Un soir dans ta chambre

- Par l'auteur HDS Ahouiii -
Récit érotique écrit par Ahouiii [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Un soir dans ta chambre Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un soir dans ta chambre
Nous entrons dans la chambre. Il règne l’atmosphère fébrile si commune aux premières rencontres. Tu es particulièrement sexy, vêtu d’un jeans, d’une chemise et d’un veston. Depuis que je suis arrivée chez toi, je ne cesse de te dévêtir des yeux. Mais j’ai aimé qu’on prenne notre temps. J’adore l’excitation qui précède l’acte en lui-même. Tu me regardes errer, scruter, découvrir ce lieu privé qu’est ta chambre. Tu es chez toi, en terrain connu. Pourtant un certain malaise naît en toi, à l’idée que je prenne mes aises dans cette pièce si intime, à l’idée que j’envahisse ainsi une part de tes secrets, à l’idée de ce que je vais bientôt te faire. Mais que vas-tu subir au juste ?... Une pointe d’inquiétude teinte l’excitation qui grandit en toi.

Je m’installe sur un fauteuil. Je te regarde, pleine de désir pour toi. « Déshabille-toi. » Tu ne peux plus reculer. C’est maintenant que ça se passe. Ce fameux scénario que tu as fantasmé de mille et une façons depuis les dernières semaines, tu y es maintenant plongé, et cette fois-ci, c’est bien réel. « Bien sûr Maîtresse, vous demandez et moi je suis là pour obéir. » Tu enlèves d’abord ton veston, puis ton pantalon. Tu prends le temps de les replier un peu, de les placer sur le dos d’une chaise près d’une table toute en désordre, sur laquelle s’amoncellent plusieurs objets personnels. Ce petit manège n’est pas particulièrement sexy, dans un film tu aurais plutôt laissé tomber nonchalamment tes vêtements sur le sol. Mais moi, ça m’excite. Parce que tu n’es pas un acteur, parce que tu es vrai, parce que tu es toi, parce que ce strip-tease un peu maladroit laisse paraître que tu es intimidé, parce que j’aime te voir ainsi.

Tu déboutonnes ensuite ta chemise, dévoilant ainsi peu à peu ton torse. J’adore te découvrir. Je suis toujours assise sur ce fauteuil. Je décroise lentement les jambes de façon à ce que tu puisses entrevoir sous ma robe courte la dentelle noire qui retient mes bas. Bien sûr, tu n’as rien perdu du spectacle, tu devines même déjà ma petite culotte. Je te fais envie. Tu aimes que je t’agace ainsi. « Vous êtes sublime Maîtresse. » Voilà un jouet bien élevé. Je suis satisfaite. Je commande : « Les mains derrière la tête. » Tu t’exécutes. Je me lève, m’approche de toi. Je pose une main sur tes pectoraux fermes, la laisse glisser vers ton nombril, puis toujours plus bas vers ton boxer. Tu déroges à la consigne, m’attrape par les hanches, me caresses les fesses à travers ma robe noire en dentelle. « J’ai dit les mains derrière la tête ! » Cette fois je hausse le ton, agrippe tes bras pour les remettre en place. Tu obéis, baisses le regard. Ma main caresse maintenant ton sexe à travers ton sous-vêtement. Tu es déjà tout dur pour moi. De quelques doigts, je titille ton prépuce que je fais glisser par des petits mouvements rotatoires sur le frein de celui-ci, toujours à travers le tissu de ton boxer. Ta respiration se fait plus forte, l’excitation monte en toi, j’adore, je suis déjà toute mouillée.

Je m’arrête d’un coup. « Non, continuez Maîtresse, pourquoi vous faites ça ? » Je me contente d’un silence comme réponse. Je me rassieds. Ma voix brise le silence : « Enlève-moi ce boxer. » Tu obéis à nouveau. Tu es complètement nu, dans ton plus simple appareil. Ton sexe se dresse fièrement pour moi. Tu es tout simplement magnifique. Je m’approche à nouveau. Je tourne en rond autour de ma proie, mes longues bottes noires frappent le plancher, mes yeux profitent de ton corps. « Alors, comment se sent-on, beau jouet, quand on se retrouve nu devant une inconnue ? » « C’est embarrassant Maîtresse. » J’aime te l’entendre dire. Mes mains baladeuses se promènent sur toi. A nouveau tu tentes de me toucher. « De quel droit bouges-tu ? » Je te remets les bras en l’air. Je me retrouve dos à toi, masse tes épaules, caresse ton dos, puis te flanque une première fessée. « Celle-ci, c’est pour m’avoir touchée la première fois ! » Quelques secondes plus tard, tu sens ma main cinglante une deuxième fois sur ta jolie fesse rose. « Et celle-là, c’est pour avoir récidivé ! » Tu te repends : « Désolé Maîtresse… »

