Marathon man

- Par l'auteur HDS Jpj -
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Marathon man Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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Couleur du fond :
Marathon man
Le gland était encore couvert du prépuce. Pourtant la tige bandée tirait sur la peau et commençait déjà à en dégager, à moitié, la tête.
La tête cherchait. C'était une tête chercheuse. Elle cherchait doucement, calmement. Comme une truffe, elle humait l'air ambiant, éclairée, déterminée. Elle savait, la tête, où trouver.

Le papillon a ouvert ses deux ailes, son creux luisait de l'attente.

Le gland était nu, glabre, parcheminé comme un litchi. Le gland était d'accord pour goûter au suc à l'élixir à la royale gelée. Il n'est pas entré, le gland, non, juste il s'est appuyé sur les deux lèvres plissées gluantes visqueuses, comme pour dire sa présence et aussi s'oindre un peu.

Le gland était prêt. Juste il voulait se faire un peu désirer, être patient, ne pas se hâter.

La fleur a voulu parler mais sa parole n'est pas venue. Juste un hoquet, comme pour gober. Le gland, et la bite avec lui, ont compris et se sont laissé happer. Pas beaucoup, pas profond, non, juste comme ça pour dire bonjour, pour saluer.
Ils furent bien reçus.
L'antre fluide palpait palpait et palpitait et le gland était bien ainsi, il aimait
Elle, elle a ouvert encore les cuisses, elle a relevé encore les genoux, hiboux cailloux bisous dans le cou tout doux
Lui, a compris le message et l'a serrée doucement de ses longs bras en tendresse
Planté jusqu'à la garde il alla toucher délicatement le dur au fond d'Elle.
Il avait ses deux jambes hautes dans les bras et pesait sur elle, en elle.
La bouche cherchait trouvait la bouche et la salive de l'un coulait en l'autre.

Les poils vrillaient le bouton ouvert sur la minuscule boulette brillante qui enflait lentement
Les coups retenus faisaient monter, en résonance de la bite tendue, cet autre sexe, ami, camarade, copain, petit frère content lui aussi d'être là, de participer.

La tige sentait le conduit serré qui l'enfermait. Le bout touchait l'ouverture de l'intime col de la vie, l'épousait. Il repérait, déterminé à y gicler bientôt chaque millilitre de bonne semence, là là et pas ailleurs.
Pour que rien ne se perde.
Car c'était bien là le but à atteindre, l’unique raison d’être de la visite.


Mais le chemin, lui aussi a son importance … peut être même, au bout du compte, que le chemin est aussi important que le but. Qui sait si le chemin, en fait, n’est pas la seule justification du but…
Des philosophes, des ecclésiastiques vous diront, s’il y a plaisir à baiser c’est calculé par le Bon Dieu pour perpétuer l’espèce.

Et s’ils se trompaient ces experts ? Et si c’était l’inverse ? Si le besoin de se survivre n’était que le levier inventé par Dame Nature pour que les hommes et les animaux et même aussi les plantes trouvent le plaisir, même mieux le bonheur de se donner mutuellement du plaisir ensemble ?
A être ensemble…
Ensemble


En attendant il y avait encore du chemin. Et ce chemin ils l'aiment bien.
Ils aiment ça, limer, passer l'archet sur les cordes et se faire chanter mutuellement, en duo, dans le même ton
Ils aiment être entendus, compris, appréciés l'un de l’autre.

Elle le dit en bisous, petits bisoux. Elle le dit par des chants de mélopée, des chants dont on ne comprend pas un mot. Mais en vrai il comprend tout ce qu'elle dit. Enfin des chants dont ils se souviendront longtemps après avec de la tendresse et des larmes plein les yeux.

Quand vient le moment, il guette son sourire pour être à l'unisson et quand sur son visage la flamme s'allume, il n'en peut plus et lâche tout et le feu d'artifice en bouquet est l'offrande ultime de tout ce qu'il a depuis longtemps préparé pour lui donner.

Alors le don est d'Elle, de sa béatitude, de sa main sur la nuque serrée pour le retenir, de ces vagues lentes qui déferlent de ressac en ressac interminablement du fond de son ventre, et aussi ensuite de son apaisement pour laisser du temps au temps.
Juste l’essentiel


De façon étonnante l’affaire avait été menée sérieusement. Une affaire traitée calmement entre protagonistes sensés et avisés, assis tous trois à la table de la salle à manger, un dimanche après-midi ensoleillé. L’homme n’était pas un ami du couple, non, juste une relation, une rencontre de vacances revue plus tard par hasard.


C’est le mari qui avait eu l’idée.

