La fête des mûrs - histoire érotique

Je me rhabille après m’être essuyé du foutre du soixantenaire. Ma peau en est encore collante mais la sensation n’est pas désagréable. Je quitte la pièce pour rejoindre le salon. Il n’est que 23h mais beaucoup sont déjà partis. Ceux qui restent cependant me regardent avec un petit sourire en coin. Le voyeur est encore là, mon amant non. Rapidement on vient me parler à nouveau. Je me retrouve au milieu d’un groupe d’hommes âgés entre quarante et soixante ans. Aucun d’entre eux cependant n’est aussi bien conservé que mon amant éphémère. Les verres s’enchainent, je sens de nouveau ma tête qui tourne. Je sais qu’ils souhaitent me rendre totalement saoul et à vrai dire je ne suis pas opposé au concept. On me tripote de plus en plus. Les mains gagnent en témérité et les regards en désire. Je suis peu à peu guider vers une autre chambre. Une fois à l’intérieur, mes compagnons me font asseoir sur le lit. Je souris, ris à leurs blagues, laissent les mains explorer. Mon jean est rapidement déboutonné. La conversation prend une nature coquine : en tant que jeune de la soirée je dois tout leur conter sur ma vie sexuelle. Ils adorent le fait que je suis bi. Je leur raconte même mon aventure décevante de la nuit précédente et mon serment d’y remédier. Ils me rassurent, m’encouragent. Quand certains d’entre eux se mettent à me déshabiller je ne résiste pas. Je ne réfléchis pas.

A présent je suis en caleçon, toujours assis au milieu d’un cercle grandissant d’hommes mûrs excités. Certains se caressent. Un ou deux ont même sorti leurs engins. La question « pour toi la taille compte ? » fait surface. Ma réponse positive lance un concours – une excuse pour sortir leurs membres sans doute. Ils me présentent tour à tour leurs verges – grosses, petites, minces, élégantes. Celles qui me plaisent, je récompense d’une caresse taquine de ma main. Ce tri permet aussi d’en décourager certains, trop peu à mon goût. Les autres, mis en confiance par mes caresses, décident d’organiser un jeu : celui qui parvient à me faire bander a le droit de demander n’importe quel service de ma part.

Les caresses s’enchaînent, puis les fessées, les compliments, même deux ou trois biffles soft. Je demande cependant à ce qu’on évite ce dernières, chaque participant souhaitant essayer. Je ne bande toujours pas. Puis un homme, dans la cinquantaine, plutôt bien conservé lui aussi, rasé du pubis et ayant été le premier à mériter ma caresse approbative, s’assoit prêt de moi. Il s’est totalement dévêtit et son érection est impressionnante. Il se penche, plaçant également sa main gauche sur ma cuisse. Il ne touche en rien mon sexe.

Il chuchote à mon oreille : « la raison pour laquelle tu n’as pas pu bander hier soir avec ta copine c’est que t’es fait pour sucer. »

Je rougis. Les hommes autour de moi se mettent à chanter en cœur « le service, le service, le service… »

Je regarde vers le bas. En effet je bande. Je sens toujours une chaleur forte dans mes joues. Je regarde timidement l’homme qui me sourit.

« Je te demande comme service », les autres se taisent, « tout simplement de rester avec nous jusqu’à l’aube, et surtout de rester nu. Après, si l’envi te vient, une ou deux caresses si et là dans la foule, ne seraient pas de refus. »

Les hommes crient à nouveau leur approbation.
« Très bien, et si tu n’as pas d’objection, honneur au gagnant, la première caresse. »

Je prend entre mes doigts son sexe raide. Il est épais et chaud. Je commence des mouvements de haut en bas. Ma main est ferme autour de cette belle verge. Mes caresses sont d’abord lentes avant de s’accélérer peut à peut. Au bout de quelques instants cependant, je branle vigoureusement. Je sens qu’il est prêt à jouir – sa respiration se fait rapide, il ferme les yeux. A cet instant je me place rapidement à genoux entre ses cuisses. Son sexe est raide devant mon visage. Je l’oriente vers moi, continuant les mouvements dédiés. Enfin le sperme fait éruption et vient s’étaler sur mes joues, mes yeux, mon front et mes cheveux. C’est collant et chaud. L’homme laisse échapper un long soupir tandis que mes mouvements s’achèvent. Ma main est également couverte de sa semence.

Je me retourne, les hommes semblent être encore plus dur après cette démonstration. Je me lève et commence à me promener entre eux, ma main se baladant entre les glands, les verges et les boules. Un homme est tellement excité, le simple touché de mes phalanges le fait jouir sur ma main. Son sperme est épais et lourd.

Le restant de la soirée se déroule donc dans la nudité et l’excitation générale. Un grand nombre d’hommes se masturbent ouvertement à mon passage. D’autres – ceux dotés des plus beaux phallus – je branle moi même. Je n’essuie jamais le foutre qui s’accumule sur ma peau. Ainsi, à trois heures du matin, alors que beaucoup sont partis et seuls trois hommes persistent, la peau de mes mains, mon visage, mes fesses et mon ventre est luisante et collante.

Les trois hommes restants sont déterminés à ne pas finir comme les autres cependant. Ils sont tous les trois nus et n’ont d’yeux que pour mes fesses. Les caresses s’enchainent. Un d’eux sort un tube de lubrifiant. Pendant que je caresse tour à tour les deux autres, il se place derrière moi. Avec son index, il m’en applique sur la raie de mes fesses, mon trou et son gland. Nous nous dirigeons vers le canapé. Les deux non lubrifiés s’y installent – écartant les cuisses pour me faciliter l’accès. Je me penche, cambrant ainsi mes fesses. Tandis que je reprends en main les deux membres qui me sont tendus, je sens la main du troisième se poser sur ma fesse droite. Il me caresse, savourant l’instant. Je pose ma langue sur le gland du mieux équipé des deux hommes assis. Je lui titille le gland tandis que je masturbe l’autre qui nous regarde. Enfin je sens une barre raide se coller entre mes cuisses. L’homme se positionne. Son gland est chaud et lubrifié contre mon trou. Il se met à pousser au moment ou je prends l’autre homme en bouche. La douleur est quasiment inexistante – étant toujours dilaté du dernier passage. Les coups de hanches commencent, s’accélérant rapidement. Je mimique le mouvement de ma tête sur la verge de l’autre. Nous continuons ainsi de longs instants : un homme me prenant, laissant échapper des grognements tandis qu’il me lime rapidement, et moi suçant tour à tour les deux assis devant moi. Le moins bien membré des deux finit en premier, m’emplissant la bouche tandis que je malaxe les boules de l’autre. Puis c’est au tour du deuxième, se déversant également dans ma gorge en me maintenant la tête fermement. Enfin, mon troisième compagnon donne un coup final et fort des reins, se lâchant en moi totalement. Je sens le foutre remonter en moi, chaud. Ma gorge en est également remplie. Ma bouche étant toujours maintenue autour de la verge raide de l’amant, je n’ai d’autre choix que de tout avaler.

Je quitte l’appartement. J’ai prît une douche mais j’ai l’impression que ma peau colle toujours. Je me suis masturbé sous l’eau chaude, deux des trois hommes me regardant faire. Il est 4h du matin. Je rentre fatigué mais content en taxi. J’ai un peu honte mais je suis également satisfait d’avoir pu donner autant de plaisir. Le fait d’être le centre d’attention – certes sexuel – m’a excité. Je sais qu’on me réinvitera.