-food. Avec mon acné et l’uniforme du restaurant qui sent la friture, je ne suis pas spécialement aguichante. Cependant, c’en est un, Monsieur Robert, qui me reluque avec intérêt ! Il est retraité. Il doit bien avoir cinquante ans de plus que moi ! Sûrement que les jolies filles l’envoient péter ! Ses regards insistants m’ont d’abord mise mal à l’aise. Cependant, comme il reste correct, j’ai fini par m’en amuser. Maintenant, on se la joue même complice. Quand je passe l’éponge sur sa table, je me penche vers lui. Ses yeux en sortiraient de l’orbite, tellement ils plongent dans mon corsage entrouvert ! Je rigole. Lui, il devient tout rouge. Des fois, il me laisse un pourboire.

Bon, on est petit-matin et le turbin est fini ! J’attends le premier bus de la journée, debout à l’arrêt. La clarté de l’aube peine à percer la couverture nuageuse. J’ai ramené mes cheveux raides sur le côté. Je porte un bustier, avec une petite veste et un pantalon, style corsaire. Une voiture s’arrête, face à moi. C’est Monsieur Robert ! Il n’était pas au restaurant. D’où sort-il ? Il me fait signe de monter à son côté… Je sais que ce n’est pas prudent, pour une fille seule. Toutefois, je suis crevée, j’ai mal aux guibolles. J’accepte ! Je remarque immédiatement que Monsieur Robert est déjà tout rouge ! Il bredouille un bonjour embarrassé, le regard rivé sur ma poitrine. En démarrant, la voiture fait même une embardée.

- Regardez la route ! suis-je obligée de lui dire.

Pour rejoindre le bourg, on emprunte une petite route qui longe un bois. A cette heure-là, le coin est désert. La brume n’est pas encore dissipée. J’ai hâte d’arriver dans ma cité. Monsieur Robert transpire. Il ne dit rien. Moi, non plus ! Et l’inévitable se produit… je vois les rayons lumineux des phares de la voiture quitter l’asphalte de la route pour un chemin en sous-bois. Merde ! Merde ! Merde ! Je redoute une agression ! Certes, je ne suis plus vierge. Monsieur Robert n’est pas méchant. Mais enfin, ce serait un viol ! Et ça me ferait chier, d’être violée comme ça, au coin d’un bois !

Monsieur Robert a le souffle court. Il détache sa ceinture de sécurité.

- Qu’allez-vous faire ? lui dis-je, anxieuse.
- J’ai envie de pisser, finit-il par lâcher, après une courte hésitation.

Je suis soulagée ! Je le vois qui sort du véhicule pour s’enfoncer dans les fourrés, en direction du village. Il se déboutonne la braguette tout en marchant. Il disparaît dans les arbres. Que se passera-t-il à son retour ? Je suis inquiète. Le temps passe. Au bout d’un long moment, mon inquiétude change de motif : Monsieur Robert ne revient pas ! Que fout-il ? Seule dans le véhicule, je ne suis pas rassurée. J’attends encore. Je n’y comprends plus rien. Lui est-il arrivé quelque chose ? Du coup, je me fais presque du souci pour mon client. Je veux dire : pour cet habitué du fast-food. Je réfléchis. Je ne peux pas rester là comme une cruche ! Je décide de sortir de la voiture et de rentrer à pied, par le chemin, à travers bois. Le jour se lève. On entend les premiers bruits de l’agglomération. Hardiment, je m’élance.

Je parcours quelques mètres et qui vois-je derrière un arbre ? Monsieur Robert en train de pisser ! Evidemment, mon regard se pose sur son sexe. Comment faire autrement ? Et c’est la surprise : le vieux cochon en a une sacrément grosse ! Le visage toujours congestionné, il me dit :

- Tu voulais la voir ? N’est-ce pas ? T’as pas pu résister ?
- Vous faîtes pipi pendant longtemps ! fais-je, éberluée.

J’ai presque l’air de m’excuser. Je ne m’explique pas pourquoi il pisse encore, depuis le temps qu’il est parti ! A moins qu’il ne m’ait attendue, persuadé que j’irais à sa rencontre ?

- C’est cette foutue prostate… qu’il me répond, mi-figue mi-raisin.

Sa grosse bite m’impressionne, surtout qu’elle commence à bander.

- Tu veux la toucher ? qu’il me demande.

Je m’approche. Il a pissé, ça sent comme dans les toilettes du boulot. Une odeur d’urine. C’est dégueulasse à dire, mais ça m’excite ! Que me prend-il ? Je lui saisis la queue de la main droite et commence à le masturber, maladroitement.

- Tu ne fais pas ça tous les jours ? Hein, petite ?
- Non, Monsieur… m’entends-je répondre, telle une imbécile.

Là-dessus, il me remonte le bustier. Comme un fait exprès, je n’ai pas mis le soutien ! Il est dans mon sac à main ! Je me retrouve les nichons à l’air, avec mon vieux client qui me les pelote. Je dois avouer qu’il s’y prend bien. Quant à l’état d’excitation dans lequel ça le met, je n’ai jamais vu ça ! Dire que les gars du lycée sont toujours blasés ! Celui-là sue à grosses gouttes et grogne ainsi qu’un vrai cochon ! Je ne me savais pas capable de bouleverser un homme de cette façon ! Et mon acné, il s’en fout !

Sa bite a bien gonflé, même si elle n’est pas très dure. Sa respiration s’accélère. Je le branle de plus en plus vite. Je me sens sûre de moi. Je le vrille un peu et le voilà qui se tord en lâchant la purée. Je crois que le sperme va jaillir. Il me tombe sur les chaussures.

- Nettoie-la-moi ! qu’il me demande, un geste du menton qui désigne sa queue engluée.

Je sais ce que cela signifie, dans la bouche des garçons, et des hommes aussi. Je me trousse rapidement le corsaire au-dessus des genoux, pour ne pas le salir. Et m’agenouille parterre. Je passe la langue sur le gland pour le laver du sperme qui s’y trouve. C’est salement âcre ! Je n’avale pas. Je crache dans l’herbe, avec des grimaces qui ravissent mon vieux client. Tout ce charivari me procure un effet inattendu ! Je mouille ! Je n’ai pas envie de baiser avec Monsieur Robert. Il est trop âgé ! Mais comment expliquer ? Les circonstances assez glauques de la branlette m’émoustillent !

Je remets de l’ordre dans ma tenue. Quand je reprends place dans la voiture, je réalise que je peux prendre du plaisir avec des trucs a priori repoussants ! Monsieur Robert s’installe au volant. Il est calmé. Il me sourit gentiment.

- Ca va ? demande-t-il.
- Ca va ! que je lui réponds, sans hésiter.
- Tiens ! me fait-il, en tendant des billets.
- Je m’empare des euros, sans honte aucune.

Après tout ? Sortir mes nichons, baisser la culotte et me faire niquer en levrette, vite fait, bien fait, par le gérant du fast-food… C’est un joli type, dans la trentaine. J’imagine qu’il est bien monté, le salopard. Pourquoi pas ? Qu’en pensez-vous ?

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