Sylvia (3) Enfin ...

- Par l'auteur HDS NAT-LM -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Sylvia (3)  Enfin ... Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Sylvia (3) Enfin ...
Sylvia (3) Enfin …
NAT-LM - 06/2013
Bon, je reprends …après mes souvenirs ! Déjà une semaine que Sylvia et Sacha étaient
partis. Je ne pensais qu’à trouver un moyen de la revoir, je ne cessais de penser à
elle, le désir fou de la séduire ne me quittait pas. Son corps de rêve, à rendre
jalouses bien des femmes m’obsédait depuis que le l’avais vue, et encore plus depuis
que je l’avais vue sodomiser mon fils. Eh oui, cette fille si belle est un
transsexuel, et me voilà prête à m’offrir sans condition, à être prise par cette
créature mie-femme mi-homme. D’un seul coup ma libido s’est emballée, je me sentais
presque sans arrêt excitée, obligée de me mettre une protection tellement je
mouillais. J’avais l’impression de devenir hystérique. Les jours où c’était possible,
je voyais Louise, Anne ou Valérie mes compagnes de sexe qui affirmaient ne m’avoir
jamais vue comme çà, elles disaient que j’avais l’air d’une chienne perpétuellement en
chaleur … je me sentais plus vicieuse et cochonne que jamais !
Il fallait absolument que je trouve au plus vite un moyen de la voir. Pas de nouvelles
depuis plus de huit jours. Et puis, en plus, une angoisse qui allait croissante :
Comment me percevait-elle ? Avec mon apparence de bourgeoise soignée et polie, jamais
déplacée dans ses propos ou dans ses gestes, même si, sans que je ne m’en aperçoive
elle avait lorgné mes fesses et mes seins, comment lui faire comprendre qu’elle
pourrait en faire ce qu’elle voudrait ? Nous ne nous étions vus que pendant à peine 48
heures … comment pouvait-elle imaginer le feu ardent qui me dévorait … le désir
violent que j’avais d’elle ? Et encore, un doute affreux qui me rongeait, pire que
tous les autres, les ans ! 46 années révolues … bien conservée me disent quelquefois
des amis hypocrites de mon mari, qui aimeraient bien vérifier de près, mais 46 ans
quand-même ! Comment pourrait-elle s’intéresser à moi, me préférer à mon fils de 25
ans avec sa belle petite gueule et son anatomie qu’elle semblait apprécier … j’ai vu
le plaisir qu’elle en avait pris !
Je m’obstinais à penser à elle en fille, alors que c’est de son sexe de mâle dont je
rêvais, de ce sexe long et dur avec lequel je l’avais vue pénétrer mon Sacha et lui
cracher son sperme au visage … de ce sexe … de cette queue que j’avais envie de manger
jusqu’à la sentir fondre dans ma bouche. Il me semblait que pour être transsexuel, il
fallait aimer prendre et se faire prendre. J’ai lu des histoires pornos où ils
s’enculaient entre eux. Je me demandais si elle faisait pareil avec d’autres comme
elle … mon fils ne semblant pas être le plus viril … mais il est vrai que je n’avais
pas vu si le fait d’être sodomisé lui faisait de l’effet … peut-être après tout !
J’aimerais bien savoir, et pourquoi pas … voir !! Juste voir bien sûr, par
curiosité, mon imagination ne me transportait pas au-delà de la frontière de
l'interdit suprême.

