SOUMISE PAR HASARD ? HEUREUSE ET FIERE DE L’ÊTRE...

- Par l'auteur HDS Claude032 -
Récit érotique écrit par Claude032 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : SOUMISE PAR HASARD ? HEUREUSE ET FIERE DE L’ÊTRE... Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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SOUMISE PAR HASARD ? HEUREUSE ET FIERE DE L’ÊTRE...
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

CHAPITRE 3 – TRAVAUX PRATIQUES
Nous nous levons de table, le maître me caresse les fesses et les seins, un coup de sonnette retentit, le maître va ouvrir, un homme entre.
Ma chère Angie, j'ai pensé à toi, cette nuit Hubert s'occupera de toi... pendant que je continuerai à éduquer l’esclave « A », c'est désormais ton nouveau nom « A », apprend à réagir à son appel.
Nous passons dans le donjon, Hubert s'est déshabillé, je n'ose le regarder, les deux Maîtres s'assoient dans un fauteuil, Angie s'agenouille au pied du fauteuil de Maître Hubert et entreprend de caresser le sexe de l'homme.
Je reçois l'ordre de me placer devant les deux hommes, de libérer mon anus du gode, j'y parviens maladroitement, et de m'exhiber en présentant mon corps, ce que je fais (rouge de honte et de confusion), puis je reçois l'ordre de me doigter le cul, face aux Maîtres, je m'exécute, réglant mes mouvement et le nombre de doigts selon les ordres qui me sont donnés.
Prend un pouf « A », assied toi dessus, écarte bien tes jambes et masturbe toi, face à nous, tu es autorisée à jouir...
(Non, pas ça, pas ça...), un regard du Maître, docilement je vais chercher le pouf, m'assied et rouge de honte, m'exécute, ma volonté est brisée, il est vrai que je suis « A », une esclave... un jouet sexuel, un objet, comme me l'a précisé le Maître au cours du repas, un objet sexuel, une esclave, n'a pas de volonté, de désir, elle obéit...
Je pousse un hurlement de plaisir, Angie vient à quatre pattes comme un animal, me nettoyer avec sa langue, puis repart caresser le sexe dressé de Maître Hubert.
Je suis félicité par les Maîtres, Maître Jean explique à Hubert mon dépucelage, le convie à user de moi comme il l'entend.
Hubert se lève, m'attache à la barre qui pend du plafond, va chercher une bougie, l'allume, fait goutter la cire chaude sur mes seins, fait sauter les plaques de cire à la cravache, j'ai ordre de ne pas crier, de gémir si je le veux, je fais un effort surhumain pour ne pas gémir et au contraire remercie à chaque coup de cravache, mes pointes de seins se dressent, une chaude chaleur m’envahit, je fais des efforts pour tendre ma poitrine aux coups et à la cire, je suis félicité pour mon comportement.
Hubert prend une corde, l'enroule solidement autour de chacun de mes seins, termine par une sorte de boucle.
Il me laisse les bras en l'air, attachés à la barre, me fixe une barre d'écartement aux chevilles, actionne un treuil, un crochet descend, il passe le crochet dans la boucle, actionne le treuil, les cordes se tendent, une douleur intense, je suis suspendue par mes seins, je ne tarde pas à apprivoiser la douleur et éprouve tout à coup du plaisir, Maître Hubert, s'en rend compte, me branle, je jouis en hurlant...
Et bien dis donc, Jean, c'est un drôle de phénomène ta nouvelle soumise, elle est douée et résistante, mais surtout maso sans restriction... félicitations...
Je suis toujours suspendue par les seins, Maître Jean se lève, me libère les mains et m'ordonne de me masturber, la position est incommode, maladroitement mes mains arrivent à mon sexe, et je m'exécute, les coups, atténués pleuvent sur mes seins et mes cuisses, je réussis une fois de plus à jouir dans un grand cri...
Quelques instants plus tard, je suis descendue, mes seins libérés avec interdiction d'y toucher, de les frotter, de tenter de me soulager, malgré la douleur et les picotements dus au retour du sang, je ne bronche pas...
Maître Jean passe derrière moi, me caresse doucement les seins, agace les pointes qui grossissent en un instant, s'allongent, dardent comme de petits sexes et me demande mes impressions.
J'ai adoré, Maître, l'esclave « A » a souffert mais elle a réussi a apprivoiser la douleur, je pense que je suis une jouisseuse des seins, de toute façon, je vous appartiens et je n'ai pas le droit de ne pas aimer ce que vous me faites, je vous remercie mes Maîtres, je remercie aussi ma Maîtresse...
Encore une fois, je suis félicité pour mon comportement, les Maîtres discutent, je bois le verre d'eau qui m'est offert, je suis toujours debout, jambes écartées...
