Lisa l'étudiante, un début de semaine agitée.

- Par l'auteur HDS Santiano -
Récit érotique écrit par Santiano [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Lisa l'étudiante, un début de semaine agitée. Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Lisa l'étudiante, un début de semaine agitée.
Finalement, je me suis endormie comme un bébé. Mon esprit est troublé, je viens de vivre ma première fois qui s'est soldée en plusieurs fois dans la même soirée avec mon cher Romain. J'ai connu la jouissance ultime. Seulement, la fin de la saison estivale arrive et mon compagnon ne sera pas disponible pendant deux semaines. Je serais bien entendu accompagnée par la petite bande, mais rien ne pourra remplacer le manque de plaisir. Même les aventures avec Sonia ne m'ont pas procuré autant de plaisir. Je ne compte pas pour autant coucher avec n'importe qui pour satisfaire mes envies. Le souci, c'est que je ne sais pas comment mon corps va réagir si je me fais draguer, je ne sais pas contrôler mon corps si celui-ci entre dans une phase de désir. Nous sommes lundi, il est aux alentours de onze heures, je me réveille. L'esprit un peu comateux, je décide de prendre une bonne douche. Je me prépare un café, puis surfe un peu sur internet. Vers midi, je reçois un message de ma meilleure amie. Elle me demande si Romain est avec moi. Je lui réponds que non, que si elle veut, elle peut venir me voir. Quelques instants après, elle frappe à la porte, me donne une accolade et bien sur me pose la fameuse question sur mes aventures du week-end. Je lui dis avec le sourire que oui, ça y est, je l'ai fait. Elle me congratule, me prend dans ses bras et me dit qu'une chose comme ça se fête. Je lui signale tout de même que j'aimerais que cette nouvelle reste entre filles, puis elle me dit clairement qu'avec le sourire que j'ai nos compagnons masculins auront du mal à croire autre chose. J'avoue à demi-mot cette réalité. Je la vois partir dans le couloir, elle est en train de prévenir Johanna, Florine et Maeva, qui viennent tout de suite me féliciter. Les garçons ne tardent pas à nous rejoindre, ils veulent aller à la plage. Mais s'aperçoivent que les filles sont très chaleureuses envers moi.
Mathieu s'approche de moi, me fait la bise et me pose la même question que Sonia, je rougis et je souris. Il me prend dans ses bras et me congratule à son tour. Et rejoins dans l'idée ma meilleure amie qu'une fête s'impose pour un tel événement. Valentin de son côté, est content pour moi, mais n'oublie pas son envie d'aller au bord de l'océan. Tout le monde valide sa proposition. Chaque personne retourne dans les chambres pour se mettre en maillot de bain. Nous nous retrouvons à treize heures en bas de la résidence étudiante. De mon côté, j'ai pris le maillot de Sonia et une robe légère d'été que l'on porte à la campagne avec des motifs de fleur blanche sur fond bleu.
Nous voilà partis pour une demi-heure de route en direction du Grand Crohot cette plage immense du
Cap Ferret. Nous nous garons, puis nous montons les marches en bois, nous arrivons devant le panneau d'information, je vois que la température de l'eau est à vingt degrés et que le drapeau est orange, ce qui veut dire que l'océan est un peu agité. Nous arrivons enfin sur la plage, nous trouvons un endroit pour poser les serviettes. Florine et Valentin semblent très proches, ils se sont bien trouvés visiblement. Je les vois s'embrasser, se prendre dans les bras, je les envies, j'aimerais passer du temps avec Romain, mais il n'est pas là. Je pars avec Maeva, Sonia et Johanna dans l'eau. Elle est un peu fraîche, mais je m'habitue plus rapidement à la température grâce à la dernière fois. Je n'oublie pas les conseils de Mathieu, je me mouille la nuque puis le bas du ventre et plonge tête la première dans les vagues. Les filles font de même. Le jeune homme ne tarde pas à nous rejoindre. Les rouleaux sont un peu puissants mais supportables, mais je sens un courant dans l'eau qui m'attire sur le côté. Je me remets en place et Mathieu m'explique que suivant les marées il y a des baïnes et qu'elles peuvent être dangereuses.
