La salle des délices

- Par l'auteur HDS Robin -
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Récit libertin : La salle des délices Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2007 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La salle des délices
Je me trouve assis sur ce bord de lit crasseux avec ces draps sales aux taches douteuses. Nu, le regard droit devant moi je me demande si je dois aller plus loin et faire un pas de plus vers mon fantasme. Je sais que ce petit pas franchi, je ne pourrai plus faire marche arrière. Il me reste trois solutions, prendre vite mes affaires et fuir loin, attendre que l’homme finisse de se masturber et m’éjacule au visage et s’en aille, déçu de mon manque de réaction. La troisième solution semble la plus intéressante, enfermé dans cette petite salle qui pue la vieille sueur d’homme en rut, qui sert de salle de repos pour les agents d’entretien. Je regarde cette bite noire et raide puis ce visage grimaçant de plaisir. Ma bouche s’entrouvre légèrement, je me vois déjà la bouche remplie de cette grosse bite. L’homme est petit, plus très jeune mais avec une bite démesurée pour sa taille, à sa vue mon sexe se durci et mon anus à des chaleurs. Je n’est pas encore été défloré par une bonne verge mais je connais déjà cette sensation avec divers objets plus ou moins gros. Je désire être dominé mais je ne sais pas encore jusqu’ou je peux aller. Un bruit de serrure me fait tourner la tête je vois un homme entrer dans la pièce. A ce moment je décide de franchir le pas, ma bouche s’ouvre s’avance légèrement et je prends ce gros gland entre mes lèvres puis je commence à le téter avidement, juste le gland. L’homme qui vient d’entrer nous regarde les mains sur les hanches. D’un petit coup de rein le sexe me pénètre au fond de la gorge m’empechant de respirer, il la retire puis avec force me la remet plus profond encore. Je suis surpris de me rendre compte que j’aime recevoir cette bite dans ma bouche et il s‘en appercoit. De moi-même je suce ce sexe dur et long avec une gourmandise que je ne me connaissais pas, l’homme un peu plus loin n’a plus les mains sur les hanches mais bien serré autour de son sexe et s’active avec entrain. Il s’approche de nous et s’arrête à coté de l’homme que je suce déjà, et me demande de lui branler la bite. Arrêtant ma sucette je réponds que non, l’homme que je suce me gifle de toutes ses forces et me dit que je ne peux répondre que oui et de faire ce que l’on me demande sans discuter. Avec brutalité il m’introduit sa verge au fond de ma gorge et je prends l’autre bite dans ma main, la joue me brûle mais le plaisir de cette bite dans ma bouche fut amplifier par la douleur. La bite qui se trouve dans ma main est beaucoup plus grosse que celle qui entre et sort de ma bouche, l’homme se nommait Amadou, et sa verge grossis encore plus. L’homme que je suce se nomme Amed il m’attrape les cheveux et me rentre de force sa bite dans le fond de ma bouche pour mon plus grand plaisir. Amed m’ordonne de me mettre à quatre pattes sur le lit, il me frappe durement sur les fesses pour m’indiquer d’écarter les jambes. La bite d’Amadou remplace celle d’Amed dans ma bouche, elle est vraiment plus grosse que la première et je dois ouvrir toute grande ma bouche pour qu’elle puisse entrer. Amed commence à me caresser les fesses puis son doigt me chatouille l’anus pour finir par me doigter lentement, quelle n’est pas ma surprise de me rendre compte que j’avais une grosse érection. Mes reins vont à la rencontre de ce doigt qui me donne des sensations inouïes et profitant de mon plaisir il me pénétra avec deux doigts. Je demande à Amadou de me pincer le bout des seins, ce qu’il fait avec un large sourire. Il m’attrape les tétons et pince très fort, la douleur de mes seins est estompée par la brûlure de mon anus pénétré par surprise par la longue bite d’Amed. Ce n’est plus deux doigts mais bien une belle et grosse verge qui pour la première fois me laboure l’entre jambes, pourquoi ai-je attendu si longtemps. Je ne peux pas crier car ma bouche est remplie par cette grosse bite. Je retiens ma respiration, la verge d’Amed fait quelques allers et retours entre mes reins, il me tient fermement les hanches de ses mains puissantes, d’abord lentement puis de plus en plus vite, peu à peu le plaisir remplace la douleur. Je viens à la rencontre de ce membre puissant et raide comme un morceau de bois, je recule, j’offre mon cul de plus en plus vite, à ce sexe qui