Weekends: Emilie, Sandra et moi (3) - histoire érotique

Émilie et Sandra s’embrassaient dans la piscine. Dégoulinante, ruisselantes elles sortirent de la piscine et s’installèrent sur un transat, sans que leurs bouches ne se décollent. Elles firent glisser leurs maillots. Nues, devant mes yeux, encore une fois. Cette fois-ci je restais pour les regarder. Simple spectateur de leurs étreintes.

Émilie écarta les cuisses de Sandra, glissa un doigt entre ses lèvres humides, tout en la regardant droit dans les yeux.

— Tu es bien chaude, ma belle, et je vais te faire hurler.

Doucement, Émilie se glissa doigt après doigt dans le sexe de Sandra. L’embrassant au fur et à mesure qu’elle s’introduisait en elle. Sandra se tordait de plaisir, gémissait, criait, suppliait. Émilie glissa la main dans le sexe. En quelques secondes Sandra hurla de plaisir plusieurs fois. Des larmes coulaient sur ses joues, se mêlant à la sueur et aux gouttes d’eau chlorée de la piscine.

Je bandais comme un dingue. Émilie me regarda, s’aperçut de mon état difficile à dissimuler.

— Tu n’aimerais pas le sucer avec moi, dit-elle à Sandra qui se remettait de ses émotions ?

Sandra secoua la tête, souffla un non du bout des lèvres, mais Émilie insista. Elle vint me chercher, fit glisser mon short, libérant mon sexe dont le gland suintait. Elle lécha ces gouttes de liquide gluant et embrassa Sandra.

— Regarde comme il bande fort, dit-elle à son amie, tu ne vas pas le laisser dans cet état sans rien faire ?

Elle approcha ma bite de la bouche de Sandra. Celle-ci me regarda dans les yeux, puis reposa son regard sur ma bite.

— Tu ne vas pas me dire que tu n’as jamais sucé une bite ?

Sandra posa ses lèvres sur mon gland, dans une sorte de baiser. Elle lécha du bout de la langue une nouvelle goutte de mon liquide séminal. Elle regarda Émilie qui l’encouragea à poursuivre. Sandra ouvrit la bouche. J’avais très envie d’y glisser mon pénis, mais j’attendis qu’elle se décide à le faire, ne voulant pas la forcer.

— C’est bien ma belle, dit Émilie en se plaçant à côté d’elle.

Sandra fit glisser ses lèvres le long de ma verge, et l’avala. Elle le garda en bouche sans bouger. J’appréciais la chaleur, la douceur de sa langue. Elle regarda Émilie qui lui sourit. Sandra me suça doucement, puis passa ma bite à Émilie qui se fit elle plus pressante plus gourmande. Les deux femmes se passaient ma queue, s’embrassant entre chaque passage de relais.

— Il est bien chaud maintenant, dit Émilie, tu veux qu’il te baise ?

Sandra me regarda, se releva, m’embrassa.

— Avant de pouvoir me prendre, Émilie doit me faire jouir de nouveau, dit Sandra.
— D’accord, dit Émilie en rigolant avant de se pencher vers le sexe de son amante.

Sandra resta contre moi, son dos contre mon torse pendant qu’Émilie lui léchait la chatte. Elle m’embrassait, s’accrochait à moi.

— Regarda comme elle aime me bouffer, dit Sandra, elle te prépare bien le terrain. Tu sais que tu vas être la première bite à me pénétrer depuis des années. J’espère que tu profiteras bien de l’honneur que je te fais. Et uniquement parce que c’est Émilie qui le demande.
Sandra planta ses ongles dans mes fesses lorsqu’elle jouit. Émilie lécha son jus et vint m’embrasser pour que j’y goutte.

— Elle est prête pour toi, bien chaude et humide comme tu aimes.

Sandra se tourna vers moi, prit ma queue en main et en s’allongeant sur le transat me guida en elle. Je la regardais droit dans les yeux en la pénétrant, et du bout des lèvres lui adressait un merci. Elle sourit.

Émilie se plaça derrière moi et accompagna mes mouvements pendant que je baisais Sandra.

— J’aimerais avoir ma ceinture pour la baiser à travers toi. T’enculer pendant que tu la bourres.

Elle caressait mes fesses et me glissa un doigt. Je frissonnais de plaisir. Émilie me branla l’anus. J’accélérais la cadence. Sandra se tortillait. Émilie introduit un autre doigt. Je commençais à avoir du mal à me concentrer. Sandra poussait des petits cris. Émilie me traitait de chien et Sandra de salope. Je me retirais et éjaculais sur les seins de Sandra. Émilie laissa mon cul et alla lécher mon foutre sur le corps de Sandra, avant de l’embrasser.

— Merci, dit-elle autant à Sandra qu’à moi avant de plonger dans la piscine.

Je me penchais pour embrasser Sandra. Et rejoins Émilie dans l’eau. Sandra s’essuya les seins, nous regarda nous amuser dans l’eau.

— Vous êtes de beaux salauds, nous dit-elle. De vrais pervers. Je vais commencer à me demander si j’ai bien fait de vous avoir fait venir.
— Arretes ton char, ma belle, tu aimes le sexe autant que moi. Et ne me dis pas que tu n’as pas joui.

Sandra nous envoya un baiser et rentra dans la maison.

J’embrassais Émilie. Elle se colla à moi, passa ses jambes autour de mes hanches.

— Je t’aime, me dit-elle.