En panne

- Par l'auteur HDS Emile -
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : En panne Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
En panne
Je l'ai longuement attendue.... Elle est enfin arrivée... Je la sens coquine car ses joues sont rougies malgré le temps relativement doux. Elle a une gestuelle de chatte qui m'excite à souhait. Ce serait très excessif de dire qu'elle est ma maîtresse, mais elle me fait le plaisir, de loin en loin, de se livrer à quelques exercices libertins bien agréables. Aujourd'hui, sous un court manteau matelassé, elle est vêtue d'un tailleur sombre sans chemisier. Il ne me faut que quelques minutes pour découvrir, tout en l'embrassant, que ses sous-vêtements ne sont pas ceux qu'elle porte d'habitude. Son soutien gorge à bonnets ouverts dévoile ses tétons déjà durcis par les frottements de la veste. Porte jarretelles et bas de voile noir soulignent l'absence de culotte et la nudité d'une toison courte bien entretenue.

Son bassin étroit et ses fesses rebondies sont mises en valeur par cette tenue sensuelle. J'ai du mal à distraire mes mains de ses zones érogènes ainsi dévoilées. Je finis par lui ôter sa succincte vêture et la contemple, nue, indécente, uniquement vêtue d'un long foulard et de nombreux bijoux qui combinent l'or jaune et l'or blanc. Elle aime être ainsi richement parée pour le sacrifice. Mes gestes sont de plus en plus désordonnés et je me livre à mille attouchements impudiques en nous approchant du lit. Je la fais basculer et écarte ses cuisses pour contempler les trésors de son entrejambe que je n'ai vus depuis des lustres. Je me dénude rapidement en la contemplant écartelée. Une petite angoisse m'étreint car mon vit est moins dur que souhaité. Le manque de pratique sans doute !

Il m'est difficile de faire comprendre à ma partenaire que, malgré l'excitation, je serai incapable de la pénétrer. Pourtant, ce jour là, elle n'insiste pas et accepte une gestuelle bien différente. Il faut dire que je la couvre de caresses et de baisers depuis un bon quart d'heure et que l'émotion est à son comble. Je commence à lécher ses aisselles et entre ses seins. A genoux sur le lit, je soulève son entrejambe jusqu'à ma bouche et lape les sécrétions de son sexe de ma langue détrempée. Je m'attaque ensuite à son étroite rondelle dont je perçois le progressif assouplissement. En un instant elle se retrouve à plat ventre, la tête dans le vide de la ruelle, le cul pénétré par trois phalanges qui se lancent dans un va et vient effréné. J'engage le majeur et l'index de mon autre main dans sa vulve, alors que mon pouce caresse son clitoris. Mes mouvements s'amplifient, ses jambes et son bassin commencent à trembler.

Un faible râle a remplacé son souffle oppressé. Elle se retourne pour faciliter mon geste. Ses yeux entrouverts sont révulsés et elle s’arque-boute sur le drap. Son corps, qui a perdu en partie ses appuis, vibre comme celui d'un épileptique en crise. Je suis fasciné par la palpitation de ses seins et de ses cuisses. Le râle s'amplifie un peu et devient plus aigu. Je sens qu'elle souhaite que mon mouvement se prolonge. Ce que je pense être un orgasme dure ainsi de longues minutes sans que le petit corps ne reprenne de meilleurs appuis, tendu vers moi comme un arc et en complet accord avec le mouvement de mes doigts. Lorsque la tension diminue et que son corps se détend, je calme le mouvement tout en persistant dans une pénétration aussi profonde que possible de son cul hospitalier et de sa vulve humide, agréablement étroite. Une de ses mains à empoigné mon sexe qu'elle branle sans ménagement pendant de longues minutes. Je me demande si je vais jouir. Puis je sens le plaisir monter et je me redresse pour essaimer ma semence sur son ventre, ses seins et ses cuisses. Son bassin bascule, en une gestuelle qui me paraît obscène, pour accompagner le mouvement de mes poignets. Je persiste dans mon effort jusqu'à lui tirer un nouveau petit cri accompagné d'une violente crispation de sa main sur mon sexe.

Le temps passe et je caresse son corps écartelé sur le drap. Elle ne cesse de se tortiller et je sens finalement mon phallus durcir. Armé d'un linge, je nettoie patiemment son corps des miasmes de la scène précédente. J'en profite pour la caresser, introduis mes doigts dans ses orifices. Au prix d'un important effort, elle se présente à moi en levrette, la tête dans l'oreiller, les fesses en l'air et les cuisses largement ouvertes. J'engage mon sexe dans sa vulve et lui caresse le dos et la tête. Par moments j'empoigne rudement ses seins tout en la maintenant dans cette position indécente, le postérieur offert. Elle semble recevoir mes assauts positivement, mais ne paraît pas très excitée et mon ardeur fléchit. Mon doigt franchit à nouveau sa rondelle et s'agite avec brutalité. Elle semble plus offerte. Mon sexe est plus mou malgré le va-et-vient dans sa chatte mais son corps entier est secoué de spasmes encore plus violents que la première fois. Je durcis un peu plus. Je relâche ma pression et la reprends à plusieurs reprises tout en m'enfonçant brutalement en elle, jusqu'à l'écraser sous la masse de mon corps en mouvement. Elle n'est plus maîtresse d'elle même. Après quelques minutes de ce jeu, son corps se cabre brutalement et un long hululement sort discrètement de sa bouche. Elle s'effondre sur la couche. Mon excitation est complètement tombée et je me couche à ses cotés, les muscles relâchés, une main posée sur son ventre.

C'est ce jour là que j'ai découvert combien on pouvait donner du plaisir sans forcément en recevoir autant. Je lui en ai su gré de m'avoir fait découvrir cela. J'en ai gardé un souvenir intense qui est venu se superposer à des jeux sexuels pratiqués bien des années auparavant lors d'un séjour à la mer. Je l'avais, à l'époque, conduite à l'orgasme lors d'un massage de crème après soleil, bras et jambes écartelés et solidement liés. Son corps entier avait été doucement massé dans tous ses recoins avant d'être pénétré de mes doigts et de mon sexe. Anxieuse, elle n'avait accepté qu'à regret de m'être ainsi totalement soumise. J'en avais déjà tiré le plaisir de la posséder totalement sans qu'elle puisse, le moins du monde, se soustraire à mes exigences. Décidément, l'amour est un combat, surtout en cas de panne... !

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Texte coquin : En panne
Histoire sexe : Une rose rouge
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