Plombier et chef de service

- Par l'auteur HDS Pipistrele -
Récit érotique écrit par Pipistrele [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Plombier et chef de service Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-03-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Plombier et chef de service
Ma chef de service, celle que vous connaissez ( voir anectode du 19/01/14) arrive l’autre jour au bureau, rue de Varenne, toujours bien sapée dans son petit tailleur noir, elle avait des difficultés à marcher. Elle se présente à notre réunion hebdomadaire en boitant, elle se tortillait devant le paperboard ce qui n’est pas son habitude. Elle eu toutes les peines du monde à s’asseoir en bout de table pour nous précisez nos tâches respectives. Nous la sentions distante, ce n’est pas son habitude.
Nous la voyions marcher péniblement dans les couloirs.
«Elizabeth, nous pourrions savoir ce qui ne va pas, quelque chose vous tracasse ? »
« C’est gentil de prendre de mes nouvelles, en effet, j’ai toutes les peines du monde à marcher et à tenir en position assise, j’ai une sorte de gène dans le bas du dos » ».
‘ Il ne faut pas rester comme ça, je connais un très bon ostéopathe, je vous donne son adresse vous y aller de ma part, vous savez un médecin ordinaire n’y pourra rien si vous vous êtes déplacé quelque chose ‘ lui dit mon collègue, toujours prêt à rendre service et surtout à fayoter.
La journée passe et le lendemain notre boss avait toujours les mêmes difficultés pour s’asseoir. Elle faisait peine à voir. En se pointant à la porte de notre bureau, elle n’était pas si hautaine que d’habitude et nous demande :
« Est-ce que quelqu’un parmi vous à des notions de plomberie. J’ai chez moi un problème d’évacuation et j’aurai besoin d’un coup de main. »
Comme un seul homme tous répondent que nous étions partant pour l’aider ( tu parles quand il s’agit de se faire mousser) seules les femmes sont restées silencieuses.
« Je vois que je ne manque pas de chevaliers servants, vous Daniel, la plomberie c’est votre truc ? »
« Vous savez, je m’y connais comme tous le monde, changer un joint, déboucher une canalisation c’est bien tout ce que je peux faire et je ne suis pas outillé pour ce genre de tâche ».
« Eh bien c’est parfait » me répondit-elle « vous savez où j’habite, ce ne sera pas long, on se retrouve en bas en fin d’après midi »
Impossible de dire non, je ne suis pas très doué en travaux manuels, je vais passer pour un con, pourquoi n’a-t-elle pas choisi un collègue, ils étaient tous enchantés, beaucoup plus que moi par ce travail.
Je retrouve donc Elizabeth près de sa voiture, avec d’infinies précautions elle s’assoie au volant , je la suis avec ma voiture jusqu’à chez elle.
L’immeuble me rappela un certain soir de beuverie (voir anectode Ma chef de service). Elle monta l’escalier devant moi en tortillant des fesses, non pas comme quelqu’un qui veut vous allumez mais comme un vieillard qui a du mal à se déplacer.
« Vous connaissez la maison, je crois, me dit elle avec un sourire. Asseyez vous, un petit whisky avant de vous mettre au travail ? »
On ne refuse jamais une telle offre.
« Voilà ce que je vais vous demander va, sans aucun doute, vous paraître singulier » me dit-elle en s’asseyant péniblement « Vous êtes libre de refuser et je ne vous en tiendrai pas rigueur »
« Je ne vois pas pourquoi je refuserais, le travail ne doit pas être bien délicat, à moins que vous ayez peur que je ne fiche en l’air toutes vos canalisations !! ».
« Bon, je me lance » dit elle en rougissant et en reprenant une grande gorgée de whisky.
« Vous savez que je suis célibataire, sans mec, sans nana non plus. Nous avons tous deux la quarantaine et vous savez ce que c’est, nous avons des désirs n’est ce pas, bien que ça ne soit pas mon truc. Mais parfois la nature est là et il faut bien se contenter »
Elle était écarlate. Que pouvait-elle bien me vouloir pour faire appel à moi comme plombier.
« Si je n’ai pas d’homme dans ma vie c’est suite à une petite aventure quand j’étais très jeune, mon petit ami de l’époque a failli me violer, pris de remords il n’est pas arriver jusqu’au bout. Vous comprenez, je ne suis plus vraiment vierge mais je ne suis pas non plus vraiment femme. Depuis ce temps, j’ai peur des hommes, de leur contact, je vous en ai déjà dit deux mots le lendemain de l’arrosage de Gérard. Et c’est parce que je vous sais gentleman que je vous ai choisi pour cette besogne, on peut dire le mot car ce ne sera sans doute pas très réjouissant ».
Mais qu’est qu’elle veut . J’étais de plus en plus dubitatif.