Il faut être très prudent pour ne pas être envoyé au large. Je continue de m'amuser avec les vagues, j'arrose les filles. Elles répondent à mes attaques quand soudain, je sens une douleur immense m'envahir le mollet. J'en ai du mal à marcher. Mathieu voyant la scène me prend dans ses bras et me ramène sur la plage. Il appelle un sauveteur, il m'ausculte et me dit que je viens de me faire une belle crampe. L'effort physique est important et la douleur est arrivée d'un coup. Il conseille à Mathieu de me passer de la crème et de me mettre dans un grand bac de glaçon, un peu comme font les rugbymans à la fin d'un match. Je termine mon après-midi sur la serviette en compagnie de Valentin et Florine. Je demande à celle-ci si elle peut me passer de la crème. Elle accepte de m'aider, puis retourne voir son compagnon. Je l'envie, j'aimerais être à sa place dans les bras de Romain, mais je ne peux pas. Je commence à somnoler légèrement et mes rêves sont érotiques. Je repense à la journée de samedi. Et comme d'habitude, je ressens des petits arcs électriques dans le bas de mon ventre. J'essaye de lutter, mais je n'y arrive pas. Mathieu, Maeva, Sonia et Johanna reviennent vers nous. Le jeune homme explique que l'océan est dangereux et ne veut prendre aucun risque. Il me demande si je vais bien, je lui dis que j'ai toujours une boule dure comme de la pierre dans le mollet. Sur ce, il demande au groupe s'il est possible que nous partons, nous passerons par le poste de secours afin de voir s'il y a une pommade qui peut calmer la douleur. Nous remballons les affaires puis nous reprenons le chemin de la voiture. J'ai de plus en plus mal au fur et à mesure que je monte les marches.
Nous arrivons à proximité d'un secouriste. Maeva lui demande s'il a une crème qui permettrait de diminuer ma souffrance. Il m'invite dans le local, prend un sac plastique avec des glaçons puis le place sur mon mollet. Il faut bien un quart d'heure avant que la boule diminue. Ensuite, il me met sur le ventre et me masse avec une crème rafraîchissante. Effectivement, j'ai de moins en moins mal. Je me remets debout, je fais quelques pas, la douleur a disparu. Je remercie le sauveteur qui me conseille de prendre un bain froid afin de continuer les soins. Je retrouve mes camarades, ils veulent que l'on s'arrête dans un snack pour manger un morceau, puis nous repartirons aussitôt. Il est presque dix-huit heures. Après avoir pris une glace et un grand verre d'eau, nous partons en direction de Bordeaux. Arriver devant l'immeuble universitaire, la douleur de mon mollet revient. Je boite de nouveau, je rentre dans ma chambre, je me dirige vers la salle de bains, mais je n'ai pas de baignoire, je vais donc soulager ma souffrance assise sur une chaise dans la douche. Un peu difficile comme situation, j'envoie un message à tout le monde. Sonia est déjà sous l'eau, j'entends le bruit à travers le mur, Valentin et Florine sont indisponible ainsi que Johanna et Maeva. C'est donc le fameux Mathieu qui vient à mon aide. Tout est prêt, je n'ai plus qu'à enlever ma robe et m'asseoir. Je suis un peu anxieuse à l'idée de me retrouver avec lui toute seule, mais il n'est pas ivre donc il doit être un peu plus serviable. J'espère que je peux lui faire confiance. Il se met torse nu, pour ne pas mouiller son tee-shirt puis s'installe sur le bord de la douche. Dans un premier temps, il positionne ma jambe sur son épaule et me demande de pousser sur mes jambes. Une technique de footballeur me dit-il. Effectivement, la douleur diminue. Il prend ensuite le pommeau, met l'eau froide et la fait couler sur mon mollet pendant quinze minutes. Je suis presque anesthésié.
