Les talons rouges (épisode N°09) IX –Pratiques sadomaso

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
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Récit libertin : Les talons rouges (épisode N°09) IX –Pratiques sadomaso Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les talons rouges (épisode N°09) IX –Pratiques sadomaso
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

LES TALONS ROUGES (épisode N°09)

Agathe, âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, elle se laisse dépuceler et dévergonder par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Le beau Jacques profitant de sa candeur et de son innocence la dévergonde, entraînant également la sœur d’Agathe, la belle comtesse Gaëlle de Santesteban, qui elle, approche de la cinquantaine. Celle-ci, cinq mois après est seule au château lorsque Jacques la provoque et la soumet à ses désirs. Mais Agathe va rentrer de sa croisière.

IX –Pratiques sadomaso

Lorsque Agathe rentre de croisière, il y a tout juste une journée que le comte est rentré de son voyage et qu’il a retrouvé sa femme et leur ami commun. Jacques est courtois avec les deux femmes au premier dîner pris en commun, mais il reste tout de même assez distant pour ne pas alerter son hôte. Le soir, après que chacun se soit retiré dans ses quartiers, il descend rejoindre sa première amante. Celle-ci lui demande abruptement s’il s’est passé quelque chose entre lui et sa sœur pendant son absence. Jacques la regarde ironiquement et lui avoue tout de go.

- Bien sûr ma chère, nous avons fait l’amour, toutes les journées et toutes les nuits où vous étiez absente. C’est de votre faute, j’arrive après cinq mois d’absence, et mademoiselle est partie en croisière. Heureusement que Gaëlle était là pour contenter la grande envie que j’avais de vous.

- Oh ! Vous êtes un monstre. Vous ne m’aimez pas.

À ce moment, Agathe, en se jetant sur son lit, éclate en sanglots. Jacques sourit devant cette crise de jalousie, et, s’asseyant près d’elle, il lui dit.

- Je ne voudrais pas vous faire de reproches ma chère, mais c’est bien vous qui avez mis votre sœur dans notre lit. Enfin qui vous dit que nous avons fait l’amour ? Cela n’est pas écrit sur nos visages que je sache ?

- Elle m’a tout avouée ce matin, et apparemment elle ne regrette rien, elle dit même que vous êtes un merveilleux amant.

- Vous voyez, rien de fâcheux apparemment. Nous pourrons donc nous aimer tous les trois comme une certaine nuit où vous m’aviez couvert le visage d’une cagoule. En attendant une bonne partie à trois, je vous ferais bien l’amour moi. Vous m’avez manqué et ma verge a vraiment besoin d’une petite gâterie.

Agathe se retournant sur son lit le regarde avec la candeur d’une jeune fille, s’exprimant d’ailleurs de la même façon.

- C’est vrai ? Je vous aie manqué ? Oh ! Mon Amour ! J’ai cru dépérir durant ces longs mois. Si vous le voulez nous ferons l’amour avec Gaëlle, vous savez bien que je ne peux rien vous refuser.

Jacques a profité des bonnes dispositions de sa maîtresse, pour la trousser proprement et, passant ses doigts dans sa culotte, il entreprend de fureter avec ses doigts dans l’entrejambe, pendant que celle-ci, se penchant vers son pantalon et ouvrant sa braguette, sors le membre érigé et l’enfourne sans coup férir dans sa bouche. Elle le pompe avec force jusqu’à ce qu’il éjacule entre ses lèvres, ne s’arrêtant pas à ce moment, suçant le vit jusqu’à ce qu’il ne reste plus une seule goutte. Apparemment, elle veut ainsi montrer sa supériorité sur sa sœur en se montrant la plus habile à faire jouir son « homme », marquant ainsi son territoire. Tout cela n’a pas échappé à Jacques qui questionne habilement Agathe sur les cinq mois où il a été absent et sur la croisière qu’elle vient d’effectuer.