« J’y arrive, je ne sais pas comment vous dire ça. Pour me satisfaire comme je vous le disais, j’ai parfois recourt à des artifices. Ce que vous appeler des gods, je n’en possède pas et me sert d’expédients que je me mets dans l’anus, dans le vagin je ne peux pas, j’en ai un trop mauvais souvenir. Je ne sais pas si je vais pouvoir continuer tellement j’ai honte. ;;; Donc, avant-hier étant en manque, je m’enfonce dans l’anus, surtout ne riez pas je ne pourrai pas continuer, un tube de comprimés effervescents , vous savez le grand modèle, c’était bon et emportée par l’élan j’ai avalé, si je puis dire, le tube entier, il m’a échappé des mains. Aïe Aïe Aïe te voila bien avancée. Je pensais pouvoir le récupérer mais niet impossible de le saisir, il était remonté trop loin. J’ai essayé en forçant comme pour allez à la selle, rien, pire encore le bougre s’est mis en travers et depuis il est coincé et bien coincé. Me voilà punie par où j’ai péché. J’ai essayé à maintes reprises de le ressortir mais il faut faire des tas de contorsions impossibles. Mon problème d’évacuation, eh bien, il est là, en moi.En fait si je vous ai demandé de venir c’est pour extraire ce qui me gène depuis l’autre jour comme vous avez pu le constater, le pire c’est pour s’asseoir, ça fait mal et ce n’est pas désagréable en même temps, mais là ça devient insupportable ».
« Pourquoi moi ? Vous auriez pu demander à une de vos collègue, elle aurait été plus à même de faire ça »
« Ah non surtout pas, pour qu’elle aille se vanter de mes exploits dans tout le bureau »
« Les urgences, ils sont habitués à ce genre de situation ? »
« Encore moins, vous me voyez en position d’accouchée, une bande de carabins rigolards penchés sur mon intimité en train de raconter des blagues salaces que l’on retrouvera sur internet, ça jamais, Comme je vous l’ai dit je vous sais gentleman, vous connaissez déjà l’endroit pour l’avoir épongé ce fameux soir d’arrosage ».
« Oui, en effet, ce n’est pas une demande ordinaire que vous me faites là. Eh bien va ‘alea jacta es’comment est ce qu’on procède » je lui réponds.
« J’ai pensé que je pourrais me coucher dans le canapé, sur le dos, les fesses sur le bras du siège, les jambes en l’air, vous aurez ainsi la place pour opérer. »
La dessus elle se lève et va se déshabiller dans la salle de bain, elle revient presque aussitôt les fesses à l’air, elle n’avait conservé que le haut et elle s’installe comme elle l’avait dit.
Ouah !!! quel tableau, j’avais en face de moi un cul, et quel cul ; une fente avec le ticket de métro que j’avais aperçu précédemment,des cuisses, toute sa féminité en évidence, j’aurais bandé si je ne savais pas la tâche qui m’attendait.(quoique j’étais quand même excité, on l’aurait été à moins ).
Et me voilà en train d’essayer d’ouvrir la rosette de ma chef de service, elle poussait et j’aperçu quelque chose de blanc à l’intérieur, c’était le fameux le tube de comprimés effervescents . Je lui indiquais toutes les manœuvres que j’étais en train de faire car dans sa position elle ne voyait rien.
J’ai réussi à faire entrer péniblement le bout de 2 doigts (elle n’était pas vierge de ce côté, vu ce qu’elle se mettait dans le cul, ça n’est pas étonnant))ce qui me permit de saisir le tube pour le remettre dans l’axe de la sortie, je lui dis alors de pousser que ça devrait se dégager. Elle me répond :
« Je ne vous ai pas tout dit, je vous ai parlé du tube de comprimés mais avant je m’étais introduit 4 ou 5, je ne sais plus, vous savez les petits tubes jaunes arrondis que l’on trouve dans les ‘Kinder surprise’ »
Pour une surprise ce fut une surprise. Ma chef qui s’envoie en l’air avec des capsules de jouets pour les gosses.
« Je veux bien pousser mais ça fait 2 jours que c’est bouché là dedans et entre temps j’ai mangé, si vous voyez ce que je veux dire et ce qui va sortir risque de ne pas être très propre, ça me gène de vous dire ça, mais avez-vous mis une cuvette en dessous ».
« Rassurez vous la cuvette est là et si c’est ça qui vous bloque, je suis habitué à ce genre de situations (voir mes autres histoires) ».
Pendant qu’elle poussait j’ai aidé le tube, (qui était d’un diamètre fort confortable ma foi,) à sortir, et en suivant, en effet, se sont pointés 4 ampoules jaunes ‘Kinder’engluées dans ce qu’elle avait prévu le tout suivi d’un bel étron qui attendait sa libération tellement il est sortit rapidement.
Son trou ne se referma pas immédiatement si bien que l’air si engouffra avec force, un pet à l’envers en quelque sorte.
En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire elle s’était relevée et courait s’asseoir sur les toilettes.
Je restais là hébété les mains sales une cuvette odorante à mes pieds. Pendant ce temps dans la salle de bains le concert de mucus, pets et autres déjections était commencé, il fallait bien évacuer l’air qui était entré.
« Je peux entrer vider la cuvette » lui demandais je à travers la porte.
« Non, mettez là dans la cuisine, j’ai peur que les objets plastiques bouchent mes toilettes, je prends une douche, je vous rejoins, servez vous un autre apéritif ».

