Matinée fort agréable

- Par l'auteur HDS Domjd -
Récit érotique écrit par Domjd [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Matinée fort agréable Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Matinée fort agréable
Je suis, tranquillement, entrain de déguster mon pain frais grillé, tartiné d’un bon beurre normand, assorti d’un miel Toutes fleurs, lorsqu’elle apparaît dans l’embrasement de la porte.

Vêtue d’un long T-Shirt lui arrivant à mi-cuisses, Caroline (Caro pour les intimes) est une belle brune de 33 ans, affichant une taille d’1 m 70, les yeux bleus et à la chevelure mi-longue. Avec une bouche assez pulpeuse et un nez fin, on peut dire que c’est une belle femme.

Pour ma part, je m’appèle Christophe, 40 ans depuis quelques mois. J’essaye d’entretenir ma forme en fréquentant une salle de gym, me partageant entre mon boulot de commercial en informatique appliquée et vie familiale.

Ma femme, Kathy, est aussi, une belle femme que j’adore. Elle travaille dans la pub.

Nos travails respectifs sont très prenants, et nos moments intimes ne sont pas légion.

Caro est une amie de ma femme qui est venue passer quelques temps à la maison pour des raisons professionnelles.

Aujourd’hui, après le départ de Kathy pour son travail, j’ai décidé de prendre mon temps. D’ailleurs il est 7h30 du matin et je n’ai pas trop d’obligations, puisqu’en RTT.

Caro me regarde, en souriant, me lançant un « bonjour » encore, un peu, ensommeillé.

Elle s’assied face à moi et se verse un grand bol de café noir, encore tout chaud, puis se met à le siroter en me jetant, de temps en temps, quelques regards appuyés.

On échange quelques banalités puis elle me demande :
-« Je peux te poser une question…euh !…indiscrète et intime ? »
-« Oui, bien sur, vas-y »
-« En fait…euh !… je voudrais savoir si tu es tout nu sous ta sortie de bain »
Quelque peu interloqué et amusé je lui réponds :
-« Oui, je le suis, car je dors, toujours tout nu »
Silence. Puis, je reprends goguenard:
-« Tu veux voir ? »
-« Euh !… Ca me gène… mais… »
-« Ne t’inquiètes pas. Kathy et moi sommes très libres à ce niveau »
-« Alors OK »
Je me lève et défait, lentement, la ceinture du peignoir dont les deux pans s’ouvrent sur mes flancs, laissant apparaître mon sexe à demi-gonflé.

Caro fixe, intensément, mon entre-jambe, et, un peu étonnée, me demande :
-« Tu es circoncis ? »
-« Non (rires). En réalité, lorsque tu es apparue, je repensais au délicieux rêve que j’avais fait avant de m’éveiller. »
-« Ah ! Bon. Et on peut savoir de quel rêve il s’agit ? »
« Ca me gène un peu de te raconter ça »
« Mais si, vas-y, raconte »
-« Et bien, je me trouvais dans un sauna naturiste avec trois femmes, dont deux s’affairaient entre mes jambes et dont la troisième s’était assise sur ma bouche »
-« Humm….Beau programme. Ca reflète un peu un fantasme non ? »
-« Certainement. Mais est-ce que moi, aussi, je peux te poser la même question que toi, tout à l’heure ? Ca ne serait que la réponse de la bergère au berger, non ? »
Caro sourit, hésite un instant et :
-« Ok, pourquoi pas »
Elle se lève et me tourne le dos. Elle se penche légèrement, en avant, croise ses bras devant elle pour saisir le bas de son vêtement et le tire par-dessus sa tête, me laissant admirer ses belles fesses bien dessinées. Son T-shirt tombe au sol.

Je sens mon sexe se gonfler tout doucement.

Elle croise à nouveau les bras, posant ses mains sur son bas-ventre. Elle se tourne et me dévoile ses seins fermes et suffisamment volumineux. Je remarque, immédiatement, ses tétons bien pointés vers le haut.

