Changement de situation 3

- Par l'auteur HDS TITI ET GROS MINET -
Auteur homme.
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Récit libertin : Changement de situation 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Changement de situation 3
Moi de mon côté je me suis enfermé dans mon entreprise et j’ai commencé à jouer avec la vidéo surveillance de l’établissement. Cette pièce était impressionnante, un mur entier était recouvert de moniteurs, sur chaque moniteur quatre images avec dans l’angle un n°. En composant ce n° sur un clavier l’image apparaissait sur le grand écran central. Il y avait des caméras partout, dans le parc bien sûr mais aussi dans la maison, dans les studios, dans les chambres, même dans les salles de bain. Je me suis amusé comme un petit fou à les espionner pour savoir ce qu’elles me préparaient.
Les premiers mois furent très agréables, je vivais toujours seul dans mon appartement et régulièrement j’allais coucher chez l’une ou l’autre pour une nuit d’amour torride. J’étais très bien. Mon entreprise marchait très fort, mes employés étaient ravis des nouveaux locaux. Moi, je partageais mon temps entre mes trois maitresses, la pièce de vidéosurveillance et mon travail.
Au bout de quelques mois leur ventre étant devenu trop gros pour que je puisse prendre mon pied avec elles, je les ai laissé se reposer et j’ai appelé Mira pour l’inviter à un petit repas au restaurant. Elle a été tout de suite d’accord.
Le soir dit je suis passé la chercher à son agence, quand elle est sortie pour fermer la grille, je l’ai observé, elle avait un visage sublime, un corps magnifique, c’était un petit canon, Géraldine avait peut-être raison, son style et son habillement faisait ressortir son côté salope mais ça me plaisait bien, c’est exactement ce qui me manquait en ce moment en raison de leur grossesse. Elle s’est approchée de ma voiture, a ouvert la portière.
- Bonjours, ça va ? Vous vous plaisez bien dans votre nouvelle maison ?
- Oui, c’est très agréable de vivre au calme de la campagne.
- Et Marie Christine, qu’est-ce qu’elle devient ?
- Elle vie avec nous la bas, elle est enceinte, comme ma femme.
Tout en parlant je démarre et roule doucement. Elle tend le bras me caresse la braguette et dit :
- Quel mâle chanceux vous êtes.
- Non, pas si chanceux que ça, je déteste les bébés. En plus elles sont tellement grosses maintenant que nous ne pouvons plus batifoler ensemble.
- Vous êtes en manque si je comprends bien.
- Oui, on peut dire ça.
- C’est pour ça que vous m’avez appelé ?
- Un peu, oui, il faut bien tenter sa chance.
- Pourquoi nous allons au restaurant ?
- Ça se fait en général.
- Tournez la, et arrêtez-vous la sur ce parking.
Pendant que j’arrêtais la voiture sa caresse s’est faite plus fort, elle a ouvert mon pantalon et s’est mise à me masturber. Au bout d’un petit moment elle s’est penchée sur moi et s’est mise à me sucer en me caressant. J’ai rapidement jouis dans sa bouche, elle a tout avalé.
- Voilà, j’ai mangé, si vous me raccompagniez chez moi pour un dernier verre ?
- Bien sûr, vous habitez ou ?
- Pas loin, par là.
Je roule un peu, entre dans une rue.
- Voila c’est ici.
- Mais c’est la maison de Marie Christine ?
- Oui, c’est moi qui l’ai acheté. J’ai aussi repris tous ses meubles, ils étaient quasi neuf et elle n’en avait pas besoin. Entrez et servez-vous un verre vous savez ou c’est, je monte me mettre dans une tenue plus décontractée, ces talons toute la journée, ça me tue.
Dans le salon rien n’avais changé, je me suis servi un verre et installé dans le canapé. Quelques minutes plus tard, elle est redescendue. Elle était magnifique, ses cheveux châtain avait été détaché et tombait sur ses épaules, elle portait une petite nuisette presque transparente qui laissait deviner sa poitrine magnifique et bien ferme qui tendait bien le tissus un ventre plat et musclé ainsi qu’une ombre plus sombre qui m’indiquais qu’elle ne portait pas de culotte.
- Tu peux m’en servir un ?
- Bien sûr, viens t’assoir la.
En s’asseyant sa nuisette est un peu remontée et du meuble bar ou j’étais je pouvais voir sa toison entre ses jambes entrouvertes. Je lui ai donné son verre puis me suis agenouillé devant elle et me suis mis à embrasser sa toison en jouant avec mes doigts sur ses lèvres intimes. Rapidement elle s’est mise à gémir de plaisir et m’a confié
- Marie Christine avait raison tu es très doué.