Mes mains pétrissent maintenant tes fesses fermes et rebondies. Je dépose des baisers dans ton dos alors qu’une de mes mains passe entre tes jambes, te caressant le périnée et le scrotum. Tu gémis doucement. « Ne bouge pas beau jouet, je reviens. » Tu gardes la position. Je m’éclipse un instant dans la salle de bain attenante à ta chambre. Une minute plus tard, j’en ressors, ne portant plus que mes bas noirs, une petite culotte et un soutien-gorge en dentelle rouge et noire, ainsi qu’un peignoir fait d’un tissu noir très fin, presque transparent, laissant aisément entrevoir ma peau et mes courbes. Je m’agenouille devant toi, lèche doucement l’extrémité de ton sexe que je décalotte délicatement avant de poursuivre mes léchouilles. Tu respires bruyamment, tu m’excites énormément. Ma langue tournoie autour de ton gland rouge et turgescent. Puis je referme ma bouche et suce doucement ce gland en quête de plaisir. Tu gémis, tu voudrais t’engouffrer en moi, tu voudrais m’attraper la tête, t’enfoncer sauvagement au fond de ma gorge. Mais tu résistes à ton envie et demeure immobile, parce que ton désir de te plier à mes ordres est plus fort que toi.

Je me dirige vers le lit, m’y assieds. « Viens me rejoindre, agenouille-toi à mes pieds. » Tu obéis. J’écarte lentement mes jambes. Je me caresse à travers la dentelle de ma culotte. Tu regardes avec l’envie d’en voir plus. Je continue à me caresser, à me donner du plaisir devant toi. Tu restes là, immobile, excité. Puis je fais glisser ma culotte toute mouillée le long de mes jambes que j’écarte à nouveau. Ma chatte se présente à toi, douce, épilée, humide. Je continue à me caresser. Le plaisir monte en moi. Tu m’entends gémir. « Ahhhh…. ah oui… ah ouiiii…. » Tu voudrais me goûter, me lécher. Mais je ne t’y invite pas. Je m’arrête un instant, me penche vers mon sac, en ressors un godemiché. « Allez beau jouet, donne-moi du plaisir. » Je suis toujours assise au bord du lit, les jambes écartées, la chatte offerte sans vraiment l’être puisque tu ne peux y toucher. Je me laisse tomber sur le dos, continue à me stimuler le clitoris. Tu prends le gode, exerces de petites pression à l’entrée de mon vagin, l’enfonces en moi tendrement et progressivement. Tu trouves frustrant d’utiliser un jouet en plastique pour me prendre, alors que tu es là, disponible. Mais tu aimes que je te fasse languir et tu es excité par la situation. Tu fais des aller-retour en moi avec le gode, d’abord lentement, ensuite plus vite. Ma respiration devient plus saccadée. « Ah oui, continue, ah c’est bon… » Je laisse monter le plaisir. Je profite de l’instant. Tu me prends avec le gode, je me caresse toujours, je deviens folle. Mon vagin se contracte autour du jouet, je gémis de plus en plus fort pour ton plus grand plaisir, avant de me laisser submerger par un merveilleux et doux orgasme. « Ahhhh ouiiii ! »

Je me sens heureuse, détendue. Je reprends mes esprits et ordonne : « Etends-toi sur le lit. » Tu t’y installes sans broncher. Je fouille à nouveau dans mon sac, en sors un bas de nylon que j’utilise pour nouer ton poignet et le fixer à la tête du lit. Amoureusement, je lie également ton autre poignet à la tête du lit. Puis je répète les mêmes gestes pour tes chevilles qui se retrouvent fixées au pied du lit. Je t’observe ainsi, fragile, à ma merci. Je dépose doucement un collier de doux baisers sur tout ton corps. Mes lèvres explorent tes bras, ton torse, tes tétons, ton abdomen, ton nombril, tes jambes… Tu deviens le plus beau des jouets, mon jouet. Aussi vulnérable que tu puisses paraître en ce moment, j’admire ton courage et ta témérité. Te livrer ainsi à une inconnue, c’est un peu de l’inconscience… Je te le fais d’ailleurs remarquer. Tu n’as maintenant plus d’emprise sur ton propre corps. En cet instant, ton sort m’appartient. Malgré l’appréhension qui te ronge le ventre, ton excitation monte d’un cran. Tu sais que je ne veux que ton bien, que ton plaisir. Tu te laisses totalement aller.

