En route pour les vacances....

- Par l'auteur HDS Orangina07 -
Récit érotique écrit par Orangina07 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : En route pour les vacances.... Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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En route pour les vacances....
En route pour les vacances....
A cette époque on était en août, j'avais travaillé tout l'été en cuisine dans un restaurant dans un petit village touristique en Drôme provençale. J'avais décidé d'aller passer quelques jours de vacances au bord de la mer; je reprenais mes études qu'au mois d'octobre.
Me voilà donc installé sur le bord de la route avec mon sac à dos à faire du stop. J'attends et j'attends encore. Il n'y a pas grand monde qui passe en voiture à cette heure matinale (ceux qui font du stop ou en ont fait savent qu'il est préférable de le faire le matin car dans la journée il fait trop chaud), je vois passer des tracteurs, des camions de livraison et puis une voiture d'arrête enfin; un homme d'une cinquantaine d'année aux cheveux grisonnant, un ventre un peu rebondis, se penche à la fenêtre.
"Tu vas où gamin !" me lance-t-il.
C'est vrai qu'à cette époque je n'avais que 23 ans.
" Euh...par là, près de la mer" répondis-je en pointant le doigt devant moi.
"Ahh..." dit-il en tournant la tête devant lui "j'vais pas à la mer mais si je peux t'avancer un peu, vas-y monte".
"Merci monsieur..." et je m'installe dans la voiture.
"Tu pars en vacance gamin" me demanda-t-il alors que nous roulions depuix 10 minutes maintenant.
"Oui" répondis-je
" C'est bien ça....et tu pars sans ta copine ?"
Je lui avoue que je n'ai pas de copine et que pour le moment je ne suis pas pressé d'en avoir une.
"Ah...ou un copain alors, tu sais moi ça n'me gêne pas" ajouta-t-il simplement.
"Euh...non plus" je suis gêné et surpris. Je serre alors mes jambes et les oriente vers la porte.
"Il ne faut pas avoir peur tu sais, je n'veux pas t'mordre, au contraire".
Joignant le geste à la parole, il pose une main sur mon genou. Je porte un short et le contact avec sa main large et rugueuse me fait sursauter. Je n'ose bouger aux risques qu'il ne s'énerve. Voyant que je ne bouge pas, il remonte sa main sur ma cuisse. J'essais de reculer le plus possible au fond du fauteuil, je colle mes jambes sur la porte pour échapper à cette caresse. Je pose ma main sur la sienne et lui demande d'arrêter et de me laisser descendre. Il me regarde pendant quelques secondes avant de retirer sa main et de la poser sur le volant.
"Excusez-moi mais je n'ai pas l'habitude de...."
"De te faire caresser par un homme c'est ça ?" dit-il comme pour finir ma phrase.
Je ne réponds rien et fixe mon regard sur la route devant moi. Le paysage défile et je commence à me demander si j'ai bien fait de monter en stop avec cet homme. Je tourne la tête vers lui pour lui demander jusqu'où il va m'emmener lorsque je reste hypnotisé et surpris. Il tient son volant d'une main et de l'autre il se caresse le sexe dressé et décalotté. Je vois sa main monter et descendre sur son sexe en érection avec le gland d'un rouge vif et luisant. Je ne l'ai même pas vu ni remarqué sortir son sexe. Je reste la bouche ouverte sans pouvoir parler. Il me regarde.
"Alors gamin, ça te plaît !".
Si ça me plaît !. Mais je n'ai jamais vu un sexe aussi gros pensais-je. Je referme doucement la bouche sans détacher mon regard de sa bite. Les veines sont saillantes, les couilles poilues et aussi grosses que des abricots. Il me sourit avec un hochement de tête, le regarde ensuite posé sur mon entrecuisse, et me demande de lui montrer à mon tour mes attributs.
Voyant que je ne bouge pas, il lâche son gourdin oui car c'est comme ça que je peux le qualifier et tend la main vers mon short. Il me caresse la cuisse au passage, je reste là sans bouger à admirer sa bite. Elle est longue, épaisse. Je ne sens pas sa main qui me caresse; ce n'est que lorsqu'il sort ma bite que je réalise ce qui se passe.
"Huumm.... belle bête" dit-il, " jeune et bien monté".
Bien moins que lui pensais-je alors. Ses doigts courent sur mon sexe et les boules que je m'applique à raser tous les jours. C'est une sensation agréable de n'avoir aucun poil à cet endroit, c'est doux. Il tire sur la peau et décalotte le gland. Je n'ose bouger. Puis il remonte sa main et redescend, il me branle doucement. Sans savoir ce qui m'arrive je m'avance sur l'avant du fauteuil et écarte les jambes. Je ferme les yeux pour apprécier la caresse.
