Aventure rocambolesque

- Par l'auteur HDS TITI ET GROS MINET -
Auteur homme.
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Récit libertin : Aventure rocambolesque Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2014 dans la catégorie A dormir debout
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(7.0 / 10)

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Aventure rocambolesque
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je m’appelle Christine, j’ai vingt un ans, je pense être une belle femme vu le nombre de courtisans que j’aie quand je sors en boite. Mais ça ne m’intéressait pas trop, je préfère les femmes, Je suis esthéticienne et mon métier me permet de faire des conquêtes. Avec certaines de mes clientes ce ne sont que des petits plaisirs dans la cabine, vite oubliés jusqu’au mois suivant. Avec d’autres c’est beaucoup plus compliqué. Quand je suis en couple je n’ai pas de préférences, j’aime autan donner du plaisir qu’en recevoir. Et pourtant il m’est arrivé des aventures complètement folles. C’est depuis ma dernière histoire que les hommes ne me laissent plus indifférente.
Il y a presque un an. Je vivais avec Marie, une très belle fille. Elle était très virile et se comportait en male dominateur. Moi qui avais toujours vécue seule dans mon appartement, je me suis retrouvé sa présence imposée dés le premier mois. Le soir, elle me demandait de lui raconter mes journées et quand je recevais certaines de mes clientes avec lesquelles nous avions quelques relations amoureuses, elle devenait très jalouse et pour me punir de mon infidélité, elle me faisait jouir a en crever. Grace a elle je passais mes soirées à râler de plaisir sous ses caresses, c’étais merveilleux, a tel point que j’avais de plus en plus de mal à assurer correctement mon travail dans la journée. A part ça, j’étais très bien avec elle. Un jour, je ne sais pas ce qui lui a pris, après m’avoir donné un orgasme merveilleux, elle m’a dit
- Tu sais, on est très bien ensemble, j’aimerais que tu me fasses un enfant.
Je suis restée toute bête.
- Oui, je t’aime bien mais je ne peux pas te donner un enfant, tu n’a pas ce qu’il faut.
- Tu es très belle je suis sure que tu trouveras un donneur si tu n’en trouve pas, moi, je le choisirais.
- Tu veux que je couche avec un homme pour me faire mettre enceinte ?
- Oui, c’est le seul moyen d’avoir un enfant ensemble.
- Mais je n’aime pas les hommes.
- C’est juste pour une nuit. Si tu veux, je serais avec toi, et je t’aiderais à supporter ce moment. Ce qu’il faut c’est qu’un homme te féconde pour que nous puissions avoir notre enfant.

