La route des vacances, les toilettes de la nationale par Sophie

- Par l'auteur HDS MARCO863 -
Récit érotique écrit par MARCO863 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La route des vacances, les toilettes de la nationale par Sophie Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La route des vacances, les toilettes de la nationale par Sophie
!!! -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS -- !!!

La route des vacances, les toilettes de la nationale par Sophie

Nous sommes dimanche, il est 23 h, la nuit est tombée et nous roulons depuis la fin d’après-midi.
Après un weekend end chez des amis, nous rejoignons notre gite, qui n’est plus qu’à quelques kilomètres, pour une semaine de congés tant attendue. Tu connais la région, tu m’as dit que tu avais de la famille dans le coin

J’ai très a envie de faire pipi, cela fait 50 mn que je te le dis
Comme toujours, tu n’as pas voulu stopper dans un petit chemin et pourtant il fait doux, presque chaud
Je te répète
- Yves, mon chéri il faut vraiment que tu t’arrêtes, sinon je fais faire sous moi
Je te connais bien maintenant, tu cherches une aire de nationale.
C'est toujours, au mieux douteux, généralement sale et puant
On y fait, de temps en temps, des rencontres de pervers, obsédés de sexe

Tu as toujours voulu que j’utilise les toilettes publiques plutôt que les chemins creux.
Dès le début de notre relation, tu venais avec moi jusque dans les WC, soit disant pour me rassurer.
Dès que j’étais assise, tu baissais ton pantalon et ton slip exhibant ton gros sexe déjà bandée à mort
Vicieusement, tu me regardais faire mes besoins en te branlant la bite sous mon nez, puis tu me forçais à me retourner, les mains en appui sur la cuvette, et tu me bourrinais la chatte encore ruisselante ou le cul encore gras sans me laisser ni le temps, ni le soin de m’essuyer
Intellectuellement et moralement, c’était clairement contre mon gré.
J’étais révoltée, je trouvais ignoble que tu me prennes sale, les trous plein d’urine ou d’excréments.
Je trouvais que cela puait. J’avais peur d’être surprise.
J’étais obligée de subir ton vice sans bruit car nous étions dans des toilettes publiques avec du monde autour
Mais j’avais bien conscience tout cela faisait partie de ton plaisir, la dureté de ta queue parlait pour toi
J’avais aussi et peut être surtout extrêmement honte de mon excitation…
Je n’imaginais pas que de telles pratiques dégueulasses et réprouvées par la morale puissent me mettre dans un tel état de surexcitation sexuelle, ma mouille en coulant littéralement de ma chatte

Mais maintenant, moi aussi, j’adore ce type bien crade de toilettes, la faune qu’on y trouve parfois, les odeurs fortes, sans compter les bons souvenirs qui s’y rattachent…
Aujourd’hui j’assume sans soucis ma recherche de sexe sale et de situations perverse

L’imagination me travaille et ma culotte est toute trempée rien que de penser à ce qui va m’arriver
Je te dis que je ne tiens plus et rajoute qu'en plus j’ai envie de faire caca
Je sais que cette évocation t’excite à mort
D’ailleurs, aussitôt, tu glisses une main sur mon genou et la remonte sous ma jupe lentement vers mon intimité
Afin de te faciliter le travail, j’avance sur le siège, pose mes pieds sur le tableau de bord, ouvre mes cuisses en grand et te laisse ainsi un accès total à mon entrejambe
Tu passes un doigt sous l’élastique de mon slip et le me caresse doucement le minou, écartant mes lèvres
Vicieusement, je lâche une petite giclée de pisse qui mouille ton doigt, ma culotte puis s’écoule dans ma raie
Ton majeur plonge en entier dans ma moule détrempée d’urine et de mouille.
Une fois bien lubrifié, il vient masser ma rondelle anale puis la perfore.
Il s’y enfonce jusqu’au moment où il rencontre un objet chaud et mou qu’il perfore.
Il s’y attarde et je le sens touiller la matière dans mon intestin…
Puis il ressort et tu le porte à ta bouche
Tu te tournes vers moi et me souri
Tu sais que je suis bien pleine et que j’ai très envie de la même chose que toi….

Enfin un panneau dans les phares : toilettes 800 m
A l’ écart, pas très grande, mal éclairée, deux voitures arrêtées : une Clio noire et une Mercédès grise
On se gare sur le chemin. Tu m’accompagnes aux WC en me pelotant vicieusement les fesses
Je regarde par terre pour savoir à quel type de chiottes nous avons à faire : tranquille ou lieu de rencontre des lubriques du coin, comme nous en avons très envie tous les deux ?
Tiens tient : des bas déchirés, une petite culotte abandonnée, souillé de traces blanchâtres…
Je vois que tu les regarde et je sais que cela t’excite.
Comme moi, tu dois te demander sur qui on va tomber, qui étaient dans ces deux autos : male, femelle, couple ?
.
Te connaissant, ta bite doit déjà être toute dure dans ton caleçon et ça va me bien

L’éclairage est cassé coté homme. On pénètre donc côté femme. Tu m’accompagne car, comme d’habitude, tu vas te faire sucer, m’exhiber faisant la salope si c’est possible, m’enfiler par tous les trous …
Ça pue fortement la vieille pisse, la merde séchée. Visiblement la DDE ne passe pas souvent et c’est tant mieux, c’est ce que l’on recherche. L’odeur prégnante me fait mouiller de plus en plus
Trois cabines dont deux fermées. Surement les personnes des deux voitures du parking.
Génial nous ne sommes pas seul...
A cette heure-ci, ce doit être des amateurs de ce genre d’endroit, des vicieux comme nous…
Nous entrons dans celle du milieu, la plus grande. Elle a la taille de toilettes pour handicapés
La porte a un verrou, on le tourne

Comme toujours ou presque, des graphs obscènes plein les murs.
Je les lis toujours avec intérêt, cela dénote des pratiques locales
- GROSSE BITE JEUNE ET JUTEUSE CHERCHE VIEILLE OU TRES VIEILLE SALOPE POILUE
- COUPLE PERVERS POUR COUPLE DE MEME TYPE
- POUR INITIATION AU VICE MATURE RECHERCHE PUCEAU, PUCELLE OU JEUNE COUPLE,
- JE MATE TA MOULE PISSEUSE, SI TU VEUX VOIR LA MIENNE REGARDE PAR LE TROU DE LA CLOISON
plus surprenant et intéressant :
-JEUNE FEMME TRES CRADE RECHERCHE CHATTE OU BITE AU GOUT TRES FORT
Mon excitation continue de monter

Sur chacune des deux cloisons il y a des trous, pas des petits, une bite d'âne y passerait. Des flèches faites d’une matière marron les mettent encore plus en évidence. Ils y en a à deux hauteurs : à environ 40 cm du sol, pile poil au niveau de la moule quand on est accroupie pour faire pipi et à 80 cm, la bonne position quand on est debout…
Je vois dans tes yeux vicieux que, toi aussi, ton imagination s’emballe
Tu te penches et regardes successivement à travers les orifices de chaque côté pour vérifier que nous sommes déjà regardés et surtout faire comprendre que nous aimons être vus
Tu te relèves, et tu m’interpelles à voix forte
- Sophie, nous sommes matés. Faisons plaisir à nos voyeurs
- Oh oui Yves mon chéri, tu sais que je suis une salope et que j’aime m’exhiber
Tes yeux deviennent pervers, tu bandes comme un âne, je le sais. J’adore ce regard

