Ma Première Douche de Sperme

- Par l'auteur HDS Kaminu -
Récit érotique écrit par Kaminu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma Première Douche de Sperme Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2013 dans la catégorie Plus on est
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(9.0 / 10)

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Ma Première Douche de Sperme
Ma copine d'alors s'appelait Agnès et, comme moi, était chaude côté cul. Pipes gourmandes et baveuses, sodomies, bi-sexualité, plans à 3 ou à 4, double-pénétrations, exhib', nos pratiques sexuelles nous mettaient à l'abri de l'ennui. Francis était régulièrement de nos parties, il la baisait, l'enculait, m'enculait aussi, je connaissais le goût de son sperme et je l'appréciais, il connaissait le goût du mien même si j'étais plus souvent l'arrosé que l'arroseur, mon côté passif et salope y étant pour beaucoup.

Parmi les fantasmes que je n'avais encore jamais réalisés était celui de la douche de sperme. J'adorais voir Agnès barbouillée de nos semences respectives et quelque part, je l'enviais. Si Francis était un assez gros juteur, ce n'était pas assez pour me couvrir de sperme, je rêvais d'un bukkake au terme duquel je serais noyé, enseveli sous des couches de foutre. Agnès était partante, tout comme Francis, non sans me mettre en garde :

– Tu es sûr de pouvoir tenir jusqu'au bout ? C'est une sacrée épreuve. Combien de mecs pourraient éjaculer sur toi ?
– Une dizaine ? Quinze ?
– On va couper la poire en deux : une douzaine, c'est déjà pas mal. On a Francis, il reste à trouver onze mecs.

Nous faisons le tour de nos relations, Francis aurait 5 mecs à proposer qui d'après lui seraient partants. Agnès propose 3 candidats dont elle répond. Je n'ai pas de mal à trouver les 3 restants parmi des copains bi, je sélectionne les mieux membrés et les plus gros juteurs. L'endroit choisi est le jardin de Francis, nous sommes en été et il fait chaud. Tous les participants ont pour consigne de ne pas baiser ni se branler pendant le semaine précédent le jour J, il faut qu'ils aient un maximum de sperme en réserve et si possible qu'ils puissent éjaculer deux, voire trois fois, en peu de temps.

Le jour arrive, un samedi, je suis aussi excité qu'anxieux. Mon bukkake a ceci d'un peu spécial que les participants me sont pour une partie d'entre eux connus, ce qui a pour effet de me mettre en confiance mais aussi d'introduire une certaine gêne à l'idée que des amis me voient effectuer ce genre de performance pour le moins extrême et dégradante. Quant à moi, même si j'aime le sperme, en recevoir sur la peau et en avaler, j'ignore encore si ce sera supportable à haute dose.

Je me déshabille entièrement, mon épilation intégrale est parfaite, je suis déjà en érection en voyant arriver les candidats, sourires aux lèvres.

– Toujours partant Sylvain ? me demande Agnès.
– Le premier qui veut que je le suce peut s'avancer, je suis prêt.

Ils se déshabillent, plusieurs bandent déjà, un premier mec issu du cercle de Agnès se présente devant moi, je m'agenouille et saisis sa queue pour la branler avant de me la mettre en bouche. Taille moyenne, non rasée, grosses couilles.

– Ton prénom ?
– Franck.

J'enfourne son membre tout entier et lui prodigue une pipe appliquée, profonde, lèvres serrées autour de sa hampe. Son gland gonflé roule sur ma langue, sa queue a plutôt bon goût et me plaît.

– Ma parole...
– Mmmm ?
– Tu suces vraiment très bien.

J'articule un vague merci la bouche pleine et ne relâche pas mon étreinte, il va déjà juter, sort de ma bouche et se branle devant mon visage encore propre. Ça y est, je vais être souillé et ce ne sera que le début de mon bukkake. Sans un mot, il me crache son foutre au visage, je garde la bouche ouverte pour en recueillir une partie que je laisse couler sur mes lèvres.

– Merci. Encore.

Le second participant se présente, un copain de Francis, grosse queue cette fois, toujours poilue, je préfère les rasées mais aujourd'hui je devrai sucer toutes les bites qui se présentent devant moi. Sans me poser de question, je l'engloutis, le branle dans ma bouche, lui gobe les couilles, le masturbe et le fais jouir en quelques minutes, toujours sur mon visage.

– Merci. Un autre.

Le troisième cette fois a la queue et les couilles entièrement lisses, son membre n'est pas très gros mais je m'en délecte, sucer sans les poils est tellement plus agréable. Mes lèvres tapissées de sperme glissent bien sur sa verge que j'aspire, gourmand, comme une sucette d'écolier. Petite queue mais couilles bien remplies apparemment, il m'asperge très généreusement d'un sperme épais et bien blanc, lequel commence à couler sur mon torse.

– Merci beaucoup. Encore.