Je fais couler de l’huile à massage sur ton corps. Puis de mes mains, je commence à masser tous tes muscles. Mes mains glissent, foulent, pétrissent chacun de tes membres, ton torse, ton abdomen. Tu te détends peu à peu. Ton sexe est toujours bien dur pour moi. Mes mains huileuses montent et descendent maintenant sur ta verge. Ta respiration est plus haletante. Je décalotte ton sexe, et d’une main abondamment huilée, je caresse ton gland. Tu pousses un fort gémissement. Tu m’excites tellement. J’ai envie de te posséder entièrement. Je défais le nœud qui lie ta cheville au pied du lit, remonte ta jambe, et fixe le bas nylon à la tête du lit. Alors que je fais la même chose pour ton autre cheville, tu me lances, un peu inquiet : « C’est une blague ? » La petite pointe de nervosité dans ta voix me rend folle. « Pourquoi voudrais-tu que ce soit une blague beau jouet ? Aie-je la tête à faire des blagues ? » Tu ne réponds pas. Je dépose un masque devant tes yeux. Tu te retrouves dans l’obscurité, ligoté, les jambes en l’air et écartées, m’offrant une vue spectaculaire sur ton beau petit cul… Ma bouche s’approche de la tienne. Je t’embrasse tendrement, nos langues s’emmêlent. Je chuchote : « Au contraire, c’est maintenant qu’on passe aux choses sérieuses… »

Tu m’entends fouiller dans mon sac. Quelques secondes plus tard, tu sens une petite pression froide sur ton anus. « Qu’est-ce que c’est Maîtresse ? » demandes-tu d’un ton légèrement affolé. « Mmmmm… tu aimerais bien le savoir… qu’est-ce que ça peut bien être ?... » Tu sens que je tournoie sur ton anus, que je le titille doucement. Tu vis désir et crainte à la fois. L’envie de te donner, de te sentir possédé, de découvrir de nouvelles sensations. La peur d’avoir mal, d’avoir l’air idiot, faible. Les poussées se font plus pressantes, tout doucement, je t’envahis. « Ahhhh… Ahhhhh… c’est un gode Maîtresse ? Ahhhh… » J’aime jouer avec toi. « Un gode ? Non, non, tu le sens, c’est tout petit… » « Ahhhh… ahhh c’est bon… c’est quoi, je vous en prie… ahhhhh… » Je te laisse face à tes questions, ton sphincter se détend et se dilate peu à peu, tu m’ouvres la voie. Après quelques minutes ainsi, je te réponds : « Ce n’est que mon doigt beau jouet, pas de panique, laisse-toi aller. » Tu sembles inquiet. Si mon simple doigt te donne l’impression d’être ainsi rempli, tu crains ce qui pourrait suivre. Mon doigt entre et sort aisément maintenant, il tourne dans tous les sens, atteint ta prostate, la masse avec douceur. De mon autre main, j’effectue des mouvements de haut en bas sur ton sexe maintenant plus ferme que jamais. Le plaisir te gagne, chasse progressivement tes craintes. Tu gémis doucement.

« Il me semble qu’un doigt ne soit plus suffisant, passons à la suite… » « Qu’allez-vous me faire Maîtresse ? » Le ton de ta voix traduit tes réticences. « Tu verras bien beau jouet, à toi de deviner. » Je fais couler du lubrifiant entre tes jolies fesses fermes. Tu sens à nouveau pousser sur ton anus. « Allez, s’il-vous-plaît, dites-moi ce que c’est… » C’est frustrant de ne rien voir, apeurant de subir sans pouvoir réagir. Pourtant c’est ce que tu cherches, c’est ce qui t’excite et c’est ce que je t’offre : l’impuissance. L’objet doux appuie de plus en plus fort, tu sens qu’il progresse en toi. Je chuchote à ton oreille : « C’est un plug, acheté spécialement pour toi… » « Ahhhhh… ahhhh… ahhhh… » Ton muscle se dilate de plus en plus. Il cède soudain, alors que tu pousses un long gémissement. « Je te fais mal beau jouet ? » « Non Maîtresse, c’est bonnnnnn… » Je tapote sur l’extrémité du jouet pour te stimuler. Je dépose des baisers dans ton cou, caresse ton sexe. Je murmure : « Contracte-toi autour du jouet. » Tu obéis. Puis je continue : « Maintenant relâche. » Tu suis les directives. Nous recommençons ce petit jeu de contractions et relâchements. Ma main monte et descend toujours le long de ta verge, ma bouche est à quelques centimètres de la tienne, tu sens mon souffle chaud. Ma langue s’immisce entre tes lèvres entrouvertes. Je m’empare de ta bouche. Je suis partout sur toi, partout en toi. Tu gémis, tu trembles, je deviens folle de désir à te voir te perdre ainsi.