Il y a un crochet qui tient tant bien que mal sur la porte, cela va servir pour nos habits
Spontanément, sans perdre de temps, j’ôte ma jupe et ma culotte.
Je te tends cette dernière et, comme toujours, tu la renifles avec plaisir, puis tu me là mets sous le nez.
Je comprends ton excitation : elle est chaude et humide du pipi dont j’ai arrosé tes doigts et de la cyprine qui a coulée de ma fente à cause à mon excitation
Elle sent aussi notre jouissance d’hier : sperme et mouille mélangés, résultat de l’assaut rapide dans la salle de bain de nos amis. Tu m’as pris à la sauvage : un coup dans la chatte, un coup dans le cul où tu as lâché la purée. J’avais senti dans la soirée nos jus collants se répandre dans le fond de l’entrejambe, puis sécher lentement.
Ce matin, en-là regardant, avec ses traces de foutre et son auréole marron au niveau de l’anus, là on tu avais jouis, j’ai décidé, presque comme toujours, de la garder sachant que nous trouverions surement l’occasion de profiter de son parfum sauvage.
C’est un de nos petits plaisirs pervers l’odeur intime de nos sous-vêtements déjà portés depuis un moment.
Je renifle à petits coups la trace marron, puis la blanche. Quel bonheur. Ensuite je la lèche avec plaisir, du côté avant au côté arrière et je te roule un patin baveux pour que tu puisses en bénéficier aussi

Je suis en chemisier blanc transparent, bas noir, porte jarretelles.
Tu te déshabilles entièrement. Tu aimes le contraste : toi nu, en satire priapique, moi en chienne chic et lubrique
Ce sont des toilettes à la turc, vieilles est sales. De la merde est incrustée dans les pas striés et macule les bords
Je suis debout les jambes écartées à ta demande, exhibant ma fente sexuelle.
Tu me fais tourner sur moi-même pour être face au trou de la cloison de gauche.
Le voyeur va être juste en face, pile à la hauteur de mon con, à moins de 50 cm. Il va se régaler

Vicieusement tu t’empare de mon dessous taché et odorant et tu me l’enfiles sur la tête. Je me laisse faire
Le fond du slip est, comme j’aime, juste sur mon nez et ma bouche.
Les effluves de sexe négligé, de baise et d’urine m’étourdissent de bonheur
Exhiber cette pratique dévoyée devant nos voisins m’excite à mort.
C’est toi qui m’as fait découvrir ce plaisir quand, immobilisée et impuissante, les quatre membres étroitement attachés sur notre lit, tu me glissais ton slip dégueulasse sur le visage.
Tu me laissas m’agiter en vain puis tu glissais tes doigts dans mon sexe et tu découvrais avec délice que tes pratiques immondes me faisaient mouiller comme une folle.
Je pouvais bien dire que je n’aimais pas, l’état de ma moule prouvait le contraire
Tu graissais l’œillet de ma mouille abondante et ensuite tu m’enculais sauvagement tout en m’expliquant doucement à l’oreille
- Ta petite chatte bave de plaisir. Elle me dit qu’elle adore mon slip sale.
Je le porte depuis cinq jours
Je ne me suis pas essuyé le cul
J’ai un peu pissé dedans et laissé sécher.
C’est pour ton plaisir ma puce, je sais que tu ne peux résister à ce parfum puissant
Tes paroles salaces et ton enculade énergique me mettaient sur le chemin du 7ème ciel en 30 secondes
Pour me finir, tu m’embrassais à travers le tissu souillé pour me montrer que tu aimais aussi la chose
Que de vices tu as mis en évidence chez moi…

Tu te mets derrière moi et appuies avec tes mains de plus en plus fort sur le ventre, sur la vessie.
Je sens ta bite bandée entre mes fesses. Salop.
J’essaye de me retenir juste pour le plaisir de me retenir. Mais je n’en peux plus
Je commence à pisser. Vicieusement, tu prends mes mains dans les tiennes et tu me force à les mettre sous mon flot dru de champagne chaud.
Puis tu commences à prendre cette urine et à m'en enduire ma chatte, mes poils pubiens, mon cul
Je t’aide et fais comme toi, doublant la dose de pisse sur mon corps
J’écarte mes cuisses en grand pour que tu puisses m'en mettre bien partout
Je couvre aussi ton bas ventre, ta pine gonflée de désir et tes bourses de mon pipi odorant.
Je m’arrête avant d’avoir fini, pour la suite que j’imagine chaude et bouillante

Tu me mets de profil, dégage mon visage de ma culotte souillée et me fais m'accroupir pour te sucer, ta pine bien en évidence pour nos voisins des deux côtés
Ta bite est pleine de ma pisse et du reste de mon enculade d’hier. Je n’étais pas toute à fait vide et j’avais un peu graissé ta hampe de traces de mon caca. Toi, mon salop, tu ne l’as pas nettoyée, tu savais que je m’en régalerai.
En bref, ta queue pue le sale et j’aime grave
D'ailleurs je la sens d'abord pour en apprécier le fumet : urine chaude, gout de sperme et de foutre plus une odeur plus forte, plus animale, celle de ma merde d’hier
Je la hume encore puis commence à lécher tes boules puis ta hampe, rendant liquide les quelques traces marrons. Quel gout sur ton prépuce. Humm mm
Je suce doucement ta queue pour qu'elle soit toute propre en me régalant de son goût. Je sais que cela ne va durer avec ce que je t'ai dit dans la voiture et le test de l’index fureteur
Tu sais déjà combien je suis pleine et je suis certaine que très bientôt ta matraque toute dure va pousser ma crotte toute molle au fond de mon boyau ou plutôt l’empaler

Je décide de regarder à mon tour par le trou dans la cabine gauche pour savoir qui a pu profiter de très près de ma petite exhibition salace et humide, espérant très fort que cela ait été apprécié
Je me penche donc en avant pour ajuster mon œil au gloryhole et, naturellement, tu en profites pour pénétrer mon sexe trempé de pisse et de mouille de ton chibre bandé
Surprise c'est un couple dans la bonne cinquantaine, plutôt BCBG
La femme est à genou, la tête est à la bonne hauteur et je vois ses yeux se tourner vers moi et elle se met à me sourire. Elle a clairement aimé et doit vouloir me rendre un spectacle en retour du mien
Elle a enlevé sa robe, l’a posée sur son sac à coté
Elle est petite, ronde, l’air distingué, grande culotte blanche, sous tif enveloppant de même couleur pour contenir sa poitrine imposante, au moins du bonnet D
Son mari à la chemise déboutonnée, le pantalon sur les chevilles, la bite à la main.
Elle lui fait signe qu’ils sont regardé
Il commence à lui pisser à flots drus dans la bouche, elle continue de sourire
On a dû leur donner des idées....
Elle ne peut tout boire et une partie de l’urine coule sur son menton puis entre ses seins
Ils sont de 3/4. Je vois aussi du pipi qui s'écoule à travers sa culotte.
Quelle salope, elle pisse dans ses sous-vêtements en se faisant pisser dessus !
Sa culotte en devient transparente et je vois qu’elle est poilue, genre long, touffu, de haut de sa raie culière au somment de son pubis. Mature hairy comme on dit dans les sites pornos
Elle glisse une main dans son slip et commence à se masturber dans sa pisse qui coule sous elle
Je te raconte à haute voix. Tu me pilonnes plus fort