Presque deux autre semaines ont passé pendant lesquelles mes amies «dévouées» se sont
régalées de mon envie boulimique de sexe. Il faut dire que je n’ai pas de « périodes »
d’empêchements, ou plus exactement que je n’en ai plus depuis le début de ma relation
avec Louise. Elle, avait déjà subi l’opération … j’ai fait la même chose … plus de
privation obligée … quand on voulait … autant qu’on voulait …tout ce qu’on voulait,
et on ne s’en privait pas !!
Après ces deux semaines, j’ai décidé de prendre l’initiative, j’allais faire le voyage
… j’allais m’inviter chez eux. Juste pour que ça ait l’air vraisemblable, profiter
d’aller rendre visite à une cousine de Villeurbanne, tout à côté, depuis le temps
qu’elle m’invitait! Après confirmation avec cette dernière, petit message aux enfants
… réponse positive, et embarquement gare de Lyon le lendemain matin, un samedi …déjà
trois semaines que je pensais à elle …
Comme convenu, Sacha est venu me chercher à la Part- Dieu. J’espérais que Sylvia
serait avec lui, mais non. Je m’étais habillée à la limite de la décence pour une
femme de mon âge, classique, mais peut-être un peu jeune, un brin provocante. Il m’en
fit compliment, disant que j’avais l’air de sa grande sœur plus que de sa mère … s’il
avait su que je rêvais d’être sa rivale !
En arrivant à leur appart, je commençais à avoir des démangeaisons entre les cuisses,
je me demandais comment j’allais tenir … quand elle a ouvert la porte, nous nous
sommes embrassées comme de vieilles amies, elle avait l’air contente de me voir … sans
réfléchir j’ai voulu la serrer contre moi … j’’ai réussi, un peu, et elle s’est
reculée. Je me suis dit, peut-être qu’elle commence à bander et qu’elle ne veut pas se
trahir … elle m’a fait un petit sourire, avait-elle remarqué mon trouble ? Si oui, son
sourire était-il un encouragement ? Je ne la quittais pratiquement pas des yeux, sa
jupe, pas très ample me permettait de voir le galbe de ses fesses, que je savais
assez rebondies, mais sur le devant je guettais en vain le signe d’une érection que
j’espérais avoir provoqué. Sa queue raide, je l’avais déjà vue, elle était trop
longue pour ne pas faire au moins un petit relief arrondi au bas de son ventre … je ne
devais pas l’exciter … elle ne bandait pas … et moi, malgré ma déception, je
mouillais. j’avais peur qu’en me levant une petite auréole soit visible sur ma robe,
entre mes fesses. Avant qu’il ne soit trop tard, il fallait que j’aille à la toilette
me rafraîchir et me sécher. Quand j’y suis allée, j’ai cru voir dans ses yeux une
lueur particulière … allons … je me faisais encore des idées …
Dans la toilette, en m’essuyant, je regardais tout autour. Les murs recouverts de
minuscules carrés de mosaïque couleur jade et rose, reflétaient la lumière des deux
appliques de chaque côté d’une armoire aux portes miroirs, au-dessus du lavabo. En
entrant, quand j’ai allumé, trop pressée de m’éponger la chatte, je n’ai pas remarqué
la forme de ces luminaires … on ne peut plus suggestifs … pas faits pour me calmer ! …
Deux pubis de mâles, avec chacun une belle paire de couilles surmontée d’un magnifique
pénis en érection, légèrement arqué vers le bas-ventre, bien veiné, décalotté.
L’ampoule intérieure faisait ressortir les reliefs de la « tige » rose pâle et la
couleur de son beau gland presque écarlate … frappant de réalité … je n’ai pu
m’empêcher de vouloir caresser une de ces bites lumineuses … et je m’y suis presque
brûlée …pas de mal, mais à nouveau des idées … une queue brûlante … hum …
Moi qui était venue dans cette toilette pour me refroidir de la chaleur que j’avais
entre les cuisses, je recommençais à mouiller de plus belle, et à la vue d’un savon en
forme de pénis, qui paraissait avoir peu servi, ou pas du tout, plus question de
résister ! Un passage rapide sous le robinet d’eau chaude et je me l’enfonce dans le
cul … avec la quantité innombrable de godes qui l’ont déjà visité, ça rentre comme
dans du beurre … et puis, un savon mouillé, ça glisse bien … Ça dans le derrière, les
doigts pour le devant, ça ne m’a pas pris deux minutes pour jouir … il est vrai que
j’étais mûre. J’ai expulsé le savon … « plouf » dans la cuvette, et me suis lavée …
D’abord sur le devant, puis le derrière. Entre les fesses, ça a été un peu plus long,
ça faisait de la mousse à la sortie, ça a pris plusieurs rinçages. Enfin, asséchée de
partout, je me sentais mieux … J’ai remis le savon à sa place, les reliefs étaient
moins visibles, ça se voyait qu’il avait servi, mais peut-être seulement pour les
mains ! Je n’avais pas idée du temps écoulé, il m’a semblé que ça avait été un peu
long, j’avais chaud, et aussi un peu plus de couleurs que d’habitude, s’en
apercevrait-elle ?
Quand je suis sortie, elle était dans la cuisine avec Sacha, elle l’embrassait dans le
cou, et il me semblait bien qu’elle lui caressait les fesses, en réalité, non, ce
n’était pas qu’une impression, sa main flattait … palpait … pelotait les fesses de mon
garçon … pourtant j’avais un peu claqué la porte, elle avait dû entendre et savoir
que je les voyais … le faisait-elle exprès … ? voyons Camille … calme toi, arrête de
ne penser qu’à ça !
Facile à dire, mais ce que je voyais m’empêchait de raisonner comme la femme bien,
équilibrée et raffinée dont j’aimais donner l’image. J’étais dans mon autre monde,
celui où le sexe guidait mes pensées et mes envies … et je n’en voyais pas les
limites ! Je suis retournée claquer la porte juste au moment où ils disparaissaient
de ma vue … pas pour longtemps. Ils sont venus s’asseoir près de moi, elle, jupe
relevée à mi cuisses … moi aussi, je sentais la chaleur de sa peau sur la mienne …
Elle embrassait mon fils, de vrais baisers d’amour, je voyais leurs langues se mêler …
pas longtemps … il était midi .
- Sacha va devoir nous quitter pour la journée, il a un contrat avec deux de nos
amies pour la rénovation de leur appartement, vous savez, il s’est fait une
bonne réputation de décorateur dans notre milieu.
C’est vrai, leur milieu, c’est le monde des artistes. Elle, dirige une troupe de
chanteurs, danseurs et danseuses d’un cabaret, pas loin du « Nouvel » opéra et de
l’Hôtel de Ville.- - C’est le temps d’y aller mon chéri, ne fais pas attendre nos
amies … et ce soir, n’oublie pas, on invite ta mère … au cabaret à 9h … allez, bonne
journée … ( ponctué d’un baiser et de petites tapes sur les fesses.)

