Ce lancinant besoin d'être femme...

- Par l'auteur HDS Christiankiki6 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Ce lancinant besoin d'être femme... Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(9.0 / 10)

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Ce lancinant besoin d'être femme...
Mes aventures avec Marie-Jeanne, et son fils Michel forment pour moi de merveilleux moments de vie mais, comme dit le proverbe, "dans la vie, y a pas que le sexe, bordel, y a le vice et le stupre aussi". Afin de ne pas toujours vous bassiner avec Marie-Jeanne, dont toute la vie pourrait former un roman, je vais vous raconter quelques unes de mes habitudes, de mes pratiques sexuelles, et de mes petites manies. J'espère qu'elles vous intéresseront, même si elles ne sont pas aussi alléchantes que celles du marquis de Sade, ou de Restif de la Bretonne, le célèbre "hibou", qui hantait les ruelles de Paris à la nuit tombée, aux abords de la Révolution.

Tout a peut-être commencé, déjà, lorsque j'étais enfant, à vouloir prendre les habits de ma mère pour les essayer. Nous avons tous fait cela, ou presque tous, mais cette habitude a perduré chez moi, jusqu'à ce jour. Je continue de trouver encore, de nos jours, un charme discret à cet art vestimentaire, spécificité des femmes, comme le sont leur rouge à lèvres, les fragrances de leur parfum ou leur sourires enjôleurs. J'ai toujours voulu être une femme, et c'est encore aujourd'hui mon plus grand regret que de ne l'être pas. Je sors moins qu'autrefois dans la rue, habillée en femme, avec une perruque changeante, au gré de mes robes ou de mes tailleurs. J'ai pour le faire plus de temps maintenant, c'est vrai, mais moins de beauté, et ne veux pas jouer les vieilles folles. En plus, je ne peux pas imposer cela à ma propre femme. Se sentir femme, c'est vouloir percer un peu du mystère de la gente féminine, approcher le saint-graal de sa sensibilité, et le nirvana de sa sensualité. A l'heure même où je me déshabille, le soir, ou bien lorsque je me change, je ressens, de ma nudité même, une aura que ne m'offre jamais ma position normale d'homme. Je me sens faible, à la fois petite et frêle comme un papillon, mais en même temps, toute forte de cette condition féminine, que je m'approprie. Oui, la femme est tellement supérieure à l'homme...

Ce qui m'aura manqué surtout, c'est d'être mère, de recevoir au fond de moi la semence d'un immense plaisir partagé, et de la transformer en un petit embryon, un petit corps minuscule, de le sentir vibrer en soi, ressentir cette vie naissance, voir son corps se transformer, grossir, se gonfler comme un ballon, ses seins se gorger doucement de lait, conduire l'heureux papa en l'accompagnant chaque jour dans ses inquiétudes et ses joies, dans ses petites attentions pour moi, une délicatesse dont il n'est pas coutumier, jusqu'à l'explosion finale du bonheur de voir l'enfant paraître, la récompense aussi de cette douleur fulgurante que j'aurai ressentie auparavant, lors du travail final pour l'expulsion de l'enfant... Moment difficile, certes, mais si beau par la suite, et qu'il ne m'aura jamais été donné de connaître.