Soudain je vois le fond de la culotte de cette femme qui se gonfle, gonfle, gonfle et devient tout foncé
Cette salope est en train de chier dedans....Elle veut faire plus fort que moi…
Je comprends l’intérêt d’un grand modèle « old school » : rien de déborde
Elle sort sa main trempée d’urine de son slip et commence à malaxer cette merde par l'extérieur.
Visiblement elle en étale plein dans sa chatte et dans la raie des fesses
Comme elle est accroupie, jambes ouvertes, sa paluche n’a aucun problème pour ses manœuvres perverses.
Sa branle s’accélère, la situation obscène lui monte à la tête. Se savoir observée en plus…
Ses doigts se font plus insistants entre ses cuisses, alternativement de sa chatte à son cul.
Ils s’enfoncent d’une phalange entière dans son slip mou et souillé.
Elle ouvre la bouche et geins de plus en plus fort. Sa jouissance l’emporte

Elle reprend son souffle et ses esprits
Son mari a fini sa miction. Il lui demande à voix haute et intelligible
- Josette ma chérie, viens me pomper le dard avant que je t‘encule à fond devant nos voisins
Obéissante, elle commence à lui téter la pine encore trempée de pipi.
C'est fait, il bande comme un étalon, très grosse bite, pas longue mais très large avec au bout, un énorme gland en forme de champignon. Au moins 6 - 7 cm de diamètre à ce niveau. Jamais vu quelque chose de ressemblant mais franchement c’est terriblement mouillant. Quand ça passe tes trous ça doit être jouissif

Il la relève et se mettent de profil pour que je puisse mater parfaitement
Ils savent bien que je les regarde, la bourgeoise annonce le programme
- Maurice, c’est la femme qui mate.
Avant de me la mettre, fait ton cochon, ton gros sale comme tu sais si bien faire
J’en meurs d’envie et je suis sure que cela va plaire à notre voyeuse
Clairement elle veut me provoquer
Ce salopard, il glisse sa queue dans le slip merdeux de sa femme
Elle écarte ses grosses fesses à deux mains puis les ressert
Ainsi, il se branle tout doucement dans la raie du cul engluée.
Il sort sa queue. Elle est couverte de merde.
Il la remet et recommence trois fois en me la montrant bien à chaque fois, bien luisante, bien grasse.
Comme il a été maladroit, une grande trainée marron zèbre la fesse gauche de sa femme
Il prend bien son temps pour que je puisse imaginer leur perversité
Quel dégueulasse...
Je te raconte…. tu me défonce comme une bête

Notre voisine demande à son homme
- Maurice, montre à la dame comme mon cul et ma chatte sont bien garnis. Je suis sure qu’elle va adorer
Il lui baisse sa culotte : somptueux, vraiment ignoble et dégradant
Sa culotte est pleine de caca. Je comprends pourquoi elle les préfère grandes
Il la descend sur ses chevilles, puis l’ôte complètement
Il ouvre son cul à deux mains pour que je profite de la vue et quelle vue…
Sa merde est collée partout. Plein entre les fesses, normal, sa main a été efficace.
Son caca a été remonté sur sa chatte, a glissé entre ses lèvres. Son pubis couvert de poils est englué de merde
Elle tourne sur elle tout doucement pour bien me montrer que c’est une vraie salope qui aime la vraie merde.

Son mari se prépare. La bite marron, grasse de sa branlette pointe entre les fesses embourbées de sa femme
C’a à l’air d’être juste la bonne consistance, ni trop dur ni trop liquide, souple, collant, gras…
Il la plie en deux en la faisant s’appuyer sur la porte pour que sa bite soit à la hauteur du trou dans la cloison et que je ne manque rien du spectacle
Là il l’encule direct. Je vois tout : son gland énorme force à peine, il perfore l’œillet sans effort.
Il doit lui démonter le cul tous les jours. Ce n’est pas possible autrement d’accepter un tel engin sans un soupir même si tout glisse dans de la merde grasse comme du lubrifiant.

Il la ramone lentement, comme au ralenti, sortant entièrement son pénis souillé pour mieux replonger dans son anus jusqu’au fond. La purée lui colle partout sur son bas-ventre

Je te raconte. Tu arrêtes de me piner et me souffle à l’oreille
- Je vais te faire la même chose ma petite Sophie
Je suis en train de chier dans ma main pour bien me graisser la bite avant de te la mettre
J’e vais en rajouter sur le gland, là où ça va forcer.
Ton gourdin sort de moi, laissant un vide dans ma fente qui baille.
Mais je sais que c’est pour du mieux, pour ce que j’ai vraiment envie depuis notre épart de chez nos amis : une grosse enculade bien crade devant témoins
Je t'entends te préparer avec le bruit caractéristique de la branlette au caca. Dégueulasse à souhait....
Je sens l'odeur de ta merde qui monte et me monte à la tête
Je te sens essuyer tes doigts dans ma raie puis te remettre derrière moi
Ensuite la douce sensation de ton gland graissé sur ma rosette anale
Tu me prends par les hanches et tu me tire en continue vers toi, m’empalant sur ton pieu
Je serre les fesses car mon cul est plein et j‘adore essayer de t’empêcher de me pénétrer.
Comme si je ne voulais pas, comme si je me refusais, comme si tu te violais, comme la première fois…
Mais tu es trop excité, ta queue est trop dure, trop bien préparée.
Tu rentres inexorablement. Ca y est, je te sens à fond, ton pubis collé à mes fesses
Ma boite à caca va exploser je me sens comblée, pleine de ta pine et des excréments que je retiens depuis ce matin. Ma chatte jute par terre tellement je mouille.
Tu ne bouges plus. Je suis bien, je serre mon sphincter par à coup pour branler la base de ta queue gonflée à mort. Je pousse vers toi pour que ton pal s’introduise le plus loin possible. Tu geins mais tu te retiens
Nous sommes à égalité avec nos voisins, les bites des hommes dans les culs merdeux de leur femme
Notre voisin se décule, la queue n’est pas trop marron, nettoyée par l’œillet, sauf sous son gland qui fait parasol. Là il en reste plein, comme une couronne fétide et fascinante
Ses poils sont couverts des excréments gluants de sa moitié dépravée

Il regarde sa femme. Elle lui fait signe vers la cloison qui nous sépare et déclare
- Je suis sure que notre voisine a très envie de gouter à ton champignon vénéneux.
Je l’ai vu dans ses yeux.
Elle est comme moi, elle aime les bites qui ont du goût.
Là elle va être gâtée…
Il m’exhibe longuement sa bite souillée et l’avance vers le gloryhole.
Je la vois arriver. Je commence à la sentir. Quel bonheur....
Je chope son gland. Il est énorme. Ma bouche en est pleine, pleine aussi du gout de la merde de sa femme.
Je le savoure comme un énorme Chuppa Chupp au caca.
Je salive, je suce, j’avale. C’est un parfum que je préfère à ceux du commerce…
Je lui fais tout le tour du gland avec ma langue, joue avec le méat urinaire, insiste en dessous pour ne rien laisser

