Tomber en amour

- Par l'auteur HDS Jpj -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Tomber en amour Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Tomber en amour
Montréal novembre 2013
Je suis maintenant un homme libre : ma blonde et moi on s’est quittés vu que je ne chavirais plus d’envie pour elle et que, quand on jouait aux fesses, elle ne grimpait plus dans les rideaux. Pour un chum, l’amitié intime c’est insuffisant ! On est en droit de plus.
Alors j’ai accepté ce poste de lecteur erasmus à l’université de Montpellier. Surtout que j’ai obtenu en plus une bourse du ministère du tourisme québécois pour une étude marketing, connaitre l’image que les Européennes se font du Québec : Fréquence Caribou, Calinours, Traineaux, Motoneige, Château Frontenac, Ma Cabane au Canada, Parlure pure, Civisme et surtout les craquettes lisses… J’avoue que cette mission clichés m’a enchanté : découvrir un pays, la France, en vue de comprendre comment ses habitantes, voyaient la Belle Province !

J’ai loué un loft dans la vieille ville, un ancien atelier de photographe avec une grande verrière sur les toits, meublé à l’ancienne. L’immeuble est beau mais il n’y a pas grand filles, les voisins sont surtout des familles. Mais pile face à ma verrière, de l’autre coté de la ruelle, j’ai aperçu hier soir une belle Pitoune en plein mon genre. Elle habite un loyer avec trois fenêtres au même étage que moi.
Je suis resté discret et n’ai pas allumé les lumières. J’ai passé un moment à la r’garder vivre, aller et venir derrière ses fenêtres préparant son souper. Elle portait juste une camisole d’homme bleue et des petites culottes blanches. J’ai pensé, je suis indiscret, mon loft étant auparavant inoccupé, elle ne sait pas sinon elle aurait boutonné sa camisole. A chaque mouvement on voit ses mamelons. Il me faut maintenant me montrer, ce sera plus’correct qu'elle sache ma présence.
Alors je suis ressorti doucement sur le palier, j’ai allumé la lumière de l'escalier, puis j’ai ouvert la porte, je suis reentré en allumant une à une toutes les lampes de mon loft. J’ai fait celui qui ne regardait pas mais je savais qu’elle, elle me verrait dans la lumière, exactement comme moi je la voyais. J’ai barré la porte et suis allé à mon réfrigérateur prendre une liqueur et y mettre de la glace.
Mais non, rien n'avait changé, elle était là, indifférente, comme si je n’avais pas existé.
Et moi, à la regarder parader dans sa jaquette, un coup à une fenêtre, un coup à l'autre, avec ses lunettes de myope sur le nez et ses cheveux roux en bataille, moi je ne me tenais plus, j'avais des ondées de chaleur dans mes shorts.
En t’é cas, y m’fallait faire quéqu’ chose, j’n'allais pas passer ma soirée à admirer ce pétard pcq, depuis ma vingtaine, j'ai quitté les exaltations désirantes, j’aime pus m’exciter rien qu’à r’garder.
J'ai cherché. Cette verrière n'avait pas de stores, pas de rideau, rien pour cacher, empêcher ce reluquage réciproque. Je ne pouvais même pas lui parler pour la prévenir d’avoir à s’cacher … ou s’habiller, la verrière n'avait pas d'ouvrants, elle était fixe : les fenêtres étaient sur l'autre coté, derrière, sur l'autre rue.
C'était le supplice du badboy de Clockwork Orange, sanglé devant l'écran avec des écarteurs de paupières pour l'obliger à regarder le film thérapeutique. Sauf que moi, j’la regardais bien volontiers, cette agasse-pissette, qui vivait sa vie avec impudeur et indécence sans voir le voyeur, moi. C'est juste ma conscience qui m’jasait en dedans, surtout quand elle eut ôté ses culottes j’avais gros plan sur sa minette toute rousse. Enfin je me questionnais sur cette France et les coutumes de ces drôles d’indigènes.
Déjà quand j'avais entendu qu'ils nommaient PQ leur papier toilette, j'avais hurlé au sacrilège pour notre belle Province Québécoise... Charlebois, Levesque, mayday !
Le lendemain le levant inondait mon lit et en me réveillant je l'ai vue qui me regardait, les deux bras tendus, les mains posées sur son balcon de fer forgé, comme dans Titanic, toujours vêtue rien que de sa camisole carreautée, à croire qu’elle dormait avec. Je me suis levé, chaste dans mes shorts noires, en espérant bien qu'elle me verrait et comprendrait qu'il lui fallait dorénavant protéger ses intimités car elle avait un nouveau voisin. Mais rien n'y fit, elle restait debout, baignée elle aussi du soleil par reflet dans ma verrière, aveugle à ma présence, innocente et fraîche. Elle s’est tournée et a quitté son balcon en me présentant, ondulante, la craque de ses fesses.
J’étais voyeur à l’insu de mon plein gré…
J'ai eu brusquement envie de la convier au déjeuner pour partager mon sirop d'érable si goûteux sur ces longues tartines de pain français en baguette croustillante.
J'ai décidé de consacrer l'avant-midi à régler cette affaire. Je suis allé à l'agence qui avait établi le bail. Elle a ri la madame, vous êtes bien le premier à vous plaindre ! Cet immeuble est monument historique et la verrière a été restaurée par l'architecte des Bâtiments de France en Antelio. C'est ça qui donne la couleur dorée. C'est très chic car ça fait glace sans tain : on voit de l'intérieur comme à travers un simple vitrage alors que de l'extérieur les gens sont face à un miroir.
Elle m'a dit, vous ne risquez rien, personne ne peut vous voir, il n'est pas utile de placer des rideaux et, de plus, ce n'est pas autorisé car on doit respecter l'authenticité de cet atelier de peintre. Songez que Frédéric Bazille a travaillé là !
En rentrant chez moi j'ai regardé sur le web qui était ce peintre impressionniste et je me suis dit qu'il me faudrait quand même trouver une solution pour que ma jolie voisine garde ses dessous quand elle met le minois à son balcon pour se mirer dans mes carreaux dorés, au lever du soleil.
La jolie touffe rousse ne cachait rien de sa craquette.

