Premier été sans Emilie (3)

- Par l'auteur HDS Arnaud Desens -
Auteur homme.
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Récit libertin : Premier été sans Emilie (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(9.0 / 10)

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Premier été sans Emilie (3)
Emilie m’avait envoyé deux cartes de New-York. Des petits mots sympathique. Je savais qu’elle était désormais chez sa grand-mère et un soir je décidais de lui écrire une lettre pour lui parler de Bruno.

« Emilie, si ton corps me manque, si nos séances de baise me manquent, tu dois bien te douter que je ne reste pas chaste en attendant de te revoir. Comme tu l’avais prédit les animateurs emballent facilement, mais pour ma part ce ne sont pas ces filles qui te remplacent le temps de notre séparation mais un autre animateur Bruno.
« Tu le sais que ma première expérience fut avec un mec, et c’est avec joie que je retrouve les plaisirs du sexe entre homme. Bruno est plus vieux que moi. S’il lui arrive d’avoir des aventures avec des filles, il préfère les mecs. Il sait que je suis plus partagé, il sait que tu existe mais cela lui convient. Nous avons convenu que ce que nous avions était un plan cul, un partenaire de baise, et qu’à la fin de l’été tout serait terminé.
« La première fois que nous avons baisé était bien dans cet esprit, sauvage, quasi bestial, et j’ai eu mal au cul pendant plusieurs jours. Si quand il m’encule il ne prend pas de pincette, et j’aime ça, quand il me suce étrangement il est plus tendre. J’adore quand il me suce, en général c’est sur la plage. Aux yeux de tous. Bon c’est une plage à l’écart et il n’y a jamais plus d’une dizaine de personnes mais tout de même. J’aime aussi le sucer. J’adore te bouffer, mais avoir la bouche pleine du sexe d’un autre est magique. Bref, nous nous entendons bien pour nous donner du plaisir.
« Je t'écrit d’ailleurs juste après notre dernière baise. C’est d'ailleurs pour te la raconter que je t’écrit. C’est le 15 aout et il vient d’y avoir un feu d’artifice. Par chance demain c’est notre jour de repos à tous les deux et nous avons pu aller le voir. Pas au milieu de la foule mais sur cette plage que nous fréquentons. Si en journée elle est presque déserte, le soir elle vide. C’était un peu le but . En arrivant nous nous sommes foutus à poil. Allongé sur un serviette nous avons attendu le début du feu d’artifice en nous suçant en 69. C’est un truc extra que de se faire sucer avec la bite de l’autre dans la bouche. Une fois bien chaud, alors que les première fusée montaient dans le ciel étoilé, Bruno m’a pris à quatre patte. A la lueur des explosions de couleur. Nous pouvions crier sans crainte. Il me traitait de chien, de pute. Il criait ces mots dans la nuit. Je criais aussi de plaisir. Le plaisir de me faire bourrer le cul par une grosse bite bien dure. Une bite qui me fait jouir, qui me fait répandre mon foutre dans le sable.
« Puis ce fut son tour. Je me suis assis sur la serviette et il est venu s’enculer sur ma queue. Il m’a baisé, s’emplissant de moi. Emilie, ma belle Emilie, un jour tu me donneras ton cul et je te ferais jouir comme je le fais jouir lui, cet enculé.
« Nous avons regardé le feu d’artifice en baisant. J’ai pensé à Marc, a notre première fois au bord du lac. Comme avec toi il y avait des sentiments, de l’affection de l’amour. Avec Bruno ce n’est que du sexe. Je me lâche à fond. Je veux faire pareil avec toi.
« Nous avons pris un bain de minuit après avons remis ça une dernière fois avant de rentrer. Comme à chaque fois je me retrouve seul dans ma chambre.
« Tu me manques.»