Deux mecs se présentent en même temps, je suce alternativement le premier pendant que je branle le second. L'odeur de sperme est maintenant bien présente qui ne me quittera plus jusqu'à la fin de la séance, les premières giclées refroidissent avant que de nouvelles salves de foutre chaud me barbouillent le visage et coulent sur mon torse. Non seulement je tiens mais j'en veux encore, encore, une ivresse déguisée me gagne. Le premier gicle sur ma joue en éclaboussant la queue de l'autre que je pompe, ce dernier jouit dans ma bouche :

– Tiens ! avale !

Son éjac n'en finit pas, il décharge une grande quantité de sperme dont je n'arrive à avaler qu'une partie, laissant le reste ressortir et couler sur mon menton luisant. J'ai le goût de son foutre dans la gorge et celui-là ne me lâchera plus non plus, avant que d'être mêlé à celui d'autres qui déchargeront aussi dans ma bouche et voudront que j'avale leur semence.

– Merci. Encore.

Cette fois c'est un copain, Olivier, sexe imberbe et moyennement membré, je sais que c'est un gros juteur et je connais bien le goût de son sperme, plus âcre que la moyenne. Je le pompe avidement, la bouche gluante de foutre, pendant qu'il me regarde avec un large sourire :

– Tu veux que je t'arrose où ?
– Où tu veux.

Il éjacule abondamment sur mon torse, le rendant presque entièrement couvert de sperme additionné aux giclées et aux coulées précédentes, je sens maintenant le foutre perler sur mon ventre et jusqu'à mon pubis imberbe, les plus longues traînées atteignent bientôt ma queue turgescente. Bien que gardant les yeux fermés quand un participant gicle sur mon visage, du sperme a coulé dans mon oeil droit, je demande une serviette pour m'essuyer.

– Tu veux arrêter ? demande Agnès.
– Non, juste m'essuyer l'oeil, ça brûle.

Agnès me tend une serviette avec laquelle je me débarbouille tant bien que mal.

– Encore.

Arrivent deux autres mecs, nous sommes à la moitié du parcours, sans compter les éventuelles deuxièmes fournées. J'avale successivement leurs queues dans un état progressif de demi conscience : est-ce encore le réel ? Depuis une demi-heure, mes yeux n'ont pour seuls paysages que des bites qui défilent devant moi, on me bombarde de rafales de sperme qui à force de couler sur ma peau se fait oublier, ce sont plutôt les endroits encore immaculés de mon corps qui me semblent étranges, presque étrangers. L'odeur du foutre est entêtante mais pas encore écoeurante, j'en ai au bord des narines que je respire constamment. L'abstinence d'une semaine des participants a produit les effets escomptés : ils jutent vite et ont du sperme à revendre, j'en suis couvert au-delà de mes espérances.

Le bukkake continue, les deux manches à cracher du foutre arrosent mon front, mes cheveux déjà collants, du sperme coule dans mon oreille gauche et de mes épaules se répand même dans mon dos.

– Encore.

Je distingue à peine le visage du septième participant, ce n'est qu'une autre queue devant moi, une queue que je branle puis suce comme les précédentes. Moins appliqué, plus mécanique, les doigts glissants, gluants de sperme que j'essuie maladroitement sur la serviette de plus en plus lourde et sans un coin de sec. Il me demande d'ouvrir grand la bouche pour s'y vider, je bascule ma tête en arrière et m'exécute pour recevoir sa semence en longs traits nourris, en avale une bonne partie en manquant de m'étrangler. Je hoquète, déglutit, tousse, du sperme remonte de ma gorge que je recrache dans un haut-le-coeur, dégoûté un court instant mais bien décidé à continuer.

– Tu veux arrêter ? me demande à nouveau Agnès.
– Encore.

J'ai les yeux à moitié ouverts quand la huitième queue remplit ma bouche. Continuer, coûte que coûte, j'irai jusqu'au bout. Fabien est un mec "à moi", je le connais, c'est un brutal : il me baise la bouche en tapant jusqu'au fond, me donne ses couilles poilues à bouffer jusqu'à m'empêcher de respirer, tape son gland sur mes joues avant de jouir sur mon visage moiré de sperme.

– Merci. Je peux avoir une serviette propre ? Pour m'essuyer les yeux.
– Je vais t'essuyer, tu ne vois plus ce que tu fais.

Agnès me nettoie délicatement les yeux jusqu'à ce que je puisse les rouvrir entièrement.

– On arrête quand tu veux Sylvain.
– Encore.

Les trois derniers participants avant Francis se joignent pour un début de bouquet de final. Deux queues sur trois sont poilues mais à ce stade de mon bukkake, ça ne fait plus beaucoup de différence. Ils se branlent successivement dans ma bouche et me promettent de m'inonder de sperme avec des phrases salaces :

– Tu vas en bouffer Sylvain, en bouffer jusqu'à l'indigestion. Ouvre ta gueule de pute et fais reluire nos queues. T'en veux encore, du foutre ? Tu vas être servi !

