Dounia, ma plus belle voisine, première partie.

- Par l'auteur HDS Santiano -
Récit érotique écrit par Santiano [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Dounia, ma plus belle voisine, première partie. Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Dounia, ma plus belle voisine, première partie.
Je vis seul dans une maison proche du centre ville. Autour de chez moi, il y a beaucoup de quarantenaires mariés avec des enfants, un peu plus loin dans la rue une boulangerie et un lycée. Souvent, le soir venu, je mets mes chats dans la chambre afin d'ouvrir les fenêtres de la cuisine puis de la salle à manger. La fraîcheur du soir aide souvent à passer de bonnes nuits. Pendant cette période, les voisins promènent leurs animaux de compagnie, ou vont dans un parc sportif proche pour sortir avec les enfants en balade. Un soir, un événement un peu particulier arriva, un chat blanc que je ne connaissais pas entre chez moi et s'installe à côté de moi sur le canapé. Éternel amoureux des animaux, je ne le repousse pas. Il doit bien appartenir à quelqu'un.
Effectivement, après quelques minutes, j'entends des appels. Je me rapproche, une femme d'environ trente cinq ans et sa fille cherche le fameux chat qui est entré chez moi. Celui-ci aime tellement mon sofa qu'il ne lève même pas la tête pour rejoindre sa maîtresse. J'invite cette femme et sa fille à entrer et à récupérer son animal de compagnie. Elle est très belle, une petite brune avec des formes généreuses et un teint méditerranéen de toute beauté. J'ai les yeux pétillants, il y a bien longtemps qu'une femme n'avait pas franchit le seuil de ma porte. La présence de sa fille me fait revenir très vite à la réalité. Nous nous présentons, j'apprends qu'elle s'appelle Dounia, puis nous discutons d'animaux, je lui explique que pour ma part je possède deux chats qui sont actuellement dans la chambre car suite à une mésaventure je ne les fais plus sortir dans la rue, que dans mon jardin et sous surveillance. Passionnée, elle veut revenir pour les voir. La discussion dure bien dix minutes, mais ses impératifs de femme en couple et de mère la font partir rapidement. Cette nuit à l'heure de me coucher, je ne peux m'empêcher à des situations érotiques avec cette beauté, je me masturbe même en ayant ses pensées.
Pendant une semaine, j'attends avec impatience son passage et à chaque fois nous discutons de tout et de rien. Nous sommes en train de créer un certain lien fort agréable.
J'apprends par la même occasion, qu'elle est en couple avec un militaire, il part souvent en mission à l'étranger sur des terrains hostiles. Elle habite dans une résidence dans une rue parallèle à la mienne. Souvent, elle se sent seule le soir quand celui-ci s'absente pendant deux à trois mois par an. Les jours continuent de défiler et ce qui ressemble à annonce discrète me fait croire qu'il y a peut être une ouverture si la tendresse et les mots doux lui sont adressés. Un soir, je débauche aux alentours des dix huit heure. Elle vient à ma rencontre et m'invite manger chez elle. Il y aura sa sœur et son frère. Je lui indique, que je vais me doucher puis que je viendrais rapidement les rejoindre. J'essaye de m'habiller de façon décontractée, un jean classique avec un polo blanc. Je suis en bas de sa résidence, je sonne, elle ouvre la porte. Elle aussi a changé de tenue, elle est en robe, quelque chose de très rare lors de ses promenades. Elle est ravissante, encore plus désirable que d'habitude. Nous entrons dans son appartement, je fais connaissance avec Mounir son frère que je connais déjà, nous avons joué dans le même club de foot pendant quelques années, puis sa sœur Zora qui pourrait être sa jumelle que je salue amicalement. Dounia m'invite à prendre place dans le salon marocain, quelques amuses gueules et du thé à la menthe m'est proposé. Mounir m'indique que c'est l'anniversaire de sa grande sœur et qu'elle voulait être entourer des gens qu'elle apprécie beaucoup. Je suis totalement gêné, je n'ai pas emmené de cadeau. Il me décontenance en m'indiquant que le principal c'est que nous soyons autour de sa sœur pour passer une soirée sympathique.
Pendant l'apéritif, nous discutons de nos années footballistiques, puis me demande comment j'ai fais connaissance avec sa sœur. Je lui raconte donc l'histoire du chat blanc, puis des discussions que l'on peut avoir chaque soir lorsqu'elle passe devant chez moi en se baladant avec sa fille. Heureux, il me dit qu'il est rassuré de savoir qu'un homme qu'il connaît puisse avoir un œil sur sa sœur, le soir on ne sait jamais sur qui elle peut tomber surtout en absence de son mari. Dounia rejoint notre conversation, et valide les paroles de Mounir. Il est bientôt l'heure de dîner et les odeurs de cuisine orientale envahissent les pièces de l'appartement.
