Ma tante Sylvie

- Par l'auteur HDS SebC -
Récit érotique écrit par SebC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 1 récit publié.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de SebC ont reçu un total de 2 904 visites.
Récit libertin : Ma tante Sylvie Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 2 904 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Ma tante Sylvie
Voici pour commencer quelques détails me concernant. Je m'appelle Sébastien, j'ai 29 ans. Malgré les quelques petites amies que j'ai eues, je n'arrive pas à m'engager et je suis toujours célibataire.
Parmi les expériences sexuelles que j'ai vécues ces dernières années, il y en a une qui sort du cadre des relations "normales" pour un mec de mon âge. C'est même considéré comme une pratique interdite, puisque c'était avec une de mes tantes.
Ça s'est passé l'année dernière. Ma tante s'appelle Sylvie, elle a 48 ans et je la trouve physiquement très bien roulée. A tel point que ces dernières années, elle était au centre de beaucoup de mes fantasmes. Ce qui m'excitait vraiment c'est que nous passions souvent une partie des vacances d'été ensemble et qu'à chaque fois il m'arrivait de la voir à poil plusieurs fois. Elle se changeait sans aucune pudeur n'importe où dans la maison, ne fermait jamais la porte de la salle de bains à clef, laissait souvent celle de sa chambre entrouverte, etc. De plus, il m'arrivait souvent de blaguer avec elle, et même sur des sujets un peu "olé-olé", mais tout cela n'avait jamais dépassé le cadre de la plaisanterie. Il se trouve que depuis quelques mois, je faisais de temps en temps un déplacement professionnel à quelques kilomètres de chez elle et, 4 ou 5 fois elle m'a hébergé pour la nuit.
Lors d'une de ces premières soirées chez elle, elle m'avait demandé pas mal de conseils pour s'acheter un ordinateur et s'abonner à Internet. Je l'ai donc aidée dans ses choix et la dernière fois que j'avais passé la soirée chez elle, je lui ai tout installé. J'en ai profité pour lui configurer une webcam avec un compte msn. Dans les jours qui ont suivi, on tchattait quelques minutes tous les soirs, par webcam interposée. Par ce biais, il lui arrivait de temps en temps de me poser des questions techniques au sujet de son ordinateur.
Un jour, alors que je devais me déplacer du côté de chez elle 2 jours plus tard (et par la même occasion me faire héberger pour la nuit), elle ne s'était pas connectée de la soirée. J'allais éteindre mon ordinateur quand elle a enfin allumé le sien. J'ai tout de suite entamé la discussion et démarré une conversation vidéo. Elle a fait de même et je l'ai vue apparaître la poitrine nue. Je lui ai fait la réflexion « tu sais que je vois tes seins, là ? » Elle a répondu « T'es tout seul derrière l'ordinateur ? » « Oui. » « Ben alors ça va ! »
Je commençais à bander et j'ai glissé ma main dans mon pantalon. Elle ne pouvait pas le voir alors j'en profitais. Puis je me suis dit qu'elle était peut-être complètement à poil et que, si elle se levait, je pourrais peut-être profiter d'une vue encore plus intéressante. J'ai eu une petite idée, que j'ai voulu tenter. Je lui ai demandé si tout allait bien avec son ordinateur, ou ses logiciels, et évidemment elle a trouvé des questions à me poser sur des trucs qu'elle ne comprenait pas. Très rapidement, pour une de ses questions, je savais qu'elle avait un manuel dans lequel elle pourrait trouver la réponse. J'ai donc fait semblant de na pas être sûr de la réponse afin de lui dire de vérifier dans le mode d'emploi, en l'incitant à le faire immédiatement. Or, je savais que tous ses documents concernant son matériel informatique étaient rangés sur une étagère au dessus de son écran, et qu'elle devrait donc se lever pour les attraper. Et mon "plan" a fonctionné : Elle s'est levée, et j'ai pu me régaler. En effet, comme je l'espérais, elle