Elle et lui parlaient depuis déjà plusieurs mois de PMA. Souvent. Presque tous les jours. Mais l’idée de s’en remettre au bon vouloir de l’IVI les rebutaient. Ce n’était pas qu’ils aient de grandes exigences mais tout de même, elle, voulait qu’il soit à son goût et lui voulait, au moins, savoir.
Le CEGOS parlait d’appariement des caractères phénotypiques pour que l’enfant ressemble au mieux à son père légal. Ils disaient aussi pratiquer une sélection des gènes pour éviter myopie et autres anomalies génétiques et puis prophylaxie du SIDA.

Mais l’un et l’autre pensaient qu’il valait mieux faire son affaire soi-même et choisir le géniteur par affinité personnelle plutôt que sur des critères d’experts. O tyrannie des experts en ce siècle…
Elle surtout avait des réticences à porter un enfant sorti d’un tube à essai congelé, inséminée à la pipette comme une bête.

Quand ils ont eu esquissé l’idée, l’évidence s‘est faite d’un bon choix possible avec cet homme qui habitait à l’autre bout du pays, vivait seul, paraissait en belle santé sportive et avait un comportement social équilibré de bon sens et d’agilité intellectuelle.
Restait à le convaincre.
L’approche a été rapide, après quelques mails pour échange de photos des vacances et l’annonce d’un déplacement professionnel d’une semaine, l’offre d’hébergement, les relations amicales tissées entre les deux hommes.
Très vite, en toute honnêteté, le mari a exposé leurs espoirs un soir autour d’un verre.
L’homme a voulu réfléchir puis leur a écrit une longue lettre pour marquer son acceptation en expliquant qu’il les laisserait libres de dire ou ne pas dire, qu’il n’exigerait pas l’anonymat, et que lui-même, s’il venait à se marier, dirait l’existence de cet enfant à sa future et surtout qu’il ne revendiquerait rien, jamais.



On y était. L’homme était chez eux en ce dimanche après-midi, assis avec eux à la table.
Demain matin le mari partirait pour une semaine à Düsseldorf tenir le stand de sa boite à Interpack. La semaine était pile la fenêtre de fécondité.
Ce soir, elle passerait encore la nuit dans les bras de son mari.
Ils étaient tous les trois à parler autour de la table et rien n’était facile. Il avait apporté son test VIH. Ils n’avaient rien demandé mais c’était mieux ainsi. Enfin, rien n’était facile, c’est cela que tous trois ressentaient.


Il ignorait alors que cette femme qu’il ne désirait pas, à qui il ferait l’amour par simple amitié, par compassion, par devoir social, allait se révéler une amoureuse expérimentée pleine de fougue aussi attentive à leur plaisir qu’à la mécanique procréative.


Quand il s’est levé matin, le mari était déjà parti prendre son avion. Elle l’attendait devant un solide petit déjeuner. Il a pensé, elle gave l’étalon avant la saillie. Mais non, elle n’était pas en nuisette affriolante mais habillée d’un jean quelconque et d’un gros pull informe.
Elle est restée avec lui, silencieuse, à écouter les nouvelles sur le transistor en le regardant manger ses tartines.

Juste elle a dit, en rangeant les bols dans le lave-vaisselle, mon ovulation est pour après-demain, on peut donc commencer tout de suite. On aura pas trop de 5 jours…
Et elle a filé pendant qu’il prenait sa douche. En retournant dans la chambre d'ami, il vit qu’elle avait déjà fait le lit. Mais l’avait laissé ouvert du drap plié en biais sur le coté.

Il avait noué la serviette à sa taille, en pagne.

Elle est arrivée derrière lui, silencieuse. Elle s’est collée à son dos humide. Il a senti la laine rêche du pull et les seins écrasés sous ses omoplates. Elle a passé les mains sur la serviette mais cela n’a pas suffi pour que le noeud s’ouvre. Elle a alors écarté le pan de la main droite, a relevé les couilles et le paquet encore mouillés mal séchés avec tendresse, glissant sur la hampe molle et élastique, la relâchant à gravité.
Il se retourna et la prit, dans ses bras comme une jeune mariée à qui l’on fait passer le perron du domicile conjugal au soir des Noces.
Après l’avoir posée assise sur le lit, il lui dit, voulez-vous un garçon ou une fille ?

Regardez. Une île déserte, un seul homme, vingt femmes. La Nature veut que les enfants à naître soient des hommes, pour rétablir parité. Donc l’homme nique matin midi et soir, les spermatos sont frais et tous les bébés sont des garçons.
Une autre île, le contraire, vingts mecs pour une femme. Les gars niquent chacun maxi deux fois par mois, les spermatos sont quasi péremptés et tous les bébés à naître sont des filles.

Explication : dans le sperme il y a beaucoup plus de spermatos XY que XX mais la durée de vie des XY est courte. Résultat, dans le sperme frais il y a majorité de mâles et dans le sperme ancien, majorité de femelles.
Alors aujourd’hui, si je vous féconde, ce seront de vieux spermatos XX et avec encore deux jours à attendre l’ovulation, sûr d’avoir une fille.
Si vous préférez avoir un garçon, alors je propose le processus suivant :
Pendant deux jours vous me sucez à fond pour éliminer tous les vieux spermatos et on commence notre affaire seulement mercredi avec les bons tous neufs.