"T'aimes ça hein... j'parie qu't'as encore jamais baisé ni touché une femme".
"Oui "répondis-je dans un soupir "juste embrassé".
Sa caresse est douce et légère, mais précise. Il sait y faire. A chaque fois que je suis sur le point de jouir, il ralentit le mouvement. Puis il passe sur les couilles, les pressent. De temps en temps il lâche mon sexe pour prendre le volant à 2 mains ou changer de vitesse; j'en arrive à regretter qu'il conduise et à espérer qu'il s'arrête sur le bord de la route. Je ne sais pas s'il a entendu ce que j'ai pensé ou si je l'ai dit tout haut mais j'ai sentis la voiture s'arrêter. J'ouvre les yeux pour voir si on est à un stop ou un feu rouge, mais non. La voiture est garée sur le côté de la route, une borne d'appel d'urgence comme sur les autoroutes, une table et un banc en pierre, quelques arbres.
Je suis surpris mais en même temps content de savoir qu'il peut me caresser comme il veut. Il se tourne vers moi, pose ses mains sur mes cuisses, remonte vers ma taille. De ses doigts il fait glisser le short et le caleçon jusqu'aux chevilles et finit par me l'enlever. Même si ce type de relation est nouveau pour moi, je suis excité. Il me demande de retirer mon tee-shirt. Il ne me reste plus que mes chaussettes et chaussures. Il baisse le dossier de mon fauteuil. Un sourire se dessine sur ses lèvres qu'il mouille en passant sa langue dessus. Il me caresse le sexe, les couilles. Je lâche de petits gémissements lorsqu'il commence à pincer et à tourner en même temps les tétons; ma bite se gonfle, durcit. Il fait glisser ses doigts entre mes fesses pour venir titiller mon petit trou. Il les fait passer plusieurs fois dessus avant de pousser et de me pénétrer doucement. Je n'avais jamais eu ce contact tellement agréable et je me suis dis que maintenant lors de mes caresses en solitaire il faudra que j'y pense.
J'ouvre les yeux et croise son regard; il porte sa main à sa bouche, crache dedans et vint la poser sur ma bite. Il enroule le gland avec ses doigts et les fait tourner comme ouvrir une bouteille. C'est aussi une caresse agréable tout comme ses doigts qui vont et viennent dans mon cul. Il crache plusieurs fois dans sa main, sa caresse est plus rapide, il serre ses doigts plus fort sur mon sexe, l'autre main continue à me dilater l'anus, je gémis, je pousse des soupirs, je ne vais pas tarder à jouir et il le ressent dans sa main car ma bite a des contractions et surtout les muscles de mon anus se resserrent sur ses doigts. Il accélère encore sa main sur mon sexe, je ne tiens plus et lorsqu'il enfonce trois doigts dans mon cul, je projette le bassin en l'air; je le vois alors qui penche sa tête sur ma bite, il ouvre la bouche sur le gland et j'explose; je vois un jet de sperme atterrir sur sa langue et puis d'autres encore, il continue à me bourrer le cul avec ses doigts. Le sperme coule et tombe sur ma bite qu'il enfonce au fond de sa gorge, sa langue tourne sur le gland, lèche le sperme, c'est fantastique. Lorsque je relâche les muscles de mon corps et me laisse tomber sur le fauteuil, il retire sa main et reprends sa place derrière le volant.
"T'as aimé gamin ?" me demande-t-il après quelques minutes.
"Oui merci" répondis-je en m'habillant.
"Tu peux pt'être t'occuper d'ma queue alors !" lança-t-il en baissant son pantalon et sortant sa bite en demi-érection. "en échange de c'que j't'ai fait".
C'est comme ça que je me suis trouvé à genoux adossé à la voiture avec l'homme debout devant moi en train de me fourrer sa bite épaisse dans la bouche, si épaisse que je ne pouvais l'enfoncer que de moitié. Il ne mit pas longtemps à jouir et je reçois tout son jus dans la bouche que je recrache aussitôt.
Il s'est rhabillé et nous sommes remontés dans la voiture.
Un quart d'heure plus tard, il me laisse sur un rond-point à proximité d'une entrée d'autoroute. Je peux attendre là au péage qu'une voiture s'arrête ou continuer sur la route. C'est cette seconde option que je choisis. Je souris alors en pensant que mes vacances ont bien commencées.

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