Nouvelles expériences 3

- Par l'auteur HDS TITI ET GROS MINET -
Auteur homme.
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Récit libertin : Nouvelles expériences 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nouvelles expériences 3
Pendant toute la soirée, je n’ai pas arrêté de revoir ma chérie se tordre de plaisir sous les caresses de sa copine. Une fois au lit, j’ai essayé de la caresser, sa réponse fut nette :
- Non, pas ce soir, je suis très fatiguée.
Et elle s’est retournée dans le lit pour dormir. Moi, j’ai très mal dormi, je n’arrêtais pas de revoir la main de cette femme entrer et sortir du minou de ma chérie.
Le lendemain, la journée fut monotone, il me tardait d’être présenté à ma concurrente. Je me demandais si elle viendrait avec sa guêpière et ses bas de soie. Enfin le soir venu, je suis vite rentré, elle n’était pas encore arrivée. Géraldine avais fait de gros efforts, une odeur délicieuse avait envahie la maison, dans le salon notre plus belle nappe, notre plus belle vaisselle. Je n’ai pas pu m’empêcher de la chambrer.
- Oh, vu le repas et la table que tu nous as préparé, il faut que je sorte mon smoking, nous avons au moins un président qui vient manger.
- Arrêtes de dire des bêtises ce n’est qu'Ursula ma copine.
- On aurait pu manger à la cuisine non.
- Quand même, c’est une très bonne copine, je désire ce qu’il y a de mieux pour elle.
- Ah bon et moi, je mange du surgelé avec les gosses dans la cuisine ?
- Gros bêta, les gosses mangent à la cuisine, et ce soir ils dorment chez mes parents, ils n’ont pas école demain. Toi, tu es le maître de maison et tu manges au salon avec nous.
- Je sors quoi pour l’apéro ?
- Je ne sais pas ce qu’elle aime, tu peux préparer un de tes cocktails dont tu as le secret, ils sont délicieux.
- Elle arrive bientôt ?
- Oui, elle ne devrait pas tarder.
Spécialement pour l’occasion j’ai préparé un truc de ma composition, c’est très doux à boire mais très fort, mes copains l’avaient appelé « nique de suite » à tel point les femmes qui le goûtaient se retrouvaient complètement pompette et se laissaient baiser rapidement. Je terminais juste ma préparation quand la sonnette a retentit. Je suis parti ouvrir. C’est vrai que c’était une très belle femme, l’air un peu guindé, très stricte dans son habillement. Je l’ai faite entrer, Géraldine est arrivée :
- Jean-Marc mon mari, Ursula, ma copine de fac. Donnes ton manteau à Jean Marc, il va le ranger.
J’ai pris son manteau, des effluves de parfum féminin m’ont envahi. J’ai rangé le manteau et je suis parti les rejoindre au salon. Ursula était assise sur le canapé à coté de Géraldine, elles semblaient discuter.
- Je vous sers un petit verre ?
- Non, merci, je ne bois pas d’alcool.
Géraldine est intervenue :
- Tu peux faire un petit effort, pour fêter nos retrouvailles.
- D’accord mais juste un petit peu.
J’ai servi tout le monde et en lui tendant le verre je lui ai dit :
- Ne vous inquiétez pas, c’est très doux.
Elle a trempé ses lèvres dedans.
- Oh oui, c’est très bon, on a l’impression de boire du jus de fruit exotique sucré.
Nous avons discuté de plein de choses, j’ai refais le service de ma bombe trois fois, à chaque fois je lui en mettais un peu plus dans le verre. Après la deuxième tournée, elle était beaucoup moins guindée et commençait à avoir chaud, je lui ai proposé d’enlever son tailleur. Elle a refusé en rougissant. Pour moi, c’était un aveu, elle devait porter sa guêpière dessous. Assis sur le fauteuil en face d’elle j’observais discrètement. Je voyais ses mains toucher de plus en plus régulièrement ma chérie. Je ne disais rien et m’imaginais la voir en guêpière et porte-jarretelles. Après la troisième tournée nous nous sommes levés pour passer a table, Ursula a eut beaucoup de mal pour se lever.
- C’est traître votre truc, je suis complètement saoule.
- Mais non, c’est rien, c’est parce que vous n’avez pas l’habitude, ça va passer en mangeant.
Ensuite c’est Géraldine qui me dit :
- Tu l’as dosé costaud ce soir non ?
- Pas du tout, il est comme d’habitude.