Ici il neige peu et les filles sont tout le temps à montrer leur corps, leur grand corps mat, au soleil. Celle-là, est amanchée pour veiller tard avec son p’tit cul racing, ben faite quoi avec du potentiel, drette, comme on dit chez nous. E m’fait capoter, c’te poupoune, j’en ai le bonbon de collé dans la vitrine.
Je me suis dit, ce soir, dès qu’elle rentre, je monte cogner à son huis. Je lui dirai, elle comprendra.
Elle est rentrée. Sous sa froque, elle portait un chandail qui lui moulait les jos en boules aux tétines saillantes. Elle a quitté ses espadrilles. J’ai pensé, c’est fin de semaine et Montpellier est ville joyeuse, party toute la nuit, ça adonne bien. Je la regardais vaquer, fine et appétente, et je m’suis décidé.
Dans son ascenseur j’ai pitonné pour l’étage le plus haut. Il y avait trois portes mais une seule était étiquetée : Françoise, juste ce prénom Françoise, sans rien d’autre. J’ai frappé, elle a ouvert, j’étais devant elle, Elle. J’ai dit voilà j’suis vot' voisin d’en face, j’arrive de Montréal et je voudrais…
Je voudrais vous dire Antelio, le verre, la verrière, les lumières, le soleil, ta camisole carreautée et la touffe rousse en dessous, enfin un trip tous deux, jaser un brin, fleurette, amancher, te courtiser les hanches, cruiser, taponner toute la nuit durant et finir en baisade au levant.
Elle m’a souri, j’ai compris qu’elle ne comprenait rien à mes discourades. Je lui ai dit, viens on va boire un coup au Time’s ou au Fitzpatrick. Aubaine, elle a chaussé ses babouches, a lâché rapidos un call sur son cellulaire, a pris sa sacoche et ses clefs et nous étions tous les deux à descendre dans le lift étroit, serrés.
Au bistrot on a pris des boissons. C’était une fille fine comme toute, comme j’ai le goût. J’ai expliqué les pulvérisations d’aérosols de métal fondu, d’or ou presque, sur les feuilles de verre trempé laminées, silice encore molle avant cristallisation, vitreuse. J’ai expliqué, longuement, je ne suis pas sûr d’avoir été parfaitement entendu, compris.
Mais la ville vibrait de jeunesse aimante, agitée, amoureuse. Très vite nous fûmes toute une troupe à boire et à causer. Il y avait des garçons d’Argentine, une fille du Brasil, d'autres de Norvège, d’Iceland. Mon Québec à moi tant aimé n’était que pinotte de l’immense planète. La belle Ukrainienne blonde aux yeux troubles qui me tournait autour depuis quelques minutes me faisait des sucettes dans le cou, ça jasait, on sentait, rien qu’en approchant ses effluves, qu’elle avait le pussy trempé. Unlimited Montpellier...
Moi, je voulais m'expliquer, qu’elle comprenne le sens de ma démarche. Cette affaire de voir sans être vu, à sens unique, ma vergogne de ce sans-gène, le kick qui me prenait présentement et la difficulté à se comprendre, tous deux, bien qu'on parlât exactement la même langue, ou quasi presque...
On était assis sur des chaises hautes, rue du Puits-du-Temple, que l'on nomme ici rue des Bites-Peintes, vu que les bornes de pierre blanche placées par la municipalité pour empêcher le stationnement des chars ont été, une nuit d'été, peintes par des poètes de rue en toutes sortes de bitos : smile érectile, phantom, Eulenspiegel, Stroumpf dressé, Gargamel ss Azarel, Holland viagré, et même pire...
Moi je vivais des moments magiques d'approche sans l'avoir voulu mais en pensant rien qu'à ça. Celui qui n'a jamais connu ne peut comprendre. On se flairait l'un l'autre sans se toucher, on se sentait de peau, de poils, de quelques centimètres de proximité, sans se regarder, sans rien, rien qu'en pensées... J'entendais par ma nuque ses paroles en français à d'autres adressées que je savais dites rien que pour moi. Et moi de mon avant-bras j'effleurais son sein en tremblant comme un gamin. La nuit était chaude et nous étions tous portés par l'éternité du moment.
On est rentrés, chez moi car je l'avais convaincue de venir voir ce qu'on voyait sans être vu, de ma verrière. Je l'aurais voulu calculer, je n'eusse pas mieux réussi. Un bec tout doux en bas dans le noir de l'escalier, et puis un autre à chacun des paliers. Une frenchade vigoureuse au dernier étage avant de débarrer la porte du loft. J'étais content de moi mais surtout j'étais heureux d'être avec cette Française, Françoise, qui, je le voyais, allait me faire entrer par la grande porte au pays de l’amour et du tendre.
Elle était chaude entre les cuisses, j''étais ben raide moi aussi, l'amour nous ouvrait ses bras.


