C'est moi qui l'ai voulu

- Par l'auteur HDS Dur dur -
Récit érotique écrit par Dur dur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : C'est moi qui l'ai voulu Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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C'est moi qui l'ai voulu
Dire que c’est moi qui ai tout organisé, tout prévu, c’est un comble. Je suis un homme de 43 ans vivant maritalement depuis 20 ans avec ma compagne de 40 ans, joli brune au corps gracile et aux rondeurs bien plaçèes. Couple standard et stable avec deux charmants enfants de 11 et 7 ans. Ma vie de couple a eu comme chez tout le monde des hauts et des très bas. Pendant de nombreuses années, nous avons eu des disputes incessantes et violentes. Ma compagne a un caractère d’acier et défend bec et ongle ses positions. Moi je n’étais pas spécialement un soumis, et les disputes étaient quotidiennes car je voulais faire entendre mes raisons. Comment se fait –il que nous n’ayons pas rompu, je me le demande encore. J’ai cherché et eu ailleurs pendant de nombreuses années le réconfort qui me manquait et après une rupture extra conjugale très douloureuse, Je cherchais une solution sans jamais la trouver. Puis petit à petit après cette rupture, j’ai choisi de capituler devant ma femme. Elle a pris le dessus sur moi petit à petit, pas à pas. Son signe zodiacal du lion devait l’aider à me dominer. Dans la maison, je n’avais le choix de rien. Mes affaires n’avaient aucune grâce à ses yeux. Je laissais un papier sur la table, aussitôt il était jeté dans mon bureau. Par contre moi, je n’avais rien à dire sur tout ce qu’elle laissait traîner. Elle rentrait et rentre toujours dans des colères folles si je me permets une réflexion. Alors pour l’équilibre familial devant nos enfants, j’ai pris le parti de ne rien dire, acceptant toutes ces brimades quotidiennes. Puis je me suis pris à me sentir exciter quand je me faisais engueuler. Je l’ai dit à ma femme qui m’a ri au nez. Elle a accentué encore sa domination psychologique, je lui avais dit qu’après une engueulade, je n’avais qu’une envie c’était de me précipiter entre ses jambes pour la lécher. Quelque fois elle acceptait. Je n’avais jamais ressenti une telle excitation sexuelle. Le plus fort a été une fois quand j’avais oublié de sortir le linge de la machine à laver. Elle est rentrée du travail et après avoir constaté le fait, elle m’a agoni d’injures, a balancé toutes les affaires qui m’appartenaient à travers la pièce, photos, cadres et autres babioles éclatées sur le carrelage. Je me suis agenouillé devant elle la suppliant d’arrêter, m’excusant encore, lui disant que je ferais tout ce qu’elle voudrait. Je l’ai suivi à genoux dans la chambre, elle m’a tendu son pied botté et m’a ordonné de la déchausser, ce que je m’empressais de faire. Elle a ensuite baissé son pantalon, s’est mise à quatre pattes sur le lit et m’a tendu son anus à lécher en me disant que je n’étais bon qu’à çà d’après ses mots. Alors j’ai léché et j’ai voulu la baiser comme à l’accoutumée. Elle m’a répondu qu’il n’en était pas question et que j’allais garder ma queue bandée. J’ai joui aussitôt sans me toucher. Je n’avais jamais eu un tel orgasme. Depuis