Toi tu m’encules de plus en fort car tu sais ce que je fais. Tu as tout entendu et tu me connais trop bien
J’ai de plus en plus de peine à me retenir. Ma rosette lâche doucement et je sens ma merde qui commence à s’immiscer entre nous deux. L’odeur d’excréments et de pisse se renforce.
Je commence à reconnaitre le bruit gluant quand tu ressors ton sexe de mon anus, ce bruit, ce « slurppp »ignoble et tellement excitant

Mon invité se retire et là, bien en vue, il prend la culotte bien pleine de merde de sa femme et s’en tartine la queue genre Nutella épais comme le ferai un enfant gourmant
Si c’est pour moi, je vais en avoir plein la gueule
Je te raconte ce qui se prépare.
Tu m’écoutes puis me coince de force la tête sur la cloison, la bouche face au trou. Je ne peux plus bouger. Cela me plait d’être parfois soumis à tes caprices salaces
En même temps, tu m’encules si fort que je pisse à nouveau sur tes boules, tes jambes et les miennes
Ma jouissance monte, monte, entre ton sexe qui me défonce dans ma merde, la scène perverse que je vois, le fait que tu m’immobilise pour devoir subir, je me laisse aller à mon plaisir, mes jambes tremblent et la volupté me saisit et m’emporte
Mais j’ai à peine le temps de reprendre mes esprits que ça y est, son gros gland est dans ma bouche. Le reste suit. Je suis gâtée, là il y a à manger…
Je mâche, je suce, j’aspire. Trop bon
Je continue. Bientôt son sexe est presque présentable

Il se retire de ma bouche, s’accroupi et me chuchote
- On peut venir avec vous, mon épouse a envie de continuer avec vous et moi aussi
Pour lui montrer mon accord, je tends mes lèvres toutes barbouillées du caca de sa femme
Il m’embrasse avec fougue, sa langue jouant avec la mienne dans ma bouche au gout si spécial
Je me relève et t’explique, ton membre toujours en moi
Tes yeux brillent de vice. Bien sûr tu es d’accord. Les jeux à quatre c’est ton péché mignon
Là, tu te désengage de moi, le sexe toujours bandé, marron de mon enculade sale
On ouvre la porte. Ils arrivent. Ils sont beaux d’envies lubriques. Ils se présentent :
- Josette et Maurice
- Nous c’est Sophie et Yves
Elle, la chatte et le cul englués, sa robe et son sac à la main, son sous tif est resté encore blanc
Lui sa bite énorme à tête de champignon en rut, propre sur la longueur que j’ai pu lui nettoyer
Il tient dans sa main son pantalon et la grande culotte blanche de sa femme toujours pleine
Pour se saluer j’embrasse la « belle ». Son haleine est chargée du gout d’urine de son mari. Il n’a pas du boire beaucoup avant car c’est puissant, concentré, fort. Sa langue me fouille à la rechercher de quelques restes bien dégueulasses en provenance de son cul.
Par où commencer ?
Moi je sais ce que je veux : l’énorme bite dans mon cul pour remplacer la tienne. Trop fort n’a jamais manqué comme disent les marins
Toi, je verrai bien

Visiblement tu as trouvé : tu as enlevé le soutien-gorge de la dame et tu lui étales entre les loches le contenu généreux de sa culotte
Visiblement une cravate de notaire améliorée, à la graisse d’anus, te tente
Elle se laisse faire et se met à genou. Tu prends aussi de ma merde molle tombée par terre et la mélange à la sienne entre ses seins.
Puis tu y mes ton pieu et tu vas et viens dans cette graisse chaude et odorante
Sans surprise elle aime. Elle serre ses nichons pour mieux te masturber la bite et quand tu es tout en haut, elle lèche le sommet de ton gland ou plutôt le sommet de la merde qui est sur ton gland.
Son homme se branle en vous regardant. Il a pris la culotte de sa femme et la sent en se massant la queue
L’odeur dans la cabine est bouleversante. Ça ne sentait pas la rose en entrant, surtout la vieille pisse. Là c’est un mélange de cette même odeur, plus du plus chaud, urine et caca frais

Je propose à l’homme de remplacer la culotte de sa femme par mon sexe. Il est d’accord. Il se met à genoux et se met à me humer puis me lécher la chatte. J’aime ce mini gant de toilette qui me nettoie et me rafraichi. J’écarte mes fesses pour qu’il puisse continuer son travail.
Sa femme se branle pendant ce temps-là, la menotte dans son con embourbé
Je demande
- Maurice je veux ta matraque dans le cul, elle est trop tentante. Ton gland est trop fascinant
Il acquiesce et ôte sa chemise, la pose avec leurs affaires et s’allonge par terre dans la merde et l’urine du sol, la bite en l’air
Je viens sur lui en pose mon cul sur son monstrueux champignon
J’essaye, je force mais cela ne passe pas malgré la préparation que mon chéri m‘a fait subir
Tu vois que ça coince alors il appuie avec force et sans ménagements sur mes épaules pour que ça rentre
Je hurle, puis d’un seul coup son énorme gland entre.
Calme et volupté. Je n’ai jamais été aussi pleine
Tu pèses de tout ton poids pour que je l’ai totalement à fond et en moi
C’est trop bon. Pour finir de me combler, tu me donne tes doigts sales à lécher

Tu abandonnes les seins de Josette et tu lui demande
- Josette je suis sûr que tu es comme Sophie et que tu aimes les bites toutes dégueulasses
Viens gouter à la mienne !!
Elle sourit, s’accroupis devant ta queue dressée et ton bas ventre couverts de sa merde et commence son léchage. Tes boules rasées d’abord, puis ta hampe et ton gland.
Au fur et à mesure que ton sexe devient couleur chair, sa bouche, ses lèvres la langue foncent.
Elle a beau saliver, avaler, les traces de son vice dévoyé sont évidents. Elle doit avoir une haleine de chacal.
D’ailleurs elle se relève, te roule un patin lubrique et gouteux et se remet à son ouvrage

Tu as une grosse envie depuis le début. Enfin tu oses et lui propose
- Josette, je vais te rincer le gosier à la pisse, pour te remercier
Continue de me sucer en même temps
Tête-moi, le champagne va venir
Elle te prend en bouche, à fond et tête goulument. Quand les premières gouttes arrivent, elle lève les yeux, un sourire vicieux éclaire son minois. Tu ouvres les vannes en grand et elle boit ta pisse comme on boirait au robinet
Tu lui demande de s'interrompre, de te montrer sa bouche pleine de pipi.
Tu adore regarder la bouche d’une femme pleine de ton urine, cela t’excite à mort
Elle le fait, puis tu y glisses un petit morceau visqueux et dur à la fois que tu as trouvé dans les poils de sa chatte
Elle se laisse faire et avale tout... Incroyable chienne, en plus elle sourit et te regarde avec douceur...