On est entrés dans le loft. Pleine lune illuminait le grand lit et la verrière qui regardait la ville, les toits, la vie, la jeunesse. On était bien ensemble tous deux. Je pensais, elle va comprendre maintenant le voyurage dont je lui cause. Elle voit là son chez-elle vu de mon chez-moi et comment moi je l’observe, je la mate.
Dans l'obscurité je la vois, non je la sens, sourire. Son sourire me chavire ! Tout d'un coup je comprends tout. C'est le Ying et le Yang, c'est Sado et Maso : il n'y a pas Mateur sans Matée !
Elle savait tout, tout.
La blouse bleue et sa craquette arborée, c’était pas innocence, c'était rien que perversion exhibitionniste…
Mon ventre comprend et s'échauffe, me voilà attrapé, cette Françoise française, fine mouche, m'a happé, m’a chopé tout cru tout vivant.
Je pense en fulgurance au condom. Me voilà à peine depuis trois jours dans ce pays de France et déjà une bonne aventure et moi je n'ai pas emporté de condoms. La faute à EasyJet et à leur foutue surtaxe sur les bagages de soute. Si j'attrape bibite avec cette Française, je leur intenterai procès.
Je ne suis pas barebacker et je la regarde, mon coeur balançant entre tendresse et inquiétude. Dans ce pays a-t-on aussi des retenues envers le peau à peau ?
Elle rit et son rire est gai. Elle me dit que la verrière elle la connait vu que voilà trois ans qu'elle habite ce flat en face de là où tournent, à haute fréquence, les jeunes urban males nouveaux-arrivés à Montpellier. Elle aime ça, elle me le dit simplement, passer à ses fenêtres en enlevant chaque fois une part de sa vêture pour montrer furtivement son corps désireux tout en pensant que là tout près, presque à toucher, un homme ou parfois plusieurs se tiennent silencieux immobiles à regarder, la main crispée sur leur sexe tendu.
Elle me dit, il est rare que, comme toi, le garçon monte aussitôt me visiter, m'emmener et me baiser. D'ordinaire ils sont timides ou alors préfèrent juste, modestement, en profiter, en solitude ou en conviant leurs copains. Je hais la modestie de certains garçons. Les garçons je les aime sévèrement burnés.
Une expression française que l'on doit à Tapie. Encore un qui n'a pas froid aux yeux et n'a pas de complexe : changer son nom de Tapy en Tapie, féminisation avec un e muet qui crie fort, très fort son extrême virilité. On nous enseigne ça à Montréal, à l'Université, en cours de philologie. Nous, au Québec, on observe à fond les subtilités de votre belle langue française.
Vu qu'on était tous deux assis sur mon lit à regarder la lune et les toits, elle y a mis la main pour marquer son amitié et donner du chaud. Moi je savais qu'en Europe il manquait un step au flirt et que les filles ne lichaient pas volontiers, comme de par chez nous.
A Montréal on est moins chaleureux qu'ici question bisoux sur les joues. Faut être un peu intimes pour s'y adonner. En revanche, question pipe, les filles te vouvoient encore la bouche pleine. Enfin pour dire que les Françaises sautent systématiquement cette étape pourtant fondamentale du protocole amoureux, va savoir pourquoi...
Cette Françoise avait marqué son consentement par un petit geste d'amitié et maintenant elle attendait mon initiative. Vous comprendrez que je me devais de porter haut les couleurs de la Province. Quand nous avons été nus sur le lit inondé de lune, les habits gisant sur le plancher de chataigner tricentenaire, elle a attrapé sa besace et m'a présenté un éventail de condoms de fabrication locale marqués XS, M, XXL au gros feutre noir. Bien entendu j’ai tiré à la courte paille le King Size, par hasard…
Elle m'a dit, monté comme tu es, mieux vaut que je te le mette moi-même, tout seul tu n'y arriveras jamais. C'était une bonne idée. Se faire tripoter par une fille amoureuse qui joue les malhabiles participe des préliminaires. Ca casse la gène du latex, surtout si ça dure longtemps, à plusieurs reprises, si elle tire, si elle pousse, si elle fait des réflexions sur la taille excessive de l’engin, surtout du gland. Elle a croqué un coin du sachet et a déchiré, probablement pas suivant le pointillé correct vu le cri sauvage du polyéthylène tourmenté. Elle a fait saillir le tore de latex comme d'un tube de dentifrice, en pressant sur sa paume.
Elle avait le disque entre pouce et index. Elle l'a porté à son oeil et m'a dit, Monocle Magazine. Vous connaissez, non ? Et elle a, je crois, cligné de l'oeil. Je crois seulement car il faisait sombre et puis je pensais à autre chose ... à plein d'autres choses. Elle a dégagé en descendant la peau très bas, en tirant fort, douloureusement. Elle a porté ses doigts à sa bouche et je l'ai vue, des lèvres et de la langue, déposer des glaires saliveux et prestement badigeonner mon extrémité qui n'attendait que ça, cette humidité, cette chaleur, cette douceur.
Des deux mains elle est descendue sur ma tige, enduisant, engluant toute la longueur.
Elle a dit, faut ça sinon je n’arriverai pas à te l’enfiler.
Elle a posé le disque comme un chapeau sur le dessus et a tout déroulé. Le titoulet dépassait comme un téton à l'extrémité. Elle m'a dit, ça va, je ne supporte pas les mecs qui sont pas politiquement corrects, je veux dire ceux qui ne s‘adaptent pas convenablement à mes capotes. Je me suis dit que je l'avais échappé belle… Comme quoi, vaudrait mieux avoir son outillage sur soi pour ne pas dépendre. J’en frémissais à l’idée qu’elle eût pu sortir de son sac un chapelet de S ou de XS. Ces Françaises sont imprévisibles.