Je retire délicatement le plug. Du lubrifiant coule à nouveau entre tes fesses. Tu comprends ainsi que je n’en ai pas fini avec toi. La position devient inconfortable, les liens serrent tes chevilles et tes poignets. A nouveau un objet pointe à l’entrée de ton rectum. « Cette fois, c’est une taille convenable pour toi beau jouet. » « C’est un gode Maîtresse ? » Aucune réponse nécessaire. Tu le sais, tu le sens. Le jouet s’insinue en toi, tu es une petite salope que je sodomise. La progression est plus lente, l’objet est beaucoup plus long. Il te remplit totalement. Tu es à moi, tu m’appartiens. Je mets le moteur du jouet en marche. Des vibrations envahissent ton rectum. L’extrémité du gode tournoie sur ta prostate. Tu gémis plus fortement. Tu trembles, es parfois pris de spasmes. « C’est bon Maîtresse, je voudrais jouir. » « Pas maintenant, ne t’avises pas d’éjaculer maintenant, c’est moi qui décide si tu peux ! » Je continue à faire des aller-retour en toi avec le godemiché. Je caresse ton sexe de mon autre main. « Ah oui… ahhhhhh… ahhhhh… c’est bon… je veux jouir… » « T’aime ça être ma petite pute, mon pantin ? » Je te donne la fessée. Tu cries. Le plaisir monte et monte. « Ahhhh… ahhh… Je dois avoir l’air ridicule Maîtresse… ahhhhh… » Tu n’aimes pas l’image mentale que tu te fais de la situation : toi, l’homme habituellement en quête de pouvoir, sur ton lit, ligoté, les jambes en l’air, écartées, un jouet dans le cul, moi qui te caresse et te possède, qui s’empare de ton corps et ton esprit. « Si seulement tu pouvais te voir, beau jouet, tu es tout simplement magnifique, pas ridicule du tout à mes yeux. Tu me combles de bonheur. N’est-ce pas ce que tu souhaites ?»

Je retire doucement le jouet. Ce n’est pas ainsi que je veux te faire jouir. Je défais les nœuds qui retiennent tes jambes en l’air. Te voilà étendu à nouveau, plus à l’aise. Tes poignets sont toujours liés à la tête de ton lit. Je retire le masque qui te couvrait les yeux. Doucement, je laisse tomber mon peignoir. Le fin tissu glisse le long de mes bras. Puis, l’air coquin, je retire avec lenteur mon soutien-gorge, offrant à tes yeux mes petits seins fermes dont les tétons pointent fièrement. Je me penche vers toi pour te les faire lécher. Mmmmmm… j’adore ce traitement, j’adore ta langue. Je mouille abondamment. Je me retourne alors, mes cuisses de chaque côté de ta tête. Je te présente ma chatte, m’assieds pratiquement sur ta bouche, te la fais lécher. Je gémis. « Ahhhh oui, ahhh ouiiiii… Mmmmm… Continue… Donne du plaisir à ta Maîtresse… » Je fais de petites bascules avec mon bassin. Je profite de tes lèvres, ta langue humide. Puis je me penche vers l’avant et avale ton sexe tout entier. Tu viens buter au fond de ma gorge. Tu gémis, tu grognes de plaisir. Ma bouche monte et descend autour de ton sexe. Tu es vraiment très excité. Je poursuis encore ces douces caresses buccales, te mène à nouveau près de l’orgasme. Puis je m’arrête.

« Non, Maîtresse, n’arrêtez pas, je vous en prie ! » Tu sais bien supplier. « Je compte te récompenser pour ton bon comportement. » Je dénoue les liens autour de tes poignets. Je m’étends sur le lit, écarte les jambes. « Prends-moi, prends ta Maîtresse ! » Sans te faire plus prier, tu t’installes sur moi. Je sens ton sexe s’enfoncer dans mon vagin glissant. Je gémis, je suis haletante. Tu me prends d’abord avec douceur. Je repousse ton thorax vers le haut. « Retiens-toi sur tes bras. » J’ai ainsi accès à ma chatte. Je caresse mon clitoris alors que tu entres et sors de mon ventre. Je sens le plaisir me gagner peu à peu. J’aime ton corps. Tu accélères la cadence des coups de reins. Je sens que tu t’approches à nouveau de l’orgasme. Cette fois, je ne vais plus te le refuser. J’ai envie de te sentir jaillir en moi. Ton visage est transformé par le plaisir qui t’envahit. Tu m’excites, je vais jouir à nouveau. Je plonge mes yeux dans les tiens. « Tes yeux sont magnifiques beau jouet. » Je te sens au fond de moi. Je cède à la jouissance. « Ahhh ouiii, ahhhhh, c’est tellement bonnnn !… » Au même moment, tu te laisses aller en moi, dans un râle bestial de jouissance. Ton corps tombe ensuite avec lourdeur sur moi. Tu es détendu, apaisé. Mes jambes t’enserrent contre moi, je reprends mon souffle. Nous sommes bien, assouvis.

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