Moi qui ne voulais pas m’engager pleinement avec une partenaire j’étais servie. Me faire faire un enfant par un homme, quelle idée saugrenue. Je lui ai demandé
- Tu as déjà couché avec un homme toi ?
- Oui, quand j’étais jeune, très jeune même, je me suis faite violer par des hommes. C’est depuis ce jour que je préfère les femmes. Avec elles je me sens beaucoup mieux.
- Ah bon, et comment ça se passe avec les hommes, moi, je ne sais pas, j’ai toujours été avec des filles depuis l’école.
- Ah bon, tu es vierge alors ?
- Non, je me suis fait dépuceler dans le dortoir par une copine.
- Comment elle a fait ça ?
- J’étais en pension religieuse, nous étions en chambrées de six filles, nous nous câlinions tous les soirs après avoir jouis on dors beaucoup mieux, un soir, l’une d’entre nous a sortie une grosse bougie et en nous expliquant qu’on aurais davantage de plaisir en s’en servant, elle nous a dépucelé toutes les cinq et c’est vrai, nous avons très bien jouis avec sa bougie. Voila, c’est tout.
- Et bien moi, ce n’est pas pareil, je n’ai pas eut autan de chance que toi.
- Et tu ne pourrais pas le porter, toi, notre futur enfant ?
- Il n’est pas question qu’un homme me retouche, j’ai trop souffert a cause d’eux et puis ce sera moi le père et on n’a jamais vu un père porter sa progéniture. C’est le rôle de la mère donc ton rôle.
- Mais je n’aime pas les hommes !
- Tu m’aimes à moi ?
- Oui, je t’aime.
- Alors par amour pour moi tu feras ce que je te demande.
- Je ne sais pas si je pourrais.
- Tu le feras, je te le demande et même je te l’ordonne.
Après m’avoir dit ça elle s’est remise à me caresser et a m’embrasser tendrement. Elle m’a encore fait jouir très fort.
Les jours ont passé, elle ne me parlait plus de sa lubie et je trouvais ça très bien puis un soir elle est entrée avec un homme, c’étais un beau male, grand, fort, le visage bien bronzé et barbu. Devant mon air interrogateur elle a fait les présentations :
- Ma copine Christine, un collègue de travail Marc. Je l’ai invité à prendre l’apéro pour voir si tu lui plais.
- Pourquoi je devrais lui plaire ?
- Si tu lui plais, il pourra te féconder.
- J’ai le droit de donner mon avis ?
- Non, je l’ai décidé ainsi. Je t’ai laissé trois semaines pour me ramener un reproducteur potentiel, tu n’en a rien fait, maintenant c’est moi qui prends les choses en main. Apporte nous a boire vite.
Je n’en revenais pas. Ils sont partis au salon et se sont installé me laissant tout préparer à la cuisine d’où j’écoutais leur conversation.
- Elle est belle Christine ?
- Oui, très belle.
- Tu veux la baiser ?
- J’ai rien contre, un tel canon ce n’est pas tous les jours que je peu m’en taper, ma femme à coté, c’est un petit boudin.
- Tu as combien d’enfants ?
- Huit pourquoi ?
- Pour savoir si tu es un bon reproducteur, ta femme aime avoir beaucoup d’enfants c’est pour ça qu’elle ne se protège pas.
- Non, elle a essayé de se protéger mais comme elle ne peut pas prendre la pilule a cause d’un problème hormonal, nous avons essayé le retrait et mon troisième gosse est arrivé après ça, elle a testée plusieurs trucs différents comme le diaphragme et ce fut mon quatrième marmot, le gel spermicide et le cinquième a vu le jour, ensuite la cape vaginale et j’ai eut mon sixième enfant et j’en passe, a chaque fois qu’elle essaye un nouveau truc, elle se retrouve en cloque.
- Mais si vous ne les voulez pas, elle peu avorter.
- Ah non, elle ne veut surtout pas, sa religion lui interdit.
- Et les capotes alors ?
- J’aime pas trop et j’ai quand même eut mes deux premiers gosses a cause des préservatifs qui ont éclaté alors tu sais, le seul moyen qu’elle à trouvé c’est l’abstinence et la moi, ça ne me plaie pas du tout. Être obligé d’aller voir les professionnelles pour me soulager alors que j’ai une femme a la maison, ça me déprime. C’est ce qu’elle pratique en ce moment et je t’assure que j’ai les bourses bien pleines.
Ils se sont tu quand je suis entré dans la pièce avec mon plateau. Puis je me suis assise et Marie a fait le service. Je voyais son copain qui n’arrêtait pas de me regarder s’en devenais gênant. Puis d’un coup il a lancé
- C’est quand que je dois la baiser ta copine ?
- Quand tu veux mais a partir du moment où tu commence il va falloir que tu la tire tous les jours pendant au moins une semaine pour que ça puisse marcher.
- Super, je vais adorer ça.
Ils parlaient ensemble comme si je n’existais pas. Ça m’a mise hors de moi.

- J’ai peut être mon mot à dire dans votre histoire non ?
Marie m’a regardée méchamment puis m’a dit sur un ton très autoritaire que je ne lui connaissais pas
- Non, tu n’a rien à dire, tu n’a qu’une chose à faire, c’est ce que je te demande, c’est tout.
Son copain a demandé
- Elle a déjà connu des hommes
- Non, jamais, elle n’a été qu’avec des femmes pourquoi ?
- Elle doit être pucelle et moi, j’ai un gros membre, je risque de la blesser.
- Non, elle n’est plus vierge, elle s’est fait sauter la pastille par une de ses copines pendant qu’elle était a l’école.
Il s’est levé, approché de moi et s’est mis à me caresser doucement la poitrine. J’étais paralysée, je n’osais rien faire ni rien dire, je me contentais de le laisser faire en réprimant mon dégout. Il a déboutonné mon chemisier puis dégrafé mon soutien gorge. Il s’est un peu éloigné et m’a regardé.
- Elle est vraiment magnifique, dommage qu’elle soit lesbienne.
- Ne te plain pas tu va pouvoir la baiser.
- Oui, c’est vrai, demande lui de se foutre complètement a poil que je puisse la contempler.
Marie me l’a demandé sur un ton très autoritaire :
- Quand je te demande un truc, c’est tout de suite, pas demain, a poil vite.