était complètement à poil et j'ai pu admirer sa chatte pendant une bonne dizaine de secondes, le temps qu'elle trouve le manuel en question. Pendant ce temps là, j'ai sorti ma bite et j'ai commencé à me branler en regardant la foufoune de ma tante ! Mes gestes étant cachés par le rebord du bureau, je n'avais pas de risque qu'elle se rende compte de ce que je faisais. Pendant qu'elle était debout, je ne lui ai pas fait la réflexion afin qu'elle n'interrompe pas ce spectacle trop tôt. C'est quand elle s'est rassise que j'ai dit : « vu d'ici, le spectacle était intéressant ! » Comme elle n'est pas du tout pudique, elle n'a pas semblé gênée, mais a répondu « Oh ! Je n'avais pas pensé à la caméra ! » J'ai ajouté : « J'avais remarqué. » Et puis, sur le ton de la plaisanterie, j'ai dit : « Si tu veux aller chercher un autre manuel sur ton étagère, surtout fait comme si je n'étais pas là ! » On a rigolé, puis elle s'est prise à mon jeu et a enchaîné en plaisantant : « Ah oui, tiens. Je crois que je vais aller chercher le mode d'emploi de l'imprimante ! » Et elle s'est levée une deuxième fois ! En sachant très bien, cette fois, que je voyais tout. Je n'en ai pas perdu une miette et je me branlais de plus belle, d'autant plus qu'elle se déhanchait maintenant en disant, tout haut : « Serait-ce celui-ci ? Ou bien celui-là ? Etc. » Ça a encore duré plusieurs secondes avant qu'elle ne se rassoie en disant « Oh mon dieu, j'avais encore oublié qu'il y avait une caméra ! » J'ai rigolé en me forçant, car j'étais surtout super excité, mais je n'osais pas trop le montrer. Comme ce n'était pas la première fois que nous blaguions sur des sujets un peu grivois, j'ai tenté de continuer de plaisanter dans cette voie pour voir jusqu'où ça pouvait aller. J'ai donc dit : « Si tu comptes être derrière ton ordi tous les soirs dans cette tenue, dis-le-moi, que je ne prévois plus de sorties ! » Elle a rigolé et répondu : « Oui, peut-être, mais seulement si toi aussi tu es tous les soirs dans la même tenue ! » J'ai dit : « Pas de problème pour moi » même si au fond je n'étais pas aussi sûr de moi : je suis plus pudique qu'elle, et je commençais à être à la fois très excité et assez gêné de la tournure qu'avait pris la blague (mais je l'avais cherché) alors j'ai continué la plaisanterie comme si de rien n'était. J'ai donc ajouté : « Alors on se retrouve demain soir ? » Et elle a répondu « Bien sûr ! » Et, comme je devais passer la nuit chez elle 2 jours plus tard, elle m'a demandé : « Au fait, tu viens toujours après-demain ? » J'ai répondu « Oui, si tu veux bien m'accueillir. » Elle a ajouté : « Mais tu es toujours le bienvenu ».
Évidemment, j'y ai pensé toute la nuit, fantasmant comme un fou en m'imaginant toutes sortes de scénarios.
Le lendemain soir, je me déshabille complètement, et m'installe derrière mon ordinateur. Quand elle s'est connectée, j'ai engagé la conversation par écrit : « Salut – Tu es dans la même tenue qu'hier, ou bien tu t'es couverte ? » Elle : « Comme hier, et toi ? » Moi : « Comme toi ». J'ai alors démarré une conversation vidéo, et je l'ai vue seins nus, comme la veille, tandis qu'elle me voyait torse-nu. Je commençais à être un peu excité, mais je ne voulais pas trop bander, car ce soir là, je comptais bien lui montrer que j'étais complètement à poil , et je ne savais pas si pour elle ce n'était qu'un simple jeu sans arrière pensée, auquel cas si j'allais trop loin, elle pourrait mal le prendre : je suis quand même son neveu, je ne voulais pas créer un scandale familial. C'est pourquoi, tout ce que je disais était sur un ton de plaisanterie, comme si tout n'était qu'un jeu débile, alors que j'étais vraiment excité et je rêvais de la baiser dans tous les sens. Évidemment, j'espérais qu'elle ait les mêmes envies que moi, et que ce manège finisse par déboucher un jour sur une bonne partie de jambes en l'air.