Elle lui parle d’abord de la croisière en Méditerranée et des villes Grecques qu’elle a visitée avec sa grand-tante, elle babille un peu, parlant de choses et d’autres. Enfin, elle se décide à raconter, qu’un homme de son âge lui a fait la cour durant ces trois semaines. Elle a manqué succomber, mais la compagnie de sa grand-tante n’a pas facilité les choses. Il a pu tout de même l’embrasser et même caresser sa poitrine, mais quand il a voulu glisser une main sous sa jupe ample, elle l’a découragé. C’est un homme marié de quarante-cinq ans environ, notaire de son état, voyageant avec son épouse. Celle-ci lui a paru très effacée, apparemment ne se rendant pas compte des frasques de son mari, bien que celui-ci avoue à Agathe, que sa femme n’est pas si sage qu’elle le paraît dans l’intimité. Elle expose que ce couple demeure à Bayonne, à moins de soixante kilomètres du château, et, que le prénommé Gilles a exprimé le désir de revoir sa compagne de croisière. Agathe ne sait si elle donnera une suite, cela dépend d’abord de ce que Jacques en pense, puisqu’il l’incite à connaître d’autres aventures, lui ayant laissé entendre que sa présence au domaine ne pourrait être qu’épisodique.

Enfin elle lui avoue, qu’il y a deux mois, se trouvant à la frontière avec son cheval, elle s’est retrouvée en Espagne sur les terres de son beau-frère. Alors qu’un orage éclatait et que sa jument prenant peur l’avait désarçonné et s’était enfui, elle avait trouvé refuge dans la hutte d’un bûcheron. Épuisée par la chute et la longue course à pied qu’elle avait effectuée, elle s’était endormie sur le grabat de l’occupant des lieux, absent à cette heure de la journée. Lorsqu’elle avait repris ses esprits, le maître des lieux, un colosse espagnol était rentré de son dur labeur. L’homme, très gentil malgré ses manières frustes, l’avait soigné et pansé. Pour cela elle avait été obligée d’enlever ses vêtements, ayant les genoux et les bras suffisamment écorchés pour devoir être désinfectés. Lorsque l’homme l’avait vu à demi nue, après l’avoir soigné, il n’avait pu s’empêcher de vouloir la violer. Agathe s’était résolue à lui céder plutôt qu’à lui résister. Aussi, elle s’était laissé embrasser par le colosse, qui ne pouvant se retenir plus longtemps, avait arraché sa culotte et qui, sans préparation, l’avait brutalement baisé à même le sol, entrant et sortant une bite énorme de son vagin martyrisé. Agathe ne cache pas à Jacques, que malgré l’épouvante qui l’avait saisie ou peut-être à cause d’elle, elle s’était retrouvée trempée, d’ailleurs heureusement car la verge avait glissé parfaitement dans ses parois vaginales, lui faisant prendre un terrible pied. Toute la nuit, l’homme de Cros Magnon lui avait fait l’amour, heureusement par-devant, car le bâton qu’il avait entre les jambes n’aurait pu pénétrer dans son anus sans faire d’effroyables dégâts. Enfin au matin, deux gardes-chasse de son beau-frère, utilisant leur véhicule tous terrains, seul véhicule pouvant rouler sur l’étroite piste de montagne, étaient partis à sa recherche et avaient retrouvé sa trace. Ils l’avaient ainsi récupérée saine et sauve. Elle n’avait bien sûr parlé à quiconque de son aventure forcée avec le bûcheron espagnol, certainement un employé d’Adrien, n’en gardant que le souvenir d’une jouissance violente l’ayant tout de même contentée.

Jacques, durant toutes ces confidences qui l’émoustillent, reprend peu à peu des forces. Il se promet d’ailleurs d’utiliser plus tard les aveux de sa maîtresse, aussi bien en essayant de savoir si le couple de croisiériste serait à même de faire des partenaires pour leurs jeux, que de prévoir une randonnée avec les deux femmes pour essayer de les faire sodomiser par le bûcheron espagnol. Il n’en dit mot à Agathe, voulant se ménager la surprise le jour venu.