Je suis de nouveau attachée sur le chevalet, Maître Jean me présente son sexe, j'ouvre ma bouche en grand pour l'avaler et le sucer, j'ai moins de hoquets, je sens une main passer un produit sur mon anus, une douleur, Maître Hubert me sodomise, je perds pied, et mord légèrement le sexe de Maître Jean, une paire de claques et la promesse d'un punition, sont la réponse à ma faute, une esclave doit tout accepter.
Je continue à sucer doucement le sexe de Maître Jean, à l'accélération des mouvements je sens que Maître Hubert va jouir dans mon cul, je n'ai pas mal, lorsque je sens le sperme gicler dans mon cul, j'ai un spasme, j'ai de nouveau joui...
Maître Jean se retire, Maître Hubert aussi, il vient se placer devant moi et m'ordonne Nettoie avec ta bouche esclave « A », j'obéis, quelques minutes plus tard, je sens des doigts récupérer le sperme qui coule de mon anus, Maître Jean me présente ses doigts à lécher, j'obéis et nettoie consciencieusement...
Au bout de quelques minutes, j'ai eu droit à un nouveau verre d'eau tendu par Angie, Maître Jean repositionne son sexe dans ma bouche, je sens le sexe de Maître Hubert pénétrer le mien, je me contrôle, Maitre Jean se retire de ma bouche pour me permettre de hurler mon plaisir..., je nettoie à nouveau avec ma bouche le sexe de Maître Hubert...
Je suis détachée, je reçois l'ordre de m’asseoir sur le pouf et de récupérer le sperme qui coulera de mon sexe, et de me l'étaler sur les seins, puis de me lécher les doigts, je m'exécute...
Les deux Maîtres boivent une liqueur, je suis toujours assise sur le pouf, bizarrement je suis bien, je suis heureuse, je ne ressens presque plus de douleur à mes seins ou ma peau, manifestement je suis faite pour être traitée comme ça, en esclave, comme un animal destiné à donner du plaisir, j'en tire une fierté immense..., je le dis à mon Maître, qui m'écoute avec intérêt.
Il se lève, fixe une laisse à mon collier, m'ordonne de me mettre à quatre pattes et me guide en tirant sur la laisse, comme la chienne que je suis, précise-t-il, je le suis, Maître Hubert nos emboîte le pas, Angie et Pauline aussi, je suis amenée dehors, à côté de l'auto, je reçois l'ordre de garder les yeux ouverts, d'ouvrir ma bouche et de présenter mes seins avec mes mains, j'obéis, les deux Maîtres saisissent leurs sexes et m'urinent dessus, j'avale malgré ma répulsion l'urine quand j'en reçoit l'ordre, j'apprécie cette douche chaude...
Lorsqu'ils ont fini, je reçois l'ordre de me relever, de mettre mes mains derrière la tête, de fermer les yeux et de ne pas bouger.
Un jet d'eau froide me coupe le souffle, je reçois l'ordre de tourner sur moi-même pour bien m'exposer au jet, puis de me pencher et de présenter mon cul et mon sexe au nettoyage, l'eau est très froide, le jet fouaille mon sexe, je claque des dents, mais ne dit rien, je n'ai rien à dire, je n'ai qu'à subir.
Le temps que je sèche a l'air libre, les deux Maîtres allument une cigarette.
Lorsque nous rentrons dans la maison, nous revenons dans le donjon, je suis autorisée à me coucher sur le lit qui occupe un coin de la pièce.
Maître Jean va vers une commode, ouvre un tiroir, sort un écrin et s'approche de sa femme, il sort un anneau assez gros, prend un sein, le presse, ouvre l'anneau et le passe dans la pointe du sein, procède de façon identique avec l'autre sein, prend une médaille attachée à un gros anneau, s'approche, me la tend pour que je lise à haute voix « Angie soumise de Jean », puis il s'agenouille devant sa femme, lui dégage une lèvre de son sexe et passe l'anneau dans un trou, Angie se tourne, se tient jambes écartées, les trois objets en or, brillent sous la lumière, elle remercie son Maître, ce soir, il offre une soumise pour donner et prendre du plaisir...
En ce qui te concerne « A », tes seins seront percés rapidement, ton sexe aussi, mais je ne sais pas si tu arboreras une médaille ou si je te marquerai le ventre ou le cul au fer rouge à mes initiales..., marquée de cette manière quiconque te prendra, comprendra qu'il use et abuse, d'une esclave.... (cette déclaration me laisse songeuse, je suis en train de devenir une véritable chose, et au fond j'en suis ravie...).
Le Maître prend une chaîne divisée en deux branches, attache la chaîne aux bracelets de Pauline, et fixe la chaîne par un cadenas qu'il assujetti à l'anneau fixé dans le sol, il pose à coté d'elle une gamelle avec de l'eau et un vase de nuit, elle est punie, elle dormira enchaînée et demain...
