Un 44 pour le bonheur d’un trou du cul !

- Par l'auteur HDS Pumasics -
Récit érotique écrit par Pumasics [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un 44 pour le bonheur d’un trou du cul ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Tags : Bizarre Pieds
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Un 44 pour le bonheur d’un trou du cul !
J’ai toujours flashé sur les mecs en skets. Pas les Rekins que je trouve trop marquées caillera mais plutôt les pumas sparco, les asics mexico, bref… toutes les baskets qui ont une semelle fine avec un bout plutôt fin.

En j’ai toujours eu le fantasme de me prendre des coups de pieds au cul, pas dans les fesses mais bien dans le trou du cul comme si je me faisais enculer par une paire de skets.

Par hasard, je suis tombé des vidéos.

J’y suis allé : ce fut le bonheur total avec des séances de coups de pied au cul, plutôt au trou du cul qui n’en finissent pas, avec toutes sortes de baskets, de bottes, des chaussures de ville, de rangers.
Bref, l’éclate totale…surtout de son trou !

Récemment, mon employeur a doté ses commerciaux d’IPAD qui nous sont personnels, c'est-à-dire que l’on peut les utiliser comme on veut, et professionnels car ils permettent de se connecter au site de l’entreprise pour les comptes-rendus, les notes de frais, etc. Ces tablettes sont vraiment sympas et surtout y regarder des vidéos

Mardi dernier, nous avions un séminaire sur 4 jours des 8 commerciaux de la boîte avant le départ en vacances et la fermeture de la boîte.
Mardi soir, après les séances de travail de la journée, j’étais passé à la chambre prendre une douche et je sirotais un Schweppes-cognac dans un fauteuil du salon de l’hôtel. J’avais choisi un coin tranquille pour regarder les vidéos en attendant un collègue avec lequel j’avais rendez-vous pour dîner.
J’étais arrivé au bar de l’hôtel à 19h30 et nous avions rendez-vous à 20h30… j’avais donc le temps de me faire plaisir en matant ces vidéos.

J’avais dégusté « machoman le retour » pendant laquelle un mec en bottes lattait ce pauvre trou du cul comme une mitraillette, sachant que le trou du cul en question avait l’air très heureux de ce traitement, puis« asskicking en bionike » dans laquelle le botteur portait des nikes vertes, et j’ouvris « rough asskicking » qui est l’une de mes favorites. Le botteur porte des Adidas bleues bien fines au bout, pointure 44, et surtout il a une frappe redoutable.
Dans cette vidéo qui dure plus de 12 minutes, le soumis se fait botter le trou du cul dans toutes les positions, à 4 pattes, debout penché en avant, sur le dos les jambes en l’air… on a l’impression qu’à la fin de la séance on va voir disparaître l’Adidas bleue dans son cul !

J’étais quasiment à la fin de la vidéo quand soudain j’ai sursauté en sentant une présence derrière moi : mon collègue Nico était juste contre le dossier de mon fauteuil et absorbé par les vidéos je ne l’avais pas entendu.
Aussitôt après avoir détecté sa présence, j’appuyé sur la touche off de la tablette dont l’écran devint noir.

NICO : Pourquoi tu arrêtes la vidéo ? J’aurais bien voulu voir la fin.

Moi : Tu es là depuis longtemps ?

NICO : Depuis la fin de la vidéo avec les bottes. Je ne savais pas que ce genre de truc pouvait exister et surtout je ne te voyais pas dans ce trip là même si on sait tous que tu es gay.

Moi :En fait, je suis tombé dessus par ha..

NICO : Te fatigue pas, je ne dirai rien à personne, mais franchement tu avais l’air vraiment dedans. La seule question que je me pose c’est si tu préfères te prendre les coups de pieds ou les donner…

Je ne sais pas quoi dire, mais Nico fait signe au serveur de venir. Ce dernier prend notre commande. A son départ Nico appuie l’une de ses pompes sur le rebord de la table. Une schmoove Jamaica en nubuck, particulièrement fine au bout, pointure 44.

NICO : Tu vois, pour ce genre de trip je pense que mes schmoove ne seraient pas mal.