-« Alors ? »
-« Tu es superbe, mais nous ne sommes pas à égalité »
Elle remarque, par-dessus la table, qu’elle ne m’est pas indifférente. Elle décroise ses mains et lève les bras au-dessus de sa tête, en faisant plusieurs tours sur elle-même. J’ai le temps d’apercevoir sa vulve, entièrement lisse. Je n’en ai pas l’habitude, car Kathy, bien que soignant son minou, n’a, jamais, enlevé, totalement, ses poils.

Elle arrête ses tournoiements et se campe devant moi, jambes légèrement écartées et les mains, fermement, posées sur ses hanches.

Mes yeux se rivent sur son entre-jambe et mon sexe finit sa complète érection. Elle regarde ma queue fixement.

-« Ca te plait ? »--« Et comment. Et toi, ça te plait, ce que tu vois ? »
-« Totalement ! Tu es en pleine forme on dirait »
Elle se rapproche de moi, se penche, pose sa main gauche sur le haut de ma cuisse, effleurant mes couilles, toutes dures et gonflées et m’embrasse à pleine bouche. Nos langues s'emmêlent, furieusement, comme pour se dire, sans prononcer un mot :
-« J’ai envie de toi ! »
Elle enroule sa main sur mon sexe et entreprend des mouvements de bas en haut, continuant de me le faire grossir. J’essaye de parvenir à sa chatte avec ma main, mais la position ne me le permet pas. Je me contente de caresser l’intérieure de sa cuisse, mes doigts effleurant, seulement, la lisière de ses grandes lèvres.

Elle lâche ma bouche pour regarder son œuvre et en parait satisfaite.

-« Si on allait dans un endroit plus confortable ? »
Je me lève, mon peignoir, toujours, ouvert de telle sorte que Caro s’empare de ma queue et me précède vers la chambre d’amis qu’elle occupe.

Devant le lit, elle me retire mon vêtement inutile et me fixant dans les yeux, s’accroupie, lentement, me gratifiant, au passage, des coups de langue sur la poitrine et sur le ventre.

Arrivé à l’endroit stratégique, elle branle mon vit qu’elle n’a, d’ailleurs pas lâché et assène à l’extrémité et à la base du gland des petits coups de langue, savamment dosés.
Elle plaque ma bite sur mon ventre et entreprend de me lécher, par petites touches, les bourses.

Puis c’est le grand assaut. Elle m’embouche, presque totalement. Mon gland bute contre son palais. Sa bouche commence des vas et vient, lents pour commencer, puis de plus en plus rapides.

Au bout d’un long moment de ce plaisir intense que, même, Kathy, ne m’avait, jusqu’à présent, jamais procuré, je prends sa tête entre les mains, lui donnant l’indication d’arrêter ce doux traitement, avant une issue qu’elle ne pourrait, éventuellement, pas désirer.

Elle me regarde attristée :
-« Ca ne te plais pas ? »
-« Oh ! Si, bien au contraire. Mais, si tu continues, je ne pourrai pas me retenir »
-« Mais c’est bien ce que je veux. Je veux tout ton plaisir dans ma bouche. S’il te plaît, laisse moi finir. J’en ai, vraiment, envie »
Elle paraît, tellement, sincère que je me laisse faire et elle reprend sa fellation d’enfer et, au bout de quelques instants seulement, j’évacue toute ma jouissance dans sa bouche. Je vois des étoiles partout et frissonne de plaisir. Trois bonnes giclées de sperme s’écrasent au fond de sa gorge. Caro avale tout avec, me semble-t-il, beaucoup de bonheur.

Elle continue à me lécher pour bien me nettoyer, puis se relève et m’embrasse à pleine bouche. C’est avec beaucoup de plaisir que je lui rends son baiser, après la jouissance qu’elle vient de me procurer.

Mais je reste un peu frustré de ne pas avoir, jusqu’à présent, eu accès à son joli minou qui me fait, terriblement, envie.