- Pendant ce temps- là, ta mère et moi, nous allons faire un peu plus connaissance,
et peut-être aller faire un tour au Parc … à ce soir !
J’allais être seule avec elle, c’était le moment ou jamais ! Quitte à passer pour
une dégénérée, pour la pire des obsédées, il fallait qu’elle sache, que je lui dise
que je rêvais d’elle, de son corps, de son sexe en moi, sur moi, partout … que je lui
dise que j’avais envie d’être son jouet, au moins une fois, je voulais connaître ça,
sinon j’avais peur de devenir folle ! Elle est venue près de moi, tout près, m’a
pris les mains, m’a dit qu’elle aimerait m’appeler belle-maman et que je sois son amie
… que mon fils avait de la chance d’avoir une si jolie maman, et puis, pas de
cérémonie entre nous, pourquoi pas Camille et Sylvia … et tant qu’à faire …on va se
tutoyer, allez, c’est décidé !
- Tu sais Camille, j’ai quelque chose à te dire qui va te surprendre, concernant
Sacha…j’ai peur que tu aies de la difficulté à accepter, mais tu n’auras pas le choix
… il le faut !
- Moi aussi je veux te dire, je crois que je sais, et je t’assure que……
- Non, laisse-moi parler, ça va être peut-être un peu brutal, assez cru, mais si tu
n’as pas envie de partir avant que j’ai fini, nous serons les meilleures amies du
monde … mais dis-donc, tu as la chair de poule, il ne fait pas froid pourtant,
inquiète ? … allez, détends toi.
- Voilà : J’ai 35 ans, je connais Sacha depuis ses 18 ans, il y a 7 ans. Je l’ai
rencontré dans une soirée de travestis, il était mignon comme tout, habillé en fille,
avec ses chaussures à talons et sa mini-jupe, son beau visage, maquillé juste ce qu’il
faut, ses cheveux bouclés, longs à l’époque, et une cambrure de reins très expressive.
C’était sa première sortie publique où il affichait ses tendances … il avait l’âge de
pouvoir faire ce qu’il voulait ! Il s’en était toujours caché de votre famille, mais
ton fils est un homosexuel. Initié jeune, à 18 ans il avait déjà une bonne expérience.
Du genre passif, il a toujours aimé être pris, plutôt que le contraire … tu dois te
demander pourquoi il partage sa vie avec une femme ? Je te laisse deux minutes … tu
me diras tout à l’heure.......?
-Me revoilà, j’ai changé de jupe … moins serrée, j’avais trop chaud ! Alors … as-tu la
réponse ?
- Je … je ne… sais pas comment ……
- Je vois, tu sais, mais tu bloques, tu ne trouves pas les mots pour le dire … je
vais t’aider … approche. En baissant les yeux, j’ai cru voir une déformation de sa
jupe quand elle s’est assise, collant sa cuisse à la mienne. Elle m’a prise d’une main
par les épaules et de l’autre par la taille. J’ai senti la chaleur de sa bouche qui
me frôlait la joue jusqu’à mon oreille, et elle a commencé, elle a parlé … des mots
francs, directs, sans arrière-pensée.
- D’abord, j’ai tout de suite remarqué ton regard sur moi, le désir se voyait dans
tes yeux. Je sais que j’excite beaucoup, que je suis bandante comme on dit, que je
fais bander les hommes et mouiller les filles … et ça me plaît !, et j’aime bien
provoquer ! Je ne me suis pas trompée sur toi. Il était facile de voir que tu aimes
les femmes, en plus des hommes, et j’ai bien vite imaginé comment en profiter…
Le dimanche soir chez toi, ton mari absent, j’ai deviné juste. Le volet de la petite
fenêtre de la chambre, il était fermé, c’est moi qui l’ai ouvert, espérant … ce qui
est arrivé ! … Qu’une voyeuse vienne voir son fils baiser la fille qui l’excitait
elle-même …
Maintenant, tu réalises que je sais … que tu sais !!! Que la « maîtresse » de ton
fils est un mec avec des nichons presque aussi beaux que les tiens et un beau visage
de fille … un mec, ou si tu préfères, une fille avec une grosse queue, qui baise ton
fils … qui en fait ce qu’elle veut, et je peux t’assurer que je ne le force pas …
toujours prêt pour tout ce dont j’ai envie.