Je suis invitée à m'allonger à plat ventre sur le lit, le Maître dispose deux oreillers sous mon ventre, je vais être punie – mon manque d'attention quand je suce, mes réactions jugées inacceptables -, mon cul surélevé est offert, le Maître prend un fouet, mes fesses sont cinglées, je compte les coups, remercie, endure la punition sans mot dire, sans gémir, mon cul me brûle...
Nous sortons du donjon, le Maître me guide par ma laisse jusqu'à ma chambre, j'ai noté qu'il a pris une cravache...
Nous nous couchons.
Je m'offre aux caresses qui me sont prodiguées, sur l'ordre du Maître, je caresse son sexe qui se dresse, je me tourne sur le côté, comme il me l'indique, et cambre mes fesses, il m'enduit l'anus de lubrifiant et sans façon enfonce sa bite d'un seul coup dans mon cul, je ne bronche pas, malgré la douleur, puis il me ramène serrée contre lui et me caresse le sexe, je coule, je ne tarde pas à me dresser sur le sexe qui est dans mon cul en hurlant mon plaisir.
Je me calme, à l'invitation du Maître, j’apprends à m'enculer, en m'accroupissant et en me relevant, en guidant le sexe pour qu'il pénètre mon cul, lorsque je me baisse, lorsqu'il constate que je fatigue le Maître m'ordonne d'arrêter et de me positionner à plat ventre, sur le lit, cul cambré.
Une volée de coups de cravache, m'arrive sur les fesses, je compte et remercie comme je dois le faire.
La main du Maître caresse mon cul enflammé, puis il se positionne derrière moi, je sens son sexe contre mon anus, je suis à nouveau pénétrée et sodomisée.
Le Maître me reprend entre ses bras, m'embrasse longuement, me caresse.
Puis nous restons un long moment quasiment immobiles, il me caresse légèrement, je tiens son sexe dans ma main, le presse, le caresse également, je suis bien...
Le maître me fait me lever, et m'ordonne de m'agenouiller sur un pouf, anormalement haut, qui trône dans un coin de la pièce, je me positionne comme il le demande, me guide, puis à son invite, les seins collés au pouf, tend mes bras en arrière, je sens une main crocher mes coudes, je suis tiré en arrière, son sexe force mon anus, il utilise mes bras que je dois garder raides, pour m'imprimer un mouvement de bascule et ainsi régler le rythme de la pénétration qu'il m'inflige. Puis, il m'ordonne de m'aplatir un peu plus sur le pouf et de cambrer encore plus mon cul, il me pénètre et force tantôt vers le haut, tantôt vers le bas (ce n'est pas possible, la douleur est forte, il va me déchirer l'anus), puis petit à petit j'apprécie et mon ventre ne tarde pas à couler, mes seins à se dresser (je lui dit), bientôt je vais jouir, lorsqu'il se vide dans mon ventre, je pousse un cri.
Toujours agenouillée sur le pouf, je recueille le sperme qui coule de mon anus, et l'avale, j'explique au Maître, selon ses ordres, ce que je ressens, je lui dit que j'ai adoré, la douleur était présente, mais je l'ai vite oubliée, au profit du plaisir que j'allais donner, comme il se doit à toute esclave, et celui que j'allais ressentir.
Nous sommes couchés dans le lit, je caresse mon Maître, l'embrasse, me redresse pour prendre son sexe dans ma bouche et le sucer, à son invite dans cette position là j’appris à lui présenter mon cul afin qu'il joue avec mes trous, à son idée.
Mon Maître me caresse le sexe, je sens mon ventre couler, il se redresse, se positionne au dessus de moi, instinctivement j’écarte mes jambes, il me pénètre doucement et commence une lente pénétration, mon ventre fond, je le dis, lorsqu'il se vide en moi, je hurle mon plaisir.
Quelques minutes plus tard, je recueille le sperme qui coule de mon sexe et le lèche et l'avale, comme je dois désormais le faire.
Nous nous endormons.
Une sensation étrange de poids me tira du sommeil, je réalise que mon Maître, fidèle à sa parole était en train de me violer, de me sodomiser, je me cambre instinctivement et m’offre du mieux que je peux à sa pénétration, je murmure que je suis à lui, qu'il continue, mon ventre coule, je crie mon plaisir quand il se libère enfin dans mon conduit.
Obéissant aux ordres que j'ai reçu précédemment, j’attends que le sperme coule hors de mon anus, pour le recueillir et le lécher.
J'allais ensuite saisir et lécher le sexe de mon Maître, quand celui-ci m'arrête et m'ordonne de me lever et de me mettre à genoux, bras dans le dos, contre le mur, à côté de la porte, je m'exécute.
