Les courbes du printemps II

- Par l'auteur HDS Minpass -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Les courbes du printemps II Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Les courbes du printemps II
Camille se réveilla entortillé dans les draps. La lumière du matin contrastait avec l’obscurité de la veille. Il se retourna. Mélanie était étendue à côté de lui sur le ventre, son torse entouré du drap. Ses fesses étaient nues, sa peau baignant dans la lumière dorée. Il était en érection. Il glissa une main entre les cuisses de la fille. Elle murmura dans son sommeil, devenant moite rapidement sous son toucher. Il la doigta, écartant son petit trop, la sentant chaude et serrée. Il se positionna au-dessus d’elle, se plaça entre ses cuisses et la pénétra. Il se mit à la baiser, de plus en plus fort. Elle se réveilla, surprise d’abord puis se laissant bercer par le plaisir. Il la prenait à grands coups de reins, son sexe au plus profond d’elle. Elle gémissait à chaque coup. Elle jouit entre deux mouvements de hanches. Il se retira et elle se retourna, essoufflée. Il s’agenouilla sur son torse et plaça sa queue entre ses seins. Elle les serra ensemble, pressant sur sa queue. Il se remit à donner des coups de reins. La peau ferme de ses seins était chaude contre son gland. Son sexe frôlait son menton à chaque coup. Elle tendit sa langue, touchant son gland à chaque passage. Il gicla, sa semence recouvrant ses seins et le bas de son visage.

Mélanie sourit, « Salut. »

« Bonjour mademoiselle. »

« Il faut qu’on se revoit, toi et moi… »

« Oh ça oui. »

« Mais attention, je ne cherche pas du sérieux Camille. »

« J’imagine bien. De toute façon c’est relativement difficile de faire une déclaration d’amour sérieuse dans cette position. » Elle lui fit un clin d’œil et lécha une partie de sa semence sur ses lèvres. Il se retira. « Mais je te préviens, je vais avoir du mal à me passer de tes belles fesses longtemps. »

« Et moi de ça. » Elle se saisit de son sexe encore dur, « Mais aussi de ça. » Elle l’embrassa tendrement.

« Ca va un peu à l’encontre de ce que tu viens de dire. » Mélanie haussa les épaules, se leva et ramassa sa robe.

« Je dois y aller, j’ai un rendez-vous. »

« Tu sais même pas quelle heure il est. »

« Justement beau gosse, je dois surement être en retard. T’inquiètes je te laisse mon numéro, on se revoit bientôt.»

Elle vit son regard déçu et s’agenouilla entre ses cuisses, prenant une dernière fois sa queue en bouche. Il frissonna – la peau étant encore sensible. Elle se releva et quitta la chambre, laissant Camille au lit. Il se retourna vers la table de chevet et vit un papier. Dessus était écrit un numéro de portable. Il sourit.

La porte de la chambre s’ouvrit. Cécile entra.

« Mais qui était cette charmante demoiselle que j’ai croisé dans le couloir ? Elle semblait venir de ta chambre. »

« Cécile ? Mais tu n’es pas parti avec James ? »

« Non, on a squatté la chambre du fond. En tout cas, je dis bravo l’Australie !»

« Et il est parti ? »

« Oui. Il m’a laissé toute seule. » Elle fit la moue.

« Et moi Mélanie m’a abandonné. »

Cécile passa la main sous le drap. Elle se saisit de son sexe encore dur.

« Elle t’a peut-être abandonnée mais elle a encore de l’effet ! »

Camille sentit l’excitation monter de nouveau.

« Hmm tu l’as bien baisé ce matin ? »

Camille fit oui de la tête.

« Je me demande quel goût elle a laissé sur toi… » Sur ce Cécille passa sa tête sous le tissu et se mit à lécher le long de sa verge.

Il la prit à quatre pattes devant la fenêtre, là où quelques heures auparavant Mélanie avait gémi de plaisir.
Après avoir jouit en elle ils restèrent un moment au lit puis Cécile se leva. Elle alla pour ramasser ses vêtements puis s’arrêta.

« Mélanie est parti sans dessous on dirait ! » Elle tenait un string en dentelle noir. Puis, souriant toujours, elle le renifla.

« Son odeur est aussi bon que son goût… Je crois qu’il faudrait que je m’organise une petite soirée avec elle également. » Elle enfila le string et fit un tour sur elle même. Le soleil la baignait dans une lueur blanche.

« Très sexy, vraiment. » Camille la regardait du lit.