Me voyant rougir Nico ajoute : « ne fais pas cette tête, je te dis que je serai une tombe. » En fait, je suis rouge non par rapport à ce que Nico pourrait raconter sur mon compte mais en pensant à l’effet de ces pompes pointues en nubuck sur ma rondelle, d’autant soit sournoisement soit sans le faire exprès, Nico remue la pointe de ses Schmoove.

Ne sachant pas quoi dire, je lance « tu crois ?, je ne sais pas.. » et je me réfugie dans mon verre, tout comme Nico.
Après un moment de silence, Nico me dit qu’il a envie de voir la fin de la vidéo. Je lui réponds que la fin est comme le début… des coups de pied au cul mais plus fort.

NICO : Plus fort ! Fais voir !

Je rallume la tablette et nous regardons les 3 dernières minutes pendant lesquelles la pute se fait carrément démolir le fion par des Adidas bleues en furie.

A la dérobée, j’observe Nico pendant le visionnage et je me rends compte qu’il est manifestement captivé. Sans mesurer ce que son attitude veut dire, je reprends de la contenance.

NICO : Il y a longtemps que tu mates ce genre de vidéos ?

Moi :Pas très, mais c’est vrai que j’aime bien ça.

NICO : Tu l’as déjà fait ?

Moi :Euh non…

NICO : Ca doit faire super mal ! Non ?

Moi :J’ai échangé avec le mec de la vidéo : en fait non pas tant que ça ; il faut que le botteur évite de taper sur le coccyx évidemment ou dans les fesses, mais dans le trou du cul c’est acceptable sauf si le mec a des pompes en béton.

NICO : Ah oui. Tu n’as jamais eu envie d’essayer ?

Moi :Disons que…

NICO : Tu serais plutôt botteur ou botté ? Comme tu es pd, je dirais plutôt botté !

Moi :C'est-à-dire que..

A ce moment-là Nico plante son regard dans le mien.

Moi :Que oui, je serais plutôt botté.

Là-dessus, 3 collègues arrivent. Je ferme ma tablette et Nico me dit : « allez viens on va dîner ».

Nous sortons du bar en saluant nos collègues et quittons l’hôtel pour un resto voisin.

Pendant le repas, nous parlons de tout sauf de la vidéo. Nous rentrons à l’hôtel et prenons un dernier verre au bar.

NICO : Tu sais, j’ai exactement la même paire de baskets bleues que le mec de la vidéo.

Moi :Ah oui, dis-je.

NICO : Et même que je les avais ce matin aux pieds pour faire le trajet et qu’elles sont dans ma piole.
En disant ça Nico me regarde bien dans les yeux

NICO : Si tu veux…

Moi : Disons que…

NICO : Si tu as peur … je comprends mais d’abord je ne dirai rien et surtout je ferai attention : je viserai bien et très doucement

Moi :Tu es gay ?

NICO : Moi, tu rigoles ! Pas du tout. D’ailleurs je te préviens, c’est juste mon pied au cul et pas autre chose ! Mais la vidéo tout à l’heure m’a vraiment excité. Je ne sais pas pourquoi mais c’est comme ça. Maintenant, si tu veux juste être dans le fantasme…

« Non non » dis-je sentant que j’avais une occasion en or.

Nico, 35 ans, 1m85, brun, poilu, plutôt taqué était plus que comestible. L’idée de me prendre son 44 dans le cul me faisait saliver, mais s’il avait été d’accord je ne me serai pas contenté de son 44…

Silencieux, nous quittons le bar pour gagner nos chambres qui étaient juste en face. Nico est passé quelques mètres devant, il ouvre sa chambre et quand j’arrive à sa hauteur pour ouvrir la mienne, je vois 2 Adidas bleues atterrir dans le couloir.

Ces 2 skets devant ma porte me captivent. Un petit hep m’interpelle. Je lève les yeux et je vois Nico dans l’embrasure de sa porte avec une paire de pompes noires à la main.

NICO : celles-ci ne devraient pas être mal aussi !

Je les reconnais : ce sont ses pompes de la journée, des Blackstone bien arrondies au bout. Je n’y avais pas prêté attention, mais là je me dis que Nico est bien équipé entre ses Adidas, ses Schmoove et ses Blackstone.

