La Saga des esclaves au ... SPECIAL 300 ème épisode (4ème partie)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au ... SPECIAL  300 ème épisode  (4ème partie) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au ... SPECIAL 300 ème épisode (4ème partie)
L’anniversaire du Marquis d’Evans (4 ème partie) -

Commence alors ce somptueux banquet par le service du premier plat qui est un enchantement pour les yeux que chaque invité découvre presque instantanément, car les assiettes sont déposées par les esclaves, devenus pour l’heure serveur et serveuse, au même moment sur un signe de la main du Majordome, qui mène la soirée à la baguette, tel un chef d’orchestre. Marie, la cuisinière a fait dans le raffinement en créant un spectacle culinaire presque D/s, il s’agit de petites cailles qui ont été désossées en ne conservant que les os des pattes, puis fourrées au foie gras pour pouvoir reprendre forme avant d’être coupées en deux ouvertes sur une assiette de faïence de Delft bleue recouverte de petites billes de gelée pour la stabilité du chef d’œuvre. La caille ainsi positionnée ressemble presque à un corps de femme sur le dos, pattes ou jambes écartées, dont la mise en scène est complétée par des fleurs comestibles, une pensée bleue pour la tête, et trois petites fleur bleue de bourrache qui sont posées pour l’une juste à l’entrecuisse en clin d’œil impudique et pour les deux autres tenant lieu de seins dans le décor, qui est également complété par quelques très fins filets d’une gelée de figue liquéfiée qui imite un collier de soumission et un bondage sur le corps de la caille ainsi servie… Le Marquis d’Evans est subjugué par la finesse de la préparation, IL savait depuis longtemps que sa Marie ne manquait pas d’imagination, mais visiblement elle semble s’être surpassée, surtout que le fond vaut la forme car le mets s’avère délicieux pour le plaisir des palais tout comme il avait été ravissant et sensuel pour le plaisir des yeux. Un verre de Château d’Yqyem, un des meilleurs bordeaux blancs liquoreux accompagne ce premier plat. Une musique douce et mélodieuse est jouée par un orchestre composé d’esclaves musiciens jouant nus, orchestre qui se trouve au fond de la grande pièce, donnant juste un léger fond sonore pour ne pas gêner les conversations, mais permettant quand même de ne pas laisser juste les bruits des couverts en argent à manche doré à l’or fin constituer la seule animation sonore du repas.

Walter, ayant constaté que les convives avaient tous fini de déguster la caille bondagée, éteint les plus grandes lumières, dans une pénombre plus tamisée, le service de desserte des couverts et assiettes se fait tandis que le premier spectacle de la soirée commence. Les guirlandes bleutées sont allumées, ainsi que les esclaves-bougeoirs, dont le Marquis constate à ce moment là, que finalement elles étaient au nombre de 4, deux dans le prolongement de sa place, mais deux également en bout de chacune des deux tables évasées. De nouvelles lumières s’allument au plafond, et dans la pénombre, il est encore difficile de constater ce qui se passe et qu’elle est l’origine de ses lumières qui descendent peu à peu pour se positionner à deux mètres du sol. Quatre soumises bondagées, en suspension, encerclées de guirlandes lumineuses autant que de cordes tiennent maintenant lieu de lustres provisoires. Le Marquis qui sait que son plafond n’a pas de trous, même s’il est muni de plusieurs crochets qui ont déjà été utilisés par le passé, se demandent depuis combien de temps ses quatre femelles dociles étaient perchées tout là haut, attendant immobiles, suspendues par une simple corde, alors qu’IL ne les avait même pas vu, n’ayant d’ailleurs pas cherché à jeter un coup d’œil au plafond. A peine les femelles lumineuses semblent s’être immobilisées dans leur descente, que de manière concomitante s’allument de nouveaux points dans la salle à l’intérieur du centre du grand M. Profitant de l’obscurité et sûrement du fait que chaque invité était occupé à regarder le plafond, plusieurs esclaves mâles et femelles sont venus se positionner dans cet espace vide. Ils sont encore au sol recroquevillés attendant la musique de l’orchestre pour démarrer leurs danses sensuelles.

Leur corps, éclairés par les guirlandes, renvoient des reflets or et argent mêlés aux lumières bleues des Led qui les éclairent, c’est un vrai ballet de sensualités, dans lesquels chacun se déhanche de manière lascive et expressive, mêlant les corps des mâles et des femelles dans des accouplements simulés, mais aussi jouant sur des portées avec une chorégraphie digne des grands cabarets parisiens, sauf que là rien n’est caché et même que l’érotisme est mis à l’honneur car les danseurs n’hésitent pas à s’approcher des tables dans des postures très osées, ne laissant rien cacher de leur anatomie intime, déroulés des femelles cuisses écartés, jambes levées à la verticale pour les plus souples ou en arabesques pour les autres. Les femelles se frottent de face ou de dos sur les corps des mâles bien incapables de pouvoir bander dans leur cage de chasteté, ce qui n’est pas le cas des convives assis qui ont tous la queue qui s’est dressée sous la table ou la chatte remplie de mouille. Plusieurs ont même déjà profité de l’excitation pour se faire sucer sous la table par celui ou celle qui est à leur disposition, que ce soit leur propre ‘’animal de compagnie’’, ou l’esclave du Marquis d’Evans qui leur a été assigné par le sort et dont ils ont la libre disposition, n’ayant qu’un seul geste du doigt à faire pour obtenir ce qu’ils et elles désirent.