« Je lui rendrait. »


Camille laissa passer la journée avant d’envoyer un texto à Mélanie. Il n’eut pas de réponse avant le dimanche soir. C’était une photo. Il cliqua pour l’ouvrir. Mélanie était assise, les cuisses ouvertes, la langue de Cécile posée sur sa chatte. Les deux avaient le regard coquin, les yeux rivés sur l’objectif. Mélanie tenait le téléphone au-dessus d’elle offrant une vue plongeante sur la scène. Ses beaux tétons roses pointaient comme lorsqu’il l’avait caressé. Il se masturba devant la photo, empli de désir mais aussi de jalousie. Il eut du mal à s’endormir, impatient de voir les deux tentatrices en cours le lendemain.

Le matin vint gris et lourd. La pluie se mit à tomber alors que Camille passa les portes de l’amphithéâtre de la fac. Il scanna les têtes mais ne vit ni Cécile ni Mélanie. Le cours commença, le prof entonnant son monologue d’une voix soporifique et plate - annonçant la couleur pour le restant du cours. Une demie heure passa. Camille avait la tête posée sur ses bras, somnolant tandis que l’orateur poursuivait son baratin habituel quand il sentit quelqu’un s’asseoir à côté de lui. Il leva la tête. Cécile le regardait, un sourire aux lèvres.

« Alors tu as aimé la photo ? »

« A ton avis ? Mais j’aurais préféré être invité. »

« Oh ne le prends pas mal tu sais, c’était pas prévu, j’allais simplement lui rendre sa lingerie. S’est arrivé, voilà tout. »

« Tu veux dire qu’en allant rendre le string que je lui avais ôté deux soirs au paravent après avoir clairement annoncé le fait que t’avais envie de gouter à sa chatte, tu es allé chez elle et s’est juste arrivé? »

« Voilà, et oui c’était le même string. D’ailleurs elle m’a chargé de t’informer qu’elle souhaiterait que tu lui ôtes celui qu’elle porte aujourd’hui. »

« Maintenant là ? »

« Oui maintenant, je me suis chargé du réveil, à toi de prendre la relève. »

« Tu as passé la nuit chez elle ? »

« Oh oui, et on a baisé comme des bêtes. Elle a une belle panoplie de jouets tu sais. Elle adore les godes ceintures…» Camille ne put s’empêcher d’imaginer la scène.

« Elle est chez elle là ? Tu as son adresse ? »

Cécile lui tendit un papier, puis passa une main sur son sexe au travers le denim de son jean.

« Allez étalon. »

Il quitta la salle sans se soucier du bruit que fit la porte, claquant fortement derrière lui, mettant fin au bruit constant et monotone du monologue.

Il prit le métro jusqu’à Censier sur la sept. L’immeuble se trouvait dans la rue Mouffetard. C’était une belle bâtisse en pierre de taille. Il fit le code à la porte et monta les cinq étages. Il frappa à la dernière porte au bout d’un long couloir richement décoré. En tout cas, Mélanie ne venait pas d’une famille désemparée.

La porte s’ouvrit. Elle portait un débardeur léger laissant voir son ventre et un beau décolleté. Ses seins étaient pressés ensemble dans un soutien gorge en dentelle qui dépassait légèrement du haut. Elle portait également un jean bleu taille basse s’arrêtant juste en dessous de sa taille. Son ventre courbait vers son entre jambe, le jean soulignant la suggestion du haut de sa chatte épilée. Elle lui tendit la main, l’invitant à entrer. Camille la suivit, pénétrant dans un grand salon. La pesante lumière du ciel lourd filtrait à travers des rideaux fins qui se trémoussaient dans la brise légère. Dehors la pluie tapotait agréablement sur le zinc des toitures avoisinantes.

Elle l’emmena dans une chambre adjacente au salon. La pièce était également spacieuse, éclairée par la même lumière et bercé par le même mouvement de rideaux. Les murs et les draps sur le grand lit au centre de la chambre étaient blancs, le parquet ciré le seul élément perturbateur de la pièce – un marron foncé. Mais le contraste prêtait la touche parfaite d’ambiguïté à la pièce. Il tourna son regard de nouveau vers la belle fille devant lui. Elle se défit les cheveux, jusqu’à présent retenus par un chinon noir. Ceux-ci tombèrent autour de ses épaules, libérés. Elle fit glisser ses mains le long de son buste, partant de la nuque, parcourant la courbe de ses seins pour s’arrêter à la cime du débardeur qu’elle saisit. Elle le tira vers le haut, l’enlevant. A présent elle se tenait devant lui, le regard fixé au sien, ses beaux seins se peaufinant au travers de la dentelle noire de son soutif. Elle le défit, laissant apparaitre ses tétons déjà raides. Elle s’approcha de lui, posa ses mains sur son torse puis tira le tissu de son t-shirt vers le haut. Une fois torse nu, elle glissa vers le bas et se mit à genoux devant lui. Elle posa une main sur sa braguette, sentant son membre raide dessous. Elle le regarda à nouveau, son visage sérieux. Elle défit lentement la fermeture éclaire puis fit glisser une main dans son jean. Elle le caressa à travers le coton du boxeur devenu trop serré. Elle défit sa ceinture puis le bouton de son jean qu’elle tira vers le sol. Elle se mit à lui lécher le sexe toujours à travers le tissu. Il bandait fort à présent. Enfin elle tira le sous vêtement vers le bas, libérant son membre raide. Elle le tint, à quelques millimètres de son visage, entre ses doigts délicats, observant le gland déjà lubrifié du jus pré séminal. Elle fixa de nouveau le regard au sien, toujours sérieuse, puis ouvrit doucement la bouche. Lentement elle le prit en bouche, le savourant. Elle le prit en bouche entièrement, son gland touchant le fond de sa gorge. Puis elle se mit à le limer doucement. Il observa le vas et vient de ses lèvres sur sa verge, puis laissa son regard parcourir son corps – ses cheveux balançant lentement avec chaque mouvement, caressant la peau douce de ses épaules et du dos. Son regard se posa ensuite sur ses reins découverts et ses fesses moulées par le jean. Il sentit l’excitation monter en flèche, et ne pouvant s’en empêcher, il éjacula sous l’emprise chaude de sa bouche. Sa semence se déversa dans sa gorge. Elle en avala la totalité.