J’ai obéis. Une fois nue elle m’a faite tourner sur moi-même pour que son copain puisse bien me reluquer. J’avais l’impression d’être une bête de foire à l’exposition avant l’abattage.
Au bout d’un moment, elle s’est approchée de moi et pour me remercier de mon obéissance elle s’est mise à me caresser tendrement. J’éprouvais beaucoup de plaisir sous ses caresses, elle m’a tirée sur le canapé et s’est mise à me lécher le sexe. C’était tellement bon que j’en oubliais même son copain qui se rinçait l’œil en nous regardant faire. Au bout d’un moment elle est remontée sur moi et m’a embrassé goulument en me caressant la poitrine et en même temps, j’ai senti une autre bouche laper mon jus intime. J’ai complètement décollé.
Alors que j’étais en partie comateuse suite à l’orgasme qui m’avait submergé, elle s’est levée, s’est déshabillée puis est passée sur moi en collant son minou sur ma bouche.
De ses mains elle me caressait doucement le ventre et j’avais toujours cette autre bouche qui se délectait de mon jus, je suis repartie dans la course au plaisir. Au bout d’un petit moment je l’ai sentie me trafiquer le minou et un truc énorme est entré en moi. Mon plaisir a complètement décollé, c’étais merveilleux, jamais je n’avais eut de telles sensations. Ce truc buttais tout au fond de mon sexe et a chaque butée j’avais comme un spasme de plaisir qui m’envahissait. Ça n’a pas duré très longtemps, assez rapidement j’ai senti comme une brulure au fond de mon ventre, Marc venais de jouir en moi, je sentais pour la première fois de ma vie le jus d’un homme m’envahir. C’étais merveilleux, je jouissais comme jamais. Quand j’ai refait surface, Marc était dans le fauteuil et buvait un verre en souriant. Marie m’a demandé :
- Alors tu as aimé ce petit câlin.
Je n’arrivais pas à trouver mes mots, ça avait été si bon. Devant mon silence elle a ajouté
- A voir ton expression tu as bien aimé ça, et bien rassure toi, tu va y avoir droit pendant une semaine tous les soirs. Tu es d’accord maintenant ?
- Oh oui !!, mais pourquoi, juste une semaine, j’aimerais faire ça tous les soirs, tout le temps, j’aimerais même recommencer tout de suite, c’est tellement bon.
- Une semaine c’est le temps que j’avais prévu pour être sure que tu sois fécondée mais si tu désire plus longtemps, ça ne dépends pas de moi mais de Marc, c’est lui qui décide comme pour recommencer maintenant, moi, je suis fatiguée et je vais partir me coucher mai si tu le désire je pense que Marc n’aura rien contre l’idée de te baiser une nouvelle fois.
De me voir copuler avec ce géant barbu m’a fait froid dans le dos et j’ai tout de suite répondue
- Moi aussi je suis fatiguée, raccompagne ton copain et partons nous coucher.
Je suis partie la première dans la chambre, en marchant, je sentais un truc visqueux qui dégoulinais de mon minou le long de mes jambes, je suis partie me laver a la salle d’eau. Quand Marie est revenue, j’étais encore sous la douche. En me voyant elle s’est mise à crier