Il arrête sèche ma jambe, puis va chercher un anti-inflammatoire qu'il utilise lorsqu'il subit ce genre de problème lorsqu'il fait du sport. Il me donne un verre d'eau, je prends le médicament, puis il me dit qu'il repassera dans la soirée pour voir si ça va mieux. Il est pratiquement vingt et un heure, tous les membres du groupe m'ont envoyé un message pour connaître mon état de santé, je leur dis que ça va mieux. Quand soudain, quelqu'un toque à la porte se doit être Mathieu. Je le fais entrer dans la chambre, dans sa main, il tient un tube de pommade qui
atténuera la douleur durant la nuit. Je lui propose de boire un soda en ma compagnie, puis de regarder un film à la télévision. Il s'agit d'une comédie romantique, un classique du cinéma américain. Il accepte et il se comporte beaucoup mieux que l'autre jour. Je suis satisfaite, et je prends un peu plus confiance en lui. Finalement derrière cette façade enjôleuse se cache peut-être un homme sensible. Bref, j'espère ne pas me tromper. Au bout de deux heures, le film se termine, j'allume la lumière de la table de chevet, il récupère son tube de pommade et me dit qu'il va me masser mon mollet souffrant. Je soulève ma robe à demi-cuisse, puis il se place à mes pieds. Il fait couler la crème sur le bas de ma jambe, et commence son massage. Ses mains sont douces, c'est très agréable. Il trouve que je suis tendue, il faut que je me détende me dit-il. Il se met à me toucher les plantes de mes pieds. Cette action a pour but de me détendre et effectivement, ça fonctionne. Ça me procure aussi quelques petits arcs électriques dans le bas de mon ventre. Il faut que je me contrôle, j'insiste sur ce fait. Il remonte sur mon mollet et la boule que je ressentais commence à disparaître. J'essaye de me lever pour voir le changement, mais Mathieu me saisit par les hanches et me déconseille de faire le moindre effort physique jusqu'à demain. Autant, c'est un coureur de jupons malgré lui, je pense, autant, il sait se montrer attentionné et prévoyant. Chose que j'apprécie beaucoup. Dans son élan de générosité, il me propose de me passer de la crème solaire, il est vrai que je suis resté longtemps au soleil et si en plus, j'ai la peau brûlée, je risque être indisponible pour un moment. J'accepte sa proposition, sauf qu'au lieu d'avoir garder le bas de mon maillot de bain, je l'ai remplacé par un string. C'est-à-dire qu'il va voir mes fesses. Après tout, je me dis que ce n'est pas grave. On commence à devenir vraiment intime et puis ça sera son cadeau de remerciement. Le fait de ne plus être vierge m'a un peu décomplexé, je dois avouer, pas au point de faire n'importe quoi, mais plutôt de supprimer légèrement la barrière de la pudeur. Il m'aide à enlever ma robe, puis je m'allonge aussitôt sur le ventre. Il se positionne à califourchon sur mes fesses puis commence à m'asperger le dos avec la crème solaire. Il me l'étale doucement sur le dos, il me demande l'autorisation de dégrafer mon soutien-gorge afin de ne pas le salir. J'accepte, tout en gardant les mains sur ma poitrine. S'ensuit une série de papouilles qui me font chavirer dans un subconscient entre le sommeil et l'envie de sexe. La lotion a déjà disparu, il m'en remet une deuxième couche. Pendant ce temps-là, en bas de mon ventre, je sens des picotements. Il faut que je sois forte, que je résiste à mes pulsions. Ce sont des sensations nouvelles, j'ai beaucoup de difficultés à me retenir. Mathieu est toujours à califourchon sur mon postérieur, qui se met à bouger tout seul. Ce qui ne manque pas de faire réagir mon partenaire. Je sens alors une bosse heurtée mes fesses. Je devine aisément qu'il est en érection. Je lui fais la remarque sur le ton de l'ironie, mais contrairement à d'habitude, lui qui est tellement sur de lui, s'excuse de son comportement. Je lui réponds que ce n'est pas grave, que c'est naturel. Cela ressemble à une sorte d'invitation, plus les minutes passent et plus j'ai envie de le sentir en moi. J'ai envie d'avoir du plaisir. J'ai honte, si je passe à l'acte, je vais réellement tromper Romain et je ne veux pas le décevoir. Mais mon esprit en décide autrement. Mes fesses continuent de bouger sur le membre de Mathieu. Il a pris un peu plus confiance en lui, il est contre moi et commence à me faire des bisous dans le cou. Je retrouve rapidement les sensations de ma première fois. Je me sens transporter sur un nuage. Mon amant continue de m'embrasser, il descend petit à petit vers mes fesses qu'il mordille légèrement.