J'essayai donc de surmonter ma gêne, et en ayant l'air détendu je lui ai dit : « Au fait, je crois qu'on n'a pas totalement répondu à ta question d'hier. Je crois qu'il faudrait que tu ailles chercher ton manuel ! » Elle s'est tout de suite prise au jeu et a répondu : « Ah, oui ! » Puis elle s'est levée lentement en continuant : « Je crois que c'est celui-là... Non, peut-être est-il là ! » Etc. En posant une main sur sa hanche et en se déhanchant comme la veille. Mais cette fois-ci, elle a fait durer le plaisir un peu plus longtemps. Pendant ce temps, j'admirais sa chatte (que j'avais mise en plein écran), mais en me forçant difficilement à ne pas me toucher pour essayer de ne pas trop bander (ça commençait quand même, mais ce n'était pas trop important). Quand elle s'est rassise, elle a dit : « Et toi, il faudrait que tu prennes ton manuel, pour qu'on puisse suivre ensemble. » J'ai compris le message et, comme elle, je me suis levé pour lui montrer ma queue, tout en faisant semblant de chercher le bouquin à voix haute (même s'il n'y a rien de tout ça au dessus de mon écran, mais il fallait bien jouer le jeu). Quand je me suis rassis, elle a directement enchaîné : « Oh ! Je crois que je n'ai pas pris le bon manuel ! » Et elle s'est relevée, en m'offrant la vue de son sexe pendant encore un moment, puis s'est rassise. Alors, j'ai fait comme elle. Cette fois-ci, mon érection devait commencer à se voir mais je m'efforçais de faire comme si de rien. Quand je me suis rassis, elle a dit « Attends, je vais voir si je n'ai pas un autre bouquin », et elle s'est relevée , après quelques instants, elle s'est retournée pour me montrer son cul, et elle a ajouté : « Oh ! Zut, je l'ai fait tomber ! » Puis elle s'est baissée en laissant ses fesses bien en face de sa webcam. J'avais vraiment du mal à résister à l'envie de me branler. D'autant que mon érection était maintenant flagrante. Quand elle s'est rassise, j'ai enchaîné : « Ne t'inquiète pas, si tu ne trouves pas ton manuel, je suis là demain, je pourrai t'aider. » Elle a alors dit : « Ah ! Oui, c'est vrai. Vivement demain ! » J'ai alors ajouté : « Oh, mais zut : demain, comme je ne serai pas chez moi devant ma webcam, je n'aurai pas droit à mon petit tchat vidéo quotidien en petite tenue ! Je crois qu'il va falloir que je rentre chez moi. » Elle a alors répondu : « Non, on devrait pouvoir se débrouiller : on pourra se la faire toute la soirée, cette conversation en petite tenue, si tu veux ! » J'ai alors terminé par « Ben, vivement demain, alors ! »
Je commençais à m'imaginer que le lendemain, je pourrais peut-être me taper ma tante Sylvie! J'ai encore eu du mal à dormir : j'ai fantasmé toute la nuit comme un fou.
Le lendemain soir, j'arrive donc chez elle, une bouteille de vin à la main (je me disais que, si on picolait un peu, on arriverait peut-être plus facilement à faire tomber les inhibitions). J'ai sonné à l'interphone, elle m'a ouvert et je suis monté. Comme d'habitude, sa porte était entrouverte et je suis rentré. Elle était en train de préparer la cuisine, et ne portait qu'un tablier de cuisinière, et rien en dessous ! Le tablier cachait donc tout le devant de son corps, mais donnait l'impression qu'elle était complètement nue. En allant la saluer, j'ai ajouté : « T'as oublié de t'habiller, aujourd'hui ? » Ce à quoi elle a répondu : « Non, je me suis juste mise en tenue pour notre traditionnelle conversation du soir ! » J'ai souri, et elle a enchaîné : « On avait bien dit qu'on ne changerait pas nos nouvelles habitudes, non ? » J'ai répondu : « Oui, bien sûr » même si j'étais assez gêné. Certes, j'espérais bien que la soirée se termine comme ça, mais la démarrer directement en se mettant à poil me mettait mal à l'aise. Sylvie a alors continué : « Comme je suis déjà en tenue, va te changer, pendant ce temps là je finis la cuisine. » Malgré le léger malaise que je ressentais, je ne voulais quand même pas faire marche arrière à ce stade alors que j'avais tant attendu ce moment. J'ai dit « OK, je reviens », j'ai pris mon courage à 2 mains et me suis dirigé vers la chambre d'amis, dans laquelle je dormais quand j'allais chez elle. J'ai fermé la porte et me suis déshabillé mais je n'osais pas sortir de la chambre. J'ai regardé par le trou de la serrure pour voir si j'apercevais ma tante, et je l'ai vue dans le salon totalement nue, elle avait retiré son tablier. J'ai donc décidé de la rejoindre : je suis sorti de la chambre à poil, en essayant d'avoir l'air le plus décontracté possible. Elle m'a proposé un apéro, que j'ai accepté, et nous nous sommes assis dans des fauteuils. J'ai alors pris la parole : « Si tu reçois toujours tes invités comme ça, il faudra que je vienne plus souvent ! » Nous avons rigolé, et elle a ajouté : « Mais si tu vas toujours chez les gens comme ça, tu seras toujours le bienvenu ! » Je commençais à être à l'aise. Certes, j'avais une envie folle de me jeter sur elle et je ne pouvais pas le montrer. Il fallait donc tenter doucement d'aller de plus en plus loin, tout en donnant l'impression que ça restait un jeu. Ainsi, si un moment elle trouvait que ça allait un peu trop loin, il suffirait de dire que c'était "pour rigoler", et ça pourrait s'arrêter là sans que ça fasse un scandale. Tout ce qui a suivi a donc été fait dans cet esprit. Comme depuis le début je me forçais à la regarder dans les yeux, pour ne pas avoir l'air de trop m'intéresser au reste, j'ai dit : « Tu m'excuseras si j'ai du mal à te regarder dans les yeux ? » Ce à quoi elle a rigolé, et a répondu :  « Si on était obligés se regarder dans les yeux, ça ne servirait à rien de se déshabiller ! » J'ai rigolé et ai profité de sa réponse pour bien la mater ouvertement avec insistance et sous toutes les coutures en buvant mon verre. Elle s'est alors levée pour aller surveiller son plat qui chauffait, je l'ai suivie dans la cuisine, puis elle m'a proposé de passer à table, et nous y sommes allés.