Zora revient avec un grand plat de couscous et par tradition, tout le monde utilise les mains à la place des couverts traditionnels. Le dîner se passe dans la bonne humeur. Mounir part, il doit embaucher à six heure le lendemain. Je reste quelques instants avec les deux sœurs et prend un dernier thé à la menthe. Moi aussi demain matin je dois travailler, il serait donc temps de rentrer à la maison. Je l'indique à Zora, qui me donne une accolade amicale, puis sur un ton ironique m'indique que je ferais un meilleur beau frère que l'actuel. Je rejoins Dounia dans la cuisine, je lui dis que je rentre à la maison, elle s'essuie rapidement les mains, m'accompagne à la sortie, nous nous regardons dans les yeux pendant quelques secondes qui paraissent bien longue, puis dans un élan de courage je la prends par la taille et je l'embrasse sur la bouche avec passion. Elle ne me repousse pas, puis je rentre à la maison, le cœur remplit d'espoir. Les jours défilent à grande vitesse, chaque soir nous flirtons comme deux adolescents qui viennent de se rencontrer. Sa fille ayant trois ans, ne pose pas de question. Elle en profite même pour jouer avec des enfants de son âge. Je prends mon courage à deux mains et je décide d'inviter Dounia dans un repas en tête à tête à la maison. Elle répond favorablement à ma demande par un large sourire d'une blancheur extrême. Nous validons le vendredi soir pour cet événement. Cette semaine avance très vite. Nous voilà le jour J, je vais préparer un saumon grillé avec des amandes, et en dessert un tiramisu. Je m'affaire en cuisine, je décore la table avec un bouquet de rose, j'installe les couverts, il ne me reste plus qu'à me préparer. Il est vingt heure, Dounia frappe à la porte, je lui ouvre et nous nous embrassons. Elle est habillée avec une robe qui lui arrive au dessus du genoux, elle est magnifique. Je l'invite à boire un petit apéritif, un kir royal. Nous discutons de tout et de rien, le dîner se déroule parfaitement, puis nous nous asseyons sur le canapé. Très vite nous nous enlaçons, nous nous embrassons de nouveau, délicatement je glisse une main dans son dos. Je lui fais des petites papouilles ce qui ne manque pas de la faire frissonner. Elle se colle à moi, je sens le parfum de son corps qui m’enivre, j'ai beaucoup de mal à me contenir.
Je l'embrasse dans le cou, délicatement je descends une de mes mains sur le haut de sa poitrine, elle ne la repousse pas, au contraire elle l'a saisit pour la faire glisser sous son tissus.
Je touche son sein qui est doux comme de la soie, pour être plus à l'aise je lui enlève les bretelles de sa robe, je vois alors un soutien-gorge noir en dentelle du plus bel effet, je continue l'effeuillage afin qu'elle soit plus à l'aise. Sa poitrine est parfaite, je n'en avais jamais vu une aussi bien faite. Je continue de lui faire des bisous dans le cou, tout en lui massant les seins et en jouant aussi avec ses tétons. Elle finit par se retourner, j'enlève mon haut, elle me caresse le torse ce qui ne manque pas de me faire réagir. Elle s'en aperçoit, et me propose d'enlever mon pantalon, me voilà face à elle en boxer. Par excitation, je quitte mon sous-vêtement, et mon membre apparaît. Je me rassois en face d'elle, je la couche sur le dos pour lui faire quitter les derniers vêtements. Délicatement, je lui enlève le bas de la robe et son string, sa toison est en forme de ticket de métro. Je lui écarte les jambes, je plonge sur ses douces lèvres, je savoure le nectar de son jus. Elle est délicieuse, je joue avec son clitoris, pénètre son antre vaginal, ce qui ne manque pas de la faire réagir. Elle appuie même sur ma tête pour que je continue, puis dans un râle de plaisir me lâche plusieurs jets de mouille. J'ai la bouche brillante, ce qui ne manque pas de nous faire sourire. Elle aussi veut me faire plaisir, je me couche sur le dos, elle saisit ma verge entre ses doigts puis me titille le bout du gland avec sa langue, elle coulisse le long de mon sexe, l'avale, elle fait quelques vas et vient. Elle finit par lever la tête, puis se met à califourchon sur moi, elle fait rentrer mon membre petit à petit, puis s'empale sur moi. Après plusieurs vas et vient, je l'allonge sur le dos en position du missionnaire, je la pénètre, je la prends à la fois avec douceur et avec rigueur, je varie ses plaisirs. Ensuite, elle se positionne à quatre pattes. À la vue de son fessier tendu, je deviens incontrôlable. Je la saisis par les hanches et je la prends avec fougue en levrette. Ce qui fait monter nos orgasmes à grande vitesse. Je ne peux plus me retenir, je sens que je vais éclater. Mon gland est en train de gonfler, le plaisir est immense, et dans un cri de plaisir commun, mon sperme explose dans son vagin. Je me couche derrière elle, je la prends dans mes bras, puis elle se tourne. Nous nous câlinons amoureusement. Je l'invite à prendre une douche puis à m'accompagner dans ce qui va être une de mes plus belle nuit depuis bien longtemps. Depuis ce moment là, nous nous voyons régulièrement pour partager nos corps dans des ébats d'une très grande intensité. A chaque départ de son mari, nous vivons une histoire pratiquement idyllique. Qui sait ce que l'avenir nous dira...

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Texte coquin : Dounia, ma plus belle voisine, première partie.
Histoire sexe : Une rose rouge
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