Dans la chaleur de l'été (5)

- Par l'auteur HDS Arnaud Desens -
Auteur homme.
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Récit libertin : Dans la chaleur de l'été (5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2014 dans la catégorie Plus on est
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(9.0 / 10)

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Dans la chaleur de l'été (5)
Nous marchions bras dessus, bras dessous dans l’air frais de cette nuit d’été. Fatigués de nos aventures, mais heureux de ces rencontres. Les terrasses des cafés se vidaient petit à petit. Quelques groupes parlaient fort, riant en buvant des coups. Nous rentrions tranquillement, en silence, savourant les derniers frissons de plaisir qui parcouraient nos corps. Qu’y avait-il de plus agréable que le sexe entre adultes consentants ? pensais-je. L’image de Gilles traversa aussi mon esprit, j’avais été son premier mec, et il y avait pris un vrai plaisir. J’étais perdu dans les pensées quand j’entendis une voix nous héler. Sophie. Installée à la terrasse d’un café, elle prenait un verre accompagné d’une superbe femme. Elle nous invita à la rejoindre et nous présenta à son amie.

Gisèle avait 20 ans, elle était mannequin, e qui n’était pas étonnant. Elle avait une poitrine superbe qu’elle mettait bien en valeur, de grands yeux bleus, et une peau qui appelait les caresses. Émilie fut immédiatement sous le charme, et elle me dit avant de nous assoir qu’elle adorerait rentrer avec elle.

Nous commandâmes un verre et trinquâmes avec les deux filles. Nous n’avions pas vu Sophie depuis que je l’avais présentée à Emilie.Même si nous en avions eu envie, l’occasion de nous revoir ne s’était pas présentée.

Nous echangeames des propos banals sur le temps, nos vies, et Sophie nous demanda ce que nous avions fait de cette soirée, si nous étions allés danser au bal des pompiers. Émilie ne résista pas à l’envie de raconter nos rencontres. Bella prise dans l’étroitesse d’une cabine de toilette. Gilles et Flora dans leur chambre d’hôtel. L’initiation de celui-ci aux plaisirs homos. Elle ne se gêna pas pour entrer dans les détails. Sophie souriait, peu surprise de nos aventures, dont elle avait été une des participantes quelque temps auparavant. Gisèle écouta sans rien dire, buvant de temps en temps une gorgée de son verre. Si Émilie cherchait à la choquer, c’était raté.

— Je pense qu’ils ont passé une plus belle soirée que la notre, dit elle à l’attention de Sophie une fois qu’Émilie eu fini.
— La nuit n’est pas terminée lui répondit Sophie.

Émilie sourit, elle savait que les choses allaient finir comme elle le souhaitait. Elle proposa alors que tout le monde aille boire un dernier verre chez nous.

— Si tu nous promets que ce ne sera pas juste un verre, lui répondit Gisèle en se levant.

De verre il n’y en eut pas. À peine avions-nous franchi la porte que Gisèle se jeta sur Émilie et l’embrassa à pleine bouche, la colla à elle et fit courir ses mains sur son corps.

— Il ne faut pas m’en promettre trop, dit-elle, tu m’as chauffé à blanc avec tes histoires, maintenant il va falloir assurer, je mouille à mort.
— Pas de problème ma belle, lui répondit Émilie, je rêve de te baiser depuis que je t’ai vue.

Les deux femmes allèrent jusqu’au salon sans se décoller l’une de l’autre et Émilie plongea vers le sexe dégoulinant de Gisèle. Lisse comme un péché, elle le lécha comme si sa vie en dépendait, comme si elle n’avait pas eu sans compte de sexe pour la soirée.

— Toujours aussi gourmande, me dit Sophie.
— Toujours aussi bandante, lui répondis je en lui caressant les fesses.
— Je suis heureuse de te faire de l’effet, me dit-elle en posant sa main sur ma braguette t constatant que malgré ma folle soirée, je bandais encore.

Sophie bandait aussi, et je la fis assoir pour prendre sa bite en bouche. Elle se déshabilla, et je fus une nouvelle fois bluffé par sa beauté, sa féminité, et cette queue bien dure, ferrement dressé qui n’attendait que ma bouche.