Tout à coup une voix
- Excusez-moi !
Arrêt complet de tous de nos activités de débauchés
Merde la cabine de droite….Complètement oubliée
La voix est celle d’une femme, jeune. Nous voilà déjà un peu rassurés
- Je vous regarde avec envie en me branlant depuis une demi-heure
Ce que vous faites est dégueulasse, vicieux, ignoble mais j’ai trop envie de vous rejoindre, vous avez l’air de prendre tant de plaisir

On se regarde et on se sourit. Chic une jeunette à initier me dis-je. Visiblement on pense tous la même chose
Pervertir une femme dans le sale, le sordide, quel plaisir commun
Josette répond
- Tu peux nous rejoindre, tu es la bienvenue

Je reste enculée, bien à fond et Josette se remet à sucer la bite de mon chéri pour lui montrer que sa venue ne change rien pour nous
Tu lui ouvre la porte
Jolie plante, la trentaine, grande, dans les 1m 70, large d’épaule, petits seins qui doivent tenir dans la main, genre bonnet B. Yeux marron, cheveux mi courts, châtain avec des reflex roux. Un doux et joli sourire
Un chemisier rouge, une jupe bleu marine, des bas ou des collants, un grand sac noir Longchamp. Rien de vulgaire, au contraire, plutôt classique, l’air normal, très normale, trop ? Elle se présente
- Je m’appelle Sylvie
Je viens ici car cela m’excite à mort ces odeurs de sale, de pisse, de caca
Je aussi une voyeuse, je viens aussi mater les filles
J’aime les voir, cuisses écartées, découvrir si elles sont rasées ou pas et voir leur lèvres intimes s’ouvrir pour laisser s’échapper l’urine
J’ai vu tout type de chattes, des poilues au glabre en passant par toutes les options, des petites lèvres qui sortent, des petits abricots fendus, des grosse pèches juteuses…
J’en découvre parfois qui ne s’essuient pas volontairement et leur culotte est toute mouillée en partant
J’en ai vu qui mettent leur doigts sur ou dans leur chatte et qui les sentent, les yeux ailleurs
D’autres qui se font une branlette rapide, ouvrant leurs lèvres, décapuchonnant leur clito avant de l’astiquer
Parfois, c’est plus rare, elles chient. Leur œillet qui s’ouvre sous la poussée, la pisse qui, généralement, gicle en même temps me fascinent
De temps à autre je tombe sur une vicieuse comme moi qui a lu mon texte et recherche une moule à découvrir de l’autre côté de la cloison. Alors je me mets face au trou, face à elle, pour qu’elle puisse bien voir mon sexe ouvert et mon anus et je me branle la chatte béante et bavante. Si je peux, je pisse en même temps, les doigts dans mon pipi pour qu’elle jouisse de ma perversité
Mais des comme vous je n’avais jamais vu

Nous l’écoutons, attentifs, pour savoir où elle en est dans notre vice si particulier
Je lui demande :
- Toi qui aimes les toilettes dégueulasse comme celles-ci, qu’as- tu fais dernièrement de crade ?
- Je ne suis pas complètement innocente, ma tante Christiane m’a initiée avec ma sœur Marie
J’adore les odeurs fortes, très fortes, les miennes d’abord et aussi celles des autres
Le week end, c’est plus discret et plus facile et je me suis faite une petite préparation spéciale
Je me suis douché tous les jours sauf le bas ventre, la chatte et le cul
Pas de savon et le minimum d'eau sur ces endroits secrets pour le commun des mortels
J’ai conservé la même culotte, celle de Jeudi en l’occurrence pour garder au chaud tous ces relents
A chaque pipi : j'en prends plein la main que je l'applique sur mes lèvres rasées, mon pubis poilu, mon bas ventre et entre mes fesses.
Je laisse un peu sécher avant de sortir histoire que la culotte n'essuie pas tout
Si je me branle, je fais la même chose avec ma mouille
Quand je fais caca, d'abord j’applique la procédure pipi puis, avant que cela sèche j'en prends un peu de merde (genre noisette) et je beurre sur le chaque côté de mes lèvres, sur mon bas ventre. Puis re procédure pipi pour faire fondre ce qui permet de mettre de la pisse "améliorée" dans ma petite touffe pour qu’elle sente bon
Plus essuyage incomplet de mon œillet, plus beurrage qu'essuyage en vrai, histoire que ce soit bien marron autour de mon anus
Je l’ai fait de vendredi à ce soir, au moins 10 pipi, 4 caca et 3 branlettes j’en suis sure
J’adore le contraste pervers entre l’odeur distinguée de mon Miss Dior que l’on sent au 1er abord et le remugle bestial du fond de ma culote
J’ai fait ce qu’il fallait pour que ce soit très, très puissant ce soir car j’avais trop envie de vice et je savais que j’allais venir. Je voulais que le parfum de mon sexe soit accordé à celui de ces toilettes qui puent et à mes envies dégueulasses.
Je rêvais de tomber sur des amateurs de crade et je ne voulais surtout pas les décevoir
Le graphe : RECHERCHE CHATTE OU BITE AU GOUT TRES FORT, c’est moi

Quand je suis rentrée dans les WC et que j’ai baissé ma culotte et relevé ma jupe : mon odeur intime m’a saisie, plein les trous de nez.
La vue en plus de ma culotte plus très blanche, l’idée de ces chattes, ces culs que j’allais voir à travers le trou, j’étais trempée, dégoulinante
Je me suis direct caressée et doigtée mon petit trou. De temps à autres, je le suçais
Quand vous êtes arrivés, presque en même temps et que je vous ai vus, vous dénudant, j’ai enlevé ma culotte et, accroupie, vous matant à travers le trou j’ai porté ma culotte au nez et je me suis masturbé
J'aime bien le changement entre l'odeur chaude du côté marron et l'odeur plus sexe, plus agressive du côté jaune...et sans doute et surtout le côté tabou de sentir à plein nez l'odeur de ma chatte et mon cul, surtout préparés pour la vicieuse que je suis...
Ma chatte était trempée de mouille, je me suis fait jouir deux fois, le nez dans mon slip odorant, mes doigts dans ma cramouille, branlant mon clito comme une folle.
La première fois quand votre ami vous a obligé à sucer la queue couverte de merde du voisin à travers la cloison en vous immobilisant la tête
La seconde quand vous vous êtes empalée sur cette bite énorme, dégueulasse et que votre mari vous a appuyé sur les épaules pour que ça passe en force

Clairement ce n’est pas une oie blanche mais une vraie salope qui ne demande qu’à compléter son expérience. Je lui demande
- Montre-moi et fait moi apprécier à sa juste mesure ton savoir-faire pour la préparation de ce soir. Comme sur ton graff j’adore les chattes et les culs très odorants et je suis à la bonne hauteur
Elle soulève sa jupe toute simple, bleue marine, très sage
En dessous, des Dim-Up noirs et une culotte blanche. Enfin blanche… Elle ne nous a pas menti
Elle vient au-dessus de moi et rabat vicieusement sa jupe sur ma tête.
J’adore cette situation perverse. Cela concentre les odeurs et avec le noir, l’imagination travaille encore plus
Quel bonheur. J’ai le nez sur le devant de son slip à la hauteur de la tache jaune et humide que j’ai entraperçue
Mes jambes en défaillent presque de la puissance perverse qui se dégagent de ce bas ventre avilis
D’abord pisse et cyprine fraiches et faisandées, puis une odeur plus musquée
Je la fait se baisser un peu pour qu’elle ouvre ses cuisses et pour accentuer l’odeur foxée qui vient du fond de sa culotte souillée de ses pratiques perverses
Mes narines s’enfoncent entre les lèvres de sa chatte puis ses fesses.
Je prends un vrai pied. Je la branle avec mon nez pour l’exciter
Je lèche ce slip, un coup de jaune, un coup de marron. Je recommence, je mouille de ma salive.
Quelle harmonie de goût de sale, de honteux et de pervers dans les dessous de cette Sylvie.
Elle devait être au bord de la jouissance quand elle se barbouillait d’urine et du reste. Un vrai talent, c’est sûr
J’aime le côté salope d’être sous les jupes de cette fille qui sent bon en haut, qui a l’air si sage, le nez sur son bas ventre si sale, enculée à fond, les narines débordées de ces senteurs volontaires qui me font tant mouiller

Sylvie se redresse et se déshabille
Elle ôte son chemisier rouge, laisse apparaitre un soutien-gorge blanc, tout simple, assorti à son slip
Puis elle enlève sa culotte avec délicatesse
Superbe chatte, lèvres volumineuses et rasées, suintante de désir, touffe de poils mi- longs sur le pubis
On voit la préparation spéciale à la noisette dont elle nous parlé car ses lèvres intimes sont un peu trop brunes pour être honnêtes
Elle écarte ses fesses. L’œillet est tout marron ainsi que 5 cm de chaque coté
Elle ne nous a pas menti. C’est du réel, pas du fantasme. Beau savoir-faire…..