Nous nous sommes assis face à face et avons commencé à manger. J'avais du mal à quitter ses seins des yeux. En servant le vin, j'en ai mis un peu à côté, ce qui m'a permis de prétexter (toujours en rigolant) que c'était la situation qui me perturbait (ce qui n'était pas tout à fait faux). Elle a alors dit « je ne vois vraiment pas de quoi tu parles », tout en gonflant la poitrine et en avançant ses seins au dessus de la table. Nous avons rigolé. J'avais une envie folle d'aller voir en dessous de la table, et j'ai trouvé une blague à faire : j'ai pris ma petite cuillère, l'ai amenée au bord de la table, et quand elle a regardé vers moi l'ai ouvertement jetée par terre de manière volontaire, puis j'ai dit : « Oh ! Zut ! Je suis tellement perturbé que je viens de faire tomber ma petite cuiller. Il faut que j'aille la ramasser ! » Elle a souri et je me suis baissé en mettant la tête sous la table. Sylvie avait les jambes légèrement écartées et je suis resté comme ça plus de temps que nécessaire afin d'admirer son sexe qu'elle dévoilait à peine. J'avais un début d'érection. Quand je me suis relevé, elle a, à son tour pris sa petite cuiller et faite tomber. Pendant qu'elle répétait à peu près ce que j'avais dit plus tôt, j'ai bien écarté les jambes au maximum afin qu'elle voit bien ce qu'elle descendait voir. Sous la table, elle a alors poussé la cuiller, qui est venue buter contre mon pied. Sur le coup, j'ai pensé qu'elle allait se mettre à 4 pattes sous la table, mais elle s'est relevée en disant : « Je crois qu'elle est de ton côté : tu peux la ramasser ? » Je me suis alors baissé et je n'ai pas été déçu du spectacle : elle s'était avancée sur le rebord de sa chaise et avait largement écarté les jambes, ce qui me permettait d'avoir une vue magnifique de sa chatte ouverte. J'ai fait durer le plaisir en disant : « Mais où est-elle ? » « Je ne la vois pas ! » Etc. Je suis alors complètement descendu de ma chaise, pour me retrouver à 4 pattes sous la table. J'ai ramassé la cuiller en disant : « ça y est, je l'ai trouvée », puis je me suis approché d'elle (toujours sous la table) pour lui passer sa cuiller de son côté. J'étais dans un état d'excitation ! J'avais la chatte de Sylvie, bien écartée, à 30 cm devant les yeux ! J'ai alors dit : « Je crois que je vais rester ici , comme ça si tu fais retomber ta cuiller, je pourrai la ramasser ! » Et elle a répondu : « T'as raison. Je te passerai à manger sous la table. » Joignant le geste à la parole, elle me tend un morceau de pain, que j'attrape directement avec la bouche pour le manger. Elle m'en tend alors un deuxième, qu'elle place plus près de sa chatte, ce qui m'oblige à avancer un peu pour l'attraper, encore avec la bouche. Elle en a alors pris un troisième, qu'elle a placé tout contre sa chatte. J'ai immédiatement saisi la perche et ai été le chercher, directement avec la langue, en profitant pour lui lécher le clito. Vu qu'elle s'est laissé faire, j'ai donc continué à lui bouffer la chatte pendant un bon moment, alors qu'elle me caressait les cheveux. Puis, comme elle était bien avancée, je me suis reculé, pour ressortir sur le côté de la table. Je me suis levé et ai été me placer derrière elle et lui caresser les seins. A ce moment, je bandais comme un fou. Elle s'est retournée et m'a saisi la bite pour la sucer goulûment. Après un moment, elle s'est relevée doucement en m'embrassant le torse, puis je l'ai attrapée sous les fesses pour la porter, et l'emmener dans sa chambre. Je l'ai posée sur son lit et lui ait écarté les jambes. Je me suis baissé et me suis remis à lui bouffer la chatte, avant de remonter lentement le long de son ventre, puis lui embrasser les seins en suçant ses tétons, et j'ai introduit ma bite dans sa chatte. J'ai baisé ma tante dans cette position pendant un bon moment, tandis qu'elle poussait des cris de plaisir, puis nous avons continué, dans toutes les positions possibles, avant que je ne jouisse en elle.
Depuis cette nuit là, je suis retourné la voir deux fois (uniquement à l'occasion de mes déplacements professionnels), et à chaque fois nous avons fait l'amour.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Ma tante Sylvie
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par SebC

Ma tante Sylvie - Récit érotique publié le 02-12-2006