cette date, j’ai moi-même fait part de mon désir d’être l’esclave de ma femme, lui révélant tout mes fantasmes de soumis envers elle. Petit à petit, je l’ai convaincu d’être ma maîtresse. Nos jeux sexuels étaient toujours tournés vers la satisfaction de ma femme et de son seul plaisir, mais je lui faisais l’amour régulièrement. Comme toujours dans ces cas là, on va de plus en plus loin et c’est ce qui est arrivé. Ma femme adore se faire lécher la chatte et l’anus, cette tâche est devenu presque quotidienne pour moi. Elle ne m’a plus jamais touché la queue, disant que je n’en avais pas besoin. Maintenant dès qu’elle rentre du boulot le soir vers 21h30, je m’agenouille devant elle et lui retire ses chaussures. Pour elle s’est devenu une habitude de vie. Elle fait ensuite l’inspection de la maison, s’assure que les enfants sont couchés, puis va s’asseoir à table afin de manger le diner que je lui ai préparé. Nous discutons de choses et d’autres, surtout de moi d’ailleurs car ma femme ne dit rien sur son travail, me répondant que je n’ai rien à savoir, puis la soirée se poursuit presque toujours de la même façon, ma femme se lève et va s’affaler dans le divan après s’être mis en robe de chambre, pour regarder la télé. Je fais la vaisselle, range toutes la cuisine, puis je vais à côté d’elle. Dès que je l’approche je bande et pour moi c’est merveilleux de la désirer tout le temps. Je cours lui chercher mandarine et verre d’eau sitôt qu’elle me demande, elle me tend les pelures et je me lève pour les mettre à la poubelle. Elle mets toujours le programme de télé qui lui plait, sans s’occuper de mon avis. Là aussi j’ai cédé. Ensuite je cherche à m’approcher d’elle, puis selon son humeur, elle m’envoie balader ou se laisse faire. Je la caresse doucement sur les parties du corps qui sont découvertes, cuisses, poitrines, ventre. Je sais que je dois être très patient car elle aime que cela soit progressif, pour la mettre en appétit. Pendant parfois une heure je la caresse doucement selon ses goûts. Elle écarte ses cuisses pour que j’accentue la caresse. Au bout d’un moment elle m’ordonne « d’aller à ma place », c'est-à-dire à genoux sur le tapis, la tête entre ses jambes, et je la lèche encore tout doucement, par tout petits coups de langues. Ca dure le temps qu’elle le désire. Si elle en à envie elle mets ses deux pieds sur mes épaules, se cambre davantage et me présente ses fesses. Je sais ce qui me reste à faire et très délicatement je lèche son anus, très progressivement pour faire durer son plaisir. Elle reste comme cela en se caressant un peu elle-même pour se faire jouir, soit elle se retourne et je dois lécher chatte et anus à grands coups de langues pour augmenter son plaisir. J’aime les mots qu’elle me dit dans ces instants « t’es vraiment bon qu’à çà », « appliques toi plus », « t’auras droit qu’à çà et rien d’autres ». Quand elle a jouit, elle s’étend comme une chatte sur le canapé en disant que c’était bon, je continue de la caresser doucement dos et jambe pour qu’elle redescende doucement pendant un petit moment. Moi, je n’ai vraiment droit à rien, je reste la queue bandée, entièrement frustré et bandant plus comme un âne que comme un cerf .