Nico me tend une de ses Blackstone en présentant la pointe vers moi. Sans m’en rendre compte, je mets mes doigts sur le bout de sa pompe que je touche avec délectation à l’idée de son effet. Puis j’attrape la pompe et la sniffe.

NICO : Alors là, tu dois pas être déçu. Je les ai mises toutes la journée et avec la chaleur j’ai transpiré à fond. Si tu aimes les odeurs, mes Adidas devraient te plaire.

La sonnette de l’ascenseur retentit. Je ramasse les Adidas de Nico et j’entre dans sa chambre. Il ferme la porte.

Nico se met à l’aise. Il enlève sa tenue de ville, et je regarde avec un autre œil ce collègue en caleçon. Belle bête, un peu de bide mais bien musclé surtout des jambes.

Nico s’aperçoit que je le mate.

NICO : J’ai des bonnes jambes de coureur et de footeux. Hé oui, je ne te l’ai pas dit mais je joue encore !

En me faisant un clin d’œil, il ajoute : « et tous mes potes disent que j’ai un super coup de pied ! »

Je réponds avec défi : « on va voir... » et je me mets en slip.

NICO : Tu te mets pas à poil ? Le mec sur la vidéo, il était à poil !

Moi :En fait, ça me gêne un peu devant toi.

NICO : Tu rigoles, je vais te mettre mon 44 dans le cul et ça te gêne d’être cul nu devant moi ? Tu seras pas le 1er cul de mec que je verrai. En plus pour viser ce sera mieux que je vois ton trou du cul.

Nico, d’autorité, me dit qu’il va commencer avec les Blackstone car le bout est rond et il me demande de mettre sur le dos comme il l’a vu dans la vidéo. Je lui demande pourquoi.

NICO : Comme ça je verrais ta tête et je saurais si je fais bien.

Un peu gêné, je mets sur le dos : en fait, je bande à mort.

Nico rigole.

NICO : Je n’ai rien fait et tu bandes déjà bien dis-donc. Je te voyais avec une plus grosse bite (je fais du 15cm par 4). Allez on y va.

Nico attrape prend une de mes jambes dans chaque main. Il est debout devant moi, le regard penché sur sa Blackstone qu’il approche vers mon trou.

NICO : C’est là ?

Moi : Je pense…

NICO : Comment tu sais pas avec toutes les vidéos que tu as vues ?

Nico me flanque un coup sec assez fort pile dans le trou du cul et laisse sa pointe de pompe dans mon trou.

C’est là ? dit-il en remuant doucement la pointe de sa Blackstone dans mon anus.

Je ne peux pas réprimer un petit cri et surtout ma bite a un mouvement sec.

NICO : C’est là ! C’est bien là, c’est sûr. Ok alors je commence.

Nico retira son pied et commença un mouvement de balancier régulier avec son pied : son talon part chercher derrière lui et sa pointe de pompe s’écrase contre mon trou du cul. C’est génial. Nico fait ça comme un métronome, mais sans force réelle, juste le poids de sa jambe qui se rabat.

Ce martèlement régulier dure 3 minutes en silence et m’inflige un coup toutes les 3 secondes : 60 coups de pompes encaissés. A chaque coup, un peu sourd, j’ai l’impression de sentir la masse des 85kg de Nico dans mon fion. Je suis aux anges et le caleçon de Nico m’indique que l’exercice commence à l’intéresser.

Nico me demande si je veux plus fort. Devant mon assentiment muet, très pro Nico m’annonce qu’il va me donner les coups en donnant de l’élan à sa jambe. Donc que le choc sera plus sec et plus fort mais qu’il va le faire progressivement.

Les coups s’enchaînent. A chaque fois. Nico me donne une série de 3 coups de même intensité : 3 très doux mais secs, 3 doux, 3 moins doux, 3 marqués, 3 énergiques, 3 forts.

Surpris de mon endurance, Nico me fixe : « les 3 derniers, j’aurais pas aimé les recevoir mais apparemment ça va. Tu veux que je fasse plus fort, c’est déjà très fort… »

Moi :Vas-y je te dirai, et puis vu ma position tu le verras tout de suite !