- Il ne faut pas te laver tout de suite, tu va détruire nos chances d’avoir un bébé.
- Mais je ne peux pas rester comme ça, c’est dégoutant, il y a plein de foutre qui sort de mon minou, je vais tacher les draps.
- Sort de la douche et viens me rejoindre au lit.
Je me suis exécuté. Dans le lit elle a tout de suite foncée sur mon sexe pour voir s’il restait un peu de sperme en moi. Comme je m’étais bien nettoyé avec la douchette il n’en restait plus et elle s’est mise en colère.
- Si tu enlève tout son jus, tout de suite tu ne tomberas pas enceinte, il te faut tout garder en toi le plus longtemps possible pour être sure que ça marche. Demain je lui demanderais de te baiser deux fois de manière à ce que tu en ais un maximum au fond du ventre et je t’interdis de te laver.
- Mais je vais tacher les draps en me couchant.
- Ce n’est pas grave on les lavera.
- Vien me faire un câlin.
- Non, je suis fatiguée, on dort.
Le lendemain après une journée tout à fait normale, je suis rentrée à la maison Marie et Marc étaient déjà la et buvaient un verre en discutant. Après mon arrivée, Marc s’est levé, m’a attrapé par la taille et m’a embrassée goulument, j’ai d’abord eut envie de le repousser puis son baiser fougueux m’a faite changer d’avis. Je l’ai laissé faire. Il m’a déshabillée en me caressant doucement, c’étais très agréable. Quand j’ai été nue, il a dégrafe son pantalon, m’a attrapé aux hanche et m’a soulevée puis empalée sur son truc. Le plaisir m’a envahie tout de suite, il a un peu marché et j’ai cri é le premier orgasme qui m’a envahie, il m’a couchée sur le canapé et s’est mis à me pilonner fortement. C’étais merveilleux je passais d’un orgasme a un autre sans discontinuer puis ça a été l’apothéose quand il a éjaculé au fond de mon ventre, la, c’étais tellement fort que je suis tombée dans les pommes. A mon réveil, il était encore en moi et continuait ses aller et venue au plus profond de mon minou. Chaque fois qu’il replongeait, je sentais tout le sperme de sa précédente éjaculation fuser au plus profonds de mon ventre. Le gargouillement de ce foutre dans mon utérus et dans mes trompes m’a fait a nouveau avoir un orgasme merveilleux qui a provoqué une sorte de spasme de mon vagin ce qui a déclenché chez lui une nouvelle décharge colossale, j’avais l’impression qu’on avait ouvert un robinet dans mon ventre et que je me remplissais a grands jets de son jus. Il semblait ne plus s’arrêter de jouir, c’étais fantastique. Nous sommes tombés tous les deux dans une sorte de coma jouissif.
Longtemps après j’ai refait surface, il était toujours sur moi complètement avachi. Marie est venue m’aider pour le pousser et me permettre de me relever.
- Alors, ça va bien ? je ne te manque pas trop a ce que je vois, il y a plus de trois heures que tu crie ton plaisir en copulant avec cet homme, je comprends maintenant, tu étais lesbienne par-ce-que tu n’avais jamais connu d’hommes pas vrai ?
- Non, c’est faut, je t’aime toi, lui, il me fait énormément jouir c’est vrai mais je le fais pour toi c’est tout, ne sois pas jalouse comme ça. Je pense qu’avec tout le jus qu’il a mis en moi, tu l’aura vite ton bébé, c’est sur.
Elle a regardée mon minou d’où s’échappais doucement des filets de sperme qui dégoulinaient le long de mes cuisses elle s’est précipité sur moi m’a forcée a me coucher, m’a relevé les jambes et a repoussé tout le jus qui sortait dans mon minou en disant
- Il ne faut pas en perdre une goutte pour que ça marche.
- Ne t’affole pas, il m’a complètement remplie, il m’en a mis des litres.
- Non, il faut tout garder en toi.
De ses mains elle remontait le sperme de me jambes et le renfonçait en moi. Ses doigts qui entraient et ressortaient de mon minou ont fait à nouveau naitre en moi un plaisir subtil, je me suis mise à gémir. Elle a plaqué sa main sur mon sexe et m’a amenée au lit en disant
- On le laisse la, il dort bien, viens te coucher avec moi, je vais empêcher son jus de sortir de toi.
Nous nous sommes couchées elle a gardé sa main plaquée a mon minou toute la nuit.
Il m’a baisé tous les soirs, pendant toute la semaine. Le dernier soir Marie a dit à son copain
- C’est bon maintenant, elle doit avoir pris, ce n’est pas la peine de continuer. Je t’appellerais si j’ai encore besoin de toi merci beaucoup pour le service.
- C’est moi qui te remercie, grâce à vous j’ai passé une semaine de rêve. A bientôt, j’espère.
Après ce dernier jour, je ressentais comme un manque. Bien sur j’avais du plaisir et même beaucoup de plaisir avec Marie mais il me manquait quand même un truc. Je me suis surprise à regarder les hommes dans la rue en essayant de découvrir la taille de leur sexe. Les jours ont passé et mes règles sont arrivées comme tous les mois. Marie était désespérée, elle était presque sure que j’allais me retrouver enceinte. Elle m’a emmenée chez le gynécologue pour faire un contrôle complet et savoir si oui ou non, je pourrais avoir des enfants. A la réponse du médecin elle a décidé de recommencer mais ce coup ci ce serais pendant tout le mois qu’il me baiserait.
J’ai eut droit a un mois délicieux, elle avait choisi trois hommes différents pour éviter les pannes, ils se relayaient, un jour un le lendemain un autre ainsi de suite. Je croie que je n’ai jamais autan jouis de ma vie a tel point que après la première semaine, j’ai du fermer mon institut. Je n’avais plus la force de travailler. Je passais mes journées à dormir et mes nuits à jouir et à engranger du foutre.

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