La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°279)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°279) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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(9.0 / 10)

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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°279)
Suite de l'épisode précédent N°278 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -

Thaïs se retrouve désormais seule dans les appartements de la suite que Son Maître Vénéré a occupé pendant tout ce Week-end, et qui avait été organisé avant tout pour une rencontre professionnelle avec deux businessmen en vue de l’acquisition par le Marquis Edouard d’Evans du terrain qu’IL convoitait. La soumise a reçu comme consigne de tout ranger car son Maître l’a quitté sans perdre une seconde pour rejoindre dès le soir même son château en Beaujolais, la laissant, ainsi que toutes ses affaires. IL est parti, sans un au revoir et sans donner à sa soumise le moindre renseignement sur ce qui va se passer pour elle et quand elle va pouvoir le revoir, lui précisant juste « Ta vie ne t’appartient plus maintenant, tu es à Moi ». Thaïs songe que demain matin, Walter, le Majordome doit venir la chercher ainsi que tous les bagages à 10h00 précises, mais elle ne sait pas du tout quels sont les ordres qu’il aura reçus et où il a été chargé de la conduire, pensant malgré tout qu’elle va pouvoir rentrer chez elle et reprendre le cours de sa vie, au moins pour un temps donné. Mais, elle se dit que de tergiverser en se posant plein de questions inutiles ne va pas l’avancer pour autant.

Alors, sans perdre un instant, elle entreprend de ranger les affaires de son Maître avec précaution, décidant de commencer par laver soigneusement tous les joujoux que Ce dernier à utilisé depuis Vendredi soir, ce qui lui fait revenir en mémoire avec suavité et excitation tous les moments palpitants et voluptueux que son Maître lui a permis de vivre. Elle regarde avec un sourire coquin, la brosse à dents avec laquelle IL l’a faite chavirer dans l’extase et qui est encore posée sur la table basse, trempée des gouttes de son eau de femme fontaine et de sa cyprine plus onctueuse. Elle récupère pour la rincer également la chaîne que son Maître lui avait attachée autour du cou, pour la passer profondément enfouie dans ses parties intimes, entre ses lèvres roses, et aussi en plein milieu de la raie des fesses. Les maillons sont encore trempés de sa mouille et par endroits plus que luisants et presque gluants. Elle plie soigneusement les vêtements sales que son Maître a portés pendant les derniers jours, apportant une attention particulière aux costumes qui sont tous de bonne facture, faits sur mesure chez des tailleurs de qualité. Elle prend le temps de porter le tissu près de ses narines pour s’imprégner de l’odeur de son Maître, avec son parfum si caractéristique, dont elle n’a bien sûr jamais osé lui demander le nom. Elle pense que sûrement aujourd’hui, elle va enfin savoir quelles en étaient les fragrances et quels sont les produits qu’IL utilise pour se laver, entretenir et se raser la peau, puisqu’elle va devoir aussi remplir et fermer par la suite la trousse de toilette, qui lui parait presque aussi précieuse que si elle devait s’occuper d’un écrin à bijoux de grands joailliers.