En attendant, il dispose Agathe à genoux sur le lit, lui demandant d’écarter ses fesses. Celle-ci, docile aux désirs de son amant, se prête avec complaisance à l’acte sodomite. Jacques, sans coup férir, l’encule à sec. Agathe se montre stoïque, elle reçoit l’assaut avec empressement, s’agitant sur la queue qui la transperce et ahanant devant la pénétration brutale de son petit orifice, songeant que l’Espagnol aurait pu la forcer ainsi et peut-être l’envoyer à vie dans un hôpital sinon pire. Une bouffée de chaleur l’envahit au souvenir de cette nuit d’éprouvante dans la montagne, la faisant aller au-devant de la verge qui se faufile entre ses fesses. Alors qu’il éjacule en elle, son amant s’abat sur ses reins, la plaquant à plat ventre sur le lit. Comment a-t-il pût deviner ses songes les plus secrets ? Il lui glisse à l’oreille.

- Tu te demande comment le bûcheron aurait pu t’enculer de la sorte, n’est ce pas ma chérie ? Tu aurais bien voulu sa queue dans ton trou mignon, ne dit pas le contraire, je suis certain que tu en rêves. Ma verge ne te suffit plus, elle n’est pas assez grosse, Allons réponds ou je vais te donner une fessée.

Depuis le début de leur aventure, Agathe et Jacques se vouvoient et se tutoient suivant les circonstances. Le vouvoiement étant d’ailleurs le plus souvent utilisé, comme avec Gaëlle d’ailleurs. Cette fois, malgré le tutoiement intentionnel et le langage vulgaire de Jacques, Agathe continue à le vouvoyer.

- Vous êtes méchant. Vous savez bien que je vous aime. C’est vous qui me forcez à penser à d’autres hommes, mais c’est vrai que je n’en reviens pas encore de la grosseur du pénis de cet Espagnol qui a pu m’enfiler dans ma chatte son gros pieu, j’en suis encore abasourdie.

- Bien, puisque tu aimes les grosses queues, je veux que tu me laisses t’attacher pour te punir de tes penchants honteux. Allons donne-moi tes poignets et allonge-toi sur le lit sur le dos. Lève tes bras et écarte tes cuisses !