J’ai relevé la tête en continuant de pistonner son sexe de mes doigts
- Elle t’a parlé de moi ?
- Oui, depuis longtemps, à l’époque elle était encore mariée, elle m’a proposé de venir un jour chez elle pour que je te rencontre et que tu me fasses jouir. Je ne sais pas pourquoi, je n’y suis pas venu, j’ai peut-être eu peur.
- Peur de moi, pourtant tu as une sacrée réputation.
- Ah bon, peut-être à cause de mes tenues, mais je n’ai pas beaucoup d’aventures qui durent si c’est ce que tu veux dire.
- On m’a parlé de toi comme d’une dévoreuse d’hommes.
- Oui, bien sûr, j’aime bien le sperme et j’en bois pas mal comme tout à l’heure mais c’est sans suite. Ce que les filles n’aiment pas chez moi c’est que je me fais sodomiser pour ne pas avoir de risques de bébé, je ne prends rien, j’ai essayé la pilule mais ça me faisait grossir alors je préfère les pipes et par derrière comme ça pas de risques, ce sont deux truc que la majorité des filles détestent, c’est pour ça qu’elles m’ont fait cette réputation.
- Tu es une victime de ta réputation, c’est sûr.
Elle s’est mise à râler plus fort j’ai baissé la tête pour prendre entre mes lèvres son petit bouton. Ses cris se sont amplifiés et j’ai été arrosé par un puissant jet de cyprine. Une fille fontaine, mon rêve. Je me suis mis à laper goulument tout le jus qui sortait d’elle en continuant de pistonner sa fente de mes doigts. Rapidement ses gémissements ont repris de plus en plus fort et un nouveau jet m’a empli la bouche. Je ne tenais plus, j’ai sorti mon chibre et me suis enfoncé en elle. Ses gémissement de plaisir ont repris, c’était merveilleux, je sentais mon chibre barboter dans une grotte marine remplie de jus. Elle m’a doucement poussé sur les épaules pour me dire
- Fait attention, je ne prends rien et je ne veux pas être comme ta femme et Marie Christine.
J’ai continué de la pilonner pour la faire jouir une nouvelle fois puis quand j’ai senti la sève monter je me suis précipitamment retiré pour me lever et mettre mon chibre dans sa bouche et la lui remplir de mon plaisir. Tout essoufflé, je me suis avachi sur le canapé à côté d’elle. Elle n’est pas restée inactive longtemps, ses mains sont venu sur mon sexe pour me branler, comme je me suis remis à bander, elle s’est levée et m’a retiré mes chaussures et mon pantalon puis elle s’est assise sur mes genoux et m’a retiré ma veste et ma chemise. Comme je me retrouvais entièrement nu je lui ai retiré sa nuisette et me suis mis à jouer avec ses tétons. Doucement en me caressant elle s’est relevée et empalée sur moi. C’était magique, j’avais ma bite bien au chaud au fond de son ventre et ma tête dans sa poitrine. Nous sommes restés un bon moment comme ça, sans bouger, puis elle s’est mise à faire onduler son ventre en gémissant. J’ai à nouveau senti une inondation quand elle a jouis puis elle s’est relevée, a dirigé mon sexe vers son anus et s’est à nouveau empalé sur moi en me disant a l’oreille
- Vas-y fort, je veux sentir ton jus m’inonder les tripes.
Je me suis activé, elle a jouis presque comme si je la prenais dans le sexe puis j’ai explosé et me suis vidé complètement en elle. J’étais assommé par la jouissance, c’était une super maitresse. Il faudra que je vienne la voir plus souvent.
Le mois suivant Ursula a eu des contractions et elle est partie accoucher d’une petite fille, trois mois plus tard ça a été le tour de Marie Christine qui elle aussi a accouché d’une fille enfin une vingtaine de jours plus tard ce fut le tour de Géraldine, encore une fille. C’est à la clinique qu’ils n’ont rien compris à chaque fois c’est moi qui les ai accompagné et qui ai assisté à l’accouchement. Pour Ursula pas de problèmes, on m’a présenté comme le papa mais pour Marie Christine c’était la même équipe et quand on m’a présenté comme le papa il y a eu comme un malaise. Encore pire quand Géraldine a accouché, ils ne me croyaient pas, il a fallu que je leur présente mon livret de famille.
Avec ces trois bébé de plus dans la maison, les pleurs et les biberons, je n’ai pas résisté longtemps et me suis enfermé dans mon appartement ou je pouvais jouer au calme avec ma vidéosurveillance.

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