Elle m'a dit, tu sais, ta verrière n'est pas la seule qui mate mes trois fenêtres. Tout le quartier a les yeux braqués sur mon nid d’amour et bande sur cette crinière rousse avec fente au bas de mon ventre. Moi j’aime tant ça, me montrer, les chauffer, les faire me désirer que, le soir, je ne regarde jamais la télé, je ne lis pas, je passe mon temps rien qu’en parades, de plus en plus dévêtue avec l’avancée de la nuit. Quand une copine téléphone, je reste des heures sur mon balcon, le portable à la main, à prendre des poses de fesses cambrées ou de jambe levée, pied posé sur le parapé. Il m’arrive même de faire semblant de téléphoner pour mieux me concentrer sur mes présentations et surtout paraitre innocente malgré mes poses impudiques qu’ils croient inconscientes.
J'en sais qui habitent loin et vivent les yeux rivés à leurs jumelles de marine sur trépied. Quand, enfin, ils se décident à monter mon escalier, leurs couilles sont vides d'avoir tant et tant rêvé et j’en suis Gros-Jean comme devant.
Moi je me disais, va encore falloir me diriger sur Google pour comprendre cette expression. Mais j’avais compris quand même qu’elle expliquait qu’il me fallait convenablement donner, enfin montrer qu’un Canadien, même rien que québécois, savait donner, généreusement.
Rassurez-vous, tout s’est bien passé.
Elle m’a dit, tu sais, ta verrière est un miroir parfait vu de dehors, tu peux m’aimer de tout ton coeur personne ne nous verra, viens. On est restés assis, l’un sur l’autre, face à face, nos deux têtes tournées vers la verrière à regarder dans la nuit les dizaines de fenêtres éclairées avec des gens qui vivaient sans savoir qu’ils étaient matés par deux en train de baiser, doucement, tendrement.
Au matin, réveillé par l’aube lumineuse je suis venu sur elle pour l’aimer à nouveau encore. Nous, au QC, on est comme ça, gonflés d’adrénaline le matin, à mort. Elle m’a dit, attention il ne reste que le XS et le M. Les garçons d’ici, d’ordinaire, le matin, sont bien plus prétentieux.
Quid des Québécois, mi amor ?