Ce faisant, Jacques lui a passé des menottes aux poignets et aux chevilles et l’a attaché, écartelée sur son lit. Agathe se laisse faire en souriant, sachant que les jeux pervers vont recommencer, ce qu’elle adore. Pourtant cette fois-ci, elle est surprise des idées incongrues de son amant. Il a allumé des bougies dans la chambre, éteignant les lumières électriques, donnant ainsi à la pièce une atmosphère fantasmagorique. Puis, prenant une bougie allumée entre ses doigts, il fait couler un peu de cire chaude sur le ventre d’Agathe qui tressaute violemment au contact brûlant sur sa peau tendre, poussant un petit cri de douleur lorsqu’une deuxième coulure attend le globe de son sein droit. Puis c’est le sein gauche, l’intérieur des cuisses si sensibles, encore les seins, cette fois sur les mamelons, et enfin sur le mont de venus, la cire brûlante s’approchant de la vulve à chaque fois un peu plus, arrachant à la femme des gémissements ininterrompus. La cire heureusement, refroidi presque instantanément et la sensation est assez fugitive, mais la peur accentue encore la souffrance endurée, surtout que les bouts de ses seins sont complètement recouverts par la bougie fondue qui cette fois garde la chaleur devant les nombreuses coulées superposées. Les larmes et les cris d’Agathe n’arrêtent pas son tourmenteur qui cette fois, approche une bougie du vagin, laissant un filet de cire chaude s’écouler dans la fente si délicate, provoquant cette fois un arc de cercle du corps d’Agathe qui se tord de douleur, hurlant sa souffrance et insultant son amant qui lui inflige un supplice insoutenable. La cire chaude ayant atteint dans un premier temps son clitoris si sensible et vulnérable, puis s’écoulant en brûlant les chairs si tendres au-delà des nymphes si fragiles des petites lèvres, n’allant pas plus loin que les parois des muqueuses sans aller jusqu’au fond du vagin. Agathe se tord sur le lit, car elle ne peut enlever les entraves qui la lient aux montants tellement sa douleur est forte. Jacques va chercher dans la salle de bains des crèmes et des pommades calmantes et il revient s’occuper du corps meurtrit de sa maîtresse. Celle-ci pleure cette fois sans retenue à gros sanglots, alors que Jacques délicatement retire les plaques de cire de son ventre et de ses seins, appliquant les crèmes et huile adoucissantes sur la peau rougie. Il a un peu plus de mal avec l’intérieur des chairs vaginales et le capuchon du clitoris qui se montrent effroyablement douloureux pour la belle suppliciée. Enfin, il arrive à ses fins, enduisant les parties les plus intimes d’une huile qui calme immédiatement la douleur. Ses doigts rencontrent d’ailleurs de la mouille à l’intérieur de la matrice, prouvant sans aucun doute qu’une certaine jouissance s’est ajoutée à la souffrance. D’ailleurs, alors qu’elle pleure encore, lorsque Jacques introduit son membre dans sa vulve martyrisée, son ventre va au-devant de la verge qui pénètre à peine les chairs mutilées, faisant des circonvolutions autour des chairs meurtries. Sa langue se mélange instantanément avec celle de Jacques qui lui baise la bouche. La forte douleur ressentie a exacerbée ses sens, ce que Jacques avait pressenti, aussi elle le supplie maintenant de la baiser et de lui faire mal.

- Salaud ! Viens au fond de moi je veux jouir ! Tu es un monstre, mais je t’aime. Viens encore ! Plus fort ! Fais-moi mal ! Défonce-moi ! Je te hais, mais je t’aime ! Allez ! Viens encore ! Défonce-moi la chatte ! Mords-moi les seins ! Déchire-moi salaud !

Jacques s’applique aussitôt à contenter sa belle, il mord à pleines dents les mamelons encore chauds de la cire dont ils ont été recouverts, pilonnant sans arrêt le con qui bave de la mouille que la cire chaude a provoquée par la transformation de la douleur du ventre en jouissance psychique et physique en même temps. Il a pris sa taille entre ses mains, la soulevant légèrement du lit pour s’enfoncer avec encore plus de force en elle, la faisant crier alors que, ne pouvant plus retenir plus longtemps sa propre jouissance, il s’épand en elle, l’inondant de son foutre jusqu’au col de son utérus.

Jacques savoure le pouvoir qu’il vient d’obtenir sur la quadragénaire. Elle est maintenant toute à lui. Il pourra en faire ce qu’il voudra, lui imposer tous ses fantasmes. Après ce qu’il vient de lui infliger, il en est maintenant certain. Il lui reste tout de même à solliciter ses reins d’une façon atroce afin de savoir si elle pourra se faire sodomiser par la monstrueuse queue de l’Espagnol.

Il profite de l’abandon de la femme pour la détacher et la préparer à l’enculage qu’il désire. La retournant sur le ventre, il l’attache de nouveaux avec les menottes dans cette nouvelle position. Puis, prenant trois gros coussins sur le canapé, il les glisse sous son ventre, ayant ainsi ses fesses largement écartelées, donnant accès aussi bien à son anus qu’à sa vulve. Lorsque Agathe reprend ses esprits, elle est surprise de se trouver dans cette position et questionne son amant.

- Jacques ? Que veux-tu encore me faire ? Tu crois que je n’aie pas assez souffert. Oh ! Et puis zut, fait ce qu’il te plaît. Même si je souffre, je jouis également. Tu es le plus adorable salaud que je connaisse.