Je la prends par les épaules et l’allonge sur le lit, les fesses au bord de celui-ci. Elle a compris ma démarche et écarte, largement, les cuisses.

Je me régale à la vue de ses lèvres luisantes et du capuchon de son clitoris bien gonflé.

Je me dis que je vais faire un vrai festin et entreprends, directement, car la sentant bien excitée, de lécher sa chatte de bas en haut en appuyant, à chaque passage sur son petit trou, pour y faire pénétrer le bout de ma langue.

Caro gémit déjà et je pense qu’elle ne sera pas longue à venir, vu ses déhanchements provoqués par ce que je lui administre. Pour ne pas la faire attendre plus longtemps, je m’attaque à son petit bourgeon gonflé de sang qui semble vouloir sortir de son capuchon.

J’accélère, encore le mouvement de ma langue et sent sa mouille, abondante me couler sur le menton. Elle ne tarde pas à exprimer sa joie en se cambrant et projetant son bassin vers ma bouche. Cela dure quelques instants puis elle se laisse retomber sur le lit en gémissant.

Reprenant notre souffle côte à côte, tendrement enlacés, je lui exprime tout le plaisir qu’elle a su me donner.

-« Tu sais, ça n’a pas toujours été comme ça. »
-« Comment ça ? »
-« Et bien pendant mes études en terminale, j’étais avec un garçon qui m’a vite laissé tomber. Je n’y connaissais rien au sexe. A part ce que j’avais pu voir de-ci delà, j’étais inexpérimentée. Le premier que j’ai sucé, c’était lui et il m’a quitté après. J’en ai déduit que je faisais ça mal. »
-« C’est un con ce type »
-« Je ne sais pas, mais je me sentais responsable. Puis tout a basculé, le jour où je me suis rendu chez mon professeur de math. »
-« Hein ? »
-« Et bien ce prof était très sympa et plutôt bel homme, mais je ne comprenais rien au cours qu’il nous prodiguait en classe. Aussi, un jour, je me suis décidée à aller le voir à la fin du cours pour lui expliquer que j’aimais les maths mais que je ne comprenais pas toujours et que je voulais réussir mon bac. »
-« Ok mais quel rapport ? »
-« Attend j’y viens. Il m’a dit que si je voulais qu’il m’explique ce que je n’avais pas compris, je pouvais venir chez lui les samedis après-midi et qu’il pourra parfaire mes connaissances à titre gratuit. Un vrai altruiste quoi. »
-« Ouais ! je vois »
-« Non ce n’est pas ce que tu pense. Il a bien, effectivement, comblé mes lacunes et tout ce que je n’avais pas compris en cours devenait clair, subitement, lorsqu’il me donnait ses explications. »
-« Ok, soit, et alors ? »
-« Alors, un jour ou nous avions fini les démonstrations des théorèmes de la semaine, il me proposa un verre de jus d’orange que j’acceptais bien volontiers, n’ayant, à cet age, pas l’impression d’abuser de la situation. »
-« D’accord, continue »
-« Il s’est absenté dans sa cuisine lorsque est apparue sa femme dont il m’avait déjà parlé. Elle s’appelait Myriam. Une belle grande femme, mince, aux cheveux blonds et très bien proportionnée. Elle s’est approchée de moi et a engagé la conversation, me disant que son mari lui avait parlé de moi et que je faisais beaucoup de progrés, d’après lui. On a discuté de choses et d’autres puis elle en est venue à me demander si j’avais des petits copains etc…, enfin, tu vois le genre. Un peu comme une grande sœur qui pourrait s’inquiéter de ma vie extra-scolaire. »
-« La chose se précise, on dirait »
-« Attend, je n’ai pas fini. Donc je lui dis que de ce côté là, c’est comme, un peu, avec les math, je ne comprends pas tout. Je lui explique la mésaventure d’avec mon dernier petit copain mais, bien sûr, évite les détails. Mais elle veut aller au fond des choses. Enfin c’est ce que j’en ai ressenti. »
Caro s’est, alors, lancée dans son récit, m’expliquant qu’elle avait fini par raconter à Myriam ce qu’elle venait de me dire. Cette dernière s’était absentée un court instant puis était revenu dans la pièce avec en main un godemiché de taille plus que convenable et avait entrepris de lui montrer comment elle procédait lorsqu’elle voulait donner du plaisir à un homme. C’est à ce moment là que son prof est réapparu dans la pièce, nullement surpris de ce que sa femme était entrain de faire. Myriam lui expliqua la situation et Caro ne savait plus où se mettre. Mais ce fut pire lorsque Myriam décida de donner à Caro une démonstration en « chair et en os » et qu’elle entrepris de désaper son mari et de le sucer. Le paroxysme de la situation survint au moment ou Myriam proposa à Caro d’essayer en lui tendant le sexe de son mari. Elle hésita puis se lança. La situation était, tellement, excitante que Caro sentait son sexe s’humidifier fortement.

