Etre la lope de son patron

- Par l'auteur HDS Phil5974 -
Récit érotique écrit par Phil5974 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Etre la lope de son patron Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(7.0 / 10)

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Etre la lope de son patron
Au fil du temps mon patron m'a initié aux joies de la soumission. Ce dressage a prit pratiquement un an et de simple petit pédé je suis passé à chienne soumise.
J'ai tout juste 19 ans, je suis imberbe naturellement,mais j'ai le sexe rasé, je porte une cage de chasteté et j'habite chez mes parents qui ignorent ma double vie.
Nous sommes une dizaine dans la société où je travaille, seul le patron et le directeur s'occupent de mes activités sexuelles trois ou quatre fois par semaine. Ils sont quinquagénaires, autoritaires, pervers et dominateurs à souhait. Nos ébats se font le soir après la sortie du personnel quand les bureaux sont fermés. En général je termine mon travail à genoux pour les honorer, mais, pratiquement tous les samedis j'ai droit à une séance spéciale consacré à mon éducation. C'est simple je dois juste obéir aux ordres. Ils sont humiliants et ils font de moi une femelle à disposition. Pour cela je porte des vêtements féminins et je me transforme en secrétaire particulière avec tout l'habillement nécessaire : bas, mini-jupe, rouge à lèvres, chemisier, chaussures à hauts talons, string et me voila pute.
Si je me comporte en chienne on me remerciera en m'autorisant une masturbation sinon je devrais attendre le bon vouloir de mon patron. Donc je fais tout mon possible pour les satisfaire même quand cela devient pénible et douloureux car en plus d'être vicieux ils sont aussi sadiques. Je rentre souvent chez moi avec des traces de ceintures sur mes fesses.
A quatre pattes je commence par lécher les chaussures du patron sous les railleries du directeur :
"-Lèche putain ! Lèche les chaussures de ton patron. Fais lui voir que tu es une bonne chienne. N'oublie pas les semelles aussi après tu ira nous chercher des bières sale chienne."
J'ai appris à obéir sans sourciller et je dois avouer que je prends du plaisir à le faire. Ça m'excite de me comporter comme ça. J'aime être humilié et rabaissé. Quand je reçois des coups de ceinture sur mes fesses ou sur mon dos sans ma cage en me faisant traiter de bâtard, je bande à mort et il m'arrive même de jouir sans me toucher. J'ai remarqué que ma jouissance est décuplée. C'est pour ça que je me laisse maltraiter, juste pour jouir autrement. Ils le savent et du coup ils en profitent car eux aussi ils prennent leurs pieds en jouant avec un petit branleur de mon âge.
J'ouvre les canettes et je m'agenouille. Je les suce pendant qu'ils trinquent à ma santé. Les bites sont bien raides, je me régale. J'essaye de les gober entièrement, parfois l'un ou l'autre accelère la cadence :
"- T'es une bonne suceuse, tu suces mieux que ma femme. Continue bouffe-la, salope !"
"- Donne-moi ton cul, je vais t'enculer pendant que tu continues à sucer ton boss."
Mon patron est assis sur son fauteuil, il a enlevé son pantalon. Il boit sa bière tranquillement pendant que le directeur me pilonne le cul en frappant mes fesses :
"- Putain, quelle salope ! Elle se laisse troncher comme une vraie pute cette chienne !"
"- Ouais je regrette pas de l'avoir embauché celle là ! Un vrai aspirateur à bites."
Je prends ça pour des compliments, si je me débrouille bien j'aurais peut-être le droit de me branler. Je redouble d'attention et je la pompe entièrement en l'écoutant râler de bonheur.
"- Viens t'assoir dessus."
Je m'empale sur sa queue, ses mains viennent se poser sur mes fesses pour les écarter, je lui fais face, il m'embrasse à pleine bouche avant de m'occuper du directeur. Lui aussi est en extase !
"- Qui c'est qui t'as appris à sucer comme ça pédé ! Putain quelle pute!"
Mon patron me soulève un peu et accélère les mouvements. Il me baise sur toute la longueur de son sexe, je la sens taper au fond de mon anatomie tandis que par l'autre orifice je subis le même sort. Je ne peux pas répondre, mais ils s'en foutent, ils ne sont pas la pour me faire la conversation. Ce qui ne m'empêche pas de penser à mes parents. Ils croient que je fais des heures supplémentaires, c'est le cas !
Après m'avoir baisé dans toutes les positions, ils décidèrent de s'amuser un peu histoire de se reposer et aussi m'utiliser autrement. Je vois mon patron prendre la canette de bière et l'enduire de lubrifiant :