- Aides Ursula pour qu’elle vienne à table, elle n’arrive pas à se lever.
- A tes ordres chef.
J’ai pris Ursula sous les bras pour la lever, j’en ai bien profité pour lui caresser doucement la poitrine, elle ne portait sûrement pas de soutien gorge, je sentais ses tétons pointer sous ma caresse. Les baleines que je sentais en dessous devaient être sa guêpière. Je bandais rien que d’y penser.
- Fait doucement, elle est fragile, ce n’est pas un sac de ciment.
C’est Géraldine qui me voyant penché sur Ursula ne devais pas comprendre ce que je faisais.
Je l’ai aidé à marcher jusqu'à la table et à s’asseoir. Petit à petit elle refaisait surface, d’avoir marché un peu avait du lui faire du bien. Au fur et à mesure que le repas avançait elle remontait la pente et se remettait à parler. Elle était toute rouge, je voyais des gouttes de sueur pointer sur ses tempes, je lui ai à nouveau proposé de retirer son tailleur. Elle m’a fait signe que non alors j’ai demandé discrètement à Géraldine de s’occuper d’elle.
- Chéri, tu devrais lui enlever son tailleur en laine, elle a beaucoup trop chaud.
- Elle t’a dit non.
- A moi, oui, mais je pense que si c’est toi, elle ne dira pas non.
Elle s’est approchée d’Ursula, a passé ses mains sur sa poitrine et a commencé à déboutonner. J’étais aux premières loges, devant moi, Ursula se dévoilait. Sous son tailleur strict et son chemisier blanc elle ne portait que sa guêpière, sa poitrine pointait un maximum, Géraldine n’a pas pu s’empêcher de l’embrasser doucement. J’ai vu les mains d’Ursula disparaitrent sous la jupe de ma chérie.
Sans un mot je me suis levé, j’ai attrapé doucement Géraldine aux épaules et je l’ai déshabillé. Je pense que c’est grâce à l’action sournoise de mon cocktail qu’elle n’a pas réagit et a continué de déshabiller et caresser Ursula en gémissant de plaisir sous ses caresses. Nous allions bientôt atteindre le point de non retour, Ursula qui pistonnait de sa main le sexe de Géraldine qui lui caressait la poitrine en gémissant. Je me suis un peu éloigné d’elles pour mieux apprécier le spectacle de ces deux magnifiques femmes se faisant mutuellement jouir. J’en avais mal aux couilles d’excitation mais j’ai attendu encore un peu le spectacle était trop beau.
J’ai pris mon appareil photo numérique et j’ai commencé à mitrailler. Au bout d’un moment elles se sont levées puis elles sont montées dans la chambre en passant devant moi sans même remarquer ma présence tellement elles étaient prisent par leurs caresses. Je suis monté derrière elles et j’ai continué mon reportage photo.
Au bout d’un moment, le spectacle qu’elles m’offraient et les râles de plaisir qu’elles n’arrêtaient pas de pousser ont eut raison de ma concentration. Je me suis déshabillé et approché d’elles.
Ursula était couchée sur Géraldine, la tête entre ses jambes, Géraldine lui rendait la pareille. Je suis monté sur le lit du coté de la tête de Géraldine, et j’ai avancé mon chibre doucement vers cette fente imberbe qui dégoulinait.
C’est Géraldine elle-même qui m’a guidé en me léchant les couilles, je suis entré tout doucement, j’ai senti une résistance qui m’empêchait de m’enfoncer. J’ai poussé plus fort, ça a cédé et je suis entré entièrement dans la pauvre Ursula.
Elle était vierge la salope, son cri de douleur quand j’ai éclaté son hymen m’a vrillé les tympans mais l’excitation était trop forte, Géraldine lui tenait la taille pour qu’elle ne puisse pas m’échapper en même temps elle me léchait les couilles. Quand Ursula a arrêté de se débattre et a commencé à gémir de plaisir au rythme de mes coups de buttoirs, Géraldine l’a lâché et de ses doigts elle a fait comme une bague qui me masturbait quand je ressortais du sexe d’Ursula. Sous ce traitement, il ne m’a pas fallu trop longtemps pour commencer à avoir une envie incontrôlable de jouir. Géraldine a du s’en rendre compte, elle a serrer ses doigts autours de la base de ma bite pour empêcher toute montée, je me suis immobilisé tout au fond d’Ursula et j’ai attendu un petit moment que la pression baisse. J’étais bien, c’était merveilleux. Sans rien dire, Ursula s’est mise à bouger, elle a légèrement relevé son bassin pour me permettre de mieux la pénétrer puis elle s’est mise a faire onduler son bassin pour retrouver son plaisir, la main de Géraldine s’est retirée et je me suis enfoncé au plus profond. Mon gland buttait contre la bouche de l’utérus d’Ursula, j’ai poussé encore et je l’ai franchi, je sentais tous ses muscles intimes se contracter par saccades, je sentais mon gland comme pompé par ce ventre gourmand, je n’ai pas pu résister et je me suis libéré en lâchant de grandes rasades de foutre dans cet utérus si accueillant. Après m’être vidé les couilles au fonds de ce ventre si agréable, je me suis écroulé sur le lit à coté d’elles pour reprendre mon souffle.