me laboure brutalement. Amed a le souffle de plus en plus court et le rythme de sa grosse bite augmente, je ne suis plus qu’un corps qui appelle le plaisir suprême, je saisis ma bite de ma main droite et je me masturbe avec vigueur. La bite d’Amadou entre et sort de ma bouche, ses mains me pincent durement les tétons et me procurent un plaisir insensé à la limite de la douleur, pour rien au monde je veux qu’il s’arrête mais je lui crie de me pincer plus fort. Soudainement ma bouche se remplit d’un liquide chaud et crémeux, je commence à cracher ce foutre mais je dois avaler le reste car sa bite se trouve au fond de ma gorge et y reste, après quelques secondes Amadou retire sa verge de ma bouche, Amed continue son va et vient dans mon cul pour mon grand plaisir, je demande à Amadou de continuer de me pincer les seins, ce qu’il fit avec plus de force. C’est fou ce que j’aime que l’on me torture les seins, qu’on roule durement entre deux doigts mes tétons. J’ai découvert tout seul, en me masturbant, le plaisir que peut procurer le bout des seins. Je n’ai jamais pu me branler avec la main mais en me frottant le sexe sur une couverture ou un drap donc il me reste mes deux mains pour me titiller le bout seins, mais revenons à nos amours ou plutôt aux sexes. Ma bouche s’ouvre et un râle de plaisir en sort, j’éjacule mais je reste à quatre pattes car mes fesses en demandent encore puis le va-et-vient d’Amed s’arrête, il retire son membre qui devient tout mou. Amed me met une grosse claque sur la fesse droite et s’éloigne sans un regard. Amadou me lâche les tétons il semble heureux de ce qu’il voit, je suis à quatre pattes, les jambes écartées, un grand sourire sur mes lèvres, satisfait de ces moments de plaisir que je n’oublierai jamais. Il passe ses mains dans mes cheveux, me caresse le dos et s’approche des mes fesses. Son doigt joue avec mon orifice, entre sans difficultés son doigt dans mon anus et me doigte lentement. A mon sourire il sait que j’en redemande, il m’ordonne de me mettre sur le dos, il me dit qu’il va m’enculer comme une femme, de face, afin qu’il puisse lire le partage entre le plaisir et la douleur sur mon visage. Il me demande de lever les jambes et de les écarter, il m’aide à écarter les jambes en me faisant mal et commence à mettre son sexe contre mon anus. En souriant il saisit mes deux tétons entre ses doigts, j’ai un petit frisson et je lui demande de me pénétrer d’un seul coup, d’écarter ma rondelle et de me faire mal, manifestement c’est aussi ce qu’il veut car d’un seul coup sa grosse bite me pénètre, je sens ses couilles sur mes fesses. Son va-et-vient s'accélère, je suis au ange, après un moment de pur plaisir j’essaie de lever un peu plus mes jambes et de les écarter au maximum afin d’offrir mon trou du cul mais c’est à ce moment là qu’Amadou choisis de retirer son sexe, j’implore qu’il me le remette ce qu’il fit avec une satisfaction qui se lit sur son visage. Tu es une belle salope, dit moi que tu aimes ça, à chaque entrée de sa bite, à chaque écartement de ma rondelle, d’abord la douleur puis le plaisir, le sentiment de chaleur entre mes jambes, je crie de plaisir, très fort, je crie « baise-moi plus fort, encore », la pression sur mes tétons est de plus en plus douloureux mais j’ai ce que je veux. De mes mains libres je me masturbe avec entrain. Soudainement il reste enfoncé en moi, il reste les yeux fermés quelques instants, retire son membre et s’éloigne. Après quelques mots avec Amed, ils sortent tous deux de la pièce sans un regard vers moi pourtant je pense que j’ai du leur donner des instants de plaisir. Je suis pour eux qu’un trou à bites, une vieille tante avaleuse de sperme et pourtant c’est la première fois que je me trouve dans cette position que je ne regrette pas le moins du monde. Je reste à plat ventre sur le lit crachant le foutre de ma bouche pendant que du liquide sort de mon anus. Après quelques minutes je me rhabille et je m’enfuis de cette pièce, honteux des plaisirs passés mais sûrement pas les derniers. La honte ne dure pas bien longtemps, à peine sorti de cette pièce à délices, je regarde les hommes avec un autre regard et envies. Dans peu de temps tous les hommes d’entretien de cette salle de gym seront au courrant et heureusement, je ne pourrai pas dire non à tous le monde, mais c’est une autre histoire.

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Texte coquin : La salle des délices
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