« Exactement ce que je voulais. » Elle le regardait toujours, souriante à présent.

Il la souleva et la recula contre le lit. Il la fit s’allonger. Elle se laissa faire. Il la caressa, sa main parcourant le long de son corps, de ses cuises au dos de sa nuque. Il donna de petites léchouilles sur les pointes de ses tétons, puis continua de poser des baisers le long de son ventre, descendant vers le haut de son jean. Il s’arrêta puis défit le premier bouton. Il plaça un baiser sur son entre jambe puis défit les trois autres boutons d’un seul mouvement, écartant les bords de la fente de son jean. Il luis resserra les cuisses pour l’aider à enlever le pantalon serré. Comme promit, elle portait un joli string blanc. Il était simple, sans ornement mais trempé de la mouille de son propriétaire. Le tissu était quasi transparent, laissant apparaître sa peau blanche et crémeuse au travers. Il plaça un nouveau baiser sur ses lèvres, puis parcouru le long de sa chatte avec sa langue. Elle avait le même goût que le vendredi – entre amer et sucré. Il se mit à la lécher du bout de sa langue à travers le tissu, titillant son clitoris déjà gonflé. Elle gémit, ses mains se saisissant des draps blancs. Il écarta le tissu trempé. Enfin il se mit à la lécher, alternant parfois avec de petites caresses du bout des doigts ou de la paume de sa main. Il la lécha longuement, et tout du long se sentait durcir à nouveau. Une fois son sexe bien raide et Mélanie ayant joui au rythme de ses caresses, il remonta vers son visage, s’allongeant entre ses cuisses grandes ouvertes. Il glissa sa main vers son entre jambe et positionna son sexe. Il n’eut même pas à faire pression, son sexe glissant en elle d’un coup. Elle resserra ses jambes autour de sa taille et il se mit à la baiser – d’abords avec des petits vas et viens, puis augmentant peu à peu la cadence pour enfin lui arracher de grands gémissements. Il était au fond d’elle, son gros sexe leur procurant tous deux un plaisir intense. Elle jouit à nouveau et il se défit de son étreinte pour la retourner. Il plaqua d’une main sur le ventre et lui resserra les cuisses. Puis il se guida de l’autre main de nouveau entre les lèvres de sa chatte accueillante. Elle souleva légèrement le bassin, collant ses fesses à lui. Il la pénétra fermement, sentant avec chaque mouvement ses boules tapoter contre sa chatte. Il lui administra une fessée qui lui arracha un nouveau cri de plaisir. Il se mit à genoux derrière elle, retirant son sexe. Il se saisit des ses fesses, et, les écartant, repositionna son gland contre son anus. Il le fit entrer lentement, déjà lubrifié par sa mouille. Doucement, il recommença les vas et viens, lui sous tirant de petits gémissements timides. Son trou se dilata mais restait très serré autour de sa verge. Il lui baisa le cul lentement, la sentant crispé entre la douleur et l’excitation. Ils se mirent à quatre pattes pour faciliter la pénétration. Il put accélérer le mouvement. Il la baisa de plus en plus vite. Au bout de quelques minutes cependant elle se retourna –

« Ca m’excite mais j’ai mal. Franchement ta queue est trop grosse. » Camille se retira.

« Viens sur moi. »

Enfin, au rythme de la pluie matinale, elle le chevaucha, ses fesses venant rebondir contre ses boules, sa peau recouverte d’une fine membrane de sueur. Elle ferma les yeux tandis qu’ils jouirent ensemble.

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Texte coquin : Les courbes du printemps II
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