NICO : Ok, alors je recommence toute la série pour bien calibrer la puissance :

Rebelote : 3 très doux mais secs, 3 doux, 3 moins doux, 3 .marqués, 3 énergiques, 3 forts qui me font pousser des petits cris… 3 très forts qui me pousser de cris plus forts , pause de quelques secondes de concentration de Nico, 3 super forts qui me font reculer et me coupent un peu le souffle de bonheur.

Nico me regarde : ça va ? là je t’ai défoncé le trou, mec ! Tu te rends pas compte de la puissance que je mets. Là tu dois avoir ton compte. Si je tape plus fort je t’encule avec ma pompe.

Moi :J’aimerais essayer plus fort.

Nico hésite avant d’aller plus loin : « dans cette position j’ai peur de casser le coccyx, mets-toi à 4 pattes. »

En me relevant, je m’aperçois que cet exercice apparemment sans réelle douleur a quand même bien marqué ma rondelle. Il faut dire que j’ai déjà encaissé 100 coups de 44 dans le trou du cul.

Je me mets à 4 pattes.

NICO : C’est mieux comme ça je vois mieux ton trou du cul. Putain, on dirait une chatte gonflée à fond. Je vais recommencer doucement comme tout à l’heure mais par deux. Il faut que je reprenne mes repères.

2 très doux mais secs, 2 doux, 2 moins doux, 2 .marqués, 2 énergiques, 2 forts, 2 très forts, 2 super forts. Vu ma position, je ne peux pas reculer et j’encaisse les chocs davantage d’autant que j’essaie de ne pas bouger sous les coups.

Pour les 2 derniers, ce ne fut pas possible, mon cul s’est avancé. Depuis les derniers coups, Nico pousse un cri petit cri d’effort.

NICO : Maintenant, je te préviens ça va être vraiment terrible.

Nico me tire un coup de pied avec une force que je ne soupçonnais pas en poussant un cri de tennisman au service. Sous le choc mon regard se trouble. J’ai mal à la rondelle mais quel bonheur.

NICO : Ca va ?

Moi :Pas de souci. J’aimerais bien deux ou trois autres comme ça mais ce serait top que tu n’enlèves pas ton pied après le coup.

Sitôt demandé, sitôt exécuté.

Nico me met 3 coups vraiment très forts. Après chaque coup il laisse la pointe de son 44 dans mon trou et après 1 ou 2 secondes d’immobilisation il remue sa pointe de pompe en me l’enfonçant davantage dans le cul.

Lors de sa frappe il pousse aussi des cris d’effort. Quand il me vrille le cul avec sa pompe il lance : « oui, tu aimes, tu le sens mon 44 te défoncer le fion ! Tu vois ça c’est du pied de footeux, mec ! »

Je sens Nico vraiment dans le trip. Là c’est vraiment l’extase : il aime faire ça ! S’il ajoute « salope » là ça devient le paradis des trous du cul bottés. Hélas, il ne franchit pas ce cap.

Je suis quand même un peu ko et je demande une pause. Nico est lui aussi vanné car il me botte maintenant depuis près d’un ¼ d’heure sans s’arrêter vraiment et avec une forte concentration.

Je me retourne et je me rends compte que Nico m’a fait mouiller la bite comme un escargot. D’instinct je regarde son caleçon où je vois une belle bosse prometteuse.

Moi :Tu as failli me faire jouir. Si tu étais gay, je me serais fini en me branlant devant toi.

NICO : Tu peux si tu veux. Ce ne sera pas la première fois que je vois un mec se branler devant moi ou que je me branle devant un mec.

En disant ça, Nico baisse son caleçon et je vois sa bite. Pas un canon de 22cm, non un mortier de 15cm de long mais super super large, avec un gland énorme, un démonte-trou à faire pleurer toutes les salopes du cul.

Nico s’assoit sur le fauteuil de sa chambre et commence à se branler en me regardant.

Je m’avance vers lui et je lui enlève une de ses Blackstone.

Je me couche devant lui les jambes écartées posées e chaque côté des siennes.

J’attrape son pied en chaussure et je le colle sa pointe contre mon trou.

Nico comprend tout de suite et appuie sur mon trou en le massant doucement avec sa pointe de pompe.
Je ferme les yeux et me branle en sniffant ses Blackstone qui sont bien odorantes.