Les quatre soumises en suspension font également partie du ballet lumineux, car elles sont enlacées les unes aux autres pour être ensuite déroulées, continuant de se balancer au gré des mouvements qui leur sont imposés, simples jouets lumineux ballotés de part en part, privées de tout mouvement et de toute liberté. Le Marquis ne connaissait pas les prouesses artistiques de ses chiens dociles et de ses chiennes dévouées, et IL en est venu à penser, vu la beauté de ces corps se déplaçant avec grâce et harmonie en parfaite synchronisation entre eux et avec la musique, qu’il aurait pu s’agir de danseurs et danseuses professionnels, étonné toutefois de l’érotisme et de la sensualité que de simples intermittents du spectacle pourraient offrir dans une soirée privée. IL se dit que son cheptel n’aurait jamais eu le temps de préparer en quatre jours à peine depuis son départ une telle représentation, d’autant plus que les préparatifs n’ont pas dû manquer tant en cuisine que pour toute l’organisation. (Mais le Marquis ignore que les répétitions ont commencés depuis fort longtemps en préparation de l’anniversaire surprise). Peu à peu la musique ralentit et s’arrête. Les vrais lustres viennent de se rallumer et les quatre soumises sont descendues à terre tandis que chacun se positionne à genoux prostrés tête au sol devant le Maître des lieux, en guise de salut. Le Marquis comprend alors que ceux et celles qu’IL vient d’admirer sont Sa Propriété, esclaves tous dévoués dont IL est si fier à cet instant. IL commence à taper dans les mains avec vigueur due à une certaine émotion sincère et c’est sous de vrais applaudissements que chaque convive enchaine à son tour.

Chaque esclave se retire à quatre pattes, à l’exception de quatre mâles qui prennent dans leurs bras les quatre soumises qui avaient été installées en suspension et qui sont toujours enchevêtrées dans leur bondage de cordes et de guirlandes, se trouvent de fait dans l’impossibilité de se déplacer. A peine le centre de la pièce est-il dégagé que huit mâles entrent dans la pièce, portant par groupe de quatre deux immenses plaques reposant sur des grondins de bois pour pouvoir supporter l’ensemble. Deux chevreuils entiers, visiblement rôtis à la broche, sont déposés sur chaque plateau. L’allusion n’est pas le fait du hasard, car la bête sauvage est installée en levrette, agenouillée, avec la tête au sol. Pour compléter la scène de présentation, l’animal a été fourré de l’intérieur pour conserver sa forme (sans compter le plaisir succulent de la farce qui sera par la suite servie en dégustation), mais surtout il a été bardé de lard et ficelé par un fil de cuisine tressé. Marie la cuisinière étant passé visiblement maître à son tour dans l’art du bondage culinaire, car les entrelacs sont encore visibles et parfaitement symétriques et esthétiques malgré le jus de cuisson qui les a teintés largement. Du jus de cuisson a été allégrement déposé sur les gigots qui, s’ils ne coulent pas de cyprine féminine, sont largement dégoulinants et suggestifs. Les huit esclaves s’agenouillent devant le Marquis d’Evans pour lui laisser le temps d’admirer les plats ainsi préparés et les viandes qui vont être servies à tous, puis ils se lèvent, longeant chacun de leur côté la table, afin que chaque convive puisse admirer la mise en scène, mais ils se pressent ensuite de rejoindre les cuisines pour que les viandes puissent être découpées et servies avant de refroidir… Voyant qu’un verre de vin rouge a été servi dans chaque verre, David le compagnon du Marquis Edouard d’Evans profite de cet instant de calme, pour se lever et annoncer :

- Mesdames et Messieurs, tous Amis de notre prestigieux Maître des lieux, je Vous propose de porter un premier toast à Notre hôte, Monsieur le Marquis Edouard d’Evans, dont je suis le premier à vanter les mérites et les valeurs humaines dont IL sait faire preuve, même s’IL reste un Maître D/s incontesté, intransigeant et exigeant.

Le Marquis Edouard d’Evans se lève à son tour, immédiatement suivi par celle qui est à sa gauche, la Marquise Aurore d’Evans pour ajouter.