J'essaye de me retourner, et je me retrouve seins nus face à lui. Il ne se fait pas prier, il lèche le bout de mes tétons, malaxe, et caresse ma poitrine. Ça y est mon esprit décolle vers le plaisir. Il se met entre mes jambes. Nous nous embrassons, puis délicatement, il descend vers mon puits d'amour. Il fait glisser mon string jusqu'à mes chevilles puis l'enlève. Mathieu est le deuxième garçon qui me voit nue. Il me dit que je suis magnifique. Je lui offre un sourire.
Sa tête disparaît de mon champ de vision. Je sens alors la chaleur de sa langue se poser sur mes lèvres, il me mordille le clitoris, l'aspire et rapidement, je gicle un premier jet de mouille. La bouche trempée, il se relève, il se dirige vers moi. Je lui enlève son short et son boxer. Et je vois devant moi, une verge imposante. Je lui lèche le bout du gland, puis l'avale, j'ai du mal à le prendre en entier, mais je continue de faire des allers-retours variés. Elle a vraiment bon goût. Après cette fellation, Mathieu se positionne entre mes cuisses que j'écarte le plus que je peux. Il frotte son sexe contre mes lèvres puis d'un coup me pénètre, ce qui m'arrache un cri de plaisir. Il commence ses vas et vient à la fois lent et rapide. Puis me retourne sur le ventre pour me faire une levrette se doit être une des positions qu'il affectionne le plus. J'entends mes fesses claquées. Je commence à monter dans les tours, le souffle s'accélère, je jouis. Son sexe doit être recouvert de mouille. Il arrête sa pénétration, il déguste ma cyprine et me dit par la même occasion que son goût est délicieux. Puis je le sens remonter vers mes fesses avec sa langue. Je découvre une nouvelle sensation, c'est chatouilleux au départ et très agréable par la suite. Puis il dirige son membre vers mon petit trou. Je lui signale que je suis vierge et que je ne suis pas prête pour ce genre d'expérience. Nous nous mettons de côté, cette fois-ci, nous faisons cette fameuse position qui est la cuillère. Je prends beaucoup de plaisir, car le sexe de mon partenaire frotte pratiquement toutes les parties de ma vulve. Malgré mon désaccord, il glisse un doigt dans mon petit trou, au début la sensation n'est pas agréable, mais devient très vite délicieuse. Il accélère le mouvement, mes gémissements sont plus intenses. Dans le même temps, je sens un liquide chaud envahir l'intérieur de mon vagin. La sensation est extraordinaire. J'adore. Je pars dans la douche me faire un brin de toilette puis rejoins mon bel amant. Nous discutons de tout et de rien. Je le félicite sur son endurance et le remercie pour cette agréable soirée. Mes yeux commencent à se fermer. Je me sens honteuse, je viens de tromper Romain avec Mathieu. Mais j'ai un souci. Il faut que je puisse avoir une discussion avec Sonia, elle est plus expérimentée que moi et j'ai besoin de conseils.
Je n'arrive pas à me contrôler. Certes, le dérapage de ce soir devait un jour arrivé. Mais aussi vite, je ne le pensais pas. Effectivement, j'ai pris beaucoup de plaisir du début jusqu'à la fin Mathieu est un magnifique amant, mais je me sens coupable. Demain avec le groupe, nous avons décidé d'aller dans le lagon d'une piscine où se trouvent un jacuzzi, un bain romain et un hammam. Il me tarde... Cette nouvelle vie commence de plus en plus à me plaire. J'ai découvert le plaisir, j'ai fait connaissance avec un bon groupe d'amis. L'intégration s'est très bien passée. je dirais même mieux que je le pensais en arrivant sur Bordeaux...

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Histoire sexe : Une rose rouge
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