Les deux furies qui se câlinaient à coté de moi, ne semblaient pas avoir envie que ça s’arrête si vite, j’ai été submergé de caresses pour me refaire bander.
Rapidement elles y sont arrivées et c’est encore Ursula qui m’a chevauché en enfonçant mon chibre au plus profond de son ventre pendant que Géraldine m’étouffait de son sexe sur ma bouche. Par moment j’arrivais à les voir s’embrasser fougueusement en se caressant. La cavalcade a duré un bon moment puis Ursula s’est mise à crier son plaisir, je sentais tous ses muscles intimes se contracter par saccades sur moi au rythme de son orgasme, c’était merveilleux, hyper agréable mais j’ai réussi à me contrôler et je n’ai pas explosé.
Après qu’Ursula se soit arrêtée de bouger, anéantie par l’orgasme qui venait de la ravager, Géraldine l’a poussé en arrière puis a avancé pour s’empaler à son tour sur mon chibre tendu. Ensuite tout en faisant bouger son bassin pour faire monter son plaisir, elle s’est penchée sur le sexe offert d’Ursula pour le bouffer avidement. Nous sommes repartis tous les trois vers des plaisirs encore inconnus jusqu’alors.
Nous avons jouis tous les trois presque en même temps, d’abord Ursula s’est mise à crier son plaisir ce qui m’a poussé dans mes derniers retranchements et j’ai craqué et Géraldine se sentant envahir par mon foutre brûlant s’est mise à jouir à son tour. Nous sommes restés couché longtemps, complètement anéantis par le plaisir que nous venions d’avoir.
Au petit matin, je me suis réveillé le premier, j’avais deux vénus à coté de moi, d’un coté, une blonde, avec une guêpière et un porte jarretelle noir qui tranchait avec la pâleur de sa poitrine et de son sexe épilé qui dégoulinait de foutre ce qui lui donnait un air de salope et de l’autre entièrement nue, l’air douce, et câline, ma femme, magnifique dans son sommeil.
Je me suis levé sans bruit, rapidement je me suis habillé puis je suis descendu préparer du café. Pendant que le café passait je suis vite parti à la boulangerie acheter des croissants. De retour à la maison j’ai préparé un plateau et je suis remonté dans la chambre. L’odeur du café et des croissants a d’abord réveillé Géraldine qui s’est empressé de caresser Ursula pour la tirer de ses rêves. Elle s’est mise à gémir de plaisir, a ouvert les yeux et a embrassé fougueusement Géraldine.
- Ah non, vous n’allez pas recommencer.
Elles se sont arrêtées, en me voyant Ursula est devenue toute rouge et a tiré le drap sur elle. Géraldine a éclaté de rire.
- Ce n’est pas la peine, depuis hier soir il t’a déjà bien vue.
Elle a écarquillé les yeux sans dire un mot en continuant de rougir.
- Tu ne t’en souviens pas ? Il t’a même baisé.
- Non, ce n’est pas possible.
- Je t’assure, de toute manière passe ta main sur ton minou et tu va voir il y a encore du sperme qui en sort.
Elle l’a fait puis s’est mise à pleurer. Géraldine l’a prise dans ses bras pour la consoler. Doucement elle lui a dit :
- Il t’a baisé et tu as beaucoup aimé ça, tu ne t’en souviens pas.
- Non, vraiment pas.
- Et bien toi, quand tu bois, tu n’y va pas de main morte. La première fois, il t’a un peu forcé, mais c’est toi qui l’as presque violé la seconde fois. Tu ne t’en souviens vraiment pas ?
- Non, je me souviens d’avoir eut beaucoup de plaisir, c’est tout, je pensais que c’était avec toi.