Dans le lit c’est pareil, ma place c’est sous la couverture quand elle en a envie. J’ai acheté un gode qui se met dans la bouche, en lui disant que si elle ne voulait pas de ma queue, elle y prendrait encore plus de plaisir. Là encore j’ai demandé plus de domination. Maintenant je lèche d’abord, puis le la prends après avec le gode bouche, le l’entends jouir et prendre du plaisir, je ne suis plus qu’un instrument au service de son plaisir, ahanant au rythme qu’elle m’ordonne et désormais plus rien ne compte que sa jouissance. Au fil des années ma femme s’est habituée. Elle en est même très satisfaite, disant qu’avoir un mec à sa disposition s’est formidable. Bien sûr on a poursuivi le jeu. Pendant que je suis sous les couvertures, « à ma place », je répétais tout le temps à ma femme que ce serait normal qu’une femme comme elle se trouve un deuxième homme, une deuxième langue pour la changer. Elle me répondait que oui, mais sans jamais le faire. Elle me laisse la baiser et jouir environ une fois par mois, le reste du temps, j’y vais de la langue et du gode bouche. Il m’arrive souvent de jouir tout seul sur le matelas, à sa grande colère (feinte), car je ne dois jouir que sur son accord. Elle apprécie de me voir la queue prête à éclater quand elle s’endort. .En plus, elle trouve que je suis encore plus servile quand je n’est pas jouis. Nous sommes restés encore un bon moment comme çà, moi lui répétant sans cesse que j’adorerais être cocu. Elle me disait oui sans le faire, jusqu’au jour ou….elle m’annonça en rigolant qu’elle avait trouvé un homme, de deux ans plus jeune qu’elle soit 38 ans, célibataire et mignon et que mon désir d’être cocu allait bientôt se réaliser. J’ai redoublé d’ardeur sexuelle, bandant du matin au soir, avec l’impression au bout de 20 ans de vie commune de retomber amoureux, c’est merveilleux. Je n’arrêtais pas de lui demander des nouvelles de son futur mec. Elle me disait prendre son temps, qu’elle attendait qu’il devienne amoureux. Moi j’étais prêt à tout pour qu’elle le prenne en amant régulier, allant même jusqu’à lui proposer des weeks-end en amoureux avec son élu. Evidemment sa domination envers moi s’est encore accentuée. Je suis réellement devenu un esclave sexuel et domestique. Elle me répétait sitôt que je manifestais une résistance quelquonque que j’étais déjà remplacé et que j’avais interêt à la fermer. Avec des moyens comme çà, évidemment je n’en menais pas large, je voulais tout, sauf que ma femme me laisse pour ce mec. J’ai commencé à avoir peur qu’elle me quitte. Elle en rigolait. Bien sûr ils ont fait l’amour, très souvent, puisqu’il habite prés du travail de ma femme. Tous les midis, il l’attend pour déjeuner et lui fait l’amour réguliérement. Il faut dire qu’elle est très mignonne, petite brune avec un cul de rêve et une merveilleuse poitrine. Ma femme est très heureuse d’avoir deux hommes, deux langues comme elle dit, car lui aussi est assez soumis, bien qu’il la saute beaucoup plus que moi. En effet, il a tout essayé pour qu’elle me quitte et vienne vivre avec lui. Si j’étais jaloux volontaire de son amant, lui l’était de moi. C’est devenu une vie normale pour ma femme. Nous vivons tous les deux pour la satisfaire. Moi je reste à la maison pendant qu’elle prend du bon temps. Après sa semaine à la maison cela la détend d’être sans mari et enfants alors elle en profite pleinement. J’ai voulu qu’elle arrête le jeu, mais trop tard Elle m’a fait comprendre qu’il en était hors de question.. Son amant aussi a dû apprendre à accepter la situation et à être aussi à son entière disposition quand elle en a envie.
Au début, après 6 mois, j’ai demandé à ma femme de pouvoir lécher le sperme de Marc, (puisqu’il a un prénom, autant le nommer.)
Elle me fit plaisir aussitôt sur ce point, en m’expliquant que Marc allait en être très heureux. Effectivement, elle me mit au courant peu après que Marc se faisait un devoir d’éjaculer juste à l’extérieur de son vagin pour que j’en profite davantage. Mais attention, juste retour des choses, ma femme ne voulait pas lui laisser trop la bride sur le coup, et je lui ai fait pareil, pendant quelques temps, tous les lundis, ma compagne me permettait de jouir en elle pour que Marc puisse lécher aussi.