Émilie et Giséle s’étaient mises en 69 sur le tapis du salon. Elles gémissaient de concert.
Nous nous installâmes pour regarder les filles et Sophie me raconta son histoire avec Gisèle. Elle l’avait connue alors qu’elle était encore un homme. C’était la petite sœur d’un ami. Elle l’avait vu souvent chez lui, avait joué avec elle. Son pote lui avait dit un jour que Giséle était amoureuse de lui. Sophie avait rigolé, trouvé ça mignon. Il avait 17 ans et elle 13.

— Je ne pensais plus à elle, ni même à mon ami de l’époque, poursuivit-elle, et puis il y a quelque temps, je vais à une expo de photo, je flâne dans la galerie quand je sens une présence. C’était Giséle. Je l’ai reconnue tout de suite. Elle avait grandi, était devenue femme, et quelle femme, mais elle avait le même regard, les mêmes gestes. CE qui est le plus surprenant c’est qu’elle m’a reconnu tout de suite aussi. Pourtant j’ai bien changé. Si je te montrais de photos de moi à 17 ans tu ne me reconnaitrais pas. Mais elle si, elle est venue, et ma appelé par mon ancien prénom. J’ai été surprise, plus personne ne m’appelle comme ça, à part mes parents et encore. Je lui ai dit que maintenant j’étais Sophie. Elle a souri, et elle m’a embrassé.
« — Tu sais que j’étais amoureuse de toi à l’époque, m’a-t-elle dit. »
Je savais bien sûr, mais j’ai fait l’étonnée.
« — Je me masturbais en pensant à toi »
Je lui ai dit que j’étais flatté, mais qu’elle devait être déçue de me voir en femme.
« — Pas du tout, je dirais même que je te préfère comme ça, dit-elle, comme je préfère les femmes, mais que je ne dis pas non aux hommes, tu résumes parfaitement ce dont j’ai envie »

Elles sont alors parties de l’expo et sont allées chez Sophie. Gisèle s’est mise nue. Sophie a admiré le corps parfait de celle qu’elle avait connue adolescent. Alors, timidement, à son tour elle s’est déshabillée, révélant son ambigüité. Ses seins, et sa queue. Ses formes féminines et sa masculinité cachée. Giséle est venue l’embrasser. Se serrant contre Sophie, caressant sa peau douce, ses seins, et prenant sa bite dans sa main.

— Tu es si belle, lui dit Gisèle, si parfaite.

Elle guida Sophie vers le lit, sans lâcher son sexe, et la fit entrer en elle. Elles firent l’amour tendrement, sans précipitation alors qu’elles étaient l’une comme l’autre folle d’excitation. Elles s’aimèrent toute la nuit, et ne s’étaient pas quittées depuis.

— Je ne pensais pas dire ça un jour, mais je suis amoureuse. Gisèle, qui m’avait aimé secrètement quand j’étais un autre, m’aime tout autant, voire plus maintenant que je suis pleinement moi.

Émilie et Gisèle avaient joui devant nous, explosant chacune dans un grand cri. Elles s’embrassaient désormais, se lovaient l’une contre l’autre, et écoutaient Sophie raconter son histoire.

— Mais je t’aime pour ce que tu es et ce que tu n’es pas, n’est plus, je t’ai toujours trouvé beau, et je te trouve belle, dit Gisèle, mais on ne va pas faire dans le culcul, on est là pour baiser avec tes amis.

Je caressais Sophie depuis un moment, sentant sa queue sous mes doigts, avec l’envie très forte de la prendre dans ma bouche. Les deux filles s’approchèrent, m’embrassèrent, embrassèrent Sophie et nous nous miment tous les trois à sucer Sophie. Nous nous passions sa queue de bouche en bouche, nous embrassant autour d’elle, caressant ses couilles, ses seins.

— Baise-moi, me dit Gisèle, je veux gouter à vous deux ce soir.

Elle se mit à quatre pattes et je la pris en levrette pendant que Sophie continuait de se faire sucer par Émilie.

— Encule-moi, lui dit elle en lâchant sa queue, j’adore te sentir dans mon cul.

Sophie se plaça derrière Émilie. Les deux femmes se faisaient face et s’embrassaient pendant que Sophie et moi les prenions par-derrière. Je jouis sur les fesses de Gisèles, et regardait Émilie atteindre l’orgasme sous les coups de bite de Sophie.

J’étais épuisé, Émilie aussi, mais nos invités, qui n’avaient pas passé la même soirée que nous avaient désormais faim de sexe, et pendant que nous nous reposions, continuèrent à s’amuser sous nos yeux.

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