Dans l'assistance, Les participants dont la queue a déjà regagné de la vigueur se masturbent en me regardant. Soudain me revient la conscience d'être observé de tous, au coeur du spectacle, avili et de plus en plus dégradé, traité comme un porc, couvert de sperme et continuant à sucer chaque queue qu'on me présente, grosse, petite, lisse ou pleine de poils. La honte devrait s'emparer de moi et me faire immédiatement m'arrêter, mon dégoût se transforme inexplicablement en un surplus d'excitation : me sentir et me savoir dégradé, sali, souillé, me plaît et une pulsion venue de nulle part me fait continuer.

Ils se mettent d'accord pour éjaculer en même temps et y parviennent presque : les deux premiers giclent de concert immédiatement suivis par le troisième. Tous visent ma bouche que je dois garder ouverte. Les yeux fermés, je sens les rafales de sperme atterrir partout sur mon visage, ma bouche déborde de foutre que je laisse couler

– "Ongore", balbutie-je la langue baignant dans le sperme.

C'est alors que Francis s'approche, il bande comme un taureau, je l'imagine déjà m'asperger, me finir :

– On va changer un peu, tu veux bien ?
– Quoi ?
– Mets-toi en position pour que je t'encule.

Je me lève, les genoux douloureux, me penche et m'aggrippe à une table parasol en bois, jambes écartées, pour me faire sodomiser par Francis qui je le sais est capable de coups de boutoir violents. Il me saisit par le bassin, m'écarte les fesses et sans autres préliminaires m'enfonce sa queue de 22 cm dans le rectum. Même si ce n'est pas la première fois qu'il m'encule sans me préparer, je le sens passer. Alors qu'il me lime et me secoue, des chandelles de sperme s'agitent sous mon menton, mon nez, mes oreilles, on pourrait m'essorer comme une serpillère.

Les couilles rechargées, une demi douzaine des participants s'est réunie pour former un cercle autour de ma sodomie, ils se branlent lentement en me regardant me faire défoncer le cul, le corps tout entier ruisselant de leur foutre froid. J'exulte. Francis s'apprête à gicler, ressort son manche de mon conduit dilaté et s'astique frénétiquement devant mes fesses qu'il ne tarde pas à arroser abondamment.

– Merci...

Assommé, épuisé, je me traîne jusqu'à une chaise de jardin située à quelques mètres de là. Affalé, je contemple mon ventre souillé à travers mes yeux vitreux, l'odeur de foutre est omniprésente, je ne peux rien toucher sans que mes mains ne rencontrent du sperme. Mes arroseurs s'approchent, bite à la main, je bande plus dur que jamais et cette fois c'est à mon plaisir que je pense : à mon tour de me branler, je l'ai bien mérité. D'une main sûre, je commence à me masturber devant mes juteurs qui en font autant, prêts pour la deuxième couche. L'un après l'autre, ils giclent sur mon ventre, mes cuisses et bien sûr ma queue dressée qu'ils visent tout particulièrement. Se branler sous des giclées de sperme est surréaliste, grandiose, mon sexe est très vite couvert de foutre qui dégouline sur mes couilles.

– Continuez, arrosez-moi ! Je vais gicler !!!...

Alors que les dernières rafales de sperme s'écrasent sur ma queue, j'éjacule comme rarement j'ai éjaculé, dans une jouissance profonde et violente, envoyant du sperme jusqu'à mon menton. Mon orgasme passé, je continue à branler ma queue pleine de foutre jusqu'à ce qu'elle perde enfin de sa vigueur et se pose sur ma cuisse ruisselante.

J'ai reçu ma première Douche de Sperme et je suis comblé, c'est une expérience inoubliable à laquelle je repense chaque fois que je me masturbe. J'en prendrai d'autres toutes aussi réussies mais aucune n'aura la saveur de cette première fois.

Les avis des lecteurs

Merci pour ta semence Alexis. Que d'autres n'hésitent pas, soyez encore nombreux à vous masturber sur cette histoire (réelle, je précise) et quand vous éjaculez, imaginez que c'est sur moi...

Très excitant. Je vais me masturber tout de suite en pensant à toi et au plaisir que tu t'es donné et que tu as procuré à tes jouisseurs

Histoire Erotique
trop bandant, je viens de me branler en lisant et de me juter partout dessus. j'en veux aussi.

Merci pour vos commentaires. J'espère que vous avez été nombreux à vous branler et à éjaculer avec force en lisant cette histoire. Je me masturbe en vous imaginant vous vider dans ma bouche ;-).

Histoire Erotique
Putain sa mexite je crois que je vais en faire un aussi

Intense, comme je suis moi-même bi, c'est un fantasme que je n'ai pas encore réalisé.



Texte coquin : Ma Première Douche de Sperme
Histoire sexe : Une rose rouge
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