Elle referme un à un les nombreux sacs de voyage que son Maître avait avec lui, car IL était parti en déplacement pour son activité professionnelle depuis plusieurs jours. Elle est très heureuse de s’être vu confier cette tâche, pouvant découvrir de si près toutes les affaires si personnelles de son Maître, qu’elle n’a jamais vraiment côtoyé dans son environnement et son intimité, ne l’ayant vu que lorsque ce dernier la faisait venir à lui dans les endroits où IL l’appelait, parfois sur son lieu de travail ou en tout autre lieu à sa convenance, mais jamais encore à ce jour dans le célèbre Château de Ses ancêtres, le fameux Château des Evans en terre du Beaujolais. En effet Ses Terres, immense Domaine de forêts, de lacs et de vignobles appartenant à la famille des Evans depuis 1625, s’étendant à des kilomètres autour de l’ancestrale demeure et dont elle a si souvent entendu parler… Thaïs préfère terminer de tout ranger avant de songer à aller se coucher pour quelques heures de repos qui lui seront plus que profitables. Son Maître ne lui a laissé aucune consigne mais elle ne sait pas non plus quelles sont les latitudes dont elle dispose, et elle préfère ne pas quitter la chambre avant l’arrivée du majordome, prévue pour le lendemain matin, se contentant de boire un peu d’eau restée dans la bouteille, même si la faim la tenaille un peu. Elle dépose tous les bagages près de la porte d’entrée de la suite de ce château-hôtel qu’elle va quitter bien à regret, mais avec plein de souvenirs qui lui tiendront chaud au cœur. Les sacs s’accumulent les uns après les autres, bien rangés contre le mur, Ils sont tous noirs et assortis car le Marquis d’Evans est soucieux du moindre détail. Thaïs n’a gardé avec elle que son propre sac de voyage avec sa trousse de toilette pour se laver au réveil et aussi ses habits pour se vêtir avant de partir. Elle regarde le grand lit de la chambre si vide maintenant, et décide de se coucher sur la descente de lit, là même où son Maître l’avait faite coucher dans la nuit du Vendredi, car elle n’ose pas, bien que seule dans la chambre, s’approprier pour la nuit le lit qui a été utilisé par son Maître depuis deux jours. Elle s’endort paisiblement, nue, enfin presque nue car portant de manière maintenant définitive son nouveau collier qui a été scellé sur son cou quelques heures plus tôt par son Dominant et qu’elle n’aura plus jamais la possibilité de défaire de sa propre initiative, ne pouvant le faire sans la goupille spéciale détenue par le Marquis qu’Il a emporté avec lui…

8H00… Le réveil tire Thaïs de son sommeil qu’elle a apprécié après ce merveilleux WE riche en émotions. Elle se lave et s’habille tranquillement avec l’une des tenues que son Maître lui avait demandé d’apporter avec elle. Elle se rend compte que finalement, elle avait emporté bien plus d’habits que ce qu’elle n’a eu besoin en réalité, restant la plupart du temps nue en présence du Châtelain, à l’intérieur de la suite, présence qu’elle n’a quitté que pour aller dîner le premier soir et aussi pour suivre Thierry, le jeune businessman, à qui elle avait été chargé de jouer une comédie effrontée suivant le plan décidé par le Marquis d’Evans… Elle enfile donc son tailleur sobre, de couleur bleu marine, avec un chemisier de soie blanche, ayant préalablement mis ses sous-vêtements, bas et haut assortis, le tout en dentelle blanche. Elle fixe ses bas fins, de couleur chair, sur son porte-jarretelles et commence à se maquiller discrètement, comme elle a l’habitude de le faire quand elle se rend à ses bureaux en plein centre-ville, ceux de la société immobilière qu’elle gère. Elle pense que son travail l’attend, car elle a quitté son bureau depuis Vendredi, ayant laissé de nombreux dossiers en suspens et surtout aucune information et consignes pour ses collaborateurs qui ignorent tout de sa réelle condition d’esclave-soumise. Elle espère qu’aucun d’eux ne fait partie d’une communauté D/s et ne comprendra la réelle signification de son nouveau collier avec l’anneau en « O » qui pend en son centre, qu’elle va maintenant arborer en permanence au centre de ses décolletés, mais il est vrai qu’elle ignore tout de la vie intime et sexuelle de ceux avec qui elle passe pourtant de nombreuses heures par semaine…