Elle lui dit, je suis OK.

Mais tout de même, si je suis votre raisonnement, il n’y a pas que la pipe comme technique adaptée à ce déterminisme procréatif de genre. Vous pourriez aussi vous branler vous-même personnellement pour évacuer votre trop plein de sperme.

On voyait qu’elle était dans des conjectures, des hypothèses
Qu’elle était dans des pensées
Interlopes.

Vous branler, ou même, à la rigueur, m’enculer…
Mais elle est revenue sur terre, allez, déjà on va commencer par un pompier.
Pragmatique et simple, qu'elle était, cette fille.

Il était debout, elle était assise au bord du lit. Elle l’a retourné. Elle a planté son nez dans la serviette au niveau des reins. Des deux mains elle a ouvert le pagne faisant saillir la lance déjà épanouie par ces discours.

Sa main droite était autour de la bite tirant doucement sur la peau pour dégager le gland.
Sa main gauche est revenue en arrière, à ses lèvres, et elle a déposé furtivement dans sa paume des glaires clairs dont elle a ensuite enduit le gland, d’un mouvement rapide, englobant.
Le gland a tout senti, il était bien de cette chaleur de cette douceur le nappant.
Les deux mains ont alors alterné lentement des aller-retour enchaînés, remontant l’une après l’autre depuis l’extrémité jusqu’au pubis, tirant sans retenue la peau pour dégager la tête, le col, le cou…
Une bite ça n’a pas d’épaules…
L’homme pensait, elle a eu vite fait de prendre les choses en mains ! Et je m’en vais gicler là bientôt tout de suite, en vanité pour rien.
Les deux bras de la femme contournaient ses hanches et s’activaient. Elle ne regardait rien, le visage enfoui contre les fesses, en appui sur la serviette.

Les mains étaient douces du foutre qui suintait puis jaillit, abondamment. Foutre blanc laiteux visqueux. Les mains, ses paumes enduisaient la tige, la hampe, le gland.
Ses doigts s’attardaient autour du méat, légers, pour déclencher encore une pulsion, encore un ultime sourire.
Les mains sont remontées dans sa toison pour se sécher un peu, sur le ventre aussi.
L’homme s’est retourné. Elle s’est levée, a pris sa tête à deux mains et l’a attirée à elle pour le regarder. Les joues fraiches de son propre foutre, il a plongé ses yeux dans ceux de celle qui avait, si facilement, su faire monter sa sève.

Les yeux de la femme étaient gais. Il ne savait que penser…


Après qu’il eût repris une douche et se fût habillé, elle lui demanda de la mener chez Auchan pour ravitaillement, avec son auto.
Elle avait gardé son pull et son jean. Elle n’était vraiment pas sexy. Lui repensait à ces quelques gestes qu’elle avait eus et qui l’avaient troublé au point qu’il s’était épanché aussitôt comme un ado.
Il se demandait aussi à quel jeu elle jouait et si elle et son mari n’étaient pas complices d’une mystification dont il faisait, lui, les frais.

Ce mari soi-disant stérile n’était-il pas dans le candaulisme et son épouse une simple nympho sans vergogne ?
Mais non, ce n'était pas son sentiment, ce n'était pas ce qu'il ressentait
Il se sentait en ambiance de sincérité
Ce mari, son ami, qui lui avait confié son épouse, était en réel désir d'enfant
Cette femme ne cherchait pas non plus à le séduire
Ce n'était pas une gourgandine avec son jean deux tailles trop grand.

Mais alors comment comprendre cette allégresse, cette joie coquine ?

Sur le chemin de banlieue vers le centre commercial où elle le guidait
Elle avait posé la main sur sa cuisse
La main était active et triturait le dessus de la cuisse avec force
Pourtant il ne demandait rien, n'avait rien demandé.

Ils ont été arrêtés par un contrôle de Gendarmerie
Elle a alors posé sa main entre ses cuisses sur la braguette
Il a pensé, elle a besoin de se rassurer et alors il a bandé
Le caporal a salué militairement à la fenêtre
Elle n'a pas levé la main de la bite raide qu'elle coiffait
Qu'elle couvrait, comme pour la protéger

Bien entendu les choses étaient en ordre et le Gendarme leur a fait signe d'aller
Mais il pensait, le Gendarme, y a sur cette terre des veinards qui ne savent pas, les cons, leur chance
Lucide, le Gendarme...

Les deux, là, l'étaient moins, qui n'avaient rien compris de leur divine complicité
Instant rare, là dans l'auto.
Pensaient juste, l'un à donner à bon escient, l'autre à recevoir en fécondité
Et tout ça au bénéfice d’un mari qui ne pouvait se survivre et en crevait en cauchemars quotidiens
Chaque nuit. Toutes les nuits.