Elle tend sa culotte à Maurice qui ne peut bouger, coincé sous moi, dans mon anus amoureux. Il la saisi et la respire, non la sniffe
Je sens sa queue et son gland de qui enflent encore, presque comme un plug gonflable.
A lui aussi ça fait un effet bœuf
Josette lui enlève délicatement son soutien-gorge et le pose avec ses affaires, sur son sac
Sylvie est maintenant nue, sauf ses Dim Up. Nous la regardons, elle a l’air si sage, si douce, si classique si ce n’étais ces yeux qui brillent d’envie et de vice. Josette lui caresse les seins et lui pince les tétons
Elle a l’air se s’y connaitre en femme et comment leur donner du plaisir.
Sylvie aime ça, elle gémit et ses tétons bandent
Je décide de lui nettoyer les fesses pendant que mon chéri s’occupe de son sexe
Yves préfère l’odeur et le gout de la pisse à celle du cul
Là il est heureux. J’ai gouté avant, le mélange pipi, jus de femme, un poil de caca est comme il aime
Quand j’ai un peu de temps et que je me sens chienne je me fais à peu près la même chose et mon chéri adore
Moi je suis comblée, ma langue fouille et farfouille dans ces effluves qui me grisent
Ma langue descend doucement vers l’anus chargé de matières fécales qui bordent les plissures de son œillet. Je prends de petits morceaux de merde qui marinent depuis deux jours. Je les aspire et les avale goulument
Le gout est amer et chaud, comme du bois fumé et sale
Je suis une vraie salope, cochonne et vicieuse et bouffer sa merde m’excite au plus haut point

Sylvie écarte elle-même ses fesses pour que je sois à l’aise
Je sens son jus couler de sa moule ouverte sur mon menton
Soudain, Sylvie se redresse elle nous annonce
- J’ai envie d’un petit pipi
Je cherche une bouche accueillante
Qui veut me gouter ?

Je me propose d’être la première
Elle se met face à moi, écarte ses lèvres pour que je puisse voir le trou d’où cela sort
J’aime la vue de cette chatte béante et brillante de cyprine, prête à me donner son champagne
Je suis aux premières loges. Son méat s’entrouvre.
Les 1éres gouttes apparaissent, j’avance ma bouche gourmande pour les boire
Elle se laisse un peu plus aller et me délivre l’équivalent d’une grosse gorgée
Elle s’arrête et me regarde
Je fais comme Josette et ouvre la bouche pour lui montrer son liquide doré, chaud et gouté
Je lui fais mes yeux de biche et de vice.
Pourvu qu’elle ose m’embrasser, ce sera un pas de plus dans la débauche
Sylvie se décide, se penche et m’embrasse. Nos lèvres se soudent. Je lui donne ce qui vient d’elle. Sa langue se mélange à la mienne. Je la sens qui aspire sa propre pisse. Je bois le reste avec délectation
Elle se relève et me dit
- C’est bon, trop bon.
On recommence. Encore !
Et nous recommençons. Mais cette fois, en m’embrassant elle glisse une main vers ma chatte, me l’ouvre délicatement, commence à me caresser le clito avec talent puis descend à la queue souillée de Maurice toujours en moi
Je sens qu’elle lui branle la bite puis traine sur ses poils
Nos lèvres se séparent et elle me tend ses doigts maculés de ma merde et celle de Josette
Je lui souris et entrouvre la bouche pour lui montrer mon accord. Je prends son index et le suce comme une petite bite. Je l’aspire à fond puis le recrache doucement jusqu’à le ressortir et je recommence
Il faut que je lui donne envie, qu’elle aille plus loin, que je l’excite à mort, que ses derniers tabous tombent
Les autres ont compris que nous sommes au point de bascule.
Mon chéri lui écarte les fesses et branle son anus.
Josette lui pince les tétons d’une main et a glissé trois doigts dans sa chatte
Sylvie a les yeux qui commencent à tourner
Je glisse ma main sur la bite de Maurice qui mate comme un salop et m’enduit légèrement les doigts de ma propre merde
Je tends à Sylvie mes doigts tout en continuant à sucer son index
Elle ouvre la bouche et gobe mon majeur. Elle le nettoie à fond puis va chercher deux autres doigts
Nous avons gagné. Pour m’en assurer, je prends de la merde entre les fesses de Josette, en tartine ses tétons. Josette se jette sur eux
Je lui tends de nouveau cette main, qui cette fois n’est pas juste un peu souillée mais bien dégueulasse
Ses yeux sont sans équivoque, la perversité a tout balayée. Elle prend ma main et la lèche

Une idée me vient. Je lui propose
- J’ai un jeu pour toi. Toute les femmes en ont envie mais peux osent se l’avouer
J’ai bien entendu que c’est de me voir forcer par Yves, d’abord à sucer la bite dégueulasse de Charles puis enculée de force sur sa bite qui avait déclenché tes orgasmes.
Donc tu ne peux nier que tu aimes le sexe imposé
On va te le faire découvrir. Je suis sure que cela va te plaire
On va faire comme si on te violait. Tu pourras tout arrêter quand tu veux.
Un seul mot existe pour cela STOP. Les « non », « NON », les « JE NE VEUX PAS », les « ARRETEZ » et autres ne comptent pas
Je suis sure que tu ne les prononceras pas
Elle me regarde, hésite, rougis puis un grand sourire s’illumine sur son visage.
- Oui c’est un fantasme que j’ai.
Ses yeux révèlent ses désirs salaces. Elle ne sait plus que dire. On sent bien qu'elle est prête à plus, à tout, que cela fait des années qu'elle est prête dans sa tête mais il manquait l’occasion.
- Faites-moi tout
Plus, plus, je veux plus
Violez-moi !!!
Souffle-t-elle avant de s'allonger par terre contre ce sol poisseux...