Ce soir- là, je t’ai vue sortir de la maison,
J’ai fait agenouiller mon beau Sacha pour que sa bouche me mette en forme, Dehors, un
peu de lune faisait une nuit pas toute noire, les lilas s’y détachaient … je verrais
ta silhouette … je saurais que tu regardes, et je t’ai vaguement aperçue, encore un
peu trop loin pour que tu voies avec quelle application il suçait et léchait … un
véritable artiste ! Quand tu t’es rapprochée, c’était le moment où je lui faisais
sentir entre les fesses, la promesse de sa récompense de m’avoir si bien préparée.
L’effet combiné de ma poussée et de son recul, d’un seul coup, j’étais enfoncée au
plus profond. Je me demandais si tu allais supporter le spectacle de ton fils en
train de se faire enculer … je n’osais pas regarder vers la fenêtre pour voir si tu
étais toujours là, mais j’imaginais que oui, alors mes coups de reins sont devenus
plus virils et j’ai commencé à lui claquer les fesses, il adore ça, D’habitude, pas
toujours mais souvent, j’aime bien me vider dans ses reins et après, le voir à genoux,
me nettoyer … comme ça, la boucle est bouclée. !! Mais ce soir- là, espérant que tu
regardais toujours, j’ai joui particulièrement fort en t’offrant le spectacle de mon
sperme lui giclant sur la face … J’ai aperçu ton ombre, tu es restée jusqu’au bout,
même pendant que, avec le gland, je poussais le jus vers sa bouche ouverte. Je me suis
dit que si tu avais été horrifiée ou scandalisée, tu serais partie bien avant. j’ai
même imaginé que ça t’avait plu … le matin en voyant une petite culotte accrochée à
l’arbuste, j’ai compris que tu avais pris ton plaisir en même temps que nous ... et
aujourd’hui tu es venue parce que tu as envie de plus que de voir, tu veux vivre ce
que tu as vu … être à la place de ton fils … agir comme lui … être prise comme lui,
par le même sexe, de la même manière … allez, montre- moi que j’ai raison, passe ta
main sous ma jupe, touche moi …!!