- Ma chérie, je vais d’abord vous fouetter, sur les fesses, bien entendu, jusqu’au sang, pour que vous puissiez jouir après. Enfin je vais tenter de vous enculer avec ce gode. Vous rêviez de celui du bûcheron si je ne m’abuse. Celui-ci est-il de la même grosseur ?

En voyant l’olisbos que Jacques lui présente, Agathe est effarée. C’est un bâton de caoutchouc demi souple, imitant à la perfection les contours d’une verge, dont la longueur doit bien atteindre quarante-cinq centimètres, mais dont le diamètre est vraiment impressionnant, disons un bon soixante-cinq millimètres. Plus gros qu’une bouteille de soda. Il est déjà presque inconcevable qu’un vagin puisse accepter un tel engin, mais un anus, cela paraît complètement improbable. Pourtant, du fait de sa matière presque souple, l’engin pourra entrer au plus profond, presque jusqu’aux intestins, puis qu’il pourra sans mal de frayer un chemin dans l’angulation que forme le rectum en son centre. Quant à sa grosseur, l’ampoule rectale est suffisamment souple pour recevoir un engin encore plus gros, seuls l’élasticité des muscles de l’œillet rectal sont à vaincre.

- Vous êtes fou Jacques, vous ne pouvez pas m’imposer cet… cet objet énorme. Cela n’entrera jamais. Ou… Ou alors vous allez m’envoyer à l’hôpital. Oh ! Mon Dieu ! Vous êtes devenu fou. Ce n’est pas possible. Au secours ! Au sec…

Jacques sans hésiter vient de la calmer en lui appliquant une fessée dont elle se souviendra, Il frappe les globes de ses fesses avec sa main bien à plat, faisant rougir le postérieur rapidement et rappelant certainement à Agathe, les corrections qu’elle a dû recevoir par les sœurs des Ursulines où elle a été élevée à Lourdes. D’ailleurs celle-ci s’est tue, pleurant doucement de la fessée qu’elle reçoit comme lorsqu’elle était adolescente. Mais elle n’en a pas fini avec la douleur de ses fesses, car Jacques, changeant de tactique, s’est à présent muni d’un fouet à cinq brins qu’il applique avec force sur le derrière de sa prisonnière. Celle-ci hurle sous les coup de fouets appuyés de son amant, surtout que dans la position ouverte qui est la sienne, des lanières se glissent parfois dans son entrejambe, atteignant ses parties les plus intimes, lui occasionnant une douleur atroce.

Jacques, s’arrête soudainement et ne prenant aucun repos, il encule sa proie tout de go, ramonant le cul qu’il trouve humide et qui prend son rythme sans protester cette fois. Agathe, surexcitée par la correction qu’elle vient de recevoir, prend un plaisir incroyable au sexe de son amant qui la fouille au fond de ses entrailles, surtout lorsque celui-ci, glissant une main sous son ventre, vient caresser sa vulve et son clitoris, augmentant encore la jouissance qui déferle en elle. Lorsque Jacques éjacule dans son anus, et se retirant, badigeonne ses fesses avec son sperme, adoucissant les cinglantes brûlures, elle s’adresse avec une grande douceur à son tourmenteur.

- Merci mon Jacques ! Vous m’avez fait encore jouir d’une façon différente, comme à chaque fois. Je vous aime mon chéri et je n’aime que vous. Vous pourrez m’offrir à d’autres hommes, il n’y a qu’avec vous que je jouirais autant.

Jacques sourit à la déclaration de sa suppliciée. Il s’approche de sa bouche et il l’embrasse tendrement, tout en lui déclarant.

- Ma chérie, je suis très heureux que malgré les souffrances que je vous occasionne, le plaisir s’empare heureusement de vous. Mais à présent, il faut que je prépare votre derrière à ce que vous savez. N’ayez pas peur, j’ai prévu une manière non douloureuse de vous faire accepter cet engin comme vous dites.