Maurice se décule de mes entrailles. Il lui saisit les cheveux et tend sa bite avec ce gland si énorme vers elle
Ses yeux hallucinent. Elle voit ce champignon si gros, la merde sous le gland.
Elle hésite, puis crie soudainement
- Non, NON, NON »
Nous décidons d’aider Maurice
Josette bloque la tête de Sylvie, Yves ses bras dans le dos et je lui immobilise les jambes
Maurice passe le gland entre ses lèvres si délicates et s’enfonce un peu pour la faire taire
Sylvie étouffe mais rapidement, elle commence à travailler cette bite dégueulasse avec sa langue agile puis démarre le va et vient le long de la hampe souillée.
Comme prévu, Sylvie apprécie d’être forcée : les faits sont là

En complément, je décide de lui travailler la moule. J’y glisse 2 puis 3, puis 4 doigts
Elle est trempée de mouille. Elle se laisse aller et pisse un peu, car elle n’avait pas fini tout à l’heure.
Je profite de ce complément d’humidité pour la forcer et glisser ma main toute entière
Elle geint sous mon fist
Je l’ouvre à fond en ouvrant et fermant mon poing dans son vagin. Je ressors, y remet la main en long, puis en boule
Elle ne s’arrête même pas de sucer Maurice.
Josette, cette salope, décide de corser le jeu, et se met à pisser sur la queue de son mari et sur la bouche de la jeune vicieuse qui en redemande
Sylvie lâche la queue pour se mettre sous le jet d’urine de Josette. Celle-ci pisse à petit coup et notre jeune affranchie boit tout. Elle ne laisse pas une goutte.
Elle est souriante visiblement elle connait et adore l’uro
Elle abandonne Josette et se met à lécher la pisse et la merde fondue sur les boules et les poils de Maurice
Il est aux anges, la bite dressée, son champignon luisant de salive et de pipi
Yves relâche les bras de Sylvie qu’il maintenait encore et sa queue rejoint celle de Maurice
Deux bites différentes, celle de mon homme est plus normale : épaisse et longue, rasée
Sylvie passe de l’une à l’autre, Josette continue d’arroser ces deux vits de son champagne odorant
Sylvie lève de temps à autre son regard lubrique vers eux pour montrer le plaisir qu’elle prend

De voir cette scène, je mouille comme une fontaine et des idées encore plus perverses me traversent la tête
Je vais lui fister le cul
Je commence, prends le pipi de Josette qui coule de ces deux sexes et commence à lui travailler l’œillet
Mon index rentre tout seul dans cet anus, il a dû déjà servir.
Son petit trou m’aspire, m’invitant à fourrer un autre doigt puis un autre. J’en suis à trois et je sens tout au bout une matière souple et chaude
Cette salope a le cul plein, comme j’en rêvais.
Je mets mes doigts en crochet, touille dans sa merde et les ressort
Je lui beurre entre les fesses ce que j’ai sorti et en profite pour bien graisser ma main de cette matière chaude et dégueulasse
Quatre doigts, elle couine
- NON, NON, ARRETEZ, JE NE VEUX PAS...
Je continue sans me laisser attendrir
Heureusement que j’ai de petites mains. Je glisse le pouce et je force
Sylvie me dit plus rien bâillonnée par la queue de Maurice qui a tout compris…
J’insiste, un spasme de cet anus et je suis au fond, jusqu’au poignet
Elle doit avoir des sensations folles. Je sens un étron énorme qui me comprime la main. Elle doit l’avoir depuis au moins un jour. Quelle salope, elle a tout envisagé
Elle a les entrailles explosées entre ma pogne et sa merde. Ça doit lui remonter dans le boyau.
Elle doit être comblée d’être fouillées ainsi, une envie de chier monstrueuse et même si elle pousse, rien de sort
D’ailleurs elle a la bouche ouverte, les yeux exorbités, seule à sa jouissance perverse

Je sens ma main enserrée, engluée de sa merde. J’ouvre et ferme mes doigts, je malaxe ses excréments en une purée dégueulasse
J’en prends le maximum, ressort ma main et lui fourre dans sa moule détrempée
Je recommence, jusqu’à lui vider l’intestin et remplir son trou à bite
Ma main va de l’un à l’autre sans plus aucune résistance
Je lui fiste ses deux trous. Son cul est bientôt vide et son vagin plein comme un rectum qui a besoin de se vider
Ses lèvres intimes sont barbouillées de ses excréments. J’en profite pour lui tartiner le pubis. Un peu comme si elle était poilue comme une portugaise, mais ce n’est pas des poils…
Mes mâles bandent comme des fous à l’idée de fourrer dans le gras sa chatte béante

C’est Maurice qui commence, son énorme gland violacé s’introduit dans cet antre plein de son autre trou
Malgré la largeur de son outil, il passe comme dans du beurre, preuve que je l‘ai bien travaillée
Quand il pousse, la merde sort de tous les côtés. Sylvie couine de plaisir.
Il la travaille, machine à plaisir, machine à purée de caca. Quand leurs pubis se séparent, un bruit, un « slurpp » collant et gras se crée
Un nouvel orgasme terrasse notre salope lubrique
Nos yeux ne peuvent quitter la vue de ce spectacle si pervers de la bite de Maurice qui rentre, sort entièrement et replonge dans ce vagin transformé en anus sale

Mon homme veut en profiter aussi. Il demande à Maurice de se mettre sur le dos, Sylvie allongée sur lui.
Maurice s’exécute sa pine toujours en place
Je me demande ce que tu veux faire puis je comprends.
Mon chéri veut mettre ta bite avec celle de notre ami dans la même chatte merdeuse.
Elle va le sentir passer même si je l’ai bien ouverte tout à l’heure.
Je connais aussi ses petits penchants homos et sentir ta bite contre celle de Maurice te tente diablement. D’autant plus que son gland spectaculaire va te masser la hampe dans vos mouvements synchronisés
Ton sexe peine à rentrer dans sa chatte malgré le lubrifiant naturel que s’y trouve
Sylvie ne veut pas et recommence à protester
- NON, NON, PAS A DEUX, PAS CA !!!!
Je m’assois sur sa tête pour la faire taire et lui bloque les bras
Elle se calme et commence à manger ma minette et me faire une feuille de rose au chocolat
Elle doit avoir envie d’être forcée à faire ce dont pourtant elle rêve. Je la pense assez chienne pour ça
Josette décide de nous aider en écartant de force ses lèvres pour aménager un passage plus grand.
Elle va vraiment avoir ces deux pines en elle

Tu pousses, tu forces et, une fois ton gland passé, tu te glisses tout au fond
Au fur et à mesure de ton avancée, la pâte molle sort de sa chatte et glisse sur les couilles velues de Maurice
Je vous vois vous mettre en branle, en même temps, ou chacun votre tour
Sylvie ne me suce plus. Je me soulève un peu, elle halète, la bouche ouverte, les yeux renversés de bonheur.
Son visage est maintenant maculé de ce qui se trouvait sur ma chatte et mon cul.
Je vois que sa langue et ses lèvres ne sont plus roses mais ocres, tachés de notre vice commun
Je vois aussi à ton regard que tu prends ton pied, ta bite serrée dans ce conduit puant et branlée par le mandrin de Maurice

Pendant que vous bourrez Sylvie je décide de m’occuper de Josette
Je m’assieds entre ses jambes, commence par humer ce bas ventre immonde, puis lui écarte ses grandes et petites lèvres.
Son clito darde. Il est gros, long. Je le décapuchonne et commence à le branler entre mes deux doigts sales. Il sort presque de sa chatte. Il a la taille d’une petite bite. Je caresse, puis serre, puis pince.
Ses jambes tremblent
Ma langue se glisse sur ce bouton d’amour. Je l’aspire, le pompe, le caresse, le butine
Je glisse ensuite ma langue sur les bords jonchés de ses excréments, puis retourne à son clito qui se colore de ma salive souillée
Je sens son jus coloré couler de sa chatte ouverte, et je décide de m'approprier ce liquide visqueux qui s'écoule peu à peu dans ma bouche qui se remplit progressivement
Elle jouit une fois. J’insiste. Un nouvel orgasme la transporte