- Je lève donc mon verre rempli de mon beaujolais favori car je tiens à Vous remercier tous, vous qui êtes si présent dans mon cœur, oui, Vous remercier d’être venu partager avec moi ce vrai moment de bonheur qu’est mon anniversaire. Je dois avouer que je vais de surprises en surprises depuis mon retour au Château en fin de journée et que je suis ravi de ce qui a été préparé en mon absence, pensant que la suite de la soirée ne pourra être que dans le même esprit. Je salue tous ceux de ma maisonnée qui ont de près ou de loin organisé cette réception. Comme tout ceci s’est fait presque à mon insu, mais pas vraiment puisque j’avais laissé carte blanche, je ne vais citer personne à cet instant, mais je pense à tous et à certains en particulier qui se reconnaîtront bien.

Tous les convives se lèvent à leur tour, tendant leur verre plein d’un rouge clair et lumineux et d’une voix commune, ils annoncent :

- A Monsieur le Marquis Edouard d’Evans. A son anniversaire !

Les personnes s’étant à nouveau rassises, les assiettes tièdes sont servies, un service de Gien bleu foncé sur lesquels chacun découvre la nouvelle composition préparée par Marie, la cuisinière. Sur un lit de sauce onctueuse, vers le haut deux petites masses de purée de pommes de terre vitelotte (de couleur violacée) ont été pressées en forme de demie-sphère, imitant deux seins fortement comprimés gorgés de sang, sur lesquels ont été déposés deux longs haricots verts réunis à chaque bout par un lien de ciboulette et au centre duquel est inséré une petite noisette blonde émondée (sans peau). L’allusion aux baguettes chinoises qui sont souvent utilisées en D/s pour pincer les mamelons ou le clitoris est d’autant plus flagrante qu’un troisième décor est posé sur le bas du grand morceau de viande qui se trouve au centre de l’assiette. Une grande boule de farce se trouve au sommet de l’assiette, et de part et d’autre, quatre petits bâtonnets en croix de feuilletés de légumes. De l’art de mêler le suggestif et le plaisir du goût une fois de plus, car les deux chevreuils tués par le garde-chasse du Marquis ont une chair tendre et savoureuse, ayant été rôtis au feu de bois après avoir tourné sur la broche, régulièrement nappés de sauce.

Les bruits des couverts à nouveau se mêlent aux conversations qui deviennent de plus en plus crues car le vin a fini par délayer de plus en plus les langues. Plusieurs Invités ont déjà éjaculés sous la table, et ils ne se gênent même plus à cette heure-là de la soirée pour exprimer leurs râles jouissifs. Le Marquis quant à lui qui était resté un spectateur passif voulant profiter de chaque instant de la soirée, pensant plus à satisfaire Ses Amis qu’IL recevait, qu’à son propre plaisir commence à sentir sa Queue qui est soudain en train de gonfler et de durcir. IL s’agite sur sa chaise pris par l’excitation qui le gagne mais voulant garder la maitrise et le contrôle pour l’instant devant ses invités et en particulier ses deux voisins de table, IL ne trouve pas d’autre chose à faire que de tendre les jambes en avant. Mais qu’elle n’est pas sa surprise de s’apercevoir que la place n’est pas totalement libre … et que sous la table et à l’endroit de la pointe du M, dont IL avait cru que cela n’avait qu’une fonction décorative, au moins deux personnes sont enfermés depuis le début du repas dont IL est en train de sentir et d’identifier les deux masses corporelles, et que par ailleurs la pointe de la table est telle que l’espace est clos tant sur les côtés que sur le devant, étant lui-même assis dans une petite échancrure de la table, donc totalement invisible de toutes parts en dessous de la table. D’un geste des pieds, IL fait signe aux deux personnes de s’approcher et leur fait comprendre d’un geste de la main furtif glissé sous la table subrepticement qu’ils peuvent ouvrir sa braguette, sortir son pénis encore plus dur et excité par la situation particulièrement insolite et néanmoins discrète en apparence. IL n’a pas besoin d’insister plus pour se faire lécher par deux bouches expertes, dont IL imagine assez facilement aux gestes et douceurs différentes qu’IL ressent qu’il y a sous la table un mâle et une femelle. IL continue à déguster son plat, gardant une parfaite maîtrise de son apparence extérieure, mais profitant d’un plaisir grandissant qui à force de coups de langues voluptueuses finit par faire gicler sa semence dans la bouche de l’un des deux. La femelle sous la table qui n’a pas eu la chance de profiter du nectar s’empresse de lécher la Queue de son Maître pour le nettoyer avant de refermer délicatement la braguette du pantalon comme si de rien n’était. Le Marquis caresse le corps de ses deux esclaves de quelques mouvements de jambe pour leur faire comprendre qu’IL a été content de leur divine fellation menée de concert…

(A suivre…)

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