Jacques, se saisissant d’un coffret qu’il a apporté avec lui, en sort un tout petit anus-picket en caoutchouc souple, relié à une bouteille en métal par un tuyau de deux mètre de long. Il introduit l’olisbos entre les fesses d’Agathe qui frémit de peur, étonnée de sentir à peine le petit pénis artificiel pénétrer dans son anus. Il s’assure que le gode ne s’enfonce pas trop, mais qu’il reste à peine entré dans le goulet étroit, puis, il appuie sur une manette de la bouteille, laissant entendre un sifflement qui en sort. En fait c’est de l’air comprimé qu’il envoie ainsi dans le pénis artificiel qui se gonfle doucement, écartant les muscles des sphincters et agrandissant démesurément le conduit rectal. Étrangement, Agathe ne ressent aucune douleur, seule une gêne dans son anus qu’elle sent s’écarteler progressivement, aidé en cela par Jacques, qui verse une huile émolliente le long du gode et dans le rectum, pour que les parois en soient bien imprégnées. Enfin, lorsque le gonflement lui paraît suffisant, il arrête le robinet d’air, contemplant les globes des jolies fesses d’Agathe, qui exagérément écartelées laissent découvrir l’anneau de l’anus qui forme un énorme bourrelet dans lequel est fiché l’olisbos gonflé comme une baudruche. Rassuré sur la suite de ce qu’il prépare, il vient se glisser sous le visage d’Agathe en lui présentant son vit à sucer. Celle-ci ne se fait pas prier, elle engloutit la verge sans hésitation, mordillant le bâton de chair pour le faire gonfler un peu plus vite entre ses jolies lèvres, entortillant sa langue autour du gland, essayant de faire entrer la pointe dans le méat entrouvert, puis, suçant avec application le sexe masculin avec sans aucun doute un plaisir étonnant d’ingénuité

Jacques songe que la quadragénaire qui le pompe avec autant de recueillement se nomme Agathe Donamaria de Urroz, qu’elle est d’une ancienne famille basque espagnole qui remonte à Charles-Quint, ses ancêtres ayant participés à la reconquête de l’Espagne sur les Maures et qu’elle était encore vierge, il y a moins de six mois. Il ne peut que constater qu’il n’y a aucune femme de définitivement frigide, il faut seulement utiliser dans ce que chaque femme a de différent, le truc, la chose, le mot, le geste, que sait-il au juste, qui déclenchera le désir de faire l’amour. Il n’est pas certain d’avoir toujours su, pourtant, il ne se souvient pas d’avoir eut beaucoup d’échecs, trouvant, comme par miracle, à chaque fois, ce qui fait vibrer une femme. Alors qu’il rêvasse aux désirs des femmes, la jouissance déferle dans son corps, alors que sa verge expulse son sperme sur le visage d’Agathe, qui immobilisée par ses entraves a beaucoup de mal à rattraper le pénis qui a échappé à ses lèvres. Elle suce et avale jusqu’à la dernière goutte le jus poisseux, trouvant à ce geste une preuve d’amour pour son amant, sans astreinte d’aucune sorte.

Pour elle pourtant, rien n’est terminé, Jacques qui se redresse vient voir le cul écartelé de sa patiente, il redonne un petit coup d’air, écartant encore un peu plus l’anus prêt à craquer, puis il prend l’énorme gode, bien dur celui-ci qu’il veut glisser dans le rectum d’Agathe. Celle-ci est devenue blanche comme de la craie. Ce n’est pas de l’air qui va s’introduire entre ses fesses, mais bien un objet consistant qui va fouiller ses entrailles atrocement. Elle sait que ça ne sert à rien de supplier son amant. Il la sodomisera de toute façon avec son engin monstrueux, à quoi bon protester. Qu’il fasse vite maintenant, qu’elle sache au moins s’il ne va pas l’estropier à vie.