..J’ai passé ma main, j’ai touché, mes doigts gourmands me communiquaient le plaisir
de palper, de caresser ce sexe viril, tendu, raide, palpitant qui me disait son envie
de moi … plus rien n’existait que l’envie de le satisfaire … cette queue de
transsexuel que j’excitais … la première que le touchais à part celle de mon mari, qui
m’en faisait l’aumône de plus en plus rarement … presque vingt ans de frustration
refoulée … de plaisirs saphiques que je ne renie pas … mais, enfin la réalisation de
ce qui paraissait devoir rester un fantasme inassouvi, pas seulement faire l’amour,
mais baiser … être baisée, sans restrictions, ne plus en rêver … vivre pleinement des
instants où le sexe sans limites serait le Maître .

Elle n’a pas eu besoin de demander, je me suis mise à genoux et ai voulu remonter sa
jupe, mais elle m’a retenue par les cheveux d’une main, a soulevé le tissu, m’a pressé
la figure sur son sexe , m’a recouvert à moitié la tête et des deux mains m’a écrasé
le visage sur ses testicules … j’ai sorti la langue et j’ai léché … elle me guidait,
j’ai voulu en gober un mais ça roulait. Elle m’a aidé à le rentrer dans ma bouche, je
ne savais pas quoi faire, elle l’a sorti puis a rentré l’autre … plusieurs fois comme
ça, elle jouait avec moi, elle se figurait sans doute que j’étais une experte, j’avais
peur qu’elle soit déçue .

Heureusement, il y avait eu les cassettes pornos, j’essayais de reproduire ce que j’y
avais vu … mes mains coulissaient sur son sexe qui me butait sur le front
Elle a remonté sa jupe et l’a coincé à sa ceinture. En levant les yeux, j’ai vu le
même regard qu’elle avait quand j‘ai supposé que mon fils la suçait … elle aimait.
Elle me caressait les cheveux … Son sexe est circoncis, rasé, raide, congestionné, son
gland presque violet qu’elle promenait sur mes joues avait l’air d’attendre ma bouche,
il s’y présente, je le prends entre mes lèvres, elle m’appuie sur la tête et me le
rentre presque au fond de la gorge et le secoue en appuyant, j’ai l’impression
d’étouffer. Les larmes me montent aux yeux, elle m’impose son rythme de va et vient,
j’aime ça, cette envie qu’elle semble avoir de me l’enfoncer le plus loin possible, je
n’en reviens pas d’être capable d’en recevoir si long dans la bouche, ses couilles me
claquent sur le menton … je pleure … je bave. Je n’avais jamais vraiment sucé … là,
le fantasme de ma vie se réalisait et je ne savais pas comment me conduire ! Toutes
les cassettes ou DVD du monde ne remplaceront jamais la pratique, il faut « savoir »
sucer … pas comme une grosse friandise que l’on avale sans prendre le temps de goûter,
il faut chercher les points sensibles, mouiller, lécher, guetter les réactions, les
tressaillements de cette colonne de chaire, la pousser au bord de l’éclatement, et
surtout, savoir quand faire jaillir le bouquet final … et moi, je ne savais pas !!
Quand elle a giclé par saccades, au fond de ma bouche j’ai encore cru étouffer. J’ai
toussé et failli tout recracher … j’en ai seulement perdu un petit filet qui me
coulait au coin des lèvres, que je serrais pour retenir ce jus qui me remplissait les
joues, mêlé à ma salive, et que j’ai réussi à avaler, en prenant bien soin de déloger
avec ma langue tout ce que j’avais entre les dents .

J’étais encore toute habillée, sans ma culotte que je n’avais pas remise après mon
passage à la toilette … elle était trop humide ! … et je mouillais encore, je coulais
presque, ma toison abondante était comme une éponge qui retenait mon miel et
l’empêchait de couler à l’intérieur de mes cuisses, je la sentais imbibée jusqu’entre
mes fesses … et Sylvia ne m’avait même pas touchée, rien que l’envie qu’elle
m’utilise me mettait dans cet état- là !