10h00…. Thaïs est prête depuis de longues minutes, n’ayant pas pris le risque d’être en retard. Elle attend sagement assise dans le fauteuil face à la porte d’entrée l’arrivée de Walter, le majordome. Elle pense que ce doit être quelqu’un de ponctuel qui respectera l’heure fixée par son patron, mais elle sait aussi qu’il est sur la route soumis aux aléas et autres retards potentiels. De toute manière, elle n’a rien à faire d’autre que d’attendre dans la soumission la plus totale, réfléchissant à la condition qui est la sienne depuis qu’elle est devenue l’une des esclaves femelles de Monsieur le Marquis Edouard d’Evans. La soumise n’a jamais vu le majordome dont elle a souvent entendu parler par son Maître, et elle est malgré tout un peu inquiète car il semble ne pas être particulièrement facile. Son Maître est certes très intransigeant avec elle, ne lui laissant rien passer, mais d’un autre côté, IL est son guide, son protecteur et IL sait aussi se montrer tendre, lui octroyant de nombreux plaisirs et autres marques d’attention en récompense de sa dévotion ou simplement quand IL le souhaite. Mais, là, elle pense qu’elle n’aura rien à attendre de positif de celui qui va venir la chercher, autre que de le voir exécuter scrupuleusement et froidement les ordres du Marquis d’Evans pour elle qui n’est ni plus, ni moins, qu’une insignifiante chienne ayant rejoint malgré tout assez récemment le cheptel du Noble.

La porte s’ouvre sans que l’on ait frappé. Un homme en costume-cravate assez grand avec une large carrure entre. Thaïs se lève pour l’accueillir ne sachant pas très bien comment elle doit se comporter et préfère donc attendre avant même d’ouvrir la bouche et de dire bonjour. D’un pas ferme et décidé, Walter s’approche du fauteuil où Thaïs attend droite sans bouger. Avec une force manifeste, et sans un mot, sans un sourire, les yeux fixes, le regard froid, il gifle sans préambule la soumise à deux reprises, une sur chaque joue, lui laissant de part et d’autre la marque rouge de ses épais doigts sur le visage. Thaïs ne comprend pas cette entrée en matière, car elle pense qu’elle était prête à l’heure et qu’elle avait suivi et respecté à la lettre les consignes de son Maître, et elle ne peut s’empêcher de répliquer :

- M… Mais, pourquoi ? … Qu… Qu’ai-je fait de mal ?
- Toi, la chienne, tu te tais et tu attends qu’on te questionne pour ouvrir la bouche. Compris ?

Thaïs voudrait dire « Oui » mais elle pense qu’il vaut mieux qu’elle ne dise plus un seul mot avant de comprendre ce qui se passe et donc elle répond positivement par un hochement de la tête tout en baissant les yeux en signe de soumission. Puis elle reste ainsi, debout les bras le longs du corps et la tête baissée, à attendre.

- En l’absence de ton Maître, tu dois te comporter de la même manière, considérant juste que je le remplace car IL ne peut pas s’occuper de tout et être partout à la fois. IL a dû rentrer précipitamment, car IL avait une importante réunion de travail programmée tôt ce matin dans les locaux de son Entreprise (voir la Saga saison 2). Sache que j’ai tout pouvoir pour te punir pour tes manquements aux règles et que je ne vais sûrement pas me priver de t’apprendre les bonnes manières. Crois-tu que c’est ainsi que tu aurais attendu ton Maître ? Tu ne pensais tout de même pas que j’allais juste venir pour faire le chauffeur larbin, taper à la porte, arriver en livrée avec casquette, te saluer avec une courbette et en disant « Bonjour, la voiture de Madame est avancée ! », dit-il avec une perverse ironie.

Thaïs a toujours la tête baissée devant le regard de cet homme qui la toise d’un air pervers et malicieux et qui lui parle si durement, en lui criant presque dans les oreilles. Elle sent qu’il attrape le chemisier de soie qu’elle porte et qu’il tire violemment dessus au point de le déchirer et de faire sauter tous les boutons.

- Tu as soixante secondes pour te mettre nue, à quatre pattes face à la porte d’entrée, dans la position et à l’endroit où tu aurais dû te trouver à mon arrivée. Je te donne 60 secondes, pas une de plus, le temps que j’inspecte la chambre et les bagages de Monsieur le Marquis que tu as dû préparer. Cela ne t’empêchera pas de recevoir une punition, mais il faut commencer par repartir à la case départ. Et puis, tu crois que c’est une tenue de bourgeoise que tu vas enfiler pour quitter ce lieu, avec des sous-vêtements en dentelle, parce que je suppose qui plus est, que tu as eu l’imprudence de mettre une petite culotte. Tu m’obliges donc à te punir doublement...

(A suivre…..)

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Histoire sexe : Une rose rouge
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