"- Mets-toi a quatre pattes, je vais te montrer comment tu vas nous servir de chienne."
La canette est en verre, elle est plus grosse qu'un sexe, mais avec ce que je viens de prendre elle passe facilement. Me voila entrain de me faire goder par mon patron, ce n'est pas désagréable.
"- C'est bon salope ?"
"- Ho oui !"
"- Qu'est ce qu'on dit ?"
"- Merci patron."
Je le pensais vraiment. Avec la canette dans le cul il me fit avancer toujours à quatre pattes jusqu'aux toilettes. J'allais subir les derniers outrages. La tête dans la cuvette, le directeur vint se mettre debout au dessus de moi, une jambe de chaque côté, et m'urina sur la tête.
"- Ça te plait pédé ?"
Je ne pouvais dire que oui, c'est ce que je fis. Il était fier de montrer son autorité, pour moi c'était normal, j'avais l'habitude de servir d'urinoir depuis longtemps et j'avais appris à l'accepter. Restant dans cette position c'était au tour du patron à vidanger sa bière, puis il tira la chasse d'eau. A passage j'ai fermé la bouche pendant qu'ils rigolaient.
"- T'es un bon chien, maintenant tu vas nous finir. Met-toi à genoux et ouvre ta bouche !"
Deux pipes la-dessus histoire de les soulager, deux doses de foutre que j'avale sans en perdre une goute avec toujours la canette bien au fond, le goulot reposant sur le sol et me voilà de retour dans le bureau pour recevoir ma récompense.
"- Tu nous a bien servi, je vais enlever ta cage. Tu te branleras debout en recevant une punition pour être aussi salope et tu nous remercieras entre chaque coup de ceinture. Rien de personnel c'est juste pour t'apprendre a continuer à être un chienne. T'as compris ?"
"- Oui patron."
J'enlève ma jupe et mon string. Mon patron s'assied sur son fauteuil face à moi, le directeur enlève la ceinture de son pantalon, la plie en deux, c'est l'instant qu'il préfère se sadique. Moi je suis trop content de pouvoir jouir. Une fois par semaine c'est déjà pas beaucoup alors la ceinture... je m'en fout !
Les coups tombent avant que je bande. Je me concentre tout en disant merci. C'est maintenant que je ressens toute cette humilation en regardant mon patron qui me regarde en souriant l'air narquois. Je suis un objet sexuel entre ses mains sans avoir aucuns pouvoirs que celui d'obéir. Je mesure toute l'immensité de ma soumission dans cet instant, c'est très jouissif de se sentir humilié de la sorte. Je suis pris de soubressaut, les coups se font de plus en plus fort et je jouie en criant mon soulagement. Je tremble sur mes jambes tant l'intensité de ma joie est grande. Je suis heureux de mon sort et je le fais savoir de vive voie.
"- Merci, merci à vous deux, je suis heureuse d'être votre chienne. Vous pouvez me demander ce que vous voulez, je suis heureuse de vous servir."
Mon directeur a du mal à se contenir, c'est tout juste s'il ne bave pas et me lance un ordre :
"- Allonge-toi par terre sur le ventre, léche les pieds de ton patron, espèce de truie !"
Son pied se pose sur ma nuque, les coups tombent au hasard, je m'accroche à la cheville en léchant le soulier, j'ai la gorge sèche et j'attends qu'il se calme. Quand je peux me relever mon patron n'oublie pas de me remettre ma cage pendant que mon directeur me parle :
"- La prochaine fois c'est dans ta gueule qu'on pissera ! Et t'auras intêret d'avaler au fur et à mesure sinon je m'occuperais de te faire obéir. Tu m'as bien compris salope ?"
"- Oui monsieur le directeur."
"- C'est bien, maintenant change-toi et rentre chez toi, on a finit pour aujourd'hui. T'es un bon petit, ne change surtout rien."
Je suis allé prendre une douche avant de rejoindre mes parents. Une fois là-bas je n'ai pas pu m'empêcher de leurs dire que j'en avais plein le cul de faire des heures supplémentaires sans leurs expliquer que j'en parlais au sens propre du terme.

Les avis des lecteurs

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Tracy travesti soumis à la suprématie féminine

Je l'envie, etre une bonne petite pute hummmmmm mon reve serais d'etre la secrétaire très particuliere du patron, une bouche à bite bonne à etre enculer par les mecs et les femmes (strapon) puis subir de méga bukkake...................

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BOF!!! J'ai lu mieux que ça.

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Humm un rêve cette situation.
Lundi je regarderai mon patron différemment.
J'adore.
Rudy

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ha.... si je pouvais avoir un patron aussi vicieux.
jf lyon



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