Elle me replaça à quatre pattes, un peu de côt et me remit sa bite ramollie sous le
nez …
- C’est bien ma belle. J’ai déjà été mieux sucée, mais tu m’as fait jouir, alors
j’ai envie de te faire plaisir … recommence, applique toi, fais-moi rebander, et tu
auras ta récompense.
J’avais eu peur de la décevoir plus que ça, ses paroles m’ont un peu rassurée mais je
voulais être parfaite … J’ai pris son gland dans ma bouche en lui pressant
délicatement les bourses, j’ai vite fait disparaître les traces de sperme séché, je
faisais couler ma salive que je m’empressais de lécher. J’ai senti ma robe être
relevée, une main me caresser les fesses, un doigt, puis deux, glisser dans ma raie,
me pendre des pincées de poils qui sont abondants là aussi et tirer dessus … avant de
me masser en tournant l’entrée du trou que l’on appelle souvent « petit », mais qui
dans mon cas, ne demandait qu’à être élargi …

Ce contact agréable m’a donné l’idée de lui faire pareil, ça lui a plu et elle m’a
facilité l’accès en écartant les cuisses … mes doigts lui plaisaient, je sentais son
anus palpiter, si près, j’ai eu le goût … d’en avoir le goût !! J’y ai collé ma bouche
et sorti la langue que j’ai réussi à faire pénétrer par à-coups, en vrillant pendant
que ses couilles s’écrasaient sur mon front. En passant une main au-dessus de ma tête,
mes doigts se sont refermés sur une grosse tige on ne peut plus dure, elle bandait …
j’aurai ma récompense …

Elle m’a relevée, elle avait toujours la jupe coincée à la ceinture. La vue de son
érection provoqua une nouvelle émission de liquide entre mes cuisses … Elle me fit
mettre à genoux sur le divan, je me voyais le visage tout près, dans le miroir au mur.
Je l’ai vue se placer derrière moi, elle a relevé ma robe, m’a fait écarter les
cuisses, m’a pénétré le vagin, y est restée quelques secondes, juste pour se lubrifier
la queue, et s’est enfoncé dans mon cul, bien profond, je sentais ses couilles entre
mes fesses. J’en pleurais de bonheur, de me voir dans le miroir m’excitait encore
plus. Elle ne parlait pas … moi non plus … j’attendais de jouir et pouvoir crier mon
plaisir quand elle envahirait ma chatte et me remplirait de son sperme …


…Oui, j’ai joui de le sentir se vider en moi … mais pas comme je l’espérais … c’est au
plus profond de mes reins qu’il a éjaculé son plaisir … c’était la première fois que
je connaissais ça, j’ai aimé, mais j’aurais tellement aimé être prise … être baisée
comme une femme …
Comme si elle m’avait devinée, elle a dit …
- Tu t’attendais peut-être à autre chose mais tu vois, j’ai rarement des rapports
avec les femmes, et quand j’en ai, le les prends toujours comme des hommes.
Avec toi, c’est un peu spécial, je ferai peut-être une exception, mais si tu en as
vraiment envie, il faudra que tu m’aide, que tu me donnes vraiment le goût de te
baiser autrement...
Maintenant … tu n’as pas fini !

J’ai compris … à genoux, je l‘ai rendu propre … propre … propre … un de mes fantasmes
se réalisait quand-même !!
- C’est bien ma belle, tu sais, hier soir à la même place, Sacha faisait la même
chose !! …pourquoi m’avoir dit ça ?

NAT-LM. 06/ 2013

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Un regret de ne pas avoir vécu ? Un souvenir ? Un rêve éveillé pour alimenter le désir
et trouver le plaisir ? Il faut nous le dire? Nathalie ... mais après celui/celle
partagée avec ta belle fille, jusqu'où vas-tu nous emmener?

Histoire Libertine
Belle histoire qui me donne envie de plein de choses bien chaudes, j'aimerais vivre la
même aventure. Faites-moi jouir encore. Merci. CL.

Histoire Erotique
J'adore les 3 récits, merci.
Rudy



Texte coquin : Sylvia (3)  Enfin ...
Histoire sexe : Une rose rouge
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