Elle ne se gêne pas d’ailleurs pour me tenir des propos cru sur ce qu’elle fait avec lui. Comment il l’a baise, combien de fois ect…Quand elle se couche le soir à mes cotés je commence à la caresser, dos, jambes, et quand je passe sous les couvertures elle me dit quelquefois, en vérité assez souvent désormais, que j’y aille avec une grande douceur car elle a baisé tout l’après midi et qu’elle est épuisée. Elle a donné son pucelage anal à Marc, moi je ne peux accéder à ce trou qu’avec la langue. Au début, quand elle m’annoncé qu’elle allait se faire sodomiser, j’ai bondi, moi qui n’y ai jamais eu droit en 20 ans ! Marc allait pouvoir se le payer et en être particulièrement satisfait. Elle m’a tout de suite remis à ma place, en m’indiquant que c’était moi qui l’avait dépucelé du vagin et donc un trou chacun c’est justice m’a-t-elle dit. En plus tu ne vas pas tout perdre, car tu vas être chargé de l’assouplir et de le dilater pour que j’y prenne plus de plaisir. Et allons y, j’ai du exaucer le désir de madame, encore une fois, assouplir son petit trou pour que ce soit Marc qui en profite. Le jour dit, bien sûr j’étais au courant, elle m’a embrassé le matin en partant, en me disant que je pense bien à sa petite femme qui allait se faire défoncer le derrière. Quand elle est rentrée, le soir, elle n’a rien dit, elle s’est couchée et m’a réveillé en me tirant par l’oreille pour me mettre entre ses jambes. Elle m’a déclaré que ce devait être encore tiède, vu que trois quart d’heure avant il y avait la bite de Marc dedans. Alors j’ai nettoyé, tout, chatte et anus béant, c’est sûr que là il était dilaté comme jamais. Figurez vous qu’en dehors de l’humiliation ressentie et de la frustration soigneusement entretenue par ma femme je suis sexuellement satisfait car j’éprouve du désir pour ma femme comme au début, je n’ai plus envie de la tromper comme par le passé. Il y a maintenant 3 ans qu’elle mène cette vie là et qu’elle en profite jusqu’au bout. J’ai fait la connaissance de Marc et de sa queue, c’était une étape obligée. Un jour elle s’est pointée chez nous avec lui, les enfants étaient chez les grands parents. Marc est un beau mec, on s’est serré la main un peu forçé. Ma femme a tout de suite mis les choses à plat.
en déclarant qu’elle ne tolérerait pas l’animosité entre nous. Alors j’ai dit oui comme d’habitude. Nous avons mangé sans rien dire Marc et moi. Ma femme, parfaitement à l’aise entre nous se régalait de la situation. Depuis 3 ans que cela durait, elle avait pris ses marques depuis longtemps. Après le repas ils sont allés boire le café au salon pendant que je débarrassais la table. Marc et ma compagne ne s’occupait plus de moi. Je n’existais plus. Ma salope de femme était à cheval sur Marc, sa jupe relevée, l’embrassant à pleine bouche. Bien que je me sois imaginé de nombreuses fois les scènes, j’ai pris un coup au ventre. Elle s’est tournée vers moi, en me disant de m’asseoir à côté et d’attendre. Sur son ordre j’ai dégrafé le soutien gorge et libéré sa belle poitrine. Marc à aussitôt léché ses seins avec avidité. Elle s’est relevée à fait valser sa petite culotte qu’elle m’a jeté au visage et a roucoulée de satisfaction en voyant la belle queue bandée de son amant. Je le voyais enfin ce membre avec lequel elle se faisait prendre depuis 3 ans. Elle est revenue à cheval sur lui et la queue s’est enfonçée dans gardera comme mari, c’est le principal pour moi.
son cher minou, sans aucune pitié pour moi. J’ai eu droit à tous les commentaires de leurs parts. Ce genre de scéne s’est renouvelée souvent car ma femme et marc s’éclataient davantage lorsque j’étais présent. Pour que les choses soient bien claires, il a été décidé par ma femme que je serais aussi l’esclave de Marc quant il était là. J’ai dû me mettre à execution et à lui donner du plaisir, mais juste avec la langue. Il adore me faire lécher ses boules et sa raie des fesses quand il prend ma femme, le pire est que j’arrive à jouir rien qu’en m’avancant vers lui langue sortie, sans me toucher. Voici ma vie désormais, j’espère que ma femme me gardera, en tous cas, je suis beaucoup plus heureux et épanoui maintenant.

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