C’est le bonheur total d’autant que Nico pour son massage alterne entre sa pointe de chaussure et son gros orteil en chaussettes beaucoup plus pénétrant.

J’entends Nico jouir avec un vrai râle de bonheur. Son pied en chaussette s’arrête quelques instants sans doute le temps qu’il retrouve ses esprits.

Puis soudain l’orteil en chaussette reprend son activité mais cette fois-ci de manière beaucoup plus hard comme si Nico voulait m’empaler avec.

Je jouis en sentant Nico me travailler le trou du cul et en pensant au bonheur que ce serait de prendre son gland.

Après un long moment de silence et de récupération, Nico enlève sa pompe et va à la salle de bains. Je reste sur le sol et à son retour Nico, en chaussettes, me jette une serviette pour m’essuyer le foutre répandu sur mon ventre et mon torse.

NICO : Tu n’as pas trop mal ?

Moi :Si un peu mais ça va. L’excitation est encore là, on verra demain.

NICO : Attends je vais te passer de la crème que j’ai pour les entraînements.

Moi :Non non, ça va !

Nico insiste et me demande de me mettre à 4 pattes sur le lit. Je me dis qu’il veut peut être me mettre autre chose que de la crème…

Nico approche son doigt de mon anus et je sens une crème au contact frais, bienfaisant.

NICO : C’est bon, j’ai fini ; tu vas voir c’est frais au début puis après ça chauffe pour décontracter le muscle.

Moi : Je le regarde : tu plaisantes, tu ne m’as pas mis une pommade chauffante ?

NICO : Et si, juste pour le fun ! Mais rassure-toi c’est aussi cicatrisant mais tu vas avoir chaud au cul toute la nuit et tu penseras à moi, finit-il avec un clin d’œil.

Sur ce, Nico attrape la clef de ma chambre, ouvre sa porte et ouvre celle de ma chambre en balançant la clef dedans.

Il revient dans sa chambre prend mes fringues et les jette aussi de l’autre côté du couloir dans ma chambre.

Surpris je le regarde et il me dit : « t’inquiéte, dernier cadeau de la maison. »

Il enfile ses Adidas, regarde dans le couloir et m’ordonne : « debout, penché en avant ! »

Je ne sais pas pourquoi je m’exécute et je me retrouve dans sa chambre devant sa porte ouverte, le couloir et au-delà ma porte ouverte.

Je me prends un super coup de pied qui me propulse en hauteur et en avant et je me retrouve dans le couloir.

NICO : Penche toi

Re gros coup de pied au cul qui cette fois m’amène dans ma chambre.

NICO : Reste penché

Et pan, ce dernier coup me fait m’écraser dans mon lit.

Nico est tout sourire à poil et en Adidas bleues dans ma chambre.

NICO : Alors c’était comment ?

Moi : Inattendu et très différent de toute à l’heure…

NICO : Normal, je t’ai mis des coups en chandelle avec la pointe de pied qui remonte bien dans ton trou du cul. Moi j’ai adoré.

Moi :Moi aussi.

Nico passe la tête dans le couloir et se jette dans sa chambre dont il ferme la porte.

Je me relève du lit péniblement et je ferme ma porte. Il est 1 heure du matin Je suis exténué et je vais au pieu direct. Pendant la nuit, je me réveille et sens une chaleur sur mon trou du cul à appeler un régiment de bites.

Le lendemain quand le réveil sonne à 7 heures, la soirée revient doucement à mon esprit et je me dis que j’ai fait un rêve. Mais mon trou du cul me rappelle que c’était bien la réalité.

Par réflexe, j’ouvre ma tablette et consulte mes messages sur pumasics@yahoo.fr:
De Nico à Éric :
J’espère ne pas t’avoir cassé. Il reste encore deux soirées à l’hôtel et tu n’as pas essayé les et à peine testé mes Adidas… si ça te dis…

Et je pense : il reste aussi ton gland…
Il faudra que je passe à la pharmacie acheter du gel et des capotes, comme un idiot je n’ai rien prévu.

Les avis des lecteurs

Superbe première histoire,j'ai taclé pour la 1ere fois un mec il y a 2 jours. Je suis pas 'plan panard' mais je dois reconnaitre que c'est bien bandant. La suite vite !



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