Myriam, tout en la regardant faire lui indiquait les endroits ou elle devait s’appliquer. Au bout d’un long moment du traitement qu’elle prodiguait, avec plaisir, à son prof, ce dernier émettant des signes avant coureurs de sa proche jouissance, Caro voulu s’arrêter mais Myriam lui dit de continuer et de goûter au moins une fois dans sa vie. Elle s’exécuta et son prof évacua de longues giclées de sperme dans sa bouche qu’elle avala avec curiosité et crainte à la fois. Elle se rendit compte que sa crainte n’était pas justifiée et avoua que cela lui avait procuré beaucoup de plaisir. Ils n’ont pas été plus loin ce jour là, mais par la suite, lors des cours de rattrapage qui ont suivi, ils ont fait plusieurs fois l’amour ensembles, Caro goûtant même aux joies du saphisme.

A la fin de ce récit, mon sexe a reprit une belle forme. Caro s’en aperçois.

-« Dis donc, on dirait qu’elle t’a plu ma petite histoire »
-« Ce n’était pas un conte de Grimm, il me semble »
Caro rit, franchement, pose sa main sur mon sexe et entreprend de lentes et douces caresses. Puis elle m’empoigne et me masturbe carrément. Elle met sa tête sur mon ventre, regardant son œuvre, et au bout de quelques instants, je sens la douce chaleur de sa bouche sur mon gland. Elle l’aspire, le suçote, le lèche. Sa main caresse, à présent, mes couilles avec douceur, puis se met à les malaxer, plus fermement.

Pendant ce temps, j’insinue deux doigts dans son minou tout humide et frotte son clitoris avec mon pouce. Elle commence, doucement à gémir, pendant que je savoure le velours de sa bouche.

Après quelques instants de cette caresse mutuelle, Caro se redresse et, toujours mon sexe en main, se met à califourchon sur celui-ci et le guide vers sa grotte secrète. Sa chaleur entoure mon vit que je sens raidir à son paroxysme.

Elle accélère le mouvement, me chevauche de plus en plus vite, bouge son bassin d’avant en arrière, appuyant bien sur mon ventre pour que mon sexe cogne le fond de son vagin.

« Je te sens bien. Que c’est bon ! »
Puis, penchée la tête en arrière, les yeux fermés et la bouche grande ouverte, elle crie, littéralement, sa jouissance.

S’en est trop pour moi. Je suis pris d’un long spasme et joui à mon tour dans un râle de plaisir.

Caro s’effondre sur moi, en nage. Elle me murmure que c’était merveilleux, qu’il y a longtemps qu’elle n’a pas eu autant de plaisir.

Nous nous embrassons encore longuement comme pour se remercier, mutuellement, du bonheur que chacun a apporté à l’autre.

Caro se détache de moi. Un filet de liqueur s’écoule le long de sa jambe. Nous restons un long moment, côte à côte savourant notre bonheur, lorsque, soudainement, la porte de la chambre s’ouvre.

C’est Kathy !

Mais là, c’est une autre histoire.

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