Mon Maître me rejoint et enfourne son sexe dans ma bouche, j'étouffe, il saisi mes cheveux et s'en sert pour faire bouger ou immobiliser ma tête, ne tenant pas compte de mes hoquets, de ma bave, il continue ainsi jusqu'à ce qu'il éjacule dans ma bouche, ma gorge me fait horriblement mal, malgré tout je montre le sperme et l’avale peu à peu.
Je reste à genoux, mon Maître revient avec la cravache, je reçois l'ordre de lui présenter mes seins.
Combien « A ».
Vingt sur chaque Maître, marquez-moi...
Je compte en disant « Merci » à chaque coup, mes seins à la fin du cravachage sont striés de belles marques rouges, la pointe en est érigée comme jamais, je remercie mon Maître.
Je suis conviée à me recoucher.
Mon Maître continue à bander, il m'ordonne de le branler entre mes seins.
Maladroitement, je serre mes seins l'un contre l'autre, et entreprend de le branler, petit à petit je comprend comment doit être faite cette caresse, oubliant la douleur qui irradie mes seins, je me concentre sur le sexe de mon Maître et parvient à mes fins, un liquide chaud et gluant, gicle sur ma poitrine, je nettoie aussitôt le sexe de mon Maître avec ma bouche, puis avec mes doigts recueille le liquide sur ma poitrine et l'avale, je suis félicitée pour mon comportement.
Allongés côté à côte nous recommençons à nous caresser, mon Maître joue avec mes seins et mon sexe, m’embrasse, je répond à ses baisers en lui murmurant que je l'aime.
Nous nous endormons, j'ai un doigt du Maître dans mon anus.
De nouveau une sensation étrange, me tire de mon sommeil, je réalise que le Maître est dans mon ventre, dans mon sexe, je commence à ressentir le plaisir et accompagne sa pénétration de mouvements du bassin et de mes gémissements de plaisir, je hurle quand je jouis tandis que le Maître se vide dans mon ventre.
Évidemment, je récupère le sperme plus tard et l'avale en ayant au préalable nettoyé le sexe de mon Maître avec ma bouche.
Le Maître me caresse le ventre tu es une très bonne salope soumise « A », vraiment très bonne, très douée et très docile, je t'aime...
Moi aussi, maître, je vous aime pour tout ce que vous me faites... vous avez découvert et m'avez révélé ma vraie nature... merci...nous nous endormons.
Une main me secoue, je me réveille.
Le jour passe à travers les volets, mon Maître me regarde, et me dit viens m'aider à faire du café, tu prendras un vase de nuit dans la salle de bains et tu soulageras devant moi, interdiction d'utiliser les toilettes...
Nous nous rendons dans la cuisine, je prépare une grande cafetière, sort des bols, du pain, de la confiture, les dispose sur la table.
Je me rend dans la salle de bains et revint avec un vase de nuit monte sur la table et soulage toi dans le vase..., je m'exécute et effectue ma miction matinale face à mon Maître, sous ses yeux, sans honte aucune... je m'offre...
Mon Maître revient des toilettes, il m'ordonne de nettoyer son sexe avec ma bouche, je pose mon bol de café et immédiatement sans aucune répugnance, m'exécute.
Il s’assied et continue son petit déjeuner, je dois avoir l'air songeuse car il me demande soudain A quoi tu penses « A » ?
Je répond je songe, Maître, qu'il y a moins de vingt quatre heures, vierge, je me morfondais entre deux vieillards ressassant la perte d'une partie de leur fortune, mes parents, et que maintenant j'ai été faite femme, prise par deux hommes, que je suis une esclave sexuelle, et j'adore ça, je suis vraiment faite pour être dominée, surtout maltraitée, baisée par tous les trous, et vous me le faite divinement bien, quoique je n'ai pas d'élément de comparaison, merci Maître de m'avoir distinguée... de m'avoir choisie...., je ferais tout mon possible pour ne pas vous décevoir...
Merci de ta franchise, apprends à toujours répondre comme cela, en fait je t'avais repérée depuis quelques temps, j'ai appréciée ta silhouette, j'attendais le moment propice, va libérer Pauline et ramène la pour déjeuner, la clef du cadenas est dans le tiroir de la commode, laisse-lui ses chaînes...
Je revins accompagnée de Pauline, qui remercia le Maître, son corps était couvert de striures rouges qui commençaient à violacer, elle ne semblait y prêter aucune attention et déjeunât de ce que le Maître lui avait autorisé, du café et une tartine de confiture.
Je range la table, pose la vaisselle dans l’évier, lave ce que nous avons utilisé, le Maître ordonne à Pauline, va chercher deux godes et rejoint nous dans la chambre, vous allez vous gouiner, salopes...

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