Elle revient, en se séchant les cheveux, vêtue d’un peignoir blanc immaculé. Comme elle était belle et désirable.
« Eh bien, c’était plus facile que j’aurais cru. Je me sens libérer vous ne pouvez pas savoir à quel point. Merci, merci ».
Moi, j’étais là à la contempler, mon verre de whisky à la main, mon membre meurtri dans un slip maintenant trop étroit.
« Mais, ma parole, vous avez une bosse difficilement dissimulable dans votre pantalon. L’opération ne vous a pas laissé indifférent à ce que je vois. Ca ne vous a pas dégouté. Je vous fais de l’effet à ce point ? »
Tu parles si elle me faisait de l’effet, elle n’a pas dû bien se rendre compte de la position qu’elle avait prise et le spectacle qu’elle m’offrait lors de l’extraction de ces corps étrangers.
« Je vais être bonne fille, je vous dois bien ça. Alors sautez moi là tout de suite sur le canapé. Mais attention, je n’embrasse pas, je ne suce pas, je ne branle pas, je veux un minimum de contact, comment est ce que je pourrais vous satisfaire ? »
On est con parfois, je lui bafouillais que j’étais marié et tout et tout. A ça elle me répondit que ça ne l’enchantait pas outre mesure mais que c’était maintenant ou jamais, à prendre ou à laisser.
J’ai pris , au diable nos bon vieux sentiments judéo-chrétien.
« Vous posez votre peignoir, vous reprenez la position de tout à l’heure couchée sur le canapé les fesses sur l’accoudoir »
Reouahh !!!la belle femme, petits seins, mais un cul, un cul, je ne vous dis que ça.
Quand elle fut en position, je posais pantalon et slip, Popaul est sorti tel un ressort. Elle eut un regard soupçonneux, en effet, j’étais au dessus d’elle (qui c’était le chef maintenant) des bites elle n’en avait sans doute pas vu beaucoup, même à quarante ans.
« Vous y allez doucement, si j’ai le moindre recul vous arrêtez » elle me dit inquiète tandis que je me présentais à l’entrée de sa grotte sous le ticket de métro. Contrairement à ce que je pensais, elle mouillait, ce qui permit un glissement délicat sans à coup jusqu’au fond, je ne pouvais aller plus loin, elle était bien emmanchée et ça sans cri, sans éclat de voix. Elle n’était, en effet, plus vierge comme elle me l’avait expliqué, si c’était le cas l’introduction aurait été plus laborieuse. Je commençais mes aller-retour doucement, aucune réaction quand soudain elle se mit à gémir, voir feuler comme une lionne, cambrer les reins, se tortiller en retombant sur le canapé en me rejetant en arrière puissamment, je n’étais plus en elle. Elle venait de jouir. Elle me regardait, les yeux grands ouverts en se demandant ce qui se passait, elle serrait les cuisses. Moi j’étais là, la bite au garde à vous, impossible de faire quelque chose.
« Je crois bien que j’ai jouie »elle me dit « Quand je me mets des choses dans mon petit trou ce n’est pas la même jouissance. Ce n’est pas désagréable…. Mais je vois que vous ne vous êtes pas fini, je manque à tous mes devoirs ; Il faut me pardonner vous savez, je n’ai jamais vraiment connu d’hommes. Je vous l’ai dit, je ne suce pas, je ne branle pas alors finissons en, que voulez vous faire maintenant. Je ne peux pas vous laisser dans cet état ».
« Vous vous mettez à genoux sur le tapis, le cul en l’air ».
« En levrette, en quelque sorte » elle me répond. Elle connaît donc le terme. Et la voilà qui se positionne me montrant une autre face (fesses) de son personnage.
Il était temps, j’allais partir rien qu’en la regardant. Je l’enfilais mais cette fois sans précautions, je limais ardemment. Oh ce ne fut pas très long, elle repartit comme la première fois, feulement d’animal sauvage, reins creusés, alors que moi je lui arrosais copieusement le dos à grands jets incontrôlés. Oui j’étais ressorti, in extremis, on ne sais jamais.
A peine étais je ressorti qu’elle se mit à pisser, arrosant abondamment son tapis. Elle urinait sans pression, elle se lâchait tout simplement en riant. Tous ses conduits venaient d’être débouchés. Elle riait mais elle riait, je ne pensais pas qu’elle pouvait rire ainsi, elle toujours si sévère et sur ses gardes.
« Vous êtes en train de dévaster votre tapis, c’est vraiment dommage »
« Je m’en fous du tapis, je suis aux anges , je suis libérée de tous les côtés, je ne peux plus m’arrêter tellement ça fait du bien, vous ne vous attendiez pas à ça que je vous pisse au nez. hein !! » dit elle en s’écroulant sur le côté.
J’étais là en extase moi aussi, je n’avais pas souvenir d’avoir eu autant de plaisir. Je repensais à cette phrase d’un ami suisse qui dit :
‘changement d’herbage, réjoui les veaux’
C’était vrai, changer de partenaire, ça fait du bien parfois. Pourquoi cette fichue morale nous freine toujours dans nos élans.
« Allez Daniel, je fais un brin de toilette, je me sens toute poisseuse, je m’habille, vous remettez de l’ordre dans votre attirail, je vous emmène au resto ».
« Ce serait avec plaisir mais ma femme va s’inquiéter, il faut que je rentre ».
« Ah oui toujours cette sacro sainte vie familiale. Il vaut mieux que vous rentriez, je ne voudrais pas que vous ayez des ennuis à cause de moi. D’ailleurs toute cette gymnastique m’a épuisée, je me sens vidée je crois que je vais dormir ».
Je me rajuste, elle avait repris son peignoir immaculé et je m’apprête à l’embrasser en simple copain avant de partir.
« Ah non vous savez bien que je n’embrasse pas, que je ne branle pas, que je ne suce pas, pour le reste, ! surprise !. Et pas un mot au bureau, à demain» me dit elle en riant.