Jacques doit certainement deviner ses pensées, car, dégonflant à peine le pénis artificiel, il l’arrache d’un geste prompt, faisant faire un « flop » lorsque l’engin sort de l’anus, alors qu’un cratère impressionnant s’ouvre démesurément sous les yeux de Jacques qui se demande comment une ouverture pareille puisse se faire. Mais ne voulant pas que le gouffre se referme, il avance aussitôt le gros pénis, forçant sur le gland pour qu’il écarte encore plus les sphincters, arrachant des feulements de douleur à Agathe qui peut se croire fendue en deux. Mais Jacques, poursuit inexorablement sa mission, poussant peu à peu le monstre dans le rectum qui emboîte étroitement le tube de caoutchouc. L’énorme tube disjoint les chairs péniblement, glissant tout de même sur les parois huilées et défonçant le rectum altier jusqu’aux fonds des entrailles. Agathe n’a même plus la force de crier, elle halète doucement, essayant de reprendre sa respiration, car la monstruosité de l’acte lui a coupé le souffle. Pourtant, elle n’a pas vraiment mal, éprouvant seulement une certaine gêne dans ses boyaux trop occupés, mais la sensation devient étrange, surtout lorsque Jacques, se met en demeure d’effectuer un va-et-vient dans le cul intégralement dilaté. Elle a l’impression que tous ses intestins vont sortir en même temps que l’énorme machine qui fouille sa matrice anale. Mais, lorsque le monstre se glisse à nouveau dans son fondement, elle éprouve une sensation jouissive de se savoir pénétrée par cette verge impressionnante et elle se met d’un seul coup à rêver à son colossal bûcheron, qui aurait pu la prendre ainsi. Jacques se rend bien compte de la transformation des traits de son amie, aussi il accélère progressivement la cadence, la bourrant bientôt avec force dans son anus dilaté, faisant onduler le pénis factice dans le rectum, affolant les sens d’Agathe jusqu’à lui faire crier sa joie.

- Ooooh ! Oui ! Encoorrrr !... Oh! ..........Vite ! Vite ! Oui ! Encoorrrr !... Oui ! Oh !........... Encoorrrr !... Aaaaaaaaaaahhhh !........ Ouuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii......... Aaaaahh !.... Mhmmmmmmmmmm...... Je jouis ! Oui ! Oh ! Je… Je…….. jouuuuuiiiiiiiiiiiiiiii........ Oh !........... Encoorrrr !... Encoorrrr Ouuuuuuuuiiiiiiiiiiiii... Je jouis ! Ouuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.........

La pauvre, sous la jouissance qui est trop forte, laisse la bave s’écouler de ses lèvres exsangues, ses yeux roulent comme des billes de flipper, puis, la tension étant trop forte, elle s’évanouit. Aussitôt, Jacques cesse de la baratter comme un forcené et retire très doucement l’engin qui fait rouler les bords de l’anus en sortant du cul très largement dilaté. Il enlève délicatement les menottes qui retiennent prisonnière la femme sans connaissance, il retire les coussins rehausseurs de dessous son ventre, puis il la recouvre d’un duvet pour qu’elle ne prenne pas froid. Ensuite, il prépare un bain très chaud, où il verse des huiles et des sels parfumés. Puis, il fait chauffer deux grandes serviettes de bain, enfin, se saisissant d’une des serviettes, il en enveloppe le corps inanimé de sa maîtresse, puis, la prenant dans ses bras, il vient la plonger dans la grande baignoire où il se glisse, lui aussi à ses côtés. Agathe reprend connaissance et se blottissant dans les bras de son amant, elle lui glisse dans son oreille.

Tu es un monstre, mais je t’aime, je t’aime mon amour.

Le couple enlacé, s’embrasse longuement, alors que Jacques caresse le dos de sa compagne, massant ses épaules pour la décontracter, enfin il lui frotte le corps avec une éponge douce, cajolant la femme qu’il vient de faire souffrir durant des heures interminables.

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