Cette main sur la bite dans l’auto était un adoub
Une consécration
Ca il l’avait compris et en était fier.

Au supermarché, rien
Sur le chemin du retour non plus
A la maison, rien qui mérite d'être rapporté
Puisque c’est de cul, ici, que l’on doit parler.

Midi, elle a préparé un repas copieux et ils l’ont pris ensemble, sans façon, sur la table de la cuisine. Ils ont parlé de leurs vie mais pas du tout de cette affaire qui les tenait ensemble ici en intimité pour cinq jours. Ce n'étaient même pas des relations de copains, tout juste des relations de collègues de travail…

Pas de sieste non plus
La fête était-elle finie ?

Elle lui dit, on est lundi, venez on va se faire une toile

Ils n’ont pas choisi un film porno mais un vieux Woody Allen au Quartier Latin
Pourtant, à peine dans l’obscurité, elle est venue à la braguette
D’abord juste paume immobile pour tenir au chaud
Puis plus active en préhensions lentes, devant les images de l’écran
Sur la bite dressée qui levait le tissu elle gardait sa main en coque
Et serrait serrait doucement
L’homme était passif, comme indifférent, semblant captivé par l’écran devant eux
Elle a lâché le mat pour filer entre les cuisses palper le tissu épais sur les couilles dures
L’homme a ouvert les cuisses, marquant sa consentance
Du bout des doigts, des quatre doigts, le pouce, lui, planté dans le plis de l’aine
Les quatre doigts descendant loin, au velours du siège, pour remonter
Et faire rouler les boules entre peaux chairs et tissu et les sentir, et les toucher



Les gestes étaient lents mais les sensations incroyablement fortes.
Il se revoyait ado, au balcon du Rex ou du Palace de son enfance, tripoté par sa petite amie, gamine du quartier, dans des parties torrides de touche-pipi réciproque devant les exploits de John Wayne.
Il pensait à sa maman qui regardait, mère clairvoyante, son slip à laver, raide de ces dimanches après-midi au cinéma. Souvenir étonnant de fierté maternelle…

Là il y était à nouveau et se demandait s’il allait aujourd'hui décharger comme un gamin dans son calbut sous la main habile de cette femme qui n’était rien pour lui, même pas une amie, une copine, un flirt. Cette femme qu’il avait juste accepté de féconder … pour faire oeuvre sociale utile, pour aider, en bénévole en quelque sorte.

Elle jouait avec la boucle de la ceinture
Elle avait tiré l’extrémité hors du passant
Maintenant elle avait la longueur en main et tendait le cuir pour dégager l’ardillon
Elle n’a pas eu besoin de l’autre main
Il pensait, cette femme est expérimentée
Elle te défait une ceinture comme un play-boy dégrafe un soutien-gorge à travers le chemisier
D’une seule main et dans l’obscurité.

Le zip d’abord, le bouton du haut ensuite
Inouï le bruit crissant de la descente du zip dans une salle de cinéma au public clairsemé un lundi après midi pendant les dialogues sous-titrés d’Annie Hall
Tout le monde avait entendu, avait compris
Et Diane Keaton, même, était complice.

Le calbut blanc faisait tache dans l’obscure clarté
Et la main dessus coiffait la bite échappée.

Elle a délicatement décalotté la bête puis sa main est restée à serrer la tige en retenant bas la peau en dessous du col
Longtemps, au moins durant plusieurs plans-séquences du film
La peau fine du gland était asséchée et ridée, elle ressentait la froidure de l’air conditionné.
Mais la main restait inerte, attendait.

Puis elle est partie en aventure dans les profondeurs du caleçon. Caresse empaumante des couilles et descente légère sur le périnée, juste effleuré.
Sur ces quelques centimètres le bout du grand doigt montait descendait comme on le fait sur le bord d’un verre de cristal pour déclencher la vibration.
Il pensait à ça, à une coupe large mi-pleine de champagne brut, le doigt légèrement mouillé qui tourne sur l’arête circulaire, léger et cette note aiguë puissante qui emplit l’espace tant et si fort que personne n’en devine l’origine.

La peau du gland sèche, fraîche, incroyablement fine et délicate, impatiente hurlait son désir, son besoin, son attente.
Le doigt est remonté, le même doigt, le grand. Il a tourné autour du gland, sur le renflé, le bout du doigt, là où sont les empreintes digitales, glissait effleurant à peine la peau en faisant jaillir dans la tête de l’homme une note encore plus aiguë encore plus puissante. Une note différente mais en harmonie avec la précédente.

Elle a joué longtemps de son doigt archer, montant parfois sur le méat comme un chef d’orchestre lâche les cuivres pour un éclatement violent avant de retourner aux violons et altos et à la calme mélodie.