Le reste de la soirée je l’ai passé sagement avec Dominique, mon épouse, devant la télé.

Elizabeth n’est pas venue travailler le lendemain et j’ai eu droit à tous les commentaires de mes collègues aussi bien hommes que femmes.
‘alors cette tuyauterie, tu t’en es sorti, etc. etc.’
« Oui, c’était un tube de comprimés qui était bloqué juste à la sortie de l’évacuation, il a fallu péter la rondelle pour arriver à l’extraire, j’y suis arriver à la plus grande satisfaction de notre cheftaine »
J’expliquais mon travail de plomberie tout en restant vague sur l’endroit ou j’avais travaillé, ça s’appelle un mensonge par omission.

Le surlendemain Elizabeth était là sanglée dans son tailleur noir qui lui moulait son petit cul. Elle marchait maintenant normalement et s’asseyait normalement. Tous le monde à l’étage en fît la remarque.
‘Nous constatons que vous allez mieux, vous avez été voir quelqu’un ?’
« Non, c’est Daniel qui m’a débloquée ».
« Elle va tout de même pas leurs raconter nos galipettes d’avant-hier ».pensais je
« Oui, c’est lui sans être lui. Il m’arrive d’avoir des crises parfois alors je prends un cachet qui me fait énormément d’effet, et là le tube m’a échappé des mains et est allé se fourrer dans une canalisation, c’est ce tube que Daniel a été retiré l’autre jour, voilà tout ».
Ouf, elle faisait les mêmes allusions que moi, je ne sais pas s’ils ont compris mais elle ajouta et ça c’était pour moi :
« Je vais vous avouez un de mes petits secrets : comme une gamine, je collectionne les cadeaux des ‘Kinder surprise’ vous savez les œufs en chocolats ou vous trouvez à l’intérieur un tube jaune renfermant le jouet à monter. Pâques approche et si vous voulez faire plaisir à votre chef de service offrez moi donc un maxi Kinder, ceux de taille XXL…. Bon, maintenant assez plaisanté, les grandes discutions font les petites journées, alors au boulot ».

Taille XXL elle n’arrivera jamais à se carrer çà dans l’oignon ou si elle y parvient il faudra qu’elle fasse appel à un plombier pour la déboucher…..On peut toujours rêver.

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