Je postais la lettre le lendemain avant de retrouver Bruno sur la plage. Il n’était pas seul. Déjà un mec le sucait. Un petit minet un peu grangalet. Il me vit arriver et me fit signe de les rejoindre.
— C’est qui lui, demandais-je un peu en colère ?
— Un ami qui me fait du bien
Il s’appelait Cedric, il nous avait suivi la veille et nous avait observé pendant que nous baisions. Il avait reconnu Bruno et quand il l’avait vu descendre de nouveau sur la plage il l’avait abordé en racontant ce qu’il avait vu la veille.
— Il est très intéressé par ce que nous faisons tous les deux. Je n’aime pas laisser les jeunes dans l’ignorance alors je lui apprend à bien sucer. Il se débrouille pas mal. Tu veux l’essayer ?
Cedric me regarda et sans attendre mon avis sorti ma bite et me suça. Bruno souriait en nous regardant. Je m’installais à ses côtés, Cedric me suçant toujours. Sa bouche était chaude, et on y sentait l’envie. Je me laissais faire t lui envoyais une bonne giclée de foutre sur la langue. Il recrache le tout.
— Il va falloir que tu lui apprenne à avaler, dis-je à Bruno.
— Montre lui, me répondit-il en me montrant sa queue toujours dressée.
Je m’appliquais pour ne pas le décevoir, caressant ses couilles, le branlant, lui glissant un doigt dans le cul pour le faire jouir et avalant tout son foutre.
— Très bien, tu vois mon petit c’est comme ça qu’il faut faire. Allez venez tous les deux, on va passer aux choses sérieuses.
Il se leva. Cédric hésita un peu mais nous suivi jusqu’à la chambre de Bruno. Il y faisait chaud, le lit était défait. Bruno tira les rideaux, et s’avança vers Cédric. Il lui ota son short et prit sa bite en main. Elle était fine, pas très longue. A l’image de son propriétaire. Bruno le branla en le regardant dans les yeux. Je m’installais sur le lit après m'être déshabillé. Je me branlais doucement en les regardant. Bruno fini par prendre Cédric dans sa bouche et le petit jeune ejacula aussitôt.
— Mauvais point mon grand, tu vas devoir apprendre à te retenir sinon tu n’iras pas loin. Tu viens l’enculer, me dit-il.
Je me levais, demandais à Cédric s’il était d’accord. Il ne dit rien mais hocha la tête. J’enfilais une capote pendant que Bruno préparait le trou de Cédric en l’enduisant de gel et en le doigtant. Cédric s'allongeât sur le lit, je me glissais derrière lui et posais ma bite sur sa rondelle.
— C’est ta première fois, lui demandais-je ?
Il fit oui de la tête. Je pressais un peu plus mon gland contre son anus, il se crispa un peu, s’augmentait la pression et d’un coup sec l’enculais. Il émit un cri de douleur. Bruno m’encouragea à y aller en force, à lui déchirer le cul pour lui apprendre à mater les mecs qui baisent sur la plage. Cédric me regarda par dessus son épaule. dans son regard se mêlait cranite et envie. J’y allais doucement pour qu’il s’habitue et commence à prendre du plaisir. Bruno continuait de lui parler, lui demandant s’il s’était branlé en nous regardant, s’il se branlait souvent en pensant au mecs, puis lui mit sa bite dans la bouche. Cédric se mit à sucer Bruno pendant que je l’enculais. Il semblait prendre son pied. C’était sa première fois et il avait droit à un plan à trois, une bite a chaque extrémité. Bruno lui éjacula au visage en poussant un cri. Je continuais de baiser son petit cul bien étroit. Dans un dernier grand coup de rein je me vidais les couilles en lui.
Cédric était couvert de sueur. Il se retourna, s’essuya le visage dans les draps.
— Tu as gagné le droit de nous enculer à ton tour, lui dit Bruno. Qui tu preferres ?
Cédric choisit Bruno et lui prit le cul sans ménagement. J’offris alors ma bite à Bruno qui me suça avec délectation. Cédric ne fut pas long à venir. Bruno le congédia et continua à me sucer jusqu’à ce que je l’abreuve de mon foutre.
Quand je sorti je trouvais Cédric en train de pleurer. Je lui demandais pourquoi et il me répondit qu’il ne voulait pas être un PD, mais que c’était plus fort que lui, quand il nous avait vu, il n’avait pas pu s'empêcher de se branler. Il voulait nous rejoindre, et aujourd’hui il avait eu le courage parler à Bruno mais maintenant il s’en voulait.
— Est-ce que tu as pris du plaisir ?
— Oui, mais...
— C’est tout ce qui compte. Tu aime les hommes, c’est bien si tu sais ce que tu veux. Bruno est spécial, trop brute, un peu con. Moi ça me va pour le moment. Toi c’était un peu trop pour une première fois. Tu apprendras. Tu testeras des trucs, avec des mecs, avec des filles, et tu ferras ce qu’il te plait.
Il m’embrassa sur la bouche, et parti en courant.

Le dimanche suivant je ne suis pas allé voir Bruno. C’était son dernier week-end et je savais que je ne revérais plus. Je suis resté dans ma chambre, sans regret. Le lundi à la plage je suis resté seul. Il me restait une semaine de boulot avant de retrouver Emilie.

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