- Avec moi aussi tu as eu du plaisir cette nuit. Tu n’as pas faim, il nous a apporté le café et les croissants au lit. Profitons-en.
Elles ont bien déjeuné puis j’ai interrogé un peu Ursula.
- Pourquoi tu t’habilles aussi strict et vieillot ?
- Oh, pour rien, c’est une habitude, tu sais toute ma scolarité, je l’ai faite chez les bonnes sœurs pensionnaire. Même à la fac je m’habillais un peu vieillot, Géraldine n’arrêtait pas de me le faire remarquer.
- Et pourquoi dessous tu t’habilles en pute ?
- J’y suis obligée par ma chef de service. Si je ne porte pas ça sous mes vêtements, j’ai droit à une grosse fessée dans son bureau. Elle contrôle tous les jours. C’est devenu une habitude maintenant.
- Elle t’oblige même à te promener sans culotte ni soutien gorge
- Oui c’est la tenue qu’elle m’impose. Je m’y suis tellement habituée que quand je mets une culotte, ça me gène.
- Et ton sexe épilé, c’est aussi elle ?
- Bien sur, au début, j’avais des poils, pas beaucoup mais j’en avais. Maintenant, si elle en trouve ne serais-ce qu’un j’ai droit à la fessée
- Ah bon, et quand tu as la bonne tenue qu’est-ce qu'elle fait ?
- Pour me féliciter, elle me fait jouir puis elle demande à ce que je lui rende la pareille pourquoi ?
- Pour rien, ta chef, c’est ta maîtresse alors ?
- On peut dire ça. Pourtant elle est mariée mais elle n’a pas de plaisir avec son mari alors elle le prend avec moi au bureau.
- Alors Géraldine c’est quoi pour toi ?
- Ma meilleure amie, on a quand même vécu trois ans ensemble, ça ne s’oublie pas.
- Tu es déjà sorti avec un homme ?
- Non, jamais, tu sais, en pension chez les sœurs, il n’y avait que des filles et comme j’étais bien avec des filles j’ai continué. Je suis une pure encore vierge.
- Ah non, plus maintenant.
- Pourquoi ?
- Je t’ai dépucelé hier soir et tu as bien aimé ça.
- Je n’en ai gardé aucun souvenir, tu peux recommencer pour voir si c’est si bon que tu le dis ?
- Demande l’autorisation à Géraldine. C’est elle mon épouse.
Elles ont discuté un petit moment puis Géraldine m’a donné le plateau du petit déjeuner pour dégager le lit et m’a demandé :
- Déshabilles-toi pour qu’elle puisse voir comment est fait un homme. Elle n’en a jamais vu.
- A vos ordres chef.
Pendant que je me déshabillais Géraldine caressait doucement Ursula. Une foi entièrement nu, je me suis approché d’elles et je leur ai demandé :
- Allez mesdames, il faut vous activer pour lui faire lever la tête.
Géraldine m’a attrapé et doucement branlé puis elle a demandé à Ursula de me sucer un peu. Elle l’a fait et rapidement je me suis retrouvé en pleine forme. Géraldine a poussé sur les épaules d’Ursula pour qu’elle se couche sur le dos puis elle s’est mise à lui lécher le clito en lui pistonnant le vagin d’une main et lui caressant la poitrine de l’autre. Quand elle a trouvé que le moment était venu, elle m’a fait signe pour que je me mette en place. Elle a guidé mon chibre dans sa maîtresse puis elle a poussé sur mes fesses pour que je m’enfonce au plus profond. Ursula s’est mise à râler de plaisir. J’ai attrapé ses jambes pour les relever au niveau de mes épaules et je me suis activé de plus en plus vite et fort en elle.
Au bout d’un petit moment elle s’est mise à jouir comme jamais. J’ai ralenti la cadence pour qu’elle puisse reprendre son souffle puis j’ai recommencé à la pilonner. Elle a à nouveau poussé des cris de jouissance et je me suis lâché au plus profond de son ventre. Quand elle a senti mon foutre fouetter la bouche de son utérus, elle s’est tétanisée en criant l’orgasme qui l’emportait puis elle est retombée inerte, comateuse. Je me suis retiré et couché à coté d’elle.
Un bon moment après elle a ouvert les yeux et dit :
- Je n’avais jamais joui aussi fort, c’est merveilleux, j’arrête les filles il faut que je me trouve un homme comme toi.
- Si tu ne trouves pas, je reste à ta disposition enfin si Géraldine le veut bien.
A suivre

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