jpj, avec l’aide éclairée de Nat-LM, la belle expat à Québec

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Elles sont toutes comme ça la-bas ? On arrive .
On avait bien vu la caricature pas la peine d'excuses
Merci pour le QC , merci à HDS et à vos drôles d'histoires

Histoire Coquine Jpj
C'est vrai, au départ j'ai eu envie d'exotisme. J'avais hésité à faire parler un Antillais...
Et puis je connais mieux les Québécoises que les Antillaises
Et puis on dit que les Antillaises sont antibaise
Alors va pour les Canadiennes, qui, elles, sont de sacrées luronnes, je confirme

Les lecteurs sont de bons Français.
Pour éviter que n'arrivent en meute tels des Husky affamés tous les membres HDS du Canada, j'ai évité le tag Québec
Je me doutais bien que mes outrances de vocabulaire choqueraient plus que mes impudeurs en matière de cul
Bon, pour tout dire je me suis amusé à inventer plein de mots québécois en jpj dans le texte qui n'existent que dans ma tête
Sûr que ça aussi participe de la bandaison induite par l'histoire

Dites moi plutôt, en commentaire, ce que vous ressentez à regarder cette fille qui s'éclate soir après soir à présenter sa chatte à tout le quartier, son bonheur à se montrer en faisant semblant de pas exprés...

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De la part d'un gars vivant à l'ouest de l'océan: c'est un peu exagéré. Mais bon, j'imagine que c'était l'angle désiré...

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J'ai un doute pour la compréhension des gens vivant à l'est de l'atlantique. L'auteur a pris un malin plaisir avec l'argot Québécois. Il y a sursaturation. "Sa frappe dans dash". Le déroulement de l'histoire est quand même très bien... J'ai bien rigolé



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