Alors, je me suis souvent contentée de mes séances de travestisme, toute seule le plus souvent, et elles se terminaient souvent le soir, avant de me coucher, dans mon bureau, la veuve poignet venant à mon secours pour concrétiser les nombreuses envies, souvent brusques et soudaines, que je ressentais. J'avais honte, je dois l'avouer, de n'avoir pas pu leur résister, car mon sperme venait alors souiller une culote qui aurait du rester propre, mais la nature triomphe toujours, et puis c'était là une maigre et juste compensation des plaisirs féminins que je ne pouvais connaître. Ne pouvant changer le cours des choses, je m'autorisai dès lors de longues plages horaires, où je me baignais dans le vice et le stupre, et c'est avec délices que je m'y vautrais, que je m'y salissais. Elles parvenaient parfois à combler mes envies les plus fortes, les plus "hard", comme on dit de nos jours, et dans ces moments là, j'oubliais tout ce qui m'entourait.
Ma femme était en vacances sans moi, en juillet, comme tous les ans, et c'est ainsi qu'un soir d'été, dans la nuit encore chaude, je m'étais parée de mes plus beaux atours féminins, passant plus d'une heure, après le repas, dans le secret de la salle de bain. J'étais sûre de mes succès à venir, en montant dans ma voiture pour "aller au bois". Le bois, c'est la grande foret voisine ou j'aime à tapiner quelquefois, cul nu, dans l'attente d'un hypothétique client, et une fois de plus, à peine arrivée à une aire de stationnement aménagée, pourtant peu fréquentée habituellement, je devinai quelques ombres dans le sous-bois où je m'aventurai. Il faisait encore un peu jour, et je parcourus près d'un kilomètre avant d'être enfin abordée. C'était un beau black d'ne trentaine d'années, je pense, qui me demanda si je n'avais pas peur, ainsi seule, et je lui répondis que non. Je voyais bien qu'il lorgnait vers ma poitrine, pas très développée, et pour cause, mais la bosse de son entrejambe, sous son pantalon de jogging, ne me laissait pas indifférente non plus, ce dont il s'aperçut..

En retournant tranquillement vers le parking, il s'excusa de devoir faire une pause-pipi, baissant un peu, par là-même, son haut de jogging, et se tournant juste un peu de côté, comme pour se cacher, il s'exécuta.. M'approchant de lui, je lui enserrai sa queue, qui mesurait une dizaine de centimètres, lui coupant net son envie, et il se mit alors à bander comme un monstre... enfin presque ! "On va dans ma voiture, si tu veux" me dit-il, sans même rentrer son engin dans le jogging, et j'admirai le beau mâle qu'il était. Arrivés à sa BM, il voulut me déshabiller, mais je lui refusai, prétextant une envie urgente d'être prise par derrière. Lui s'était complètement désapé, et j'eus à peine le temps de lui faire enfiler un préservatif bien lubrifié qu'il me possédait déjà, moi les mains en appui sur le capot, jambes bien écartées et jupe relevée. Il n'avait pas vu la situation comme cela, et se mit à jouir bien trop vite à son goût, mais moi, au contraire, çà m'arrangeait plutôt. Quand il retira sa capote, qu'il jeta à même l'herbe sèche, il me demanda de le sucer, pour nettoyer son membre, mais je refusai tout net, prétextant que j'en avais bien envie, mais que je ne voulais pas prendre de risques.

A cet instant, il s'apprêtait à repartir, pour Dieu sait quoi faire d'autre, tandis que j'enfilais ma culote, que j'avais laissée dans la boîte à gant. Il était déjà au volant prêt à partir, quand je lui intimai l'ordre de me suivre. Il me regarda d'un œil étonné, vaguement inquiet, avant d'acquiescer, et il me suivit jusque chez moi sans difficultés. Une fois dans la maison, je lui offris un apéro, un solide punch bien tassé, et j'en pris un pour moi également, avant de lui demander: "Sais-tu avec qui tu as baisé en forêt, regarde moi bien, sais-tu qui je suis"? et lui d'ouvrir ses grands yeux, ne comprenant toujours rien. Alors, nous reprîmes chacun un deuxième "ti-punch" bien corsé, avant de gagner mon lit. J'étais bien allumée, pour une fois, et ne pensais plus qu'à jouir.

Je le laissai se déshabiller dans ma chambre, la chambre nuptiale, et me changeai dans la salle de bain, avant de ressortir, nue sous mon peignoir, puis je m'assis au bord du lit, éteignit la lumière, et rentrai dans le lit, nue comme un ver. Sa main baladeuse me visita entièrement, de la tête aux pieds, tâtant mes seins menus, et mon sexe, que j'avais habilement planqué entre mes cuisses, me complimentant sur mon corps, et c'est quand il voulut me prendre par devant qu'il découvrit le "pot-aux-roses". Il me saillit de nouveau, comme avec si j'étais une chienne, totalement "out of control", sans préservatif cette fois (je l'avais complètement oublié celui-là), et je crois qu'il juta encore plus fort au fond de moi. Au point où j'étais, je lui fis un petit ménage labial, avalant les dernières gouttes qui jonchaient son ventre, et puis je tendis le dos quelque semaines. Deux contrôles ultérieurs du VIH s'avérant négatifs, je fus rassurée

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