En parallèle, n’oubliant pas les envies de mâle perverti de mon chéri, j’insinue ma main entre ses fesses ouvertes et je glisse deux doigts dans son œillet.
Je sens que ma caresse te plait. Je sens que tu pousses pour mieux t’ouvrir.
J’en profite pour te pénétrer profondément le cul. Je sens bien qu'il n'est d'ailleurs pas très propre car mes ongles se plantent rapidement dans un objet à la texture douteuse, cela me fait sourire.
Toi aussi tu as été prévoyant au cas où l’occasion se présenterait de te faire mettre.
Tu te retournes vers moi pour m'embrasser, j’abandonne la chate gluante de mouille et de merde de Josette et je déverse dans ta bouche le fruit de la jouissance de cette vieille salope.
Tu es surpris, mais tu m'embrasses langoureusement en avalant progressivement ce précieux nectar et je complète mon action en introduisant de nouveau deux doigts merdeux tout au fond de ton cul.
Tu n'en peux plus, tu veux jouir, mais je te l'interdis.
Je lèche un de mes doigts en te regardant de ce regard pervers qui dit que j’ai une idée.
Je mets alors mes autres doigts dans ta bouche et tu sais que tu n’as pas d'autre choix que de te laisser faire.
Tu lèches donc ces doigts qui auront fouillé bien des culs ce soir, cela te dégoute et mais tu aimes que je te force à le faire.

Maurice a surveillé mes manœuvres : mes mains entre tes globes fessiers et le fait de te forcer à lécher mes doigts. Je vois que ça le tente de t’enculer.
Je lui fais signe que oui. Il peut se farcir Yves mon chéri, au sens propre et figuré.
Tu ne saurais t’y opposer. Maurice abandonne Sylvie, toi aussi

Sylvie remplaces vos sexes par ses menottes et se branle en gémissant se fistant elle-même.
Ses mains se vautrent dans la fange de son sexe, le pénètre, le caresse….
Sa jouissance est toute proche

Tu te mets à genou, Josette, pour ne rester inactive, engloutit ton dard souillé dans sa bouche et te pompe comme une vraie salope. Elle arrive à te prendre en entier, son visage frottant contre ton pubis merdeux
Elle écarte tes fesses au maximum pour son mari qui s’apprête à te mettre.
Maurice avance et cale son champignon vénéneux sur ton anus.
Il te prend par les hanches et te tire vers lui pour t’empaler sur son pieu géant
Tu grimaces. Tu n’en pas envie et même temps si. Nous avons été si loin dans le vice que ton cul réclame ce dernier plaisir, se faire prendre comme nous les femmes, devant nous par cette bite monstrueuse

Tout à coup ton œillet cède sous la poussée bestiale de ce sexe graissé.
Tes yeux s’arrondissent, ta bouche fait un hoquet : Maurice est à fond
Il ne bouge plus pour que tu puisses profiter de cette sensation fabuleuse que j’ai connue tout à l’heure
Tu laisses Josette continuer de te tailler une plume.
Tu te souviendras toute ta vie de ces sensations intenses : une énorme chose dans le cul et une pipe de rêve
Maurice te travaille avec méthode.
Par moment il ressort complétement pour que ton anus puisse se refermer puis céder de nouveaux sous l’assaut. Cette intermittence d’ouverture et de fermeture est jouissive. Je le sais trop bien
Tu prends ton plaisir car maintenant tu accompagnes les mouvements, te déculant, t’enculant pour mieux sentir de nouveau cette bite déshonorer ton cul de mâle

Je me caresse, contemplant le spectacle que nous offrons.
Chacun dans son délire : toi enculé comme une demoiselle, Josette suçant ton vit dégueulasse, Maurice prenant son plaisir de vrai mâle dans tes fesses souillées de petit PD, Sylvie toujours à son branle

Je sens que la fin approche.
Je vois les jambes de nos deux hommes trembler sous le désir.
Tu saisis la tête de Josette et l’emprisonne contre toi.
Les mouvements saccadés de ton bassin sont sans équivoques : tu jouis.
D’ailleurs une partie de ton sperme coule de la bouche de ta suceuse
Maurice lui aussi t’accompagne et, dans un rugissement, il se vide dans ton fondement.
Il reste collé à toi pour garder encore la sensation de serré, de chaud qui l’a amené à l’explosion

De mon côté aussi l’extase me surprend, me laissant pantelante, la vulve dégoulinante.
Trop bon, trop fort toutes nos saloperies de vieux vicieux obsédés de sexe, d’odeurs, de sale
Les corps se désunissent. Nous reprenons notre souffle. Les yeux toujours troublés de la violence de notre jouissance et de la perversité de nos actes

Sylvie jouis enfin dans un long hurlement

Nous nous regardons d'un même regard et, sans dire un mot, la même idée nous vient et nous vidons à tour de rôle ce qui reste dans nos vessies sur ce corps tout tremblant.
Tu inonde ses cheveux pendant que je fais de mon mieux pour qu'elle suffoque dans mon urine.
Maurice vise sa chatte et Josette ses seins
Je déplace mes hanches avec grâce pour gicler à tour de rôle sur son visage et dans sa bouche.
Elle boit ce qu’elle peut et ses mains continuent sa besogne dans son sexe trempé de pisse

Josette en profite pour torcher nos culs poisseux de ses doigts afin de badigeonner le corps de cette salope

Sylvie explose une dernière fois. Ses yeux redeviennent clairs. Elle nous regarde. Elle nous sourit de ce sourire si doux. Tout simplement, elle nous remercie
- Merci. Encore mieux que dans mes délires les plus hard
Je rêvais de gros, très gros dégueulasses et là, je suis comblée

Même si sa tante Christiane l’a initiée, ce soir elle aura été au bout de ses fantasmes les plus fous, explorant ses envies les plus sales en compagnie de deux couples dévoyés dans des toilettes publiques

Comme moi il y a déjà longtemps, la jolie fille aux habits discrets, au sourire doux et timide est devenue une vraie femme, assumant sa part de sexe pervers et de vice sordide enfouies en elle

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J'ai pris bcp de plaisir a lite ce recit. Je suis adepte de jeux uro, mais a ma grande surprise, ce recit me donne envie d essayer les jeux scato...ma partenaire adore les jeux humides, peut-etre sera-t-elle tentee par ces pratiques extremes....?

Histoire Erotique
Une histoire exceptionnelle. J'aime l'uro et le scato. Là j'ai été servi au delà de toutes espérances. Je me suis vraiment imaginé baignant dans ces odeurs sordides mais tellement délicieuses quand on est dans l'excitation du moment. Magnifique

Histoire Libertine
Moi j'ai bien aimé
Délire imaginatif c'est évident
Mais vraiment vicieux dans la progression*>j'ai aimé

Histoire Erotique
J'aime bien les histoires uro.scato mais "soft" ici c'est vraiment trop. Ca ne sent pas le vécu. Trop c'est trop. Dommage.



Texte coquin : La route des vacances, les toilettes de la nationale par Sophie
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