Elle savait les gestes et prenait plaisir à montrer sa science.

Lui pensait, elle veut me vider les couilles, c’est tout. Sa motivation est chaste, froide.
C'était exactement cela : elle savait les gestes
Son mari ou d'autres hommes lui avaient dit, avaient montré expliqué enseigné
Mais peut-on enseigner ces choses-là ?
Il faut au moins de réelles aptitudes chez l'élève, un don...
Non, non, ce n'est pas de ce don-ci que cette histoire est titrée

Le Don dont je veux parler ici est d'une autre nature

Dans le cinéma, tout le monde se concentrait sur les dialogues en anglais et l'approximatif raccourci des sous-titres, sauf eux. Lui, avait mobilisé la totalité de ses neurones pour penser à sa queue, à son gland, à son scrotum et à la peau striée tendue de celui-ci. Lui ne pensait pas, juste il jouissait sous les caresses. Elle, elle était dans son trip pour le faire venir et qu'il évacue ces spermatozoïdes féminins en stock pléthorique au creux de son ventre. Elle savait y faire et allait y arriver, elle le savait. Ce truc-là, elle l'avait fait cent fois et ça marche à tous les coups.

Il regardait Diane Keaton avec ses lunettes sur l'écran et pensait, femme à lunettes, femme à quéquette. Il pensait celle-là, à côté de moi qui me tripote, sûr qu'elle doit aimer ça le tripotage des garçons, vu l'enthousiasme qu'elle montre... La procréation c'est rien que prétexte et j'ai honte en pensant au mari. Peut plus passer sous les portes depuis longtemps le pauvre avec les bois qu'il porte...

Enfin Diane est bien belle et cet avorton de Woody Allen ne la mérite pas.
Et lui, la méritait-il cette femme assise près de lui sur le fauteuil de velours rouge ?

Avait-elle quéquette ? Elle aussi ? Il ne tarderait pas à le savoir. Mais pour l'heure la question ne taraudait pas son esprit.
Enfin, probablement que si ... les choses de l'esprit sont bien obscures, surtout au Studio des Ursulines, devant un vieux film aux couleurs passées.

Elle avait posé la main paume sèche sur le gland, comme pour l'abriter des courants d'air froids. Tout allait bien, tout était bien.

La question est venue sur ses lèvres, sans y avoir pensé. Il n'était pas causant aussi l'entendre parler, en murmure à l’oreille, l'a surprise.
Il a dit, toi qui portes lunettes, as-tu quéquette ?

En fait, ce qui les a surpris, l'un et l'autre ce fut le tutoiement.
C'était la première fois
Première fois qu'ils parlaient d'autre chose que du temps qu'il fait
Cette première fois a induit aussitôt le tu.

Elle a dit, sans réfléchir, comme un smash au ping-pong, tu le sauras bientôt
Te faudra me la sucer ma languette si tu veux m'enculer
Et l'aspirer et la faire vivre entre tes lèvres
Tu verras alors si la femme à lunettes est aussi femme à quéquette.
En as-tu connu à Strasbourg, des femmes à lunettes ?

Le générique de fin est arrivé trop tôt et il l'ont tous deux regretté.
Le parking souterrain, la voiture, le retour au pavillon dans cette banlieue parisienne embouteillée...
Cette fois-ci, elle n'avait pas posé sa main, rien.

Dîner copieux, face à face, à la cuisine sur le Formica rouge.

Sans dialogues de lunettes ni choses de cet ordre. Juste discussion sur les thèmes du film et de la séparation. Et l’humour juif.
Puis ils ont regardé sans conviction une bêtise sur Arte
Elle a dit, je vais me coucher, à demain
Il a compris qu'elle ne lui proposait pas de partager la couche conjugale...

Dans le lit étroit de la chambre d'ami, nu sous la couette, il pensait...
Cette femme est quelqu'un de bien.

Vu qu'il bandait, un homme ça bande tout le temps, il avait posé sa main dessus
Il pensait, ce film de Woody Allen était bâclé, il y manquait deux trois chapitres à la fin.
Moi, j'aurais bien vu un regain, Diane qui revient et ils baisent et ils se rabibochent.

Le bruit de la porte qui s'ouvre l'a secoué, réveillé, sorti de la torpeur des prémisses d’endormissement.
Elle était belle dans la lumière de la table de chevet. Cheveux dénoués en cascades sur le haut de pyjama, les seins pointants au milieu des cheveux noirs qui tentaient sans succès d'en cacher les tétons dressés marquant la fine cotonnade. Le pantalon remontait haut et moulait, devant, sa touffe épaisse et, dessous, deux lèvres ouvertes comme dessin de couverture d'un livre Fantasy SF érotique équivoque, un allien femelle.

Il a posé sur la table de nuit le bouquin qu'il avait en mains pour mieux la regarder et marquer son accueil.

Elle est venue à lui, n'a pas touché à la lumière mais, agenouillée, a relevé le drap. Elle l'a pris dans sa bouche. Bien sûr la bandaison était encore modeste et elle a apprécié de pouvoir le gober sans distendre ses commissures.
Le goût était neutre et l’odeur de savon lui plut, il avait pris une douche.

Elle a pensé, s’il me rendait la politesse il trouverait, lui, trace puissante de mes émois de la journée. Mais il n’y a aucune justification à ça. S’il essaye, je refuserai.
Demain soir, en revanche, je prendrai un bain. Moussant, le bain.
S’il est dans l’idée de m’enculer, et ce serait judicieux si l’on veut assécher ses réserves de spermatozoïdes féminins, lui faudra me préparer longuement. Surtout qu’il est solidement chibré, ce gars.

Elle était en technique fellatrice et pas du tout en sentiment. Elle avait aspiré le gland, entier, avec le prépuce et ses lèvres descendaient sur la hampe. Elle était arrivée le front dans les poils et respirait par le nez en déglutissant comme on fait en avion pour faire cesser la pression des oreilles.
Le gland était derrière la glotte. Elle le sentait rond et chaud et s’appliquait à l’accepter pour éviter le réflexe de vomissement. Elle connaissait bien l’attitude. Ses lèvres ne bougeaient pas, ses dents était légèrement, très légèrement appuyées sur la base de la bite sans vraiment serrer mais en repos. Seul le fond de sa gorge était animé.

Elle a passé les mains sous les fesses de l’homme pour le tenir embrassé contre elle.

Il n’en n’a pas fallu plus pour qu’elle sente le jus chaud taper en cadence le fond de sa gorge tandis que la tige se raidissait haut vers les amygdales à chaque giclée. Elle pensait, voilà encore une fournée de semence péremptée qui ne viendra pas féconder mon ovule.
Elle pensait, ce bon sperme néanmoins plein d’hormones me fera profit. Je ne regrette pas que l’anecdote du cinéma ne soit pas allée à son terme. Il en aurait eu plein le calbut pour rien. C’est dommage de gâcher la bonne marchandise.

Quand l’affaire se fut tarie, elle est remontée de ses lèvres serrées le long de la hampe récupérant, en vidant l’urètre, un petit zeste sur la langue qu’elle a goûté en en badigeonnant son palais.
Elle pensait, je suis une coquine … normalement je devrais ne faire cela que pour la procréation.
Mais si j’y prends un peu mon pied, le bébé n’en sera que plus beau, que plus épanoui !

Elle est venue au dessus des lèvres de l’homme, presque à les effleurer, et a souri, bonne nuit, de beaux rêves, à demain matin.
Et a filé toute seule, au lit conjugal.


Bien entendu au matin, il dormait encore qu'elle était déjà à pied d'œuvre.
Il dormait donc c'était rêve enfin fantasme de nuit de mec qui se sent aller tout seul sous la couette.
Sauf que là on était dans le réel et que lui dormait et croyait à des pensées, des pensées seulement.
La bite était petite
Elle a gobé le gland
La tige était courte
Les peaux sont revenues en arrière dessus
Le gland était nu, glabre sur sa langue
Elle se régalait
Aspirer entre ses lèvres serrées, malaxer entre maxillaires, sucer en cherchant à faire venir l'élixir, le jus entre ses mandibules préhensiles et aimants.

Et il dormait encore
Elle a pensé saurai-je le faire venir dans son sommeil ?
Et elle a voulu le faire, avoir su le faire, l'avoir fait
Elle pensait à l'archange Gabriel, il disait, suce bien l'archange...
On comprend que les abbés aient tous viré pédés...
Normal
Avec ces archanges aux joues roses et aux lèvres finement ourlées

Il a lâché une étonnante salve d'enthousiasme sans avoir rien bandé
Elle a aimé le foutre suave sur ses gencives sur sa langue plein son palais
Elle a aimé la gicle sans l'habituelle tyrannie de la bite monstrueusement bandée qui te tire les lèvres à les faire craquer et la mâchoire béante à te la décrocher définitivement.

Elle a aimé, goûté, tourné cinq fois dans son gosier, le foutre visqueux venu à elle sans crier gare, enfin, venu...

Quand elle a mis ses chaussures pour aller chercher à pied du bon pain frais, elle se disait, le foutre c'est bon pour la santé, c'est plein de bons hormones naturels qui font aux filles la peau fine lisse et douce, et les seins ronds et moelleux.

Au petit déjeuner il pensait, mais n'a-t-elle pas autre chose pour se vêtir que ce vieux jean usé et ce pull trois fois trop grand qui cache ses doux seins pointus qui sont si bien ?

Encore ils se vouvoyaient...

C'était mardi et l'ovulation n’était prévue que pour le lendemain.
Il parlait température, elle a dit, non, moi quand j'ovule je le sais aussitôt, je n'ai besoin de rien ni de personne pour savoir.
Quand ça arrive, mon ventre s’ouvre en volupté. L’envie me prend et ne me lâche plus. Me faut baiser et ça me tient deux trois jours facile. C’est comme rut chez la bête…

Mon mari au début n’en pouvait plus en fin de journée. Je lui prenais tout ce qu’il avait à donner. Au matin, il était définitivement moulu…

Le don, on y revient…

L’homme pensait, et bien qu’est-ce que ça va être demain, déjà que pour les préliminaires elle m’a complètement vidé…

Elle a dit aujourd’hui nous allons visiter un musée. Elle pensait, et si ce soir je veux vraiment le RAZ, si je veux vraiment demain un homme neuf, alors me faut le chauffer à mort toute la journée.
Elle le vouvoyait à nouveau et proposa une petite robe d’été qu’elle est allée passer, d’autorité, dans son dressing, derrière.
Manifestement ils étaient, chacun, en esprit d’élégance car lui aussi avait un beau pantalon de velours cottelé et une chemisette de coton aux couleurs vives.

Il se disait, demain ce sera fécondation mais ce soir il faudra en passer par l’enculade. A deux reprises elle l’a suggéré. Manifestement cela lui tient à coeur. Faudra bien préparer l’affaire car souvent cela tourne court, du moins chez moi pensait-il…
Mais il est vrai que pour vider les couilles d’un mec, rien n’est plus efficace qu’une bonne sodomie.
Et au bout du compte, c’est ça qu’on cherche, rien d’autre n’est-il pas ?

La femme avait en tête de réussir le soir même l’ultime épuration des péremptés et s’est appliquée tout au long de la journée à mettre son partenaire en disposition.
Et que je te passe la main sur le velours cottelé entre deux salles impressionnistes, et que je ramasse au sol un papier froissé en exhibant mon fessier charnu marqué des élastiques de la culotte, et que je quène bouche ouverte en extase devant un tableau de Claude Monet, Monet ou Manet … elle ne savait plus mais montrait qu’elle aimait.
La fille était dans le ton et à midi quand ils ont déjeuné à la buvette-terrasse du musée, l’homme était déjà mûr, à cueillir.

Elle a passé les deux mains sous la table et après quelques contorsions, lui a donné de son poing serré, discrètement, la culotte.
Elle a dit, abandonnant le vouvoiement, ce soir te faudra être délicat, j’ai la rondelle étroite et serrée.

Lui pensait, avec ces lunettes qu’elle a, j’imagine ses replis et sa languette dure, longue et insidieuse.
Lui ne pensait qu’au devant…

Il n’osait pas mais ça s’est fait sans qu’il le veuille, alors qu’ils attendaient au milieu d’un troupeau d’Asiates aux yeux fendus, sa main est descendue à la fesse, l’a empaumée et serrée. C’était la première fois qu’il marquait à cette femme un intérêt d’ordre sensuel. Elle a levé les yeux vers lui et il y a lu des choses qu’il ne faudrait surtout pas dire au mari.
Rien n’est simple. Et si l’Ethique préfère pipette et tube à essai congelé peut-être sont-ils, les Sages, dans le vrai.

Le soir, au pavillon, elle a disparu longuement pour se parer, bain, huiles essentielles et autres fariboles de gonzesses.
Elle a ensuite préparé un repas de viandes rouges reconstituant et nutritif. On voyait bien où étaient ses pensées.

Pas de télé, Arte faisait probablement relâche ce soir-là.
C’est dans le lit étroit de la chambre d’ami que les choses se sont faites : elle ne voulait pas de ça dans le lit conjugal.
Il a longuement brouté le gazon dru noir brillant abritant la languette cachée. Il savait y faire et elle a aimé qu’il sût et aussi qu’il suce … elle était bien, sur le dos, la tête basculée en arrière, les cuisses en grenouille, ouverte, avec le front de cet homme sur son nombril.

Le doigt, il a voulu que ce soit elle qui le mouille. Elle l’a fait, sans y penser, juste parce qu’il le lui présentait. Elle l’a avalé d’un seul élan. Nappé de salive le doigt est venu à son cul, direct. Le bout doux posé sur sa rondelle, même pas impératif, non, juste sympa, juste je suis là, profite.

Elle a poussé, bouche bée, et le doigt est entré entier, jusqu’au bord de la main.
Elle a souri. Il n’a pas vu le sourire. Juste il l’a senti dans le mouvement de décontraction de tout son corps de fille.

Il avait sous ses lèvres ce petit bout d’elle qui faisait pendant à sa bite à lui. Le parfum des sels de bain couvrait celle qu’il eût voulu sur sa langue et il pensait, dans quelques heures elle exhalera à nouveau son odeur de femelle et ce sera bon.
Sa main était sous les fesses et son doigt bien au chaud profond en elle.

Il le savait, ils le savaient tous les deux, les pulsions compulsives sont venues serrant le doigt au fond du cul, faisant jaillir en ricochet les replis sous sa bouche baveuse et saillir encore plus le petit dur du devant.

Lui était en écoute mais rien de plus. Il a respecté le temps d’apaisement puis a repris, à la fois de la langue sur l’hyper-sensible bouton et du doigt, de son grand doigt, en va et vient onctueux de moins en moins serré par le sphincter anal relâché.

Ils sont restés longtemps ainsi, très longtemps. Le temps de la paix, de la décontraction, de l’ouverture.
Quand son doigt est ressorti, elle a feulé, comme léopard dans la jungle.
Elle est venue sur le ventre, bras croisés autour de sa poitrine, tête enfouie cachée anonyme dans le gros oreiller, la croupe haute et les jambes pliées, à genoux comme un sphinx, une sphinge plutôt.

Il a encore voulu de la langue, de ses lèvres, déverser les flots de salive qu’il avait en lui.
Le goût l’odeur restaient insipides, rien que de savons et d’eaux de Cologne. Il maudissait la civilisation.

Il a présenté sa bite droite, gland écrasé sur les rayons plissés. Décontraction progressive et hop, a été promptement avalé. Ce cul l’attendait. L’étroiture serrait fort, il a glissé le manchon jusqu’à la garde pour que le serrage se fasse à la base, loin de la tête sensible.
Les fesses qui l’accueillaient se sont posées sur ses cuisses. Lui était à genoux, assis sur ses propres chevilles. Il se tenait droit, sans bouger. Il savait qu’il lui faudrait laisser monter lentement la pression, jusqu’à exaspération, s’il voulait ce soir s’épuiser.

Alors, il a glissé les mains sous son buste et a voulu caresser les seins. Elle a eu un recul, a gardé ses seins à l’abri dans ses bras, s’est refusée.

Comme pour se faire pardonner, elle est venue encore plus en arrière contre lui comme pour le faire entrer encore plus profondément. Il accomplit quelques aller-retour et sentit les convulsions monter. Il les sentait partout, dans les cuisses posées sur les siennes, dans les fesses, collées contre son ventre, dans la chatte que son scrotum épousait et bien sûr dans le fondement que fourrait sa bite.

A chaque pulsion elle relâcha le serrage pour laisser passer la giclée. Après une dernière contraction, il fut évident qu’on y était arrivé, que les stocks étaient épuisés.
Ils sont restés ainsi un moment puis ont filé ensemble à la douche en chahutant, en riant.
Main dans la main ils sont revenus à la chambre d’amis et ont basculé sur la tranche, emboités l’un dans l’autre, en cuillères, et se sont endormis dans le lit étroit.

Au matin, la nuit les avait gardés serrés, elle avait dormi dans les bras de cet homme.

Pour le petit déjeuner elle avait passé une chemise de nuit courte de coton blanc. Elle était joyeuse et lui dit, cette enculade hier soir était vraiment sympa. Coté cul on s’entend bien tous les deux. En plus, ça m’a déclenchée, ça y est tu vas pouvoir te mettre à la tâche et me féconder maintenant.

Il était content lui aussi. Il ne regardait plus cette femme de la même façon. L’avoir tenue dans ses bras toute la nuit avait fait monter la tendresse. Et la voir toute fraîche et joyeuse sa brioche à la main dans le soleil du matin avec dans les yeux l’idée de l’amour le transportait.
Sa silhouette, la chemise, ses seins qui gonflaient l’étoffe, son odeur de femme au sortir du lit … il se sentait submergé par l’attirance.

Alors on y arrive … au don

Le vendredi soir, elle lui a fait ses adieux et a regardé longtemps l’auto toute petite qui filait vers Strasbourg.
Radieuse elle a préparé un bon souper pour son mari, copieux le repas…
Il aurait des choses à rattraper, le mari … et dans l’état d’esprit où elle était, il lui faudrait des forces, au mari !

Quelques semaines plus tard ils lui ont envoyé un mail, pour lui dire le bonheur, leur bonheur à tous deux.
Comme quoi…




Lui, devant son écran à Strasbourg, pensait, j’espère qu’ils auront un garçon parce que sinon elle va comprendre que ma théorie du genre c’était pur pipeau.
Sacré cirque, tout de même, ces préliminaires…
Rien de rien, je ne regrette rien

Surtout pas l’enculade !



Jpj, Saint-Cloud, avril 2014



Les premières lignes avaient déjà été publiées ici sous le titre "le Don"
Mais il faut reconnaître que ces lignes m'ont inspiré, ensuite